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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 08:47

Vaccins : parents, au tribunal !

 
 
Publié le 20-09-2015. Par Cécile Deffontaines, Nouvel Obs.
Marc Larère et Jacques Bessin. Photo Jeremie Fulleringer

Marc Larère et Jacques Bessin. Photo Jeremie Fulleringer

Les époux Larère ont comparu devant le tribunal correctionnel d'Auxerre pour ne pas avoir vacciné leur fillette. Une affaire qui dépasse leur cas personnel.

 
 
Les époux Larère ont comparu jeudi 17 septembre devant le tribunal correctionnel d'Auxerre pour ne pas avoir vacciné leur fillette, L. Cette histoire s’inscrit sur fond de défiance grandissante à l’encontre des vaccins, qui touche les pays occidentaux. "L’affaire Larère" est un procès emblématique qui dépasse donc les simples individus, et pourrait n’être qu’une première.
 
Pourquoi ce procès ?
 

Marc et Samia Larère étaient poursuivis pour "soustraction par un parent à ses obligations légales comportant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant." En cause : leur refus de se plier à l’obligation vaccinale. En France, vacciner son enfant contre la diphtérie, la polio et le tétanos est obligatoire (vaccin DT-polio), et ne pas le faire vous fait plonger dans l’illégalité. C’est un délit pénal. Les autres vaccins existants ne sont que "recommandés".

 

Ne pas vacciner est considéré comme une forme de "maltraitance", et cela peut nuire à la sociabilisation de l’enfant, puisque l’inscription à l’école lui sera refusée à ses 6 ans (scolarité obligatoire). Les Larère ont été dénoncés par un médecin.

 

L’affaire paraît folle puisque leur petite L., aujourd’hui âgée de 3 ans, se porte très bien et n’est pas victime de mauvais traitements. Elle n’est juste pas immunisée contre des maladies potentielles.

 

Le procureur a requis 4 mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende à leur encontre – ils encouraient jusqu’à 2 ans de prison et 30.000 euros d’amende; leur avocat a demandé leur relaxe. Le jugement sera prononcé le 29 octobre.

 

Une vraie lacune de notre système vaccinal
 

L’argumentaire de Marc Lalère est simple. Il affirme ne pas être opposé aux vaccins dans l’absolu. Il ne peut juste pas souscrire à l’obligation vaccinale car il lui est impossible de trouver le vaccin obligatoire sur le marché.

 

En effet, le DT-Polio seul n’existe plus dans les frigos des pharmacies. Les laboratoires-fabricants lui ajoutent d’autres vaccins, "recommandés" ceux-là. Ainsi, l’enfant subit moins d’injections. C’est du "tout en un". Sauf qu’en cas d’accident vaccinal, le parent vaccinateur pourra se demander éternellement si c’est le vaccin "non indispensable" (au regard de la loi) qui a provoqué la maladie de son enfant.

 

"J’ai agi en bon père de famille et en citoyen éclairé", a donc insisté Marc Larère, droit dans ses bottes."

 

Plaidant la "liberté vaccinale", son avocat avait par ailleurs soulevé il y a quelques mois une Question prioritaire de constitutionnalité (QPC) pertinente : contraindre ainsi à la vaccination est-il conforme à la Constitution ? Le Conseil constitutionnel a tranché en mars, répondant que oui. "En imposant ces obligations de vaccination, le législateur a entendu lutter contre trois maladies très graves et contagieuses ou susceptibles d'être éradiquées", ont dit les Sages. 

 

Un procès qui ne devrait pas être le dernier...
 

Il suffisait de regarder dans la salle d’audience. Derrière le banc du prévenu (son épouse étant absente car elle venait de donner naissance à leur 3e enfant), une petite foule d’une cinquantaine de personnes était présente. Venues de toute la France, elles se retrouvaient autour de leur peur des vaccins et étaient venues soutenir un couple "courageux".

 

Il y avait là des mamans, comme Jennifer, agent des impôts de 36 ans, qui refuse d’injecter des produits à sa fille :

 

"Moi aussi je suis hors-la-loi, ça y est, dit-elle. La première injection doit avoir été faite pour les 18 mois et ma fille vient de les passer." 

 

Mais aussi un papa dans la souffrance, comme Lionel, dont le petit garçon de 5 ans a été (pense-t-il, le lien de causalité n’ayant pas encore été reconnu) victime d’une vaccination. "Même pas quinze jours après le vaccin, il s’est mis à marcher à quatre pattes en rentrant ses pouces, puis sur les poings, puis il a été incapable de se déplacer : il glissait et se cassait la figure comme Bambi. Il ne marchera et ne parlera jamais." 

 

Déjà, le groupe Facebook "Info vaccins Prévenar" annonçait vendredi 18 septembre qu’un "monsieur L." avait reçu une convocation en justice pour les mêmes faits que ceux reprochés aux Larère… Ca se passera au tribunal de Strasbourg, en novembre.

