Un nourrisson décède après avoir reçu 8 vaccins
La famille a reçu ses cendres de l’hôpital après la crémation
Par Augustina Ursino, 26 février 2015 – Vactruth
Les parents sont désemparés après avoir perdu leur bébé après qu’il ait été vacciné. Il est mort dans son sommeil et a été conduit à l’hôpital alors qu’il était déjà mort. Le personnel hospitalier a établi que son décès était dû au Syndrome de Mort Subite du Nourrisson (MSN). On a expliqué aux parents qu’une autopsie était nécessaire.
Après être rentrés chez eux, les parents ont attendu des nouvelles de l’hôpital, mais n’ont jamais rien reçu. Ils ont téléphoné de nombreuses fois pour pouvoir obtenir des réponses. Les semaines ont passé. Finalement ils ont reçu une information verbale qui leur précisait qu’en raison de l’état où se trouvait le bébé, il serait préférable qu’ils ne voient pas leur petit avant que ce dernier soit incinéré. Une fois l’incinération terminée, ils pourraient venir chercher les cendres de l’enfant au crématorium. Les parents n’ont malheureusement pas eu l’occasion de dire au revoir à leur petit garçon.
Plus d’un an et quatre mois ont passé et la famille n’a toujours pas reçu le rapport d’autopsie. Il s’avère qu’on aurait administré à l’enfant un vaccin qui n’était pas approuvé pour son âge, ainsi qu’une dose supplémentaire du vaccin contre l’hépatite B qu’il aurait dû recevoir plus tard.
Cette histoire poignante nous rappelle que les vaccins peuvent entraîner la mort. Les parents doivent absolument conserver leur droit de choisir les interventions médicales qu’ils jugent sans danger pour leur enfant. Après tout, ce sont eux qui doivent vivre avec les conséquences de leur choix.
Crystal Downing veut partager avec nous ce qui est arrivé à son petit garçon Matthew, avec l’espoir de pouvoir rappeler aux parents de s’informer sur les vaccins avant de présenter leur enfant au médecin pour le faire vacciner comme il est recommandé.
Un petit garçon disparu à jamais
« Notre cher petit Matthew Gage Downing-¨Powers est né en parfaite santé le 26 avril 2013. A l’hôpital, on lui a administré le vaccin anti-hépatite B directement après la naissance. C’est ce qui se pratique ici aux Etats-Unis et ce que le CDC recommande dans le programme actuel des vaccinations. On a estimé que ses réactions aux vaccins avaient été normales, et comme j’ai d’autres enfants qui ont reçu tous leurs vaccins, j’étais consciente de ce à quoi il fallait m’attendre.
J’ai emmené Matthew pour sa visite médicale de deux mois le 2 juillet 2013. Au cours de cette visite médicale, on lui a administré 8 vaccins – DTCa (3 en 1), Polio, Hib, Hep.B, vaccin antipneumoccoccique et le vaccin oral contre le Rotavirus. J’ai tardé à la conduire à sa visite médicale de 4 mois. Je l’y ai conduit dès que j’en ai eu le temps.
C’est le lundi 7 octobre 2013, alors que Matthew n’avait que 5 mois et demi que je l’ai conduit pour sa visite médicale qu’il aurait dû passer à 4 mois. Le médecin a précisé que l’on pourrait rattraper le retard avec les vaccins. J’ai pensé que c’était O.K.et j’ai donné mon accord. Matthew a donc reçu 8 vaccins : DTCa, Polio,Hib, vaccin contre le pneumocoque, l’Hépatite B et l’Hépatite A. Ce furent les derniers vaccins qu’il ait reçus.
Après les vaccins, il n’a pas fait de fièvre ou alors très peu. Nous ne lui avons pas administré de Tylénol. Il était juste grincheux et il pleurait. Nous sommes venus vérifier toutes les heures. Sa température était normale, mais ce n’était plus le petit garçon tout heureux et riant que nous avions connu. Il est un fait qu’après leurs vaccinations, tous mes enfants ont été grincheux.
