L’histoire dramatique de Jody après avoir reçu 8 vaccins en 1
D’après Augustina Ursino, 14 mars 2015 - Extraits
Cette histoire de graves dommages vaccinaux irréversibles qui sera bientôt reportée devant un tribunal, implique un médecin qui a mis la vie de la petite Jodie Marchant en danger.
La famille Marchant a accepté de nous raconter ce qui est arrivé à leur petite fille d’un an quand ils se sont rendus chez un médecin pour faire vacciner leur enfant tout en précisant qu’ils n’acceptaient que le ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et qu’ils refusaient tout autre vaccin.
Les parents de Jodie ont été très choqués quand ils ont découvert que leur petite fille Jodie avait reçu une concoction vaccinale illégale et non testée de 8 vaccins en 1 qui avaient délibérément été mélangés dans une seringue. C’est cette injection qui a finalement détruit la santé de leur petite fille.
Le papa de la petite fille, M. William Marchant a déclaré que la recherche avait montré l’existence et la persistance de la souche vaccinale du virus de la rougeole dans le tractus gastro-intestinal de Jodie. Le rapport de Jodie correspondait à la description qu’avait faite le Dr Andrew Wakefield et qui avait été publié dans The Lancet.
Cet article fut ultérieurement retiré, malgré que les résultats de ces recherches aient été reproduits à maintes reprises.[1]
Les découvertes du Dr Andrew Wakefield étaient parfaitement exactes, bien que des efforts considérables aient été déployés par les officiels du gouvernement et les fabricants de vaccins pour camoufler les données qui démontraient un lien entre les vaccins, l’autisme, des maladies de l’intestin et des dommages cérébraux. Jodie avait aussi été l’une des patientes du Dr Wakefield.
La famille Marchant a reçu des menaces de mort pour qu’elle se taisent par rapport à ce qui s’était passé, quand ils ont commencé à poser des questions, quand ils ont demandé sur combien de nourrissons on faisait pareilles expériences.
Les experts ont répondu aux parents que leur cas était tout à fait unique et qu’ils étaient la seule famille à posséder des rapports pour prouver ce qui s’était passé.
La combinaison de vaccins qui avait été administrés à leur fille n’aurait jamais pu faire l’objet d’une véritable recherche, parce que les sujets n’y auraient pas survécu.
Les parents ne savent pas quels vaccins on administre à leurs enfants au cours de ces visites médicales.
L’histoire de Jodie donne une petite idée de la manière dont les officiels du gouvernement et les fabricants de vaccins camouflent les dommages vaccinaux et comment ils essayent de tout faire pour ne pas être tenus responsables.
Le lien entre la maladie inflammatoire de l’intestin, le vaccin ROR et l’autisme est toujours objet de controverse.
Vingt-deux ans ont passé depuis que l’injection a été administrée à Jodie. La famille n’a pas cessé de se battre en justice et n’est pas prête de laisser tomber les bras.
Le cauchemar de la famille a commencé avec le vaccin ROR
C’est une jolie petite fille en excellente santé qui est née le 2 mars 1992. Jodie se développait normalement. Après avoir reçu un rappel pour la vaccination ROR de Jodie, William et Pat Marchant ont réfléchi au problème et ont accepté de faire vacciner leur petite fille. Jusqu’alors, Jodie et sa grande sœur n’avaient reçu aucun vaccin.
Le 17 mai 1993 – Jodie avait alors 14 mois ½ - ils se sont rendus à la clinique Aldermoor de Southampton UK. Les parents ont donné leur accord pour de Jodie reçoive le vaccin ROR et ont, de leur main, signé le refus du vaccin DTCa, ainsi que les autres vaccins. En quittant la salle d’attente, Jodie a dit à son papa « je t’aime papa ».
Jodie dans les bras de sa maman quelques semaines avant de devenir handicapée après avoir reçu un vaccin non testé (8 en 1)
C’est Patricia qui tenait l’enfant dans ses bras pour renter dans le cabinet du médecin. En rentrant, Patricia fut surprise de voir une seringue déjà pré-remplie et qui était destiné à Jodie. L’injection fut faite de manière précipitée. Dès l’injection terminée, Jodie a immédiatement commencé à hurler comme cela n’était jamais arrivé auparavant, c’étaient des cris particulièrement aigus.
Dans la salle d’attente, William entendit ces cris terribles qui lui glacèrent le sang parce qu’il savait qu’il s’agissait de sa fille. Patricia rentra bouleversée dans la salle d’attente en disant que sa fille n’aurait jamais plus d’autre vaccin.