 

Cécile Deffontaines., Nouvel Obs.

 

Voir ici pour le compte-rendu d'audience du jeudi 17 septembre à Auxerre.

 

Anti-vaccins : les époux Larère à nouveau convoqués au tribunal

 

Par Delphine Martin, France Bleu Auxerre et France Bleu

 

Jeudi 29 octobre 2015

Marc et Samia Larère avec leur avocat, à l'audience du 9 octobre 2014. © Maxppp

Marc et Samia Larère avec leur avocat, à l'audience du 9 octobre 2014. © Maxppp

Ces parents auxerrois sont poursuivis pour avoir refusé de vacciner leur fille de trois ans. Ce jeudi, la justice devait rendre son jugement. Mais elle a décidé de rouvrir les débats, le 14 décembre prochain. Pour le couple et leur avocat, c’est une victoire qui ne dit pas son nom.

 

« C’est une façon élégante, pour la justice, de sortir d’une mauvaise histoire.» Me Emmanuel Ludot, l’avocat de Marc et Samia Larère, ne cache pas sa satisfaction. Ces deux parents auxerrois sont poursuivis pour avoir refusé de vacciner leur fille de trois ans contre le DT Polio (Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite). Le tribunal correctionnel d'Auxerre, qui avait examiné l’affaire en septembre, devait rendre son jugement ce jeudi. Mais il décide de rouvrir les débats en vue d’une éventuelle requalification des faits. Une nouvelle audience est donc fixée au 14 décembre.

 

Jusqu'ici, Marc et Samia Larère étaient poursuivis pour négligence, précisément pour "soustraction par un parent à ses obligations légales compromettant la santé (...) de son enfant". La justice souhaite débattre d'une requalification pour "refus de vacciner", une infraction qui figure dans le code de la santé et qui est punie d’une contravention, qui sera prescrite.

 

Pour Emmanuel Ludot, l’avocat du couple auxerrois, la justice n’aura qu’un seul choix: celui de constater que les faits sont prescrits. Selon lui, les époux Larère ne seront pas condamnés. Mais ils ne seront pas relaxés non plus. Une manière habile de mettre un terme aux poursuites en évitant une condamnation.

 

Marc et Samia Larère n’étaient pas au tribunal d’Auxerre pour l’annonce du jugement. Leur avocat non plus.

 

Il y a quelques mois, ce couple auxerrois est passé dans tous les journaux, sur toutes les télés et sur toutes les radios. Parce qu’ils ont refusé de faire vacciner leur fille de 3 ans contre le tétanos, la poliomyélite et la diphtérie. Les trois seuls vaccins obligatoires en France.

 

Pour expliquer leur décision, ils affirment qu’ils refusent simplement de faire encourir à leurs enfants d’éventuels effets secondaires.

 

Lors de la première audience devant le tribunal correctionnel d'Auxerre, en octobre 2014, leur avocat avait déposé une "question prioritaire de constitutionnalité", parce que le sujet de la libre vaccination méritait, selon lui, un vrai débat de société. En mars, le conseil constitutionnel avait rendu sa réponse : Oui, la vaccination obligatoire d'un enfant est conforme à la Constitution. L’affaire avait débuté après un signalement du conseil général de l’Yonne.

 

Source: FranceBleu.fr

 

Pétition pour soutenir cette famille et la famille strasbourgeoise dans la même situationcar il est tout bonnement impensable que des parents soient condamnés pour ne pas avoir fait administrer un vaccin obligatoire qui n'existe pas!

 

Comprendre réellement et objectivement les enjeux de ce type de dossier est absolument fondamental car d'une part ces cas de résistance à l'oppression ne feront à l'avenir que se multiplier et d'autre part, on va assister à une tentative de la part des officiels pour diviser la population et monter une frange des citoyens contre une autre mais pour de mauvais motifs. C'est la raison pour laquelle nous vous invitons à prendre dûment connaissance des différentes informations ci-dessous qui vous permettront de juger de la sagesse des uns et des autres (des parents, des juges, des officiels) à la lueur des véritables "pièces à conviction" si on peut dire et pas sur base de croyances ou de préjugés du café du commerce.
 
- Demandez-vous en effet pourquoi ces parents devraient accepter sans réfléchir que leur enfant reçoive des vaccins non obligatoires quand on sait les risques exorbitants (plus de 800!) que le fabricant associe à ces cocktails vaccinaux dans ses propres documents confidentiels et que PERSONNE n'assumera le moindre de ces risques?
 