Je n’ai pas appelé le médecin le mardi parce que je me disais qu’il s’agissait d’un comportement typique et normal après avoir reçu des vaccins. Matthew était mon quatrième fils. Nous avions fait vacciner les 3 autres et savions en quelque sorte à quoi nous attendre.
J’ai pensé que nous pourrions attendre le lendemain pour voir s’il se montrait toujours grincheux, mais nous n’avons pas pu atteindre le lendemain : Matthiew était déjà « parti » ! On l’a retrouvé sans vie. On l’avait mis au lit le mardi soir et mon mari l’a retrouvé mercredi matin.
Avec mon mari Zack, nous avons essayé les techniques de réanimation, mon père et ma belle-mère se sont aussi joints à nos efforts pour le réanimer. Du mucus rose-brun sortait de son nez et de sa bouche. Je ne pouvais pas croire qu’il était déjà mort. Personne ne voulait renoncer aux efforts que nous faisions pour le réanimer.
Mon mari a appelé le 911, mais ils n’arrivaient pas. J’ai donc conduit moi-même mon bébé à l’hôpital qui n’était pas loin de chez nous. A l’hôpital « Colorado River Medical Center » à Needles, on a également pratiqué la réanimation, mais il était trop tard. On nous a dit que Matthew était décédé de la Mort Subite du Nourrisson. Ils ont dit que le petit était déjà mort depuis des heures. Ils ont précisé qu’il avait dû mourir entre 11 heures quand on l’a mis au lit et 7 heures le lendemain matin quand on l’a retrouvé.
J’ai été bouleversée de chagrin depuis que nous avons perdu notre bébé. Ce fut le jour le plus terrible de ma vie. Bien que je voyais l’état de mon petit, je continuais à croire qu’il allait nous revenir.
Le personnel de l’hôpital me fit comprendre qu’une enquête devait avoir lieu et que la loi californienne exigeait qu’une autopsie soit pratiquée chaque fois qu’un enfant décède.
Matthew fut transféré de l’hôpital vers le Centre du médecin légiste à San Bernardino, CA. Nous avons finalement choisi que Matthew soit incinéré au centre funéraire de San Bernardino.
Après avoir quitté Matthew à l’hôpital, on nous a dit de rentrer chez nous et d’attendre des nouvelles une fois que l’autopsie aurait été effectuée. Nous avions prévu de le revoir à la maison funéraire. On me précisa que je serais informée quand l’autopsie serait terminée et que je pourrais revoir Matthew avant qu’il ne soit incinéré.
Je n’ai malheureusement pas noté les noms des membres du personnel auxquels mon fils avait été confié. Je n’y ai pas pensé, mais j’aurais dû. Personne n’a pris contact avec moi pour m’informer de ce qui se passait. J’ai appelé de nombreuses fois et ai continué à recevoir des réponses évasives. Absolument personne ne voulait me donner de réponses.
Des semaines se sont écoulées avant que je ne reçoive le premier appel. On m’informa alors que Matthew n’était pas dans un état qui me permettrait de garder un bon souvenir de lui. Je me sentais impuissante et finalement convaincue qu’il me fallait signer le document autorisant l’incinération. Avant cela, la maison funéraire m’avait confirmé que les restes étaient bien ceux de Matthew. Ils m’ont demandé le type d’urne que je voulais choisir. J’ai aussi décidé d’envoyer une photo pour être certaine. Les cendres de Matthew ne nous sont parvenues à la maison à Needles que le 20 novembre 2013. Un mois et demi après son décès.
Je ne pense pas qu’ils l’aient incinéré avant de m’en parler, mais quelque chose en moi me dit qu’ils l’ont fait pour camoufler les causes de son décès. Je ne saurai jamais, mais mon instinct me dit que l’on m’a caché des choses. Je pense que le centre funéraire a fait du bon travail. Ils ont été très patients avec moi. Ils ont pu comprendre pourquoi j’avais si souvent téléphoné pour qu’on me dise ce qu’il était advenu du corps de mon petit. Je ne savais même pas où se trouvait le corps de mon fils. Je ne savais pas ce qui se passait au Centre du médecin légiste. Je n’étais informée de rien et pour être honnête, j’ai commencé à péter les plombs. Je voulais savoir ce qui se passait avec mon bébé.