Dans les minutes qui ont suivi, Jodie a commencé à trembler comme une feuille. Alors que les parents la ramenaient à la maison, Jodie a continué de pousser des cris perçants – cris encéphaliques dénotant une atteinte du système nerveux -. Elle avait aussi beaucoup de fièvre et n’a, dans la suite, plus voulu manger. Le médecin consulté a dit aux parents qu’il devait s’agir d’un virus et qu’ils ne devaient pas se tracasser. Ce fut à partir de ce jour que Jodie fut en invalidité permanente. Elle ne devait plus jamais être elle-même.
De nombreuses visites médicales et aucune réponse
Après le vaccin, Jodie ne fut plus jamais la même. Ses douleurs la rendaient inconsolable. Parfois, elle devenait tout pâle. Alors qu’elle avait toujours été aimante et joyeuse, elle se transforma à tel point que ses parents lui semblaient inexistants. Sa vie fut complètement bouleversée après le vaccin.
Personne ne semblait pouvoir aider les parents à comprendre ce qui n’allait pas chez leur petite fille. Jodie se cognait régulièrement la tête et dut finalement porter un casque pour la protéger. Elle avait régulièrement des convulsions. Elle était devenue doublement incontinente. Elle avait perdu tout contrôle sur sa vessie et sur ses intestins. Elle n’a plus parlé ni marché. Elle avait aussi perdu tout contact visuel, ne reconnaissait plus les amis de la famille. Le reflux qui sortait constamment de sa bouche avait une odeur horrible. Nous avons vécu tout cela pendant des années après qu’elle ait reçu ce vaccin.
En 1994, William et Pat étaient à la recherche d’une aide dont ils avaient grand besoin. Un spécialiste de la chirurgie buccale leur conseilla de laisser Jodie dans sa chambre pour lui permettre de hurler tout son soûl. Les médecins n’ont pas pu donner de traitement médical adapté au cas de Jodie. En outre, ils ne voulaient même pas admettre que quelque chose n’allait pas.
Comme Jodie ne savait plus manger, ses parents l’ont maintenue en vie avec des milk-shakes.
Jodie avait besoin de soins 24h sur 24. Son papa a dû abandonner son travail pour pouvoir s’occuper d’elle. Tout ceci a causé du retard dans le remboursement du prêt hypothécaire. Ils étaient en train de perdre leur maison. On leur suggéra de contacter l’organisme « Disability Living Allowance » (DLA) pour pouvoir recevoir une aide financière afin que l’on puisse finalement établir un diagnostic.
Jodie a souffert de convulsions après avoir reçu le vaccin. Son papa a très vite pensé qu’il pouvait s’agir d’un symptôme d’épilepsie. Il réclama un électro-encéphalogramme qui lui fut refusé. Jodie continuait à souffrir de convulsions jusqu’à deux ans après la vaccination. William a persisté à demander un électroencéphalogramme qui lui fut à nouveau refusé.
Les parents de Jodie en avaient tellement marre qu’ils se sont adressés à l’inspecteur de santé en septembre 1994. Ils lui ont fait comprendre qu’il s’agissait de s’occuper efficacement du cas de Jodie, faute de quoi, ils appelleraient la police.
Finalement on leur proposa un rendez-vous pour un électroencéphalogramme qui finit par confirmer le diagnostic d’épilepsie. […]
Dans la suite, les parents furent avertis que le cerveau de leur fille était gravement endommagé. Le Dr Richie fit tout son possible pour que le degré élevé de handicap de Jodie soit reconnu afin que les parents puissent recevoir toute l’aide financière nécessaire. Jodie continuait à souffrir de graves problèmes neurologiques et gastro-intestinaux. L’aide financière arriva seulement trop tard pour que les parents puissent garder leur maison. La famille fut expulsée et envoyée dans un logement temporaire.
[…]
Jodie reçoit le diagnostic d’autisme
En 1995, alors qu’elle avait 3 ans, Jodie reçut le diagnostic d’autisme. Les médecins ne voulaient pas chercher à en savoir davantage. A cette époque, un grand nombre d’enfants avaient connu des complications de santé après avoir reçu le ROR. On commençait à se rendre compte que d’énormes efforts avaient été déployés pour cacher ces vérités au public. [2]
Les officiels du gouvernement avaient sciemment permis que des vaccins dangereux et peut-être insuffisamment testés puissent se maintenir sur le marché en partie pour réduire les dépenses, tout en protégeant les fabricants de vaccins et les empêchant d’être tenus responsables aux dépens des enfants handicapés et de leurs familles.
