Une maman de Louisiane sait que 8 doses de vaccin ont tué son bébé de 2 mois
Par Augustina Ursino, 7 mars 2016 (Extraits)
Le petit Reid Thomas Englehart a été vacciné le 20 mai 2015. Il a reçu 8 doses de vaccin (DTCa, Hib, Polio, Pneumoccoque, Hépatite B et le Rotavirus oral). Ce sont là les vaccins qui sont administrés de routine aux bébés de deux mois, même s’ils sont prématurés, aux Etats-Unis et dans d’autres pays. [1]
A cette époque, Reid avait encore une respiration sifflante et une toux résiduelle à la suite d’un rhume. Le médecin a cependant insisté pour qu’on le vaccine après qu’il ait reçu les résultats d’un test qui s’est avéré négatif pour la coqueluche.
Neuf jours plus tard, sans qu’il y ait eu la moindre obstruction de ses voies respiratoires, Reid mourut dans son sommeil le 29 mai 2015.
Une substance muqueuse et sanglante a taché la chemise de son père à l’endroit où la tête de Reid reposait sur sa poitrine. On observe souvent ce mucus teinté de sang chez des bébés qui décèdent après la vaccination. Une quantité supplémentaire de ce mucus sanguinolent est sortie de la bouche de Reid quand sa maman a tenté de le ranimer. Les secours médicaux qui avaient été appelés n’ont pu que constater le décès.
Les enquêteurs ignoraient que les vaccins étaient susceptibles d’entraîner des décès.
L’enquête qui fut réalisée a conclu que le décès de Reid était accidentel ! La cause immédiate figurant sur son rapport d’autopsie précise que le décès était dû à une « possible suffocation » sans qu’il n’existe aucun signe ni preuve que le bébé ait suffoqué. Reid ne s’est pas débattu, n’a pas lutté le moins du monde quand il était endormi sur la poitrine de son père. Il a juste cessé de respirer pendant son sommeil.
Le rapport officiel stipule que l’enfant a dû dormir dans un environnement qui s’avérait dangereux pour son sommeil.
La maman de Reid savait que les vaccins avaient tué son petit garçon
[…] Les médecins, les médecins légistes et les chercheurs ont ignoré la cause la plus plausible du décès de l’enfant. Il est intéressant de voir à quel point il est facile d’exclure la responsabilité des vaccins, sans que quiconque ait à prouver que les vaccins n’ont pas provoqué les dommages, bien que la liste des effets secondaires pour chaque vaccin comprend la possibilité de décès.
Le médecin de Reid était légalement tenu de faire parvenir un rapport au VAERS, qu’il ait ou non pensé que les vaccins étaient la cause de la mort de l’enfant., mais il ne l’a pas fait. Il n’a pas non plus été tenu responsable d’avoir vacciné Reid, alors que le bébé était encore en convalescence à la suite d’une infection antérieure.
Au cours de sa courte vie de onze semaines, Reid a reçu une injection de vitamine K et de la morphine pendant plusieurs jours, ainsi qu’un total de neuf doses de vaccin. Les ingrédients de chacun de ces vaccins sont étonnamment dangereux [5] Cela n’a aucun sens de vouloir ignorer les produits dangereux que Reid a reçus au cours de sa courte vie. Ces produits qui lui ont été administrés par des « fournisseurs de soins de santé » sont connus pour déclencher des apnées et des arrêts respiratoires.
Il est devenu évident pour les parents que le fait d’avoir écarté la responsabilité des vaccins dans les rapports d’autopsie et dans le certificat de décès est bien la cause la plus plausible de la mort de l’enfant, surtout quand aucune autre cause de décès n’a pu être mise en valeur. Il s’agissait probablement de cacher intentionnellement la vérité pour que les parents n’aient pas à se poser de questions. Si jamais des vaccins devaient endommager votre santé ou celle de vos enfants, vous pouvez vous attendre à être traité de la même manière. Le programme de vaccination sera protégé coûte que coûte et l’histoire de votre enfant sera glissée sous le tapis et à peine reconnue.
