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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 19:31

Votre enfant à naître fait-il partie d’une expérimentation vaccinale ?

Votre enfant à naître fait-il partie d’une expérimentation vaccinale ?

Par Christina England, 8 octobre 2015, Health Impact News

 

Une femme enceinte fera naturellement tout pour protéger son enfant à naître. Par conséquent quand on lui proposera une série de vaccinations pour protéger son bébé à naître de la maladie au cours des quelques premières semaines de sa vie, elle n’hésitera probablement pas à accepter des vaccinations sans la moindre hésitation.

 

Cependant, marquerait-elle son accord aussi facilement si elle savait que son bébé à naître allait être utilisé dans le cadre d’une expérimentation vaccinale menée par les Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention (CDC) et par les fabricants de vaccins ?

 

Le fœtus en croissance désigné pour être le dernier cobaye de Big Pharma ?

 

Selon les documents du CDC, tant le TDaP (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche acellulaire) et le DtaP sont des vaccins qui sont offerts aux femmes enceintes pour soi-disant protéger leur bébé de la coqueluche au cours des premières semaines de vie.

 

Cependant, malgré que ces vaccins soient recommandés pour toutes les femmes enceintes, le CDC admet dans sa propre documentation qu’aucun de ces vaccins n’a jamais été testé pour sa sécurité au cours de grossesses. Le CDC ajoute qu’ils n’ont aucune idée si ces vaccins pourraient nuire au fœtus en croissance.

 

En d’autres mots, en recommandant ces vaccins aux femmes enceintes, le CDC est tout à fait prêt à se servir de ces enfants à naître dans le cadre d’une vaste expérimentation vaccinale. Ce qui est plus inquiétant encore, c’est qu’en faisant cela, ils mettent potentiellement en péril la vie de millions d’enfants à naître.

 

Pourquoi le CDC ferait-il une chose pareille ?

 

Health Impact News a décidé d’enquêter plus profondément sur la question. Ce que nous avons découvert pourrait vous choquer et vous horrifier.

 

Trois années peuvent faire une fameuse différence

 

En 2008, comme recommandé par le Comité Consultatif sur les Pratiques d’Immunisation (ACIP), le CDC a précisé ce qui suit au début du rapport MMWR intitulé : Prévention de la coqueluche, du tétanos et de la diphtérie chez les femmes enceintes, les femmes qui ont accouché et leurs nourrissons – Recommandations du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP)

 

« Les preuves disponibles ne traitent pas suffisamment de la sécurité du TDaP pour les femmes enceintes, leurs fœtus ou des résultats de la grossesse. Les données disponibles n’indiquent pas non plus si les anticorps maternels transplacentaires induits par le TDaP peuvent fournir une protection précoce contre la coqueluche des nourrissons ou interférer avec les réponses immunitaires du nourrisson à l’administration des vaccins pédiatriques de routine. »

 

Ces quelques phrases indiquent que ce vaccin est clairement dangereux pour les femmes enceintes et qu’il n’existe pas de données qui pourraient faire penser que ce vaccin serait susceptible d’offrir une protection précoce.

 

Le CDC soutient également cette perspective en fournissant les informations suivantes dans l’introduction de son rapport :

 

« La sécurité et l’efficacité du TDaP n’ont pas été démontrées chez les femmes enceintes et le TDaP n’est recommandé chez les femmes enceintes dans aucun pays. Il n’existe aucune preuve de surmorbidité ou de décès parmi les femmes enceintes qui seraient dus à la coqueluche. Il n’existe aucune preuve que :

 

- Le TDaP peut endommager le fœtus chez les femmes enceintes ou augmenter le risque de problèmes durant la grossesse;

 

- les anticorps maternels transplacentaires induits par le TDaP administré pendant la grossesse protégeront les nourrissons de la coqueluche, ou

 

- que les anticorps maternels transplacentaires induits par le DTaP auront un impact négatif sur la réponse immunitaire protectrice du nourrisson à l’administration ultérieure d’un vaccin DTaP pédiatrique de routine, comme à l’administration de vaccins multiples contenant l’anatoxine tétanique ou l’anatoxine diphtérique. »

Votre enfant à naître fait-il partie d’une expérimentation vaccinale ?

Ayant cette information à l’esprit, nous devons nous demander comment il se fait que trois années plus tard, le TDaP, un vaccin non testé et non recommandé puisse brusquement être recommandé comme, non seulement sûr, mais aussi nécessaire par le CDC pour être offert à toutes les femmes enceintes pour protéger leur nouveau-né de la coqueluche.

 

Ceci est particulièrement inquiétant si l’on considère le fait que les fabricants de vaccins eux-mêmes ne peuvent fournir quelque preuve que ce soit qui pourrait suggérer que le vaccin est  sûr ou efficace.