- Demandez-vous pourquoi ces parents devraient accepter sans réfléchir ces cocktails vaccinaux non obligatoires alors que, selon une enquête officielle de l'INPES en 2005 auprès d'un échantillon représentatif de 400 médecins pédiatres et généralistes français, 58% d'entre eux ont avoué se poser des questions sur l'utilité de ces vaccins et 31% sur leur sécurité?
 
- Demandez-vous pourquoi ces parents devraient accepter sans réfléchir ces vaccins multivalents non obligatoires alors qu'on peut lire dans la littérature médicale officielle que la mortalité infantile dans les pays occidentaux est la plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus ?
 
- Demandez-vous pourquoi ces parents devraient accepter sans réfléchir ces vaccins très hasardeux mais si lucratifs pour les firmes qui dictent véritablement leur loi aux autorités sanitaires complices (qui, si elles avaient réellement estimé ces vaccinations DTP tellement sine qua non, avaient parfaitement le pouvoir juridique et administratif d'exiger de la firme dès 2008 qu'elle continue de produire l'ancien DTP sans aluminium, nettement moins cher que les vaccins hexavalents... notons à ce propos que quantité de vaccins ayant déjà entraîné des décès et des handicaps n'ont encore jamais fait l'objet d'un retrait et encore moins d'un retrait définitif, et qu'après des retraits, le vaccin est généralement très vite remis sur le marché. Lisez ici l'article de Politis du 28 octobre sur les firmes qui font la loiEt l'enquête minutieuse de l'association E3M sur le retrait de l'ancien DTP pour de faux motifs. (+ les preuves de l'escroquerie dans cette vidéo).
 
- Demandez-vous pourquoi ces parents devraient accepter sans réfléchir ces vaccins présentés comme étant au-dessus de tout soupçon par des médecins dont c'est une part non négligeable du business annuel, alors que les parlementaires et finalement la société tout entière restent profondément divisés sur le bien-fondé de vaccinations tous azimuts (avec leur lot de poisons comme l'aluminium et autres). Nous vous encourageons à lire ici les échanges très instructifs sur ces questions au Sénat français le 28 septembre dernier car certains parlementaires sont visiblement encore capables d'utiliser normalement leur cerveau et d'autres non. Jetez un oeil, c'est important!!
 
 

Séance du 28 septembre 2015 (compte rendu intégral des débats) - Vaccins

 

Mme Laurence Cohen. Je suis extrêmement étonnée des arguments qui nous sont opposés. Je pense qu’un débat renseigné vaut mieux que des rumeurs, qui sont toujours susceptibles d’inquiéter.

 

Comment prétendre que nous ne disposons d’aucune étude, alors que j’ai mentionné notamment, à l’appui de ma demande de moratoire, les travaux du professeur Gherardi menés sur des souris et en partie subventionnés. Les résultats de son étude ont été rendus publics et présentés lors de différents colloques. Ils démontrent la migration de l’aluminium dans le cerveau et ses effets sur les souris. Il ne s’agit aucunement d’ouï-dire ou de rumeurs.

 

Sans être scientifique – je suis parlementaire, comme le plus grand nombre d’entre nous ce soir –, je suis sensible aux travaux qui ont été menés. On m’a alertée et j’ai pu constater par moi-même que la myofasciite à macrophages est une maladie extrêmement invalidante, dont le diagnostic est difficile. Il est donc nécessaire de poursuivre les recherches et, en attendant d’en savoir davantage, de suspendre le recours à des vaccins dont les adjuvants peuvent se révéler toxiques pour un certain nombre de patients.

 

Or on nous dit systématiquement que ce n’est pas le bon moment, qu’il faut attendre 2017 et la conclusion des travaux commandés. Ce faisant, c’est plutôt vous qui êtes en train d’inquiéter et non de rassurer.

 

Les laboratoires, qui sont tout-puissants dans ce pays, ont décidé de retirer les vaccins sans adjuvants aluminiques.Et eux, vous les écoutez ! Vous écoutez les laboratoires et vous nous demandez d’attendre encore deux ou trois ans, quitte à considérer de grands professeurs, en France, en Europe et dans le monde, comme de simples amateurs. C’est cette attitude-là qui entraîne des préventions vis-à-vis de la vaccination !

 

Un moratoire n’a rien d’irréversible. Il s’agit de nous donner du temps et de montrer que nous tenons compte des patients qui souffrent aujourd’hui terriblement du fait de ces adjuvants aluminiques.

 

M. le président. La parole est à M. Jean-Claude Lenoir, pour explication de vote.

 

M. Jean-Claude Lenoir. Madame la ministre, j’approuve entièrement vos propos. Je ne souhaite pas que l’on oppose de manière systématique, dans cette assemblée, des avis scientifiques à d’autres avis scientifiques. (Exclamations sur les travées du groupe CRC.) Finalement, on fait peur à tout le monde !

 

Certes, on peut toujours citer une personne autorisée qui aurait soutenu une thèse. Cependant, tous les scientifiques, tous les chercheurs sont-ils d’accord ? Non !

