Il ne se passe pas un seul jour désormais sans qu'on entende des "informations" sur les vaccins -on devrait plutôt parler de propagande- qui ne fassent pas bondir et qui ne justifieraient pas, à elles seules, de descendre manifester dans la rue, tant il est vrai que les mesures en question, non seulement coûtent très cher et plombent les finances des Etats mais aussi et surtout, qu'elles sont totalement contre-productives puisqu'elles induisent des dangers inouïs dont certains citoyens peinent toujours à comprendre l'ampleur.
Petit tour d'horizon pour mieux comprendre en quoi les officiels se foutent dangereusement de la santé ET de l'intelligence du plus grand nombre...
Pour commencer ce petit tour de l'actualité, nous voudrions commencer par ces centaines d'emprisonnements, tout à fait scandaleux d'ailleurs, de parents pakistanais qui refusent la vaccination polio de leurs enfants. 470 parents ont déjà été écroués et sommés de faire allégeance au dogme vaccinal: pour sortir de prison, ils doivent promettre à un garant qu'ils feront vacciner leurs enfants après leur sortie. Les personnes qui ne connaissent rien aux vaccins à part ce qu'elles ont toujours cru et lu dans les mass médias ne peuvent que se réjouir de pareille information et se sentir (faussement) rassurés. Hélas, quand on examine ce dossier avec un peu plus d'objectivité, on ne peut que se rendre compte de l'injustice et de l'aberration de ce type de mesure. Pourquoi? Tout d'abord parce qu'on jette des parents en prison pour avoir refusé un vaccin polio oral qui est exactement similaire à celui qui a directement causé en Inde, pour la seule année 2011, plus de 60 000 cas de paralysie flasque aigue, une maladie deux fois plus meurtrière que la polio et qui est toujours irréversible (contrairement à la polio dont un cas sur 200 infections peut déboucher sur une paralysie avec, encore, des possibilités de séquelles à minima ou de guérison). Pour tenter d'être plus crédibles, les officiels, aidés d'une presse docile, ont pris l'habitude de mettre ces refus de vaccination sur le compte de "motifs religieux", contribuant à dépeindre ces populations locales comme bêtes, primaires ou dieu sait quoi.
Mais une fois encore, analysons les motifs de refus (plus qu'innombrables!) et voyons si les parents ont l'air si bêtes que ça. Il faut en effet se rappeler qu'entre autres méfaits, le vaccin polio oral a contribué de façon directe à contaminer des millions de personnes dans le monde avec un virus simien cancérigène, le SV40, dont aucune personne sérieuse ne peut encore réfuter de nos jours l'implication et la présence dans de nombreux types de tumeurs. Au moins jusque 1978, des milliers de personnes ont continué à recevoir ces vaccins polio contaminés dans le monde or il faut hélas savoir que le virus cancérigène SV40 peut parfaitement se transmettre par voie sexuelle et aussi de la mère (vaccinée) à l'enfant (non vacciné). Déjà, à cet égard, ce sinistre passé devrait enjoindre les officiels pakistanais (et mondiaux) à plus d'humilité et de discernement avant de jeter des parents en prison, surtout quand ces même officiels ne font absolument pas leur travail en veillant à la base, c'est-à-dire la lutte contre la pauvreté, contre la malnutrition, le manque d'infrastructures en eau potable, en retraitement des eaux usées, etc.
Les propos des mass médias dépeignent ces gens comme craignant que le vaccin ne stérilise leurs enfants comme s'il s'agissait d'une crainte grotesque, de l'ordre du complot. Pourtant, là encore, un peu plus de retenue serait d'autant plus salutaire que les évêques kenyans viennent de publier un rapport d'analyse du contenu des vaccins antitétaniques financés par l'OMS et l'UNICEF et sélectivement réservés aux femmes de 14 à 49 ans de ce pays et il s'avère, sur base d'analyses de laboratoire rigoureuses, que 30% des fioles contiennent de l'hormone bêta HCG, une hormone qui a un effet stérilisant quand on l'injecte.