Le Registre Fedéral du Ministère de la Santé Américain (Federal Register of Health and Human Services) de 1984 n’hésite pas à publier : «… tous les doutes possibles à propos de la sécurité du vaccin, qu’ils soient parfaitement fondés ou non, ne peuvent être autorisés à exister ». (NDR)
Suite à l’insistance des médecins, la maman avait pris du Suboxone pour une dépendance qu’elle avait eue précédemment aux opiacés et dont elle se remettait. [6] Il est connu que le Suboxone pris au cours de la grossesse peut causer des dommages au fœtus et provoquer des problèmes respiratoires. Comme Christy ne voulait pas que son bébé ait à souffrir des effets secondaires de son traitement de sevrage, elle n’avait pris que de faibles doses du médicament qui lui avait été prescrit. [6] Sa dépendance aux opiacés qui sont des médicaments contre la douleur, a commencé après que ces médicaments lui aient été prescrits après une opération de l’épaule quand elle avait 21 ans.
Christie dut aussi recevoir une injection de RhoGAM pendant sa grossesse et une autre après la naissance de l’enfant. Bien qu’elle n’aimait pas les piqûres, on lui fit comprendre qu’elle n’avait pas le choix. Mais son médecin ne lui a pas expliqué que ce médicament n’avait pas été testé correctement sur des femmes enceintes et pouvait provoquer des dommages au fœtus en développement, y compris des problèmes respiratoires. [8]
C’est le 7 mars 2015 que le petit Reid est né par césarienne.
Peu de temps après sa naissance, Reid reçut une injection de vitamine K qui contient jusqu’à 100 mcg d’aluminium. On sait que ce produit peut causer des jaunisses qui peuvent être graves. La plupart des parents, y compris Christy, ignoraient la chose.[9]
Ensuite, Reid a reçu le vaccin contre l’hépatite B qui contient 250 mcg d’aluminium parmi d’autres neurotoxines. Il est associé à des insuffisances hépatiques comme à de nombreuses réactions graves qui sont généralement ignorées des parents. [10]
Le 8 mars, le lendemain de sa naissance, le médecin a signé un document attestant que la santé de l’enfant était bonne et qu’il pouvait rentrer le lendemain à la maison.
Il buvait régulièrement ses biberons.
Le personnel médical met Reid sous morphine
Le 10 mars, alors que Christy se préparait à rentrer à la maison, une infirmière entendit parler de Suboxone au moment où elle entendait Reid éternuer […]
En dépit de ce que les médecins avaient dit auparavant, ils décidèrent de maintenir Reid à l’hôpital pour 11 jours sous morphine. La santé de Reid s’altéra. Il n’arrêtait pas de pleurer et avait commencé à avoir de la diarrhée.
Reid rentre finalement à la maison après avoir reçu de la morphine pendant plusieurs jours à l’hôpital.
Christy écrit :
« … Je puis honnêtement dire que Reid était bien avancé pour son âge. Il tenait bien sa tête. Il a commencé à sourire et à rire très tôt…
Evidemment nous l’avons emmené chez le pédiatre pour sa première visite. A deux mois, il fallait qu’il soit vacciné.
Quand il dut recevoir ses vaccins de deux mois, le 7 mai 2015, il était quelque peu congestionné. J’étais très craintive par tout ce que j’avais entendu dire sur la coqueluche et je voulais m’assurer qu’il ne faisait pas une coqueluche. Je savais qu’on ne devait pas vacciner un enfant malade. Nous avons donc reporté la vaccination d’une semaine en attendant les résultats. En fait, Reid ne faisait pas une coqueluche.
Dusty le conduisit finalement au centre pédiatrique pour recevoir ses vaccins.
Reid a réagi aux vaccins, mais le pédiatre n’a pas tenu compte des signes avant-coureurs.
Quand ils sont revenus de la visite au centre pédiatrique, Reid était évanoui. Il a ainsi dormi pendant 11 heures d’affilée. Bien que je savais ce qui pouvait se passer après des vaccinations, j’ai quand même appelé le médecin qui nous a répondu que tout allait bien.
Quand il s’est réveillé, il était irritable. Il ne voulait pas qu’on le couche, il a été vraiment difficile pendant des jours. Il ne souriait plus, ne riait plus comme avant. Il ne vidait plus ses biberons comme précédemment. Il n’arrêtait pas d’être agité. Je me rappelle du dernier bain que je lui ai donné ; il n’arrêtait pas de crier et de pleurer. Il n’avait jamais pleuré et crié comme cela auparavant.
