La vérité sur les vaccins ne peut être cachée plus longtemps
Sherri Tenpenny, DO, AOBNMM, ABIHM, 18 septembre 2015
Les partisans de la vaccination défendent toujours les trois mêmes positions :
1. « J’ai vu mourir des enfants d’une maladie qui aurait pu être évitée par la vaccination. »
2. « Les enfants vaccinés sont protégés. »
3. « Le fait que VOUS vous fassiez vacciner m’empêche MOI de tomber malade. »
Examinons chacun de ces points :
1. Il peut arriver que des enfants meurent d’une infection. Cette vérité est délicate et ne peut en aucune manière minimiser le drame de la mort d’un enfant (ou d’un adulte). Mais le fait qu’il existe un vaccin pour un agent pathogène particulier ne signifie pas automatiquement que « la maladie peut être évitée par la vaccination ». Il existe de nombreux exemples de maladies et même de décès qui se produisent chez des enfants complètement vaccinés. Ce qui est complètement occulté dans la discussion, c’est le nombre de ceux qui sont handicapés à vie ou qui sont décédés après avoir reçu des vaccins. Pourquoi ces histoires dramatiques ne sont-elles pas reprises par les grands médias ?
2. Les enfants vaccinés sont protégés. Le public accepte généralement et totalement le fait que les enfants vaccinés ne seront pas malades et que tous les enfants non vaccinés contracteront l’infection. Aucune exception n’est envisageable d’un côté comme de l’autre. Franchement, aucun de ces arguments ne s’avère exact. Beaucoup d’enfants vaccinés tomberont quand même malades et attraperont la maladie contre laquelle ils ont été vaccinés. Les non-vaccinés tombent rarement malades… d’une infection « évitable par la vaccination » ou même de tout type d’infection. Les enfants non vaccinés prennent rarement des médicaments de manière habituelle et n’ont que très rarement des problèmes de santé à long terme.
3. Le fait que VOUS vous fassiez vacciner m’empêche MOI de tomber malade. Prenez s’il vous plaît la peine de réfléchir une minute. Ceci pourrait être un des trucs, un des subterfuges les plus énormes de tous les temps. Les preuves scientifiques sont là pour prouver que des individus qui ont reçu des vaccins à virus vivants tels que le ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole), le rotavirus, la varicelle, le zona, la grippe (par voie nasale) peuvent excréter le virus pendant des semaines ou même des mois et peuvent infecter des personnes vaccinées et non vaccinées. Et, si je suis vacciné et que vous avez une mauvaise alimentation, que vous fumez, que vous ne vous lavez pas les mains, comment mon vaccin pourra-t-il vous empêcher de tomber malade ?
Ce concept a été largement diffusé parmi le personnel des soins de santé dans la plupart des états où ces personnes doivent absolument recevoir le vaccin contre la grippe pour garder leur emploi. En 2013, une méta-analyse de huit études montrait qu’il existait peu de preuves que la vaccination du personnel de santé offrait une protection pour les patients. Les travailleurs prennent donc tous les risques d’effets secondaires et les patients n’en retirent aucun bénéfice. Plus d’information sur ces études ICI.
La vaccination a été acceptée comme étant une protection sûre et efficace, alors qu’en vérité, aucune de ces prémisses n’a pu résister à un examen approfondi de la question. Les arguments des pro-vaccins sont régulièrement battus à plate couture. L’insistance à diaboliser les non vaccinés est totalement inappropriée et la vaccination forcée est la pire forme d’intimidation. La vaccination est devenue la vache sacrée médicale, elle est définie comme étant « une procédure médicale qui est, de manière injustifiée, à l’abri de la critique ». Les médecins et les patients qui s’autorisent à remettre les vaccins en question sont ridiculisés et marginalisés. Il est hérétique de suggérer que le statu quo est erroné.
La véritable « pseudo-science » vaccinale est enfin exposée pour ce qu’elle est : des anecdotes élaborées par les représentants de la Santé publique, de l’OMS, du CDC, puis régurgitées par des professionnels médicaux sous-informés à un public naïf dans le but de remplir les poches de l’industrie pharmaceutique.
Réveillez-vous les Américains (Note d’Initiative Citoyenne : et pas que les seuls Américains !). Votre ADN même est en train de se corrompre. A moins que nous nous levions et nous nous impliquions pour mettre fin à ces projets de loi – y compris celui qui concerne une marge de la population des adultes – nous aurons le gouvernement que nous méritons et qui sera celui qui exigera de tout un chacun : « montrez-nous votre carnet de vaccinations » !
Photo by GovernmentZA
Source: The Edgy Truth
Sherri TENPENNY : Le problème du placebo
« Le vaccin Gardasil contient beaucoup d’aluminium. Cet aluminium provoque de nombreux effets secondaires neurologiques comme aussi des effets secondaires locaux : gonflements, rougeurs, problèmes dans le bras qui a reçu l’injection.
Au cours des premiers essais du Gardasil, le premier groupe a reçu le Gardasil et le second groupe a reçu un placebo avec de l’aluminium.
Au vu des résultats, on a déclaré que le groupe qui avait reçu le Gardasil présentait le même nombre d’effets secondaires que le groupe placebo. On en a conclu que le vaccin était aussi sûr que le placebo. Ceci n’est rien d’autre qu’un mensonge parce qu’on a utilisé un produit chimique toxique en lieu et place d’une solution saline, stérile qui devait être complètement neutre. »