Dr Tony Bark M.D.
« S’il vous plaît, ne supprimez pas les exemptions vaccinales. Des enfants meurent à la suite de vaccins! »
Lettre envoyée au Sénateur d’Oregon M. Ferrioli
23 février 2015
J’ai reçu une formation de stagiaire en pédiatrie à l’Université de Bellevue à New York, puis en médecine de revalidation. On m’a très vite offert la direction de la salle des urgences pédiatriques de l’hôpital Michael Reese à Chicago.
Alors qu’autrefois, j’étais chaque fois furieuse quand des parents se présentaient à l’hôpital et que leurs enfants n’étaient pas en ordre de vaccinations, aujourd’hui, mon attitude a changé et radicalement changé.
J’ai commencé à voir ce qui se cachait derrière toute cette politique. On voyait régulièrement des enfants qui étaient passés par la clinique où on les vaccinait, accourir aux urgences avec des convulsions, des crises d’asthme, des arrêts respiratoires. J’ai alors commencé à réaliser que tous les enfants ne répondent pas nécessairement bien à la vaccination, et même que certains en meurent.
Ce n’est que quand j’ai eu terminé mon programme de maîtrise en gestion des catastrophes que j’avais commencé en 2010 et terminé en 2012, que j’ai commencé à percevoir la nature frauduleuse dont les vaccins sont commercialisés, comme la corruption des comités consultatifs.
Je n’étais même pas au courant qu’il existait un tribunal fédéral spécial pour le problème des vaccins. Je n’avais pas la moindre idée qu’il existait des victimes des vaccins et encore moins que certains pouvaient en mourir tout en ne pouvant avoir aucun recours contre le fabricant ou le médecin.
Les fabricants de vaccins jouissent d’une immunité totale par rapport aux poursuites judiciaires de toute nature, y compris les vices de fabrication (comme signalé par Scalia en février 2011). Les vaccins sont légalement répertoriés comme « inévitablement dangereux ».
L’existence du tribunal des vaccins relève presque d’un secret, bien qu’il ait fait verser 3 milliards de dollars de dédommagement depuis sa création en 1986. Le système qui concerne les rapports d’événements indésirables liés aux vaccins n’est lui non plus pas très bien connu du public, et le gouvernement admet qu’il n’est probablement informé que de 10 pour cent des événements indésirables qui se produisent.
Nous rendons obligatoires plus de vaccins que dans n’importe quel autre pays, et nous avons également le pire taux de mortalité infantile de presque tous les pays du monde, y compris certains pays du tiers monde.
J’ai 55 ans. Je n’ai donc reçu que quelques vaccins. Aujourd’hui, à l’âge d’un an, les nourrissons reçoivent 14 vaccins différents, et, à l’âge de 18 ans, le nombre de vaccins atteint le chiffre de 58 ! Dans certains états, avec l’obligation du vaccin contre la grippe, ce chiffre est encore plus élevé.
Un mot sur l’obligation du vaccin contre la grippe. Le New Jersey et le Connecticut ont été les premiers à rendre, chaque année, le vaccin contre la grippe obligatoire pour tous les enfants d’âge préscolaire et d’âge scolaire. Cela n’a cependant réduit en rien les cas de grippe dans ces états. En fait, les deux états se trouvent, chaque année, en tête de liste pour les cas de grippe.
Alors que la plupart des gens s’en tirent très bien avec la vaccination, ce n’est pas le cas pour un petit pourcentage de la population. Les notices des vaccins signalent l’encéphalite et les paralysies du Guillain Barré comme effets possibles des vaccins.
La plupart des parents et des médecins ne sont certainement pas d’emblée « anti-vaccins », mais leur position change quand il arrive que l’un de leurs enfants soit profondément et définitivement handicapé par les vaccins. C’est alors qu’ils décident qu’il n’y aura jamais plus de vaccin pour cet enfant comme pour les autres.
Il est facile de comprendre qu’ils aient raison de prendre pareille décision.
La génétique, l’épigénétique et la fréquence peuvent avoir une grande influence sur l’apparition d’effets secondaires. Il n’existe pas de médicament qui soit bon pour tout le monde, à la même dose. Et continuer à prétendre la chose relève de la folie.
Au cours de nombreux procès contre plusieurs firmes pharmaceutiques, il a été montré que des données d’études concernant certains médicaments ont été cachées, manipulées ou même fabriquées. Pourquoi la chose serait-elle difficile à croire quand il s’agit de vaccins ?
J’ai découvert qu’il existait de graves problèmes à propos des essais cliniques sur les vaccins; la sécurité était l’un d’entre eux. Pour comparer les effets indésirables, toutes les études concernant la sécurité des vaccins utilisent de faux placébos. Le vaccin contre le HPV par exemple (qui n’est plus recommandé dans certains pays à la suite des réactions graves et des décès qui se sont produits) a utilisé le nouvel adjuvant aluminique comme placebo. L’étude de sécurité sur le Prevnar a utilisé un vaccin expérimental contre la méningite C.
Toutes les méta-analyses indépendantes réalisées par Cochrane sur les études portant sur les vaccins se terminent par les mêmes conclusions : des études de sécurité sont nécessaires afin de pouvoir évaluer le rapport bénéfices/risques. Il y a actuellement plus de 200 nouveaux vaccins dans le pipeline, et comme ceux qui ont précédé, ils seront approuvés et recommandés pour finir par devenir obligatoires. Assez, c’est assez !
Après l’Allemagne nazie, les lois de Nuremberg ont interdit les procédures médicales forcées. Le Code d’Helsinki est très clair : tous les patients ont le droit à un consentement informé préalablement à toute intervention médicale.
Il n’existe pas de consentement éclairé pour les vaccinations. Il ne s’agit quand même pas de revenir en arrière !
Je suis toute disposée à vous faire parvenir des études, à vous parler et même à prendre l’avion pour donner une conférence.
Source : Health Impact News