Le médecin légiste a été informé des vaccins que Matthew venait de recevoir. J’avais même demandé au médecin légiste s’il était possible que les vaccins aient tué mon enfant. Le médecin légiste m’a menti en pleine figure, ainsi qu’au téléphone, me disant que non, ce n’étaient pas les vaccins qui avaient tué Matthew.
On ne m’a contacté qu’une seule fois pour me dire le nombre de personnes qui avaient essayé de le réanimer. Ce fut la dernière fois que j’entendis parler d’eux.
J’ai ensuite recontacté le médecin légiste après que nous ayons reçu le certificat de décès qui précisait que l’enquête était encore en cours. J’ai aussi demandé si le rapport d’autopsie était achevé ; Ils m’ont répondu que non. J’ai à nouveau rappelé. C’est alors qu’ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas me donner d’autres informations et que je devais contacter directement le médecin légiste à Needles. C’est ce que je n’ai pas manqué de faire, mais sans pouvoir obtenir de réponse, rien !
Le médecin légiste a déclaré que ce n’était pas sa faute et que pareilles choses arrivaient parfois. Je n’ai pas pu croire ce qu’il me disait.
Il m’a fallu beaucoup de temps pour accepter de raconter et partager mon histoire, parce que c’était trop douloureux. J’ai décidé finalement de parler parce que je ne voulais pas que Matthew soit mort en vain, et parce que les fabricants de vaccins ne font pas le mieux qu’ils peuvent pour rendre les vaccins plus sûrs avant de les fourguer à des parents sans méfiance et à des bébés innocents qu’ils considèrent comme des êtres rentables.
Pourquoi les enfants doivent-ils recevoir tant de vaccins à la fois ? A-t-il été démontré qu’il était sans danger d’administrer tous les vaccins qu’on administre aux enfants presqu’à chaque visite médicale ? Selon tout ce que j’ai appris, la réponse est clairement NON.
Plus tard, j’ai appris que deux des vaccins qui lui furent administrés au cours de la dernière visite médicale n’auraient pas dû lui être administrés. On ne doit pas administrer le vaccin contre l’hépatite A avant au moins un an et Matthew l’a reçu à 5 mois ½. J’ai aussi appris que la troisième dose du vaccin contre l’hépatite B lui avait été administrée beaucoup trop tôt. Matthew n’aurait dû recevoir ce vaccin qu’au cours de la visite médicale suivante, soit à 6 mois.
C’est après les funérailles que j’ai appris qu’on lui avait administré beaucoup trop tôt le vaccin contre l’hépatite A. Quand j’ai appris cela, j’ai failli mourir. J’ai commencé à me blâmer et je continue à le faire parce que je n’ai jamais pris le temps de me renseigner au sujet du vaccin qui devait être administré, à quel mois, en combien de doses etc.
Je me suis sentie si mal parce que je n’avais fait aucune recherche avant le décès de Matthew. J’étais folle, et tout cela est en quelque sorte de ma faute. Je me suis sentie coupable parce que j’avais été en retard par rapport au programme officiel des vaccinations. Je pensais que j’aurais dû suivre le programme établi par le CDC. Qui sait, on n’aurait peut-être pas administré les vaccins qu’il ne fallait pas... Mais maintenant, il n’est plus là. […]
Il y a plus d’un an et quatre mois que Matthew est mort, le 9 octobre 2013, et je n’ai toujours pas reçu le rapport d’autopsie dont j’avais demandé copie.
Il y a peu, je me suis rendue chez le médecin et j’ai appris que l’infirmière qui avait administré le vaccin à Matthew ne travaillait plus là. On m’a dit qu’elle avait été licenciée parce qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait en administrant ces vaccins.