 

Mme Laurence Cohen. Justement !

 

M. Jean-Claude Lenoir. Vous entretenez, par ce genre d’initiative, l’idée qu’il faut se méfier de tout, de tous les remèdes, de tous les vaccins. Face à de tels arguments, Pasteur aurait eu les plus grandes difficultés à faire accepter son vaccin contre la rage.

 

Comme l’a dit Mme la ministre, attendons sereinement les résultats des travaux menés. De toute façon, la communauté scientifique ne sera jamais d’accord sur les conclusions à en tirer : il se trouvera toujours quelqu’un – après tout, c’est la vie ! – pour contester les avis des autres, fussent-ils ceux du plus grand nombre.

 

Il serait dommage de relayer dans cet hémicycle des peurs entretenues par une plume autorisée et parfois connue qui avance des thèses contestables. C'est la raison pour laquelle, madame la ministre, il me semble sage de suivre votre avis.

 

Mme Laurence Cohen. C’est Sanofi qui va être content !

 

M. le président. La parole est à M. Gérard Roche, pour explication de vote.

 

M. Gérard Roche. Je sais combien notre collègue Laurence Cohen tient à ce dossier, qu’elle défend avec fougue et générosité, sans doute pour avoir été confrontée à des gens ayant souffert de myofasciite à macrophages.

 

L’aluminium a toujours été considéré comme un neurotoxique. On a pu le constater dans toutes les recherches menées sur les maladies neurologiques – inflammatoires ou dégénératives –, notamment sur la maladie d’Alzheimer, assez récemment.

 

Sans être immunologue, mon expérience personnelle me permet d’affirmer que des maladies auto-immunes sont présentes dans certaines familles. Il peut donc exister une prédisposition génétique à certaines maladies auto-immunes, dont l’émergence peut être provoquée par une réaction à la vaccination.

 

Toutefois, nous ne disposons d’aucune certitude absolue nous permettant de trancher entre votre théorie et celle d’une maladie génétique qui s’éveillerait à l’occasion d’un désordre immunitaire provoqué par la vaccination. Il nous faut donc rester prudents. En effet, il ne faudrait pas qu’une campagne anti-vaccination, même limitée à l’adjuvant, participe au discrédit de la vaccination.

 

M. Jean-Claude Lenoir. Cette campagne fait des ravages !

 

M. Gérard Roche. Par ailleurs, les anciennes vaccinations que vous prônez n’apportaient pas d’immunité tissulaire. Leur effet était donc beaucoup plus labile et moins pérenne que les vaccins actuels.

 

Plusieurs thèses s’opposent. Il me semble plus sage d’attendre les résultats des études en cours.

 

M. le président. La parole est à M. Georges Labazée, pour explication de vote.

 

M. Georges Labazée. Je serai bref, car ce débat n’est pas près d’être clos.

 

Disposer d’un rapport d’étape, rédigé par les équipes de chercheurs que vous avez mandatées, madame la ministre, permettrait peut-être, sinon d’apporter de la sérénité, du moins de montrer que ces équipes, très fortement engagées, sont capables de fournir des résultats tangibles.

 

M. le président. La parole est à M. Gilbert Barbier, pour explication de vote.

 

M. Gilbert Barbier. Mon cher collègue, demander un rapport d’étape n’est pas très raisonnable.

 

Nous devons pouvoir disposer d’une étude suffisamment randomisée, portant sur un certain nombre d’éléments et d’observations pendant un certain temps. On ne peut publier des résultats du jour au lendemain, sur un problème aussi délicat.

 

A-t-on mesuré les conséquences d’un moratoire sur l’efficacité vaccinale ? Dans tout problème médical, qu’il s’agisse de vaccination ou de prise d’un médicament, se pose la question du rapport bénéfice-risque. Or le risque est grand que l’instauration d’un moratoire, quel que soit le type de vaccination, se révèle beaucoup plus dangereuse que le statu quo actuel.

 

Membre du conseil d’administration de l’ANSM, je sais qu’une étude sérieuse est engagée. Il n’est pas possible de fournir le moindre résultat dans un laps de temps aussi restreint. Votre proposition n’est pas sérieuse, monsieur Labazée ! Il s’agit d’un sujet suffisamment difficile et polémique pour que nous laissions travailler nos agences dans la sérénité.

 

M. le président. Je mets aux voix l'amendement n° 778.

(L'amendement n'est pas adopté.)