 

Les fabricants de vaccins admettent que ces vaccins n’ont pas été testés pour les cas de grossesse

 

Commençons d’abord par étudier les fiches d’information qui accompagnent les deux vaccins que le CDC recommande pour les femmes enceintes, l’Adacel et le Boostrix, deux vaccins destinés à assurer une protection contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche.

 

L’Adacel, un vaccin fabriqué par Sanofi Pasteur

 

Dans la section 8 de la notice du vaccin intitulée Utilisation dans des populations particulières, Sanofi Pasteur déclare :

 

 « 8.1. Catégorie grossesse C

 

On n’a pas réalisé d’études sur la reproduction animale avec le vaccin Adacel. On ne sait pas non plus si le vaccin Adacel peut provoquer des dommages au fœtus quand il est administré à des femmes enceintes ou affecter la capacité de la reproduction. Le vaccin Adacel ne devrait être administré à une femme enceinte que si la chose est clairement nécessaire (souligné par l’auteur de l’article).

 

Dans sa fiche d’information, Sanofi Pasteur fait référence au fait qu’ils ont effectué des tests limités sur des animaux en gestation ; ils ont cependant très clairement indiqué qu’Adacel n’avait jamais été testé pour sa sécurité chez les femmes enceintes et dès lors ne savent pas si le vaccin serait susceptible de nuire à la croissance du fœtus.

 

Il est aussi intéressant de remarquer que le fabricant a stipulé que le vaccin Adacel ne devrait être administré à une femme enceinte que si celui-ci est « clairement nécessaire ». Ils ne précisent cependant pas ce que suppose ou veut dire « clairement nécessaire ».

 

Comment un vaccin quel qu’il soit pourrait-il JAMAIS être « clairement nécessaire » chez des femmes enceintes ?

 

Nous allons ensuite jeter un coup d’œil à la notice de Boostrix, fabriqué par GlaxoSmithKline et destiné une fois de plus à protéger du tétanos, de la diphtérie et de la coqueluche.

 

Boostrix, un vaccin fabriqué par GlaxoSmithKline

 

Une fois de plus, dans la section 8 intitulée utilisation pour des populations spécifiques, le fabricant a précisé :

 

« 8.1 Grossesse

 

Grossesse Catégorie B

 

Une étude de toxicité sur le développement a été effectuée sur des rats femelles à une dose approximativement 40 fois la dose administrée à des humains (sur base de poids ajusté). Cette étude n’a révélé aucune preuve que le Boostrix ait causé des dommages aux fœtus. On n’a pas réalisé d’études avec Boostrix sur la fertilité animale. Il n’existe aucune étude adéquate et bien contrôlée chez les femmes enceintes. Du fait que les études de reproduction animales ne sont pas toujours prophétiques par rapport aux réponses que l’on pourrait attendre d’êtres humains, Boostrix ne devrait être administré à une femme enceinte que si le vaccin est clairement nécessaire. (souligné par l’auteur de l’article)

 

Une fois de plus, le fabricant de Boostrix a également mentionné que le vaccin avait été testé sur des animaux gestants. Cependant, GlaxoSmithKline avait déclaré qu’aucune étude adéquate ou parfaitement contrôlée n’avait été réalisée chez les femmes enceintes. En d’autres mots, ils n’avaient non plus aucune idée si leur vaccin pouvait être sûr pendant la grossesse ou aurait pu nuire aux fœtus en croissance.

 

GlaxoSmithKline avait également déclaré que ce vaccin ne devait seulement être administré à une femme enceinte que si la chose était clairement nécessaire.

 

Le CDC est prêt à mettre les bébés à naître en péril

 

Malgré l’absence de preuves que ces vaccinations étaient sans danger pour les femmes enceintes, le CDC décida en 2011 d’effectuer un revirement complet. Ils décidèrent donc d’aller de l’avant et de recommander le vaccin de toute manière.

 

Le CDC est-il une organisation qui se soucie de savoir si ces vaccins sont sûrs pour être injectés à des femmes enceintes ? Comme nous l’avons déjà signalé dans Health Impact News, le CDC est le plus grand  acheteur de vaccins, dépensant plus de 4 milliards de dollars par an dans ce but, ce qui représente un grave conflit d’intérêts par rapport à la supervision de la sécurité des vaccins. (Voir : le CDC achète pour 4 milliards de vaccins, un conflit d’intérêts par rapport à la supervision de la sécurité des vaccins.)