S’il s’avérait que le décès de Matthew était dû à leur ignorance, je ne manquerais pas de les poursuivre tous. Mon petit n’aurait pas dû mourir parce que vous étiez trop paresseux pour enseigner à l’infirmière comment administrer correctement des vaccins. Ces gens-là ne se sont même pas excusés. Je suis plus que furieuse par rapport à cela. Je ne peux plus attendre pour obtenir des réponses.
On m’a dit que mon bébé est le seul enfant qui soit décédé depuis que cette infirmière a commencé à travailler. Qui peut dire si c’est vrai ? Il se pourrait qu’il y ait eu plus de décès que ce qu’ils veulent bien admettre.
Ce que je veux dire aux autres parents c’est ceci : ils disent que les vaccins sont sans danger, mais en réalité ce n’est pas vrai.
Posez des questions pour savoir quels vaccins ils veulent administrer à votre enfant. Renseignez-vous sur tous les risques qui sont associés aux vaccins qu’ils veulent administrer à vos enfants. Et rappelez-vous surtout bien d’une chose : c’est votre choix. C’est votre enfant. Et quoi que vous fassiez, ne permettez pas qu’ils mélangent plusieurs vaccins dans une seule seringue ou qu’ils administrent plusieurs vaccins à la fois. Si vous pensez que cela ne peut faire aucun mal, veuillez s’il vous plaît repenser au petit garçon que j’ai perdu. Matthew a reçu les vaccins DTCa, le vaccin polio, le Hib, l’hépatite B et l’hépatite A en 3 injections, une injection dans son bras droit et deux dans sa jambe gauche.
Maintenant je suis enceinte de mon 5ème enfant. Je me dois de rester forte. Je dois tout faire pour être le moins stressée possible pour toute la famille et pour l’enfant à naître. J’ai 3 garçons, un mari et bientôt un nouveau chéri. Tous comptent sur moi pour maintenir la famille unie.
En toute honnêteté cependant, je me sens tellement débordée et perdue parce que Matthew me manque tellement, et aussi parce que la plupart des gens sont si peu conscients du nombre de nourrissons qui perdent la vie à cause des vaccins. Je suis plus que furieuse de ce qui est arrivé à mon bébé. J’ai peur aussi que cela ne puisse arriver à mes autres enfants. J’ai terriblement peur de me voir forcée de faire vacciner le bébé que je porte.
Un projet de loi vient d’être déposé par nos politiciens de l’état de Californie, et qui viserait à enlever aux parents le droit d’exempter leurs enfants de vaccins en raison de leurs croyances personnelles. Si cette loi devait passer, elle enlèverait purement et simplement mes droits parentaux de pouvoir choisir de vacciner ou non mes enfants dans le futur. Ils devraient au minimum créer une loi pour les parents qui ont déjà perdu un enfant ! Cette seule raison devrait pouvoir suffire.
Cela ne suffit-il pas que Matthew nous ait été enlevé ? Ces personnes devraient respecter son cas, mais au lieu de cela, ils nient son existence en passant des propositions de loi qui sont autant de gifles aux parents qui ont perdu un enfant, ou dont l’enfant est resté handicapé à la suite des vaccins.
S’ils faisaient des vaccins plus sûrs, il se pourrait que plus de personnes les réclameraient.
On a injecté 8 vaccins à mon fils. Si de votre côté vous ne savez pas ce que ces vaccins contiennent, il faut absolument que vous vous renseigniez !
Quand j’ai commencé à me renseigner, j’ai été choquée et en colère contre moi pour ne pas m’être renseignée auparavant.
C’est Matthew qui m’a forcé à ouvrir les yeux, pour que je puisse me rendre compte de ce que les vaccins pouvaient faire à un bébé ou à n’importe qui. Je ne suis pas la seule à croire que les vaccins ne sont pas ce que l’on prétend qu’ils sont. J’espère vraiment que tout ceci pourra ouvrir les yeux de parents qui veulent vacciner leurs enfants.