Jeter des parents en prison parce qu'ils ne conçoivent pas la vaccination orale contre la polio comme opportune ou sûre pour leur progéniture est donc un pur scandale, et ce d'autant plus que les officiels eux-mêmes ont déjà publiquement dit que ce vaccin devait être remplacé par un autre, soi-disant plus sûr et qu'on peut lire sur internet que la recherche sur un vaccin polio synthétique est en cours. Bien sûr, ce nouveau vaccin présentera aussi son lot de risques, mais ceci indique bien la fragilité scientifique et éthique patente qu'il y a à villipender ces parents vigilants au nom d'un vaccin qu'on juge pourtant suffisamment imparfait pour en fabriquer un nouveau. Ajoutons à cela la fausse urgence de revacciner des millions d'enfants dans des contextes où ces grandes campagnes se sont souvent plusieurs années de suite, avec des enfants qui reçoivent ainsi fréquemment 4,5,6,7 doses ou plus de vaccins en peu d'années, tout simplement parce que l'OMS et l'UNICEF estiment trop incommode de distinguer ceux qui l'auraient déjà reçu des autres. Là encore, l'inefficacité et la dangerosité ne sont pas assumées par les conseilleurs-forceurs mais par les vrais payeurs, à savoir les citoyens!
Passons ensuite à un autre sujet d'actualité en matière de vaccins, qui montre bien là aussi l'idéologie dégoûlinante du vaccin à tout prix: la poursuite d'essais cliniques du vaccin Ebola que les populations africaines recevront à dose accrue alors que l'épidémie s'est améliorée d'elle-même, sans vaccination. Exactement comme les pays occidentaux avaient déversé sur l'Afrique les inutiles vaccins H1N1 que les gouvernements avaient achetés inutilement à la pelle. Malgré l'arrêt temporaire des essais du vaccin menés en Suisse sur seulement 120 personnes, ceux-ci ont repris et les officiels ont fini par conclure sans doute sans même plus se rendre compte de leurs énormités que "le vaccin est sûr mais présente des effets secondaires intenses"! Aveuglement, quand tu les tiens....
Songeons à ces centaines de millions de gens qui n'ont toujours pas à manger et à boire et demandons-nous vraiment si nous croyons sérieusement que nous allons leur éviter des maladies et contribuer à la sécurité sanitaire du monde en gavant ces personnes affaiblies de vaccins chimiques alors que les bases mêmes du fonctionnement normal du système immunitaire ne sont pas présentes! Au lieu de faire des dons utiles et de contribuer véritablement au développement humanitaire (au sens noble du terme et non dans un sens hypocrite et opportuniste pour exporter les poisons de grandes entreprises occidentales...), l'Union Européenne continue sa gabegie d'argent public en faveur des vaccins: parmi les 1,2 milliard débloqués pour lutter contre Ebola, des sommes de plus de 200 000 millions d'euros sont englouties dans le dogme du vaccin. A côté de ces dépenses insensées, l'Union européenne prévoit encore de donner 200 millions d'euros supplémentaires au GAVI pour vacciner dans les pays pauvres, comme si les populations n'en n'avaient déjà pas assez, sans parler des taux de paupérisation qui ne cessent de s'accroître, y compris en Europe où l'austérité ne touche donc décidément jamais le dogme des vaccins! Mais comme la presse ne cesse de désinformer au sujet des vaccins, elle ose encore titrer dans un pays comme le Congo que "L'accès à la vaccination dans les pays pauvres reste difficile" alors que le GAVI inonde les enfants pauvres de vaccins et qu'il dit vouloir atteindre "chaque enfant" finalement jusqu'au dernier, ce qui s'apparente en réalité beaucoup plus à une chasse à l'homme qu' à une oeuvre éthique ou philanthropique.