 

M. le président. L'amendement n° 1110, présenté par Mme Archimbaud, M. Desessard et les membres du groupe écologiste, est ainsi libellé :

 

Après l’article 32

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre Ier du titre Ier du livre Ier de la troisième partie du code de la santé publique est complété par un article L. 3111-… ainsi rédigé :

« Art. L. 3111-... – Les producteurs ont pour obligation d’assurer la possibilité de substitution aux vaccins antidiphtérique, antitétanique et antipoliomyélitique contenant un adjuvant avec aluminium par des vaccins équivalents contenant un adjuvant sans aluminium. »

 

La parole est à Mme Aline Archimbaud.

 

Mme Aline Archimbaud. Sur le même sujet que précédemment, il s’agit ici d’instaurer une liberté de choix. Cet amendement a pour objet de rétablir la possibilité, en ce qui concerne les trois valences obligatoires pour inscrire son enfant à l’école – diphtérie, tétanos, poliomyélite –, de choisir un vaccin sans adjuvant aluminique.

 

Un tel choix était possible jusqu’en 2008, puisque les vaccins DT-Polio Pasteurs et Mérieux sans adjuvant ont donné satisfaction durant plus de quarante ans.

 

Les vaccins sans aluminium ont néanmoins été retirés de la vente, en raison d’une prétendue recrudescence, discutée et discutable, de cas d’allergies, privant ainsi les patients de leur liberté de choix.

 

Or cette liberté est d’autant plus essentielle qu’un certain nombre d’études internationales indiquent qu’il y a danger, même si nous ne disposons d’aucune certitude absolue.

 

Cet amendement est inspiré non pas par le souhait d’une politique anti-vaccinale, mais par le principe de précaution. Un certain nombre de débats très vifs sont d'ores et déjà engagés – je ne citerai pas les revues scientifiques de renom qui font état de doutes importants s'agissant de l’aluminium –, raison pour laquelle je plaide pour l’application de ce principe de précaution.

 

M. le président. Quel est l’avis de la commission ?

 

M. Alain Milon, corapporteur. Avis défavorable, comme pour l’amendement précédent.

 

M. le président. Quel est l’avis du Gouvernement ?

 

Mme Marisol Touraine, ministre. Avis défavorable également, monsieur le président.

 

M. le président. La parole est à Mme Annie David, pour explication de vote.

 

Mme Annie David. Notre groupe votera l’amendement qui vient d’être présenté par notre collègue Aline Archimbaud.

 

Parce qu’il existe des suspicions concernant ces fameux vaccins sans sels d’aluminium, on les retire de la vente, tandis que les vaccins avec des sels d’aluminium, pour lesquels il existe également des suspicions, continuent d’être proposés aux patients. Je dois l’avouer, je suis étonnée ! Je ne suis ni scientifique ni médecin, mes chers collègues, mais je dois reconnaître que la logique d’une telle situation m’échappe.

 

Tant que l’on n’a pas de certitude concernant les vaccins avec des sels d’aluminium, on les laisse en vente, et on ne laisse d’ailleurs qu’eux. Cependant, on retire les autres, pour lesquels on suspecte des effets allergiques…

 

Monsieur le corapporteur, madame la ministre, permettez-moi d’avouer ma grande perplexité en la matière. Vous le savez très bien, si nos collègues Laurence Cohen et Georges Labazée s’inquiètent de ces vaccins à base de sels d’aluminium, ce n’est pas pour mener une campagne anti-vaccin. Il ne faudrait pas le laisser penser. Si nous sommes tous très conscients de l’utilité des vaccins, nous connaissons aussi les risques pouvant découler d’une vaccination.

 

Dans le cas présent, j’avoue que je reste sans voix. D’un côté, il y a des risques, mais cela ne fait rien ; comme le disait tout à l’heure ma collègue Laurence Cohen, Sanofi sera très content. De l’autre, on retire le vaccin du marché. Pourtant, le libre choix devrait prévaloir, puisque la libre concurrence est normalement la règle en France et en Europe, en vertu de laquelle on met bien souvent en concurrence les peuples. Dans le cas présent, elle n’existe pas, puisqu’une seule sorte de vaccin est commercialisée…

 

Je ne puis vraiment pas vous comprendre ni vous suivre. L’argumentation que vous avez développée s’agissant du précédent amendement se contredit d’elle-même.

 

Nous voterons donc cet amendement.

 

M. le président. Je mets aux voix l'amendement n° 1110.

(L'amendement n'est pas adopté.)