Bien que Jodie soit reconnue autiste avec de graves handicaps, elle put quelque peu fréquenter l’école quand elle avait trois ans. Ses douleurs étaient cependant telles qu’elle dut finalement être scolarisée à la maison. Elle souffrait tellement !
Un médecin qui avait reconnu les dommages dus au vaccin ordonna un IRM. Jodie passa l’examen le 20 octobre 1995. Les premiers résultats n’ont pas été complets. Ils n’ont, dans un premier lieu, pas pu monter que Jodie souffrait du syndrome d’Arnold Chiari communément observé chez les enfants dont la santé a été endommagée par les vaccinations. [3]
[…]
Les parents Marchant se décident à demander l’aide du Dr Wakefield et de son équipe
En janvier 1998, Jodie et ses parents ont pris rendez-vous avec le Dr Andrew Wakefield pour essayer de trouver ce qui avait contribué à mettre Jodie dans pareil délabrement. Jodie avait souffert de graves problèmes intestinaux – elle était doublement incontinente depuis à peu près cinq ans. On lui dona quelques médicaments pour améliorer son état et la visite suivante fut programmée pour juin 1998. Jusqu’à ce que Jodie fût emmenée au Royal Free Hospital, ses parents n’avaient pas pu obtenir la moindre réponse par rapport à ce qui était arrivé à leur enfant.
C’est peu après la première visite de Jodie au Royal Free Hospital, que le Dr Andrew Wakefield et ses collègues publièrent un article dans The Lancet, le 28 février 1998.
Cet article établissait un lien possible entre l’inflammation de l’intestin, l’autisme, des dommages cérébraux et le vaccin ROR. [5] On avait retrouvé la souche vaccinale du vaccin dans le tractus gastro-intestinal de Jodie. La chose était compatible avec les découvertes du Dr Wakefield.
Début juin 1998, Jodie fut traitée par d’autres médecins du Royal Free Hospital. Ces médecins ont déclaré que les problèmes de Jodie étaient de loin beaucoup plus graves que ce qu’ils observaient d’habitude chez les autres enfants.
Un pédiatre gastro-entérologue renommé a aussi accepté de venir en aide à Jodie. C’était l’un des médecins du Royal Free Hospital qui, en s’occupant du cas de Jodie, ne put que confirmer que Jodie n’avait pas reçu le vaccin ROR ordinaire.
Comme les Marchant l’ont découvert plus tard, le diagnostic du Professeur John Walker-Smith semblait clair. On avait administré à Jodie le vaccin ROR mélangé à cinq autres vaccins (8 en 1). On ne sait pas si ce vaccin avait jamais été injecté auparavant. Même sans s’occuper des précédents rapports de Jodie, le professeur fut à même de confirmer qu’elle devait avoir reçu autre chose que le vaccin ROR ordinaire.
On ne retrouve plus les rapports concernant le vaccin
Pour pouvoir être dédommagés, Willliam et Patricia devaient fournir le numéro correspondant à la souche su vaccin.
Les parents de Jodie se sont rendus à l’endroit où leur petite fille avait reçu son vaccin pour y récupérer le dossier. Pas de chance, le médecin ne put mettre la main sur le dossier de Jodie. On les informa également que le médecin qui avait donné à l’infirmière l’autorisation de vacciner, et qui, à l’époque était chirurgien en chef, avait quitté l’hôpital.
Comme les parents avaient absolument besoin de ces documents, ils se rendirent chez le médecin qui s’était précédemment occupé de Jodie. Ce médecin avait heureusement archivé le dossier. Ces documents révélaient une chose troublante : Jodie avait reçu une surdose et on lui avait administré le vaccin DTCa, ainsi que le vaccin polio oral. Les parents purent récupérer les numéros de lots de vaccin pour le DTCa, ainsi qu’un document qui autorisait le vaccin polio oral. Les documents portaient la signature d’un médecin. Les parents détenaient enfin la preuve de ces lots de vaccins, de même que la signature du médecin qui avait autorisé l’injection de ces vaccins. Après maintes recherches, les parents finirent par découvrir que Jodie avait reçu le vaccin ROR II fabriqué par Merck.
De nouveaux documents que les parents purent se procurer des années plus tard ont pu montrer que Jodie avait bel et bien reçu 7 vaccins, mais qu’un huitième vaccin avait aussi été injecté. Les Marchant n’ont pas voulu révéler quel fut ce huitième vaccin administré vu le caractère sensible de l’affaire et le fait que le procès est toujours en cours.