Dans nos pays occidentaux aussi bien sûr les médias désinforment constamment au sujet des vaccins. On pourrait citer le cas récent du Télémoustique ici en Belgique qui tentait sans doute de lutter contre la chute de son lectorat il y a quelques semaines en indiquant de façon racoleuse en première page "Les antivaccins sont une menace" ... dans le numéro, un article de grand art dans le genre du "journalisme bling bling" qu'on doit à Anne-Cécile Huwart et qui pourrait faire sourire des enfants de primaire tant on peine à reconnaître le moindre professionnalisme dans ce pseudo article. Petit extrait savoureux: "Laurence a elle aussi choisi d’épargner à sa fille quelques piqûres lorsqu’elle était bébé. Elle l’a un peu regretté par la suite. "Je ne l’ai pas fait vacciner contre la rougeole, la rubéole, le tétanos et le papillomavirus, commente cette Bruxelloise. À l’âge de 12 ans, elle a eu la rougeole et elle a dégusté pendant 15 jours. Elle a perdu 4 kg. J’avoue que j’ai bien flippé… J’avais un ami qui travaillait dans le secteur pharmaceutique et qui était pourtant antivaccin. Son fils a eu la rougeole en même temps que ma fille et les complications pour lui auraient pu être plus graves encore." La fille de cette Laurence n'a donc eu aucune complication grave en échange d'une immunité à vie mais la mère "aurait un peu regretté par la suite" ? Qui est cette femme dont le peu d'authentification donne à penser que ce texte peu cohérent aurait très bien pu être inventé par n'importe qui. La suite en dit en tout cas long sur l'intelligence de la journaliste puisque le témoignage déjà pour le moins flou en vient à parler "d'un ami" (c'est donc dire comme le récit d'Anne-Cécile Huwart n'est pas de première main!) qui travaille dans le secteur pharmaceutique et n'a lui non plus pas fait vacciner (tiens donc, pourquoi, l'article ne le dit pas?) dont le texte dit que son fils a aussi fait la rougeole et que "pour lui les complications auraient pu être plus graves". Comme c'est malin et subtil, cela équivaut à dire ou écrire que si vous avez acheté un billet de loto et que vous perdez, eh bien, vous auriez pu gagner! Si vous traversez la rue et que vous ne vous faites pas écrasé, ça n'est pas très vendeur journalistiquement parlant, ça manque un peu de sensationnalisme alors mieux vaut rajouter que vous auriez quand même pu vous faire écraser ou que si vous n'étiez pas né, vous ne vous seriez pas fait écrasé non plus. Pfff... ça vole bas Télémoustique avec Anne-Cécile Huwart qui n'a sans doute jamais dû bien se rendre compte qu'avant le vaccin, il y avait des milliers de cas de rougeole annuellement en Belgique sans qu'aucun expert de santé publique n'ait osé à l'époque crier à l'urgence ou au drame.
Mais il faut dire qu'Anne-Cécile Huwart n'est pas la seule personne à être instrumentalisée par une propagande basée sur la peur, à l'instar de ce qui se fait aux USA: là encore, avant la vaccination, des dizaines de milliers de cas annuels de rougeole naturelle qui donnaient lieu à une immunité à vie et à un très faible taux de complications. Mais voilà, vu la perte de terrain énorme des propagandistes des vaccins, ils alarment la population pour un oui ou pour un non, en n'hésitant pas à crier à l'urgence de santé publique pour seulement... 200 cas répartis sur 14 états américains! La politicienne poussiéreuse Hillary Clinton, plutôt habile en mensonges il faut bien le dire, au point que certains la qualifient dans son pays de menteuse pathologique, a même cru bon d'y aller d'une formule de son cru qui est plutôt de nature à la ridiculiser, à savoir "La terre est ronde, le ciel est bleu et les vaccins fonctionnent", n'étant bien entendu pas à la hauteur d'aborder le très glissant sujet des vaccins en tant que produits non scientifiques et dès lors, extrêmement risqués. Prenons un exemple qui montrera l'intelligence des propos de Mme Clinton: si vous devez ouvrir une porte qui est bloquée et que vous tirez sur elle au bazooka, vous pourrez aussi dire après avoir tiré un coup qu'"ouvrir une porte grâce au bazooka fonctionne". Peut-on en déduire par là qu'ouvrir une porte au bazooka est le meilleur moyen d'ouvrir une porte?" Non bien sûr, et il y va de même avec la santé et l'immunité des enfants, de plus en plus court-circuitée par divers vaccins et aussi de plus en plus malades avec un enfant sur cinq qui connaît dans ce pays des troubles du développement neurologique, sans parler qu'un enfant américain sur deux souffre de maladies chroniques!