 

Source: Sénat.fr

 

 

Et si nous laissions le mot de la fin au Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur (par ailleurs aussi expert pour l'OMS), en espérant que certains parlementaires incultes puissent en prendre de la graine? Car le Dr Saluzzo qui en sait plus que les parlementaires, même parmi les plus arrogants d'entre eux, a avoué dans un cours de vaccinologie destiné aux médecins, et qui est consultable en ligne, qu'ils ne savent tout simplement PAS comment marchent les vaccins et que si à l'avenir, on souhaite faire des progrès dans le domaine des nouveaux vaccins, il faudra D'ABORD commencer par étudier la réponse immunitaire...alors oui, comprenons bien ce que cela signifie... que la communauté médico-scientifique n'en sait tout simplement pas assez pour pouvoir nier le domino morbide exact qui peut découler de l'acte vaccinal, a fortiori s'il implique des tas de valences et s'il est répété à de nombreuses reprises sur un système immunitaire infantile (immature jusque 6 à 7 ans d'âge) > Cela implique donc que le bénéfices/risques GLOBAL de ces vaccinations de masse n'a encore jamais été SCIENTIFIQUEMENT évalué, la seule chose (biaisée) qui a donc été "évaluée" jusqu'à présent c'est une comparaison d'un seul terme face à lui-même, à savoir les bénéfices attribués aux vaccins par les partisans des vaccins et qu'ils ont en somme comparé avec un simple risque de fièvre ou de simple "douleur au point d'injection", tous les autres effets restant idéologiquement niés et taxés de "malheureuses coïncidences".

 
 
Voir aussi
 
 
 

 

Autre cas de parents bientôt au tribunal pour les mêmes motifs

 

Acharnement inacceptable sur les parents Guéret, dans l'Isère

 

Vaccins: les autorités se moquent de la famille Guéret et de leurs enfants

 

Après les enfants Guéret, c'est la petite Luna qui est exclue de l'école pour cause de DTP indisponible

 

Des victimes du vaccin Revaxis (seul DTP disponible, avec aluminium) portent plainte contre Sanofi pour escroquerie

 

Vaccins & aluminium: le calvaire des victimes, l'avancée de la justice

 

L'aluminium vaccinal, responsable de maladies incurables... témoignage

 

Vaccin DTP. Des citoyens introduisent une action en justice contre Marisol Touraine

 

Le texte visionnaire de la proposition de loi du parlementaire français Roger Duveau pour la liberté vaccinale en 1957-1958 (à comparer à aujourd'hui!)

 

Fabricants de vaccins, Agence du Médicament, Ministre de la Santé accusés de mensonges à l'Assemblée Nationale

 

Le double discours de la Ministre Touraine sur les vaccins (signé de sa main en plus!)

 

Les preuves que l'Assurance Maladie française (dont Touraine a la tutelle) ment sur les effets secondaires des vaccins antigrippaux

 

La pub vaccinale des autorités belges sur la vaccination reconnue trompeuse

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

 

article initial sur Larère + article nouveau + compte rendu d'audience + compte rendu audience assemblée....  +   + POLITIS

 

AJOUTER CALVAIRE ALUMINIUM VACCIN. MENSONGES ALUMINIUM ASSEMBLEE E3M

Vaccination: condamner les Larère serait une provocation sans précédent et une insulte à l'humanité tout entière
Vaccination: condamner les Larère serait une provocation sans précédent et une insulte à l'humanité tout entière
Vaccination : nous avions vu juste 

 

Jean-Luc Martin Lagardette, 16 octobre 2007

 

Notre enquête sur l’obligation vaccinale avait affirmé que le durcissement des sanctions contre les réfractaires aux vaccins n’était pas justifié. Nous avions analysé la politique vaccinale actuelle et conclu qu’elle devait plutôt évoluer vers une levée de l’obligation. Un rapport remis récemment au ministère de la Santé, consulté après notre enquête, conforte l’essentiel de notre analyse.

 

En conclusion de notre enquête sur la sévérisation des sanctions contre les réfractaires aux vaccinations obligatoires, nous avions marqué le surprenant décalage qu’il y avait entre cette décision autoritaire, résultant d’une loi récente, et les réalités de la vaccination aujourd’hui en France (pour plus de détails, voir l’enquête).

 

D’un côté, en effet, on accroît le poids du gourdin pour menacer les réfractaires ; de l’autre, l’obligation vaccinale est de plus en plus remise en question, y compris par nombre de médecins. Même les pouvoirs publics réfléchissent sur les modalités de sa levée.

 

A preuve, cet ouvrage, intitulé Droit, éthique et vaccination ; l’obligation vaccinale en question, paru l’an dernier aux éditions des Etudes hospitalières sous la direction de Michel Béranger. Cet ouvrage collectif est le fruit d’une commande de l’Etat (ministère de la Santé et des Solidarités) à l’Agisdes, Association du groupement d’intérêt scientifique en droit européen de la santé, que préside M. Béranger. Il constitue l’édition commerciale du rapport remis par l’association au ministère il y a tout juste deux ans et qui avait pour but d’étudier « les implications juridiques et éthiques d’une abrogation des obligations vaccinales ».

 

Nous pouvons nous réjouir du travail effectué : les conclusions de cet ouvrage rejoignent en effet, en très large part, celles de notre enquête participative.