 

L’année au cours de laquelle le CDC a recommandé des vaccins non testés à des femmes enceintes

 

En 2011, le CDC a commencé à mettre ses recommandations à jour en expliquant que la majorité des enfants hospitalisés qui mouraient de coqueluche et qui n’avaient pas encore atteint l’âge de deux mois étaient dès lors trop jeunes pour être vaccinés. C’est la raison pour laquelle, le CDC a pensé qu’il était nécessaire de mettre une nouvelle stratégie en place.

 

Pour rassurer le public, faire comprendre que tout était bien parce qu’ils avaient vérifié la sécurité des vaccins, le CDC a expliqué que, bien qu’ils étaient parfaitement conscients que les vaccins n’avaient pas été testés pour la sécurité au cours de la grossesse, ils ont néanmoins utilisé les registres de grossesse mis en place par les fabricants de vaccins, ainsi que de petites études pour recueillir des données de sécurité mises à jour.

 

Encore une fois, en utilisant le conseil qui lui avait été fourni par l’AICP, le CDC a déclaré :

 

« …L’ACIP a fait des recommandations pour l’utilisation du TDaP chez les femmes enceintes non vaccinées et mises à jour sur le cocooning et les situations spéciales. »

 

En faisant cette déclaration, le CDC a indiqué qu’il était d’accord avec l’ACIP et a recommandé que le TDaP soit offert aux femmes enceintes pour la protection de leur fœtus au cours des premières semaines de leurs vies.

 

Le CDC a précisé :

 

« Au cours des évaluations préalables à l’homologation, la sécurité de l’administration d’une dose de rappel du TDaP à des femmes enceintes n’avait pas été étudiée. »

 

Ils ont cependant tenté de rassurer les femmes enceintes en déclarant que :

 

« A la suite du manque d’information sur l’utilisation du TDaP chez les femmes enceintes, les deux fabricants du TDaP ont établi des registres pour récolter de l’information sur les grossesses de femmes vaccinées avec le TDaP. Les données concernant la sécurité de l’administration du TDaP à des femmes enceintes sont maintenant disponibles. L’ACIP a examiné les données des registres publiées et non publiées du VAERS, de Sanofi Pasteur (Adacel) et de GlaxoSmithKline (Boostrix), ainsi que les petites études auxquelles il a été fait allusion. L’ACIP a conclu que les données disponibles de ces études ne suggèrent aucune fréquence élevée ou des types d’effets indésirables inhabituels chez les femmes enceintes qui ont reçu le TDaP et que les quelques effets graves rapportés n’étaient vraisemblablement pas causés par le vaccin. (Souligné par l’auteur de l’article).

 

Le public est-il averti par les médecins des risques et des inconnues concernant la sécurité de ce vaccin qui est administré aux femmes enceintes ?

 

Qu’en est-il du protocole vaccinal ?

 

Avant que tout vaccin soit commercialisé comme étant sûr et efficace, il doit passer par une série d’essais cliniques. Ces essais comportent généralement trois phases. La phase 1 comprend des études de sécurité et d’immunogénicité réalisées sur un petit nombre de sujets suivis de très près. La phase 2 concerne des études ayant trait au problème des doses. Elles peuvent porter sur des centaines de sujets. Finalement, les essais de phase 3 portent sur des milliers d’individus et fournissent une documentation cruciale sur l’efficacité, ainsi que sur des données importantes de sécurité requises pour l’obtention des licences.

 

Cette procédure est généralement mise en place par la FDA

 

Si un vaccin doit être recommandé pour un groupe particulier d’individus, on pourrait s’attendre à ce que les fabricants aient préalablement réalisé des essais exhaustifs tout spécialement s’il s’agit de personnes vulnérables comme les femmes enceintes et leurs bébés à naître.

 

Le système VAERS (Rapports des effets secondaires des vaccins) et les registres des fabricants sont incapables de fournir les preuves scientifiques de la sécurité d’un vaccin. Cela s’explique parce qu’il n’y a pas de groupes de contrôle (non randomisés et en double aveugle). Dès lors, leurs données ne possèdent aucune validité pour établir des dossiers de sécurité en ce qui concerne leur utilisation pour l’indication du vaccin chez des femmes enceintes.

 

Deux études ont fourni des preuves insignifiantes pour déterminer la sécurité du vaccin

 

En lisant attentivement le document 2011 du CDC, vous pourrez remarquer qu’il fait référence à deux petites études qui ont été utilisées pour servir de preuves que les vaccins destinés aux femmes enceintes sont sûrs. Nous pensons cependant que le nombre de participants était beaucoup trop réduit pour fournir de la substance à leurs revendications.

 

La première étude référencée par le CDC était intitulée : Vaccination maternelle avec le vaccin tétanos-diphtérie-coqueluche : effet sur les niveaux d’anticorps sériques maternels et néonataux. L’étude a été réalisée par Stanley A.Gall,MD.,John Myers, PhD et Michael Pichichero, MD.