Remarquez bien comme il est toujours question de peur et d'entretenir la peur dans le chef des officiels au détriment des libertés et du droit à l'information! Quand ce n'était pas avec le bébé allemand décédé de la rougeole (alors qu'il avait été vacciné), c'était avec des nouvelles comme ces échappements de bactéries et de virus mortels à répétition parmi divers labos de soi-disant haute sécurité, comme s'il s'agissait d'habituer constamment la population à la banalisation de ces scénarios pandémiques depuis quelques années (et le fiasco du H1N1 que les officiels tentent ainsi toujours de faire oublier). Encore récemment, voici ce qu'on pouvait lire sur RTL:
NB: Remarquez bien la mention "sans vaccin" consistant à faire croire que les vaccins seraient un salut, quelque chose d'inspensable qui aurait de quoi être plus rassurant. Ce type de stratégie de communication s'apparente au marketing social et économique. C'est ainsi qu'on formate les opinions publiques dans un sens ou un autre...
Et pendant qu'on sème la peur ou le sensationnalisme de cette affligeante façon, on occulte aux citoyens les atteintes dramatiques aux libertés les plus fondamentales comme la liberté d'expression, comme cela s'est vu avec le refus du VISA de l'Américaine Dr Tempenny par les autorités australiennes lui interdisant ainsi d'oser venir donner des conférences sur les vaccins dans ce pays! Cela en dit donc très long sur l'absence de science qui sous-tend les vaccins si les autorités de ce pays en sont arrivées là...il faut dire que dans ce pays, la lutte fait rage... les autorités ont forcé l'AVN (Australian Vaccination Network) a changer de nom pour se faire appeler "Australian vaccination skeptics network", voulu conditionner l'octroi des allocations familiales à l'administration de tous les vaccins aux enfants etc.
Ce déni de la liberté d'expression au détriment de la santé publique s'inscrit dans un contexte de plus en plus liberticide où il s'agit purement et simplement d'évacuer les opinions dérangeantes, fussent-elles argumentées, au lieu d'oser leur opposer d'éventuels arguments (si du moins il y en a). La dernière édition (5) du DSM, cette sorte de compendium officiel des maladies psychiatriques répertoriées, est ainsi l'objet de vives critiques en raison de l'inclusion de fausses maladies mentales comme l'anticonformisme et le franc-parler, une information en effet particulièrement alarmante que vous êtes des dizaines de milliers d'internautes à être venu lire à juste titre sur notre site internet. A côté de cela et de façon tout à fait convergente (hélas), on lit que Google va aider (encore plus que jusqu'à présent) les officiels à ce que les gens ne tombent plus sur les informations dérangeantes de divers sites internet (qui en général sont d'autant plus dérangeantes qu'elles apportent des preuves) mais uniquement sur la vraie fausse vérité des officiels et leurs sites bourrés de langue de bois et d'arguments d'autorité gratuits et non scientifiques dont la prétendue vérité tiendrait simplement au fait que plusieurs instances officielles (style OMS, Ministères etc) se les partagent.
La liberté d'expression en matière sanitaire pourrait sauver bien plus de vies et de santés que ne l'ont jamais fait les vaccins tant il est vrai que la désinformation en matière médicale est énorme, le nombre de décès et d'hospitalisations sans parler des effets secondaires de médicaments et du nombre de solutions naturelles alternatives moins dangereuses existantes. Pour ne citer qu'un exemple mais très actuel, celui du chikungunya, on est en train de développer un (inutile) vaccin alors que le chlorure de magnésium est efficace contre cette maladie, plus simple, déjà disponible et surtout incomparativement plus sûr que le moindre vaccin. La conseillère municipale de Nice, Marie-France Billi en a déjà fait parvenir avec succès dans les régions touchées mais pour les pharmas, cela n'est pas vraiment payant.