 

L’analyse des experts

 

- Deux logiques s’affrontent dans la vaccination: la première est collective; la seconde avance l’argument de la liberté individuelle pour réfuter la vaccination obligatoire. D’un côté, le droit à la santé (avec en corollaire le principe de sécurité sanitaire) ; de l’autre, le principe de sauvegarde de la dignité de la personne, lui aussi principe constitutionnel.

 

- L’objectif est d’organiser une politique vaccinale rationnelle, c’est-à-dire non seulement médicale et sanitaire, mais aussi juridique et éthique.

 

- Le dogme de la vaccination généralisée pourrait disparaître au profit de celui de la vaccination ciblée avec utilisation de critères d’alerte.

 

- Au cœur de tous les scénarii envisageables (abrogation, maintien ou suspension), la question de la responsabilité, notamment juridique, de l’Etat demeure (il n’y a pas de différences de nature sur ce plan entre la recommandation vaccinale et l’obligation vaccinale. Il est souhaitable que les vaccinations recommandées soient assimilées juridiquement aux vaccinations obligatoires).

 

Conclusions des experts

 

 

- « L’idée d’une refonte du système de vaccination s’impose maintenant, à la fois pour résoudre les problèmes spécifiques (liés au financement de la politique vaccinale, ou encore résultant des difficultés de la couverture vaccinale) et pour éviter les excès d’une mise en jeu exacerbée de la responsabilité de l’Etat. L’idée de vaccination à la carte apparaît alors utile (...). Elle permet en effet de cibler des groupes à risques (professionnels, voyageurs, SDF, immigrés...) : on peut parler alors, non pas d’une individualisation du geste vaccinal, mais d’une collectivisation ciblée. Une réponse éthique acceptable semble ainsi apportée, qui correspond à un compromis entre la systématisation de la vaccination et le rejet du principe même de l’obligation vaccinale. »

 

- Le rapport suggère « l’assouplissement des procédures d’indemnisation (notamment par leur diversification) et l’augmentation du montant des indemnisations ».

 

- « La stratégie étatique française doit assurément manifester, à l’avenir, une plus grande souplesse. Un certain nombre de textes juridiques (législatifs comme réglementaires), adoptés depuis le début des années 2000, vont déjà dans ce sens ».

 

Les arguments pour une levée de l’obligation

 

La décision récente d’accroître les sanctions contre les réfractaires est ainsi très surprenante. D’autant plus qu’elle témoigne d’une grave méconnaissance des réalités. En effet, elle ne tient pas compte de différents éléments précisés dans ce livre :

 

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- « L’analyse de littérature scientifique montre qu’il n’y a pas de lien direct entre le fait qu’une vaccination soit obligatoire et un meilleur niveau de couverture vaccinale. »

 

- « Le rôle des vaccins dans l’effondrement de la mortalité infectieuse en Europe [est] modeste. » (source INED)

 

- La revendication du « droit à la non-vaccination n’exprime pas nécessairement un refus de la vaccination, mais traduit plutôt une “grande désillusion”. »

 

- En Europe, la « tendance générale est à la limitation sinon au rejet de l’obligation vaccinale ». La Suède indemnise le patient en cas de « forte probabilité de dommage » et non de cause directe prouvée comme en France.

 

- Si le médecin a « un rôle central » dans la politique vaccinale, le corps médical est sous-informé dans ce domaine. « Cette lacune se double d’une surveillance épidémiologique insuffisante, notamment quand une maladie infectieuse a disparu, alors que l’étude devrait s’étendre aux tranches d’âges supérieures qui y ont échappé. »

 

- « La résistance aux vaccinations est un phénomène plutôt laïc [et non de nature sectaire, NDLA], qui trouve son origine dans les accidents de la vaccination. Les organisateurs et les militants (des associations) étant proches de victimes ou de médecins ayant vécu une expérience négative. »

 

- « Les enquêtes montrent au demeurant que les obstacles à la vaccination tiennent essentiellement à la motivation des médecins au regard des politiques vaccinales. Les publics réfractaires à la vaccination restent au contraire très minoritaires. C’est donc plus d’information que de sanction dont a besoin le développement d’une politique vaccinale effective. (...) L’actuel volet répressif, dans sa double dimension pénale et administrative, manque ainsi dans une large mesure sa cible. L’existence de mécanismes de sanction ne donne en soi aucune garantie quant à l’effectivité pratique des plans de vaccinations décidées par les pouvoirs publics. »

 

- « Les différentes réformes envisagées depuis quinze ans (...) ont très largement préparé le terrain [à la suspension des obligations] et permettent dès à présent d’accompagner l’abrogation des obligations vaccinales à portée générale sans qu’il soit porté une atteinte excessive à la protection de la santé publique, exigence de nature constitutionnelle. »

 

Au vu de tous ces éléments, on peut dire que le récent durcissement des sanctions contre les réfractaires ne va pas dans le sens de l’Histoire. On peut même supposer qu’il sera, plus ou moins tard, source d’embarras pour les pouvoirs publics. La loi du 4 mars 2002, qui a renforcé la condition du consentement à l’acte médical, l’essor de la démocratie sanitaire, ainsi que la judiciarisation croissante des affaires pour effets secondaires dus aux vaccins, conduiront sans doute le gouvernement à changer bientôt son fusil d’épaule...