 

Les chercheurs ont étudié le cas de 104 femmes enceintes et ont vacciné 52 d’entre elles. Bien que les chercheurs aient affirmé qu’il n’y avait eu aucune réaction indésirable, aucune donnée de sécurité n’a été fournie ; nous ne disposons dès lors que de leur parole.

 

Les chercheurs ont conclu :

 

« L’administration du TDaP au cours de la grossesse augmente les titres d’anticorps contre la diphtérie et la coqueluche. Le TDaP peut prévenir l’infection néonatale de la coqueluche. (souligné par l’auteur de l’article)

 

Compte tenu que ces vaccins sont conseillés aux femmes enceintes pour protéger leurs nourrissons de la coqueluche au cours des huit premières semaines de vie, cette étude ne fournit aucune preuve substantielle qui confirmerait la sécurité ou l’efficacité de ces vaccins. Cette étude n’apporte non plus pas de preuves que ce vaccin puisse effectivement protéger les nourrissons de l’infection coquelucheuse.

 

Ceci est particulièrement inquiétant étant donné que les chercheurs ont déclaré que l’objectif de cette étude était de déterminer si oui ou non le fait d’offrir le TDaP au cours de la grossesse protégeait les nourrissons contre la coqueluche :

 

« Nous avons cherché à déterminer si le fait de vacciner contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche (TDaP) au cours de la grossesse fournissait aux nouveau-nés des anticorps contre la coqueluche si on les comparait aux bébés de mères mères qui n’avaient pas reçu le TDaP »

 

Il est également intéressant de signaler que le chercheur principal Stanley A.Gall, MD avait reçu des subventions  et du soutien pour la recherche de deux grands fabricants de vaccins, GlaxoSmithKline, le fabricant de Boostrix et Merck où il avait été consultant.

 

Le site Protect cme.org stipule que :

 

 «  Le Dr Stanley Gall a reçu des subventions et du soutien pour le recherche de GalxoSmithKline et de Merck. »

 

Etant donné que le chercheur principal de l’étude avait des conflits d’intérêts, comment peut-on utiliser cette étude en guise de preuve ?

 

La deuxième étude citée a été réalisée par Elizabeth A. Talbot, Kristin H. Brown, Kathryn B. Kirkland, andrew L. Baughman, Scott. Elle est intitulée : Sécurité de la vaccination avec le vaccin contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche (acellulaire) (TDaP) moins de deux ans après une précédente vaccination antitétanique : expérience d’une campagne de vaccination de masse du personnel de santé au cours  de l’éclosion d’une maladie respiratoire.

 

Une fois de plus cette étude s’est montrée moins que convaincante du fait que les chercheurs n’ont vacciné que 16 femmes enceintes avec le TDaP. Et, bien que plusieurs effets indésirables aient été signalés tout au cours de l’étude, ils furent ignorés par le CDC dans son rapport comme n’ayant aucun lien avec le vaccin.

 

Conclusion : il n’est pas possible de faire confiance au CDC en ce qui concerne la sécurité du vaccin pour les enfants à naître

 

Selon notre enquête, il est clair que le CDC a décidé de recommander aux femmes enceintes une vaccination potentiellement dangereuse et inefficace, même s’il est dans l’impossibilité de fournir des données convaincantes qui pourraient rassurer les mères que le vaccin ne pourra nuire à la croissance de leur fœtus.

 

Les deux études utilisées par le CDC n’ont testé qu’un petit groupe de personnes ne pouvant fournir que des données insuffisantes qui permettraient de prouver la sûreté des vaccins. Tous les effets indésirables qui ont été rapportés par les chercheurs ont été ignorés par le CDC. Il a été précisé qu’il était peu plausible que ces problèmes aient été causés par le vaccin.

 

Comment les parents peuvent-ils avoir confiance dans la sûreté de ce vaccin vu que le CDC n’a pas présenté d’études longitudinales pour démontrer que ce vaccin était susceptible de nuire ou non à leurs enfants ?

 

Remerciements : l’aide d’un grand chercheur israélien qui préfère rester anonyme a été beaucoup appréciée.  

 

Source : Health Impact News

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commentaires

D
C'est pourtant bien simple: de zéro à neuf mois, aucun médicament chimique chez la femme enceinte, sauf urgente nécessité, comme le risque d'éclampsie par exemple.<br /> Minéraux, vitamines au besoin.<br /> Mais surement pas un vaccin.<br /> J'ai appris ça il y a quarante ans.<br /> Du temps où on avait encore un peu de bon sens.
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