Finalement, comme le relevait déjà il y a plusieurs années Sherry Tempenny (et bien d'autres également), les humains se révèlent beaucoup moins bien traités que les animaux de compagnie en matière de vaccination. Là où les vétérinaires ne vont jamais prendre le risque de vacciner des animaux malades ou des femelles gestantes, les pédiatres et autres experts vaccinologues ne sont pas gênés pour vacciner sans précaution ni adaptation les nouveaux-nés prématurés, les malades chroniques avec des affections auto-immunes actives, les femmes enceintes, les vieillards... Ce décalage est si évident et à la fois si alarmant qu'il finira tôt ou tard par exploser à la figure même des plus crédules... il nous semble illusoire d'attendre que les législations s'adaptent à une telle prise de conscience car cela se fera tout seul. Aussi, ne nous faisons pas trop d'illusions sur la QPC (question prioritaire de constitutionnalité) posée il y a quelques semaines en France au Conseil constitutionnel au sujet de l'obligation vaccinale DTP (diphtérie-tétanos-polio) et voyons par exemple ce qui s'est récemment produit à cet égard dans un pays comme la République Tchèque où les juges constitutionnels ont avalisé le caractère obligatoire des vaccinations infantiles.
Le sujet des vaccins est un sujet tabou et le changement ne pourra venir que des populations qui comprennent fort heureusement de plus en plus qu'elles ont été dupées et ne pourront qu'approfondir davantage leurs réflexions et leurs recherches sur ce sujet qui peut conditionner toute la vie future des jeunes enfants! En témoignent notamment les résultats d'une récente étude publiée dans Pediatrics indiquant que 93% des pédiatres rencontrent des parents leur demandant de reporter la date des vaccins.
Comme le disait le biologiste Jean Rostand "l'obligation de subir nous donne le droit de savoir" or avec les vaccins, il y a une obligation de subir et aucun droit de savoir. Une telle situation est donc littéralement intenable. Et si nous nous interrogeons sur les raisons profondes de cette "obligation de subir", il faut en arriver à l'évidence que c'est simplement... parce que tel ou tel vaccin existe et a été fabriqué! En effet, la seule existence des vaccins justifie et impose selon des instances comme l'OMS (et ses fidèles suiveurs, Ministères de la Santé etc) d'être absolument utilisés et étendus au plus grand nombre de personnes possibles après leur mise sur le marché. Lisez-le vous-mêmes dans les projets de vaccination mondiale de l'OMS, cela ressort clairement! Comment s'étonner alors des manoeuvres (en Belgique, en France etc.) pour supprimer des vaccins moins combinés et ainsi forcer la main aux parents en faveur des vaccins les plus combinés et les plus lucratifs pour les firmes? En Belgique, on ne trouve plus de vaccin pentavalent pour favoriser le vaccin Infanrix hexa, un des plus dangereux. En France maintenant, c'est la même stratégie: après avoir supprimé l'ancien DTP sans aluminium au profit du vaccin Revaxis (qui n'a pas d'autorisation de mise sur le marché pour les enfants de moins de 6 ans) et du vaccin tétravalent, voici qu'ils ont aussi supprimé le vaccin pentavalent pour pousser, comme ils l'ont fait en Belgique, à l'hexavalent (avec l'hépatite B). Les parents n'en veulent plus? Qu'importe, les officiels se sont mis dans la tête qu'ils trouveraient encore des astuces pour leur faire faire ce qu'ils veulent!
C'est tout à fait dans cet esprit que s'inscrit également l'affigeante ministre française de la Santé Marisol Touraine qui après avoir nié totalement le scandale des vaccins HPV (Gardasil etc.) ainsi que les risques de l'aluminium vaccinal, affirme qu'il y a eu trop peu de gens vaccinés contre la grippe à son goût (43%), qu' "elle ne peut s'y résoudre" et que tous les professionnels de santé devraient être vaccinés contre la grippe; Touraine osant même encore ajouter, alors que toute son attitude la trahit, qu'elle veut "une réflexion collective, à froid, calmement, sur la manière de faire face à ces défis de la vaccination". Sa fermeture au sujet des vaccins montre qu'elle veut uniqueent bien d'une réflexion à la sauce soviétique, c'est-à-dire une réflexion à sens unique dont le but est uniquement d'appliquer ses positions par tous les moyens. Manuel Valls vient d'ailleurs de nommer la parlementaire Sandrine Hurel pour établir un rapport et des idées à souffler à l'oreille de Marisol Touraine en vue, non pas d'améliorer la sécurité des vaccins ou de débattre avec le grand public de l'aberration de leur imposer des produits expérimentaux aux conséquences lourdes mais bien d'augmenter le taux d'adhésion de la population aux divers vaccins nombreux et variés.