Le document concernant le huitième vaccin était séparé des autres et avait été considéré manquant ou caché. Le médecin l’avait cependant signé personnellement. Le document confirme que ce huitième vaccin avait bien été administré. Il est pourtant impensable d’injecter un vaccin polio oral. Pourtant, au cours du procès, ces documents ont bel et bien été acceptés par TOUS.
Ces rapports médicaux semblent être la preuve d’une corruption massive. Les Marchant ont dû apprendre que leur fille avait reçu un vaccin combiné qui peut-être n’avait jamais été testé. Les parents de Jodie s’étaient rendus chez le médecin pour qu’elle puisse recevoir un seul vaccin, le ROR. Ils ont été complètement choqués quand ils ont découvert que Jodie avait reçu le cocktail ROR, DTCa + le vaccin polio oral, ainsi qu’un huitième vaccin qui n’est pas mentionné, le tout mélangé dans une seule seringue.
L’un des médecins généralistes qui était venu en aide aux Marchant pour les aider à se procurer les dossiers de Jodie a perdu son emploi. Après avoir découvert que Jodie avait reçu des vaccins supplémentaires, les parents de Jodie ont commencé à comprendre que des choses étaient camouflées dans une série de départements. Normalement, les parents de Jodie n’auraient pas pu avoir accès à ces documents, mais ils ont néanmoins tout fait pour les obtenir en dépit de tous les efforts qui ont été déployés pour leur interdire d’y avoir accès.
Des années après l’incident, le Dr Allison Hill fut interrogée au sujet de sa propre signature qui autorisait que ces vaccins soient administrés à Jodie sans autorisation des parents, de même que sur le document écrit et signé par les parents par lequel ils spécifiaient clairement vouloir refuser les vaccins DTCa et tout autre vaccin. Ce médecin a répondu ne pas se souvenir du patient, comme ne pas se souvenir avoir fait pareille chose. Il semble qu’elle ne se soit même pas souvenue des cris horribles de Jodie. Même aujourd’hui, elle n’est pas encore au courant que les Marchant détiennent la preuve que huit vaccins ont été administrés avec sa propre signature sur les documents, y compris avec des tentatives faites pour modifier les dossiers de Jodie.
Alors qu’il n’était plus possible de retrouver les rapports de Jodie, Il devenait de plus en plus clair pour les Marchant que l’on avait affaire à un énorme camouflage. Les Marchant ont aussi reçu des menaces de mort pour qu’ils se taisent et laissent tomber toute plainte contre le médecin et le Conseil de l’Ordre des Médecins (GMC)
En 2000, le Dr Wakefield avait, à la suite de ses recherches publié « Measles, mumps, rubela vaccine : through a glass darkly », document dans lequel il évoquait les essais cliniques du vaccin ROR avant homologation. Ce document destiné à examiner la manière dont les officiels s’y étaient pris pour pouvoir assurer que le vaccin ROR était sans danger. Le document du Dr Wakefield faisait ressortir que chaque vaccin avait été homologué séparément et le vaccin triple n’avait, lui, pas fait l’objet de tests de sécurité. [10]
Des tests démontrèrent dans la suite que la souche du vaccin contre la rougeole avait été retrouvée dans le système digestif de Jodie
Après que les parents de Jodie aient réalisé que le cerveau de Jodie était définitivement endommagé, William, le papa, a déclaré : « Avant de pénétrer dans le local où sa santé a été détruite, Jodie m’a dit ces mots : « Je t’aime » et « C’EST LA RAISON POUR LAQUELLE JE VEUX CONTINUER A ME BATTRE JUSQU’AU BOUT !». Les médecins lui ont volé sa vie future. Il nous appartient d’obtenir justice pour elle.
Références
http://www.ageofautism.com/...
https://childhealthsafety.wordpress.com/2009/01/13/secret...
http://www.conquerchiari.org/pediatric/...
http://www.conquerchiari.org/...
http://www.thelancet.com/journals/...
http://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Shattock
http://www.immunize.org/catg.d/p3085.pdf
http://www.immunize.org/catg.d/p2020A.pdf
http://www.whale.to/vaccine/mmr11.html
http://www.wellwithin1.com/...
https://yellowcard.mhra.gov.uk/the-yellow-card-scheme/
http://www.ageofautism.com/2010/01/the-launch-of-silenced-witnesses...
http://www.naturalmedicine.net.nz/product-reviews/silenced-witnesses...
VIDEO INTERVIEW : « Dr Wakefield’s in his own words»
https://www.youtube.com/watch?v=n7NotxTg7jg
http://vactruth.com/2015/03/14/illegally-given-8-in-1-vaccine/