Mon fils aîné vit des moments difficiles. Mon deuxième fils me dit qu’il a vraiment peur des vaccins et mon troisième fils de 3 ans sait tout juste que son petit frère n’est plus là… Quant à mon mari, il garde tout pour lui et c’est difficile de savoir ce qu’il ressent.
A ce jour, je n’ai toujours pas reçu le rapport d’autopsie. L’enquête serait toujours en cours. J’ai rédigé un rapport pour le Système VAERS – système de vaccinovigilance américain – J’ai appris que cet organisme officiel ne suivait pas toujours les rapports que leur fournissent les parents, ce qui évidemment empêche que telle ou telle réaction soit enregistrée. Avant que je ne reçoive le rapport d’autopsie, il m’est difficile d’introduire une plainte en dédommagement auprès du « National Vaccine Injury Compensation Program –NVICP. Je pense qu’ils nous font traîner en longueur parce que le délai pour pouvoir déposer plainte après la perte d’un enfant due aux vaccins est de deux ans. Dans notre cas, il va bientôt y avoir un an et demi. Nous ne voulons pas abandonner. Nous savons que notre fils devrait toujours être là.
Son carnet de vaccinations ne ment pas ! On ne devrait pas camoufler les réactions que les enfants présentent à la suite des vaccins. On ne devrait pas non plus faire perdre du temps ou dissuader les parents en postposant les recours.
Depuis que je me suis davantage penchée sur la question, je me suis rendue compte combien il est courant que des bébés décèdent après s’être fait vacciner. Je veux vraiment que tout le monde sache que cela peut arriver. J’espère aussi que les mamans oseront poser les bonnes questions avant qu’elles ne permettent que l’on vaccine leurs enfants. Combien de mamans ont ainsi contribué au malheur de leur enfant en ne réagissant pas ou même en contribuant par leur attitude à enfoncer leurs propres enfants.
Pour le décès de Matthew, nous avons dû payer un prix très élevé au nom d’une prévention de maladies que mon enfant aurait pu faire sans graves problèmes.
Je n’ai pas cru les personnes qui m’avaient dit que pareille chose pouvait arriver, alors qu’en fait Matthew y a laissé sa vie. Maintenant, il faut que je vive avec cela pour le restant de mes jours, tout en sachant que j’aurais dû poser des questions et effectuer mes propres recherches avant d’accepter aveuglément que ces gens injectent ces vaccins à tous mes enfants. Jusqu’à présent, je n’avais aucune raison de me méfier des médecins. Depuis que ce drame s’est produit avec Matthew, mes yeux se sont totalement ouverts.
Aujourd’hui, je n’ai plus peur de remettre en question tout ce qui pourrait toucher à la vie de mes enfants. En définitive, c’est bien aux parents qu’appartient la décision de vacciner ou non. Les parents doivent se renseigner sur les deux facettes de la questio. Ils doivent savoir le pour et le contre avant de pouvoir prendre une décision en connaissance de cause.
Mon père m’a dit que je n’avais jamais été malade avant d’aller à l’école et de devoir recevoir tous ces vaccins obligatoires. Quand il a eu pris conscience de la chose, mon père n’a plus jamais voulu nous faire vacciner. En outre, mon père m’avait averti plusieurs fois avant que tout ce drame se produise, mais je n’ai pas prêté attention à ses paroles. Si au moins j’avais pu l’écouter!