 

Source: Agoravox

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commentaires

I
"Mise à jour du 11 janvier 2016: Deux mois avec sursis pour les Larère pour avoir refusé de vacciner leur fille... ubuesque!"<br /> <br /> Après des centaines de lignes (Un article pour "expliquer" l'argumentaire, un article pour dire que de toute façon l'affaire est prescrite, le verbatim d'un épisode trépidant du sénat, un pamphlet pseudo-scientifique sur agoravox qui dit que l'Histoire jugera les juges), vous concluez cette affaire par deux toutes petites lignes qui annoncent la condamnation des parents.<br /> <br /> Vous semblez suivre cette affaire de près. Avez-vous délibérément choisi d'omettre le fait que les parents avaient en leur possession deux vaccins ne ciblant que la DTPolio et qu'ils ont refusé de s'en servir ?<br /> <br /> http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2015/01/13/refus-de-vacciner-son-enfant-la-cour-de-cassation-transmet-le-dossier-au-conseil-constitutionnel-631826.html<br /> <br /> Les ruptures de stock sont problématiques, mais pas impossibles à circonvenir. Si vous l'ignoriez, tout le monde peut faire des erreurs, et je suis heureux de vous avoir aidé à corriger cette erreur. Si vous le saviez, alors présenter sciemment une information tronquée s'apparente sans aucun doute à de la propagande.<br /> <br /> Ce que vous appelez "une vraie lacune de notre système vaccinal" n'en est donc pas une, et votre explication de "l’argumentaire de Marc Lalère" que vous affichez en rouge est infondée.<br /> <br /> <br /> Notons l'irrationalité de l'argument qui se base sur la même logique qu'une blague de cour d'école :<br /> À la cantine, la nourriture est très mauvaise, et en plus les portions sont trop petites.<br /> Les vaccins sont trop dangereux, et en plus ils sont en rupture de stock.<br /> <br /> <br /> Lorsque l'on suit l'actualité, on constate que beaucoup d'effets de manches ne s'adressent qu'aux caméras. Ce qu'il ressort effectivement de l'audience est souvent très différent.<br /> <br /> Cette condamnation n'est peut être pas si ubuesque que vous le pensez.
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I
"le vaccin DTP dont ils disposaient n'avait PAS la même composition que l'ancien DTP disponible jusqu'en 2008 [...]"<br /> <br /> Libre à vous d'en faire un article si vous le souhaitez, ce n'est cependant pas le sujet de cet article précis, ni le point que je soulève.<br /> <br /> Vous dites, en rouge, que la défense invoquée est qu'il n'y avait pas de DT-Polio seul, ce qui est en contradiction avec la réalité.<br /> <br /> Que ce soit la défense qui a fait une déclaration contraire aux faits, ou que ce soit vous qui avez mal retranscrit les intentions de la défense, le fait est que votre article montre une version incomplète des faits.<br /> <br /> Pourtant, vous n'avez pas hésité à copier-coller une séance du sénat sur un éventuel moratoire des vaccins qui contiennent de l'aluminium (amendement rejeté), ce qui n'a aucun rapport cette affaire judiciaire ni avec la disponibilité du DT-Polio seul. (Contrairement à ce que vous dites, c'était un copier-coller partiel. La partie qui explique l'absence d'études scientifiques a été coupée au montage)<br /> <br /> Je voulais donc savoir si inclure des données inutiles et exclure des données pertinentes était involontaire de votre part, ou voulu dans un but de propagande. La réponse dépend forcément de ce que vous ferez maintenant que ce point a été porté à votre connaissance.
I
le vaccin DTP dont ils disposaient n'avait PAS la même composition que l'ancien DTP disponible jusqu'en 2008 ce qui met par terre tout votre pipot et montre que pour vous, toute composition est interchangeable et donc que vous assimilez tous les produits chimiques à de l'eau. Des composants du DTP avec alu et mercure ne sont pas identiques à ceux qui n'en contiennent pas. Le Revaxis n'a PAS d'AMM pour les moins de 6 ans du reste et contient de l'alu. Vos approximations devraient vous appeler à + d'humilité et notre service de modération à éviter de perdre du temps avec des personnes qui tentent d'inonder les sites des autres de messages erronés et simplistes, faute de ne pas arriver à faire connaître leur site à eux de façon autonome et indépendante pour la qualité de leurs contenus....

                    

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