Le 29 mai 2015, Dusty lui donna le biberon à 4 heures. Le petit n’en but qu’une petite partie. Reid dormait sur la poitrine de son papa parce qu’il ne voulait pas qu’on le mette dans son berceau. Dusty en voyait un peu de toutes les couleurs ! Quand je me suis réveillée à 7 heures, j’ai été voir les enfants. J’ai pu constater que Reid respirait encore ; il dormait toujours sur la poitrine de son papa.
La maman : « alors que je me préparais à partir, Dusty est arrivé en courant avec le bébé dans les bras, en criant : QUELQUE CHOSE NE VA PAS ! C’est à ce moment que tout mon monde a basculé.
Nous avons appelé le 911. J’ai pris Reid dans mes bras et essayant de le réveiller, mais il n’y avait pas moyen. J’ai tenté une réanimation comme je pouvais, mais ne parvenais pas à le ranimer. Une sorte de mucus sanguinolent sortait de sa bouche et avait déjà taché la chemise de Dusty à l’endroit où Reid avait posé la tête. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour le ramener à la vie. Je savais que peu de temps avant, quand je me suis réveillée, il était encore en vie. Quand les services d’urgence sont arrivés, ils ont été obligés de constater que notre petit Reid était déjà mort. Je me suis retrouvée en état de choc. J’ai appelé toute la famille et n’ai plus arrêté de pleurer, de crier… La vie de mon bébé avait pris fin. Je n’avais pu le chérir que pendant 11 semaines avant qu’il ne devienne un merveilleux petit ange. »
Je sais que ce sont les vaccins qui ont tué mon petit
Spirituellement, je me suis sentie morte pendant trois ou quatre semaines. Je ne sortais plus de mon lit, je ne mangeais plus, ne me lavais plus, ne me peignais plus, rien ! […]
Après tout ce temps, la douleur est toujours vive. J’essaie de me rendre sur la tombe chaque fois que j’en ai l’occasion, bien que cela m’affaiblisse et me rende malade. Je suis en même temps furieuse de réaliser que mon doux petit est là dans une foutue boîte en-dessous de toute cette horrible terre. Ce n’est vraiment pas juste. Ce sont les vaccins qui m’ont volé toute la vie de mon petit.
Il est important de demander aux parents de s’informer sur les vaccins
« Je voudrais tellement que les gens se réveillent ! J’ai des amis qui font vacciner leurs bébés. Que leur faut-il pour comprendre ? J’ai envie de faire quelque chose pour que le départ de Reid n’ait pas été vain. De grâce, réfléchissez à deux fois avant de faire vacciner vos enfants. Si ce drame m’est arrivé, il peut aussi vous arriver !
Je sais qu’il y a des personnes qui consacrent leur vie à répandre l’information sur ces vaccins-poison qui tuent nos enfants ou qui endommagent la santé des gens. Vous vous dites peut-être que c’est fou, et que pareille chose ne pourrait jamais vous arriver ! Si je le pouvais, je voudrais parler de ces drames tout au long de mes journées !
Quand mon petit est mort, j’ai pensé me suicider. Je sais que les opinions divergent à ce sujet et c’est Ok. Tout ce que je veux c’est que les gens arrêtent de se faire vacciner, mais beaucoup ne savent rien du sujet et vont continuer…Je crois que ce qui est important aujourd’hui c’est d’éveiller les consciences. Pour Reid, cette prise de conscience est malheureusement arrivée trop tard, mais pour beaucoup d’autres mamans il n’est pas encore trop tard.
REVEILLEZ-VOUS LES AMIS AVANT QUE VOUS NE SOYEZ CONTRAINTS DE VIVRE LE RESTANT DE VOS JOURS EN SOUHAITANT QUE QUELQU’UN VOUS AIT REVEILLE DE VOTRE CAUCHEMAR !
Références:
- https://vactruth.com/vaccine-schedule/
- http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/
- http://articles.mercola.com/sites/articles…
- https://vaers.hhs.gov/index
- http://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook…
- http://www.suboxone.com/
- http://www.suboxone.com/content/pdfs/prescribing-information.pdf
- http://www.healthcoalition.com/files/pinfo/RhoGAM-P.I..pdf
- http://www.scribd.com/doc/33874512/Merck-Vitamin-K…
- https://www.gsksource.com/pharma/content…
Source: Vactruth