J’ai laissé les médecins et les infirmières faire ce qu’ils jugeaient nécessaire. Je n’ai posé aucune question. Je pensais qu’ils m’auraient avertie s’il y avait des risques graves. Personne ne m’a dit quoi que ce soit. Je leur ai fait confiance en ce qui concerne la vie de mon enfant. J’aurais cependant aimé savoir si le décès pouvait, dans certains cas, être associé aux vaccinations. Pourquoi les médecins et les infirmières ne m’ont-ils pas dit tout cela ? J’aurais vraiment voulu faire des recherches et poser des questions au lieu de faire simplement confiance au système et aux médecins. Et maintenant parce que je n’ai rien fait de tout cela, mon petit n’est plus là. Il y a aussi tellement de parents qui sont comme moi. Certains n’osent pas s’affirmer parce qu’ils ont peur du qu’en dira-t-on. D’autres peuvent être très cruels et ne pas comprendre ce à travers quoi des parents comme moi ont dû passer.
Je veux que notre histoire soit diffusée le plus largement possible. Mon mari et moi remercions tous ceux qui pourront nous aider dans cette tâche. Malgré tout, nous devons être reconnaissants pour tous les moments heureux que nous avons passés avec notre petit ange. Nous espérons que notre histoire pourra faire comprendre à de nombreuses mamans que pareilles choses peuvent bel et bien arriver. Je veux aussi que l’on sache que nous ne voulons absolument pas dire aux parents de ne pas faire vacciner leurs enfants. Le seul message que je veux faire passer, c’est qu’il est impératif de faire ses propres recherches avant de vacciner. Vous devez choisir en connaissance de cause. Ce sera alors votre choix et non celui d’une autre personne parce que c’est vous qui aurez à assumer les conséquences de votre choix.
Je voudrais vous prier de ne pas manquer de respect vis à vis de parents qui, comme nous ont perdu leur enfant après des vaccins. Il ne s’agit pas non plus de manquer de respect aux parents dont les enfants ont eu la santé endommagée par les vaccins. Il faut absolument que l’on respecte et préserve nos droits de choisir les interventions médicales. Il est absolument indécent que des politiciens achetés puissent penser qu’ils peuvent, eux, choisir ce qui doit être injecté dans le corps de votre enfant. Ces gens ne semblent pas du tout se soucier de la santé de votre enfant. Alors qu’Il est clair que beaucoup sont en train de mourir ou on la santé endommagée par les vaccins, ces gens se contentent de fermer les yeux. Cela devrait vous faire réfléchir.
Mon petit garçon me manque tellement ! Une grande partie de moi s’est envolée avec lui. Je ne puis pas permettre que cela se reproduise à nouveau. Je ne peux pas non plus faire courir pareils risques à mes autres enfants.
Matthew est mort et sa vie ne semble pas importer à ceux qui veulent me dépouiller de mes droits d’exemption de vaccinations. Pourquoi tout ce qui est arrivé n’a-t-il pas d’importance ? Pourquoi les médias se focalisent-ils sur une maladie bénigne, et pourquoi parle-t-on de la rougeole dans toutes les nouvelles, alors que l’on ne dit pas un mot des bébés qui meurent après avoir reçu le vaccin ROR ou d’autres vaccins ? Pourquoi n’accorder aucune importance à ces enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins ?
Matthew nous t’aimons tellement et tu nous manque aussi cruellement. On pense à toi tous les jours. Tu seras toujours dans nos cœurs et nous ne cesserons jamais de t’aimer.
Ta maman,
Cristal Downing-Powers »
Conclusion
Aussi longtemps que les fabricants de vaccins éviteront de faire des études de causalité, tant que ces données n’existeront pas, les responsables de la Santé et la littérature revue par les pairs pourront affirmer qu’il n’existe pas de preuves que les vaccins peuvent provoquer la Mort Subite du Nourrisson -MSN –SIDS- et autres problèmes liés aux vaccins.
Comment un médecin légiste pourrait-il être sûr que tel ou tel vaccin a provoqué des dommages à la santé d’une personne, alors que plusieurs vaccins sont administrés en même temps. L’hyperstimulation du système immunitaire par la vaccination peut conduire à une issue fatale. Comme il a été démontré qu’il est difficile de préciser quel vaccin a contribué au décès d’un enfant après vaccination, l’administration de vaccins combinés ou de nombreux vaccins à la fois devrait être une véritable source de préoccupation.
Source: Vactruth