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9 juin 2016 4 09 /06 /juin /2016 21:45

Le cœur d’un enfant s’arrête de battre après un vaccin

La maman parvient à sauver la vie de sa petite fille

 

« Ce que je vais vous raconter est la chose la plus horrible que des parents puissent vivre »

 

Une petite fille de deux mois a fait une grave réaction après sa visite chez le médecin

 

A la suite de ce qui est arrivé à ma petite fille, je crois pouvoir dire qu’il n’y a pas un seul vaccin qui soit sûr, pas un seul ! Il suffit d’un seul ingrédient de vaccin, et d’un seul pour pouvoir mettre un terme à la vie d’un enfant. Ceci est très important à comprendre parce qu’aujourd’hui des parents sont forcés de prendre la décision de faire vacciner leur enfant pour leur permettre d’aller à l’école. Ces parents sont persuadés qu’il n’y a pas d’autre choix ; c’est vraiment terrifiant, parce que suite à ce que nous avons vécu, il suffit d’un seul ingrédient !

 

Pour la visite médicale de 2 mois, nous avions déjà décidé de ne pas faire tous les vaccins prescrits. Nous avons longtemps discuté avec le pédiatre et lui avons demandé quels vaccins nous devions absolument administrer à notre petite fille à l’âge qu’elle avait. Le pédiatre nous a suggéré le DTCa et le vaccin contre le pneumocoque. Il nous a aussi dit que l’enfant pourrait présenter des rougeurs sur chaque jambe et qu’elle pourrait faire de la fièvre. A aucun moment, il ne nous a dit qu’elle pourrait s’arrêter de respirer, faire des convulsions ou qu’elle pourrait faire d’autres réactions négatives.

 

Après avoir reçu des pressions de la part de médecins, de la famille, nous avons finalement décidé de faire les deux vaccins recommandés par le pédiatre.

 

Alors que ma petite fille dormait dans mes bras, une infirmière est arrivée et l’a vaccinée dans les deux jambes.

 

Il y a plusieurs choses auxquelles il faut prêter attention en cas de vaccination, par exemple : le vaccin a-t-il été soigneusement préparé ? Il faut aussi connaitre les numéros du lot et du vaccin lui-même. Il faut aussi savoir si le vaccin a été conservé dans les meilleures conditions possibles, s’il s’agit du bon vaccin. Combien de parents m’ont expliqué que l’on s’était trompé de vaccin ! Certains parents m’ont même dit que leur enfant avait reçu deux fois le même vaccin ! Ce sont là des choses qui font peur. C’est la raison pour laquelle il convient d’être certain à 100% sur tous les points.

 

Dans ce domaine, il n’est pas possible de prendre des décisions à la va-vite. On ne peut pas non plus vous forcer à prendre une décision qu’en votre âme et conscience vous ne sentez pas juste. Il vous faut aussi connaitre toutes les conséquences possibles de la décision que vous serez amené à prendre. Personnellement, je n’en savais pas assez sur toutes les conséquences possibles. J’ai seulement fait confiance à ce que disait le pédiatre.

 

Peu de temps après que ma petite fille ait été vaccinée, elle a commencé à pleurer, à pousser des cris perçants, à hurler (cris encéphaliques). Nous n’avions jamais entendu cela ! Il était totalement impossible de la consoler ou l’apaiser, rien ne marchait. Je pleurais finalement autant qu’elle !

 

Je me rappelle qu’une fois rentrés à la maison j’ai essayé de l’allaiter. Puis brusquement elle s’est arrêtée de pleurer et de hurler. Je me sentais soulagée : enfin, elle ne pleurait plus !

 

Maintenant, je suis triste et je m’en veux d’avoir été soulagée quand elle s’est endormie parce que ce que je vais vous raconter est la chose la plus horrible que des parents puissent vivre:

 

Mon mari devait rencontrer un ami. Il m’avait promis qu’il ne s’absenterait pas plus d’une heure. J’ai cependant insisté pour qu’il reste avec moi. J’avais peur et ne savais pas à quoi je pouvais m’attendre, bien que la petite semblait bien dormir dans son berceau et ne pleurait plus. Mon mari m’a assurée qu’il n’en aurait pas pour longtemps et que je pouvais le rappeler à n’importe quel moment. Pendant tout ce temps, il a fallu que je m’occupe à faire la cuisine et à nettoyer. J’ai fini par me faire un sandwich parce que je n’avais rien mangé de toute la journée.

 

J’étais assise dans le fauteuil quand brusquement je fus prise de terribles nausées que je ne m’expliquais pas. Il y avait comme une force qui me contraignait à me lever et à aller vérifier l’état de notre petite fille.

 

Quand je suis rentrée dans la chambre, j’ai allumé et je me suis de suite rendue compte que quelque chose n’allait pas. J’ai mis ma main sur sa poitrine, je l’ai appelée par son nom, je l’ai prise dans mes bras. Il n’y avait plus de réaction. Je me sentais perdue, je ne savais plus quoi faire. Finalement je l’ai allongée sur le sol tout en étant terrifiée de ne pas connaitre les gestes précis de réanimation !

 

J’ai fait tout ce que j’ai pu pour la réanimer, et après ce qui m’a semblé être une éternité,elle a enfin réagi et a recommencé à respirer.

 

Je l’ai reprise dans mes bras ; j’ai pris le téléphone pour appeler les services d’urgence, mais ma batterie était à plat. C’est alors que je suis sortie dans la rue et ai commencé à crier. Un voisin est venu et a appelé les services d’urgence. On nous a alors conduites à l’hôpital. Je me rappelle que le pédiatre a commencé à faire des tests qui ont duré des heures. Il a finalement pu déterminer que la réaction de ma petite fille était due au vaccin DTCa, et il m’a dit : «  si vous n’étiez pas rentrée dans sa chambre pour vérifier son état, on aurait maintenant un cas de mort subite du nourrisson !

 

J’ai des parents et amis qui ont perdu leur bébé à la suite des vaccins.

 

Je me sens parfois si coupable vis-à-vis d’eux parce que moi, j’ai pu sauver mon bébé. Je me sens alors torturée, remplie d’un chagrin avec lequel il faut que je continue à vivre.

 

Je prie tous les jours pour que les parents puissent faire davantage de recherches et qu’ils comprennent qu’il n’existe aucun vaccin sans danger, qu’il n’existe AUCUN vaccin sûr. Les parents doivent savoir qu’il suffit d’un seul ingrédient pour enlever la vie à leur enfant !

 

Rapporté par Larry Cook, 6 mai 2016.

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commentaires

B
Ce témoignage m'a fait penser à un autre témoignage beaucoup plus fort que m'avait donné une personne à côté de laquelle j'étais assis à l'assemblée générale de la Ligue pour la liberté des vaccination dans les années 70. Elle fut la maman d'un garçon qui avait fait une réaction très grave à la suite de la vaccination antivariolique. Il faisait 4 crises d'épilepsie par jour et aucune institution ne pouvant le prendre la maman avait dû abandonner son travail pour s'occuper de lui pratiquement 24h sur 24 pendant 20 ans, jusqu'à sa mort. <br /> <br /> En développant des trésors de patience, elle lui apprendra à lire, ce qu'aucune institution de l'Etat n'avait accepté de tenter de faire. Il n'y aura aucun soutien financier car à l'époque la loi rendant l'Etat responsable des conséquences des vaccinations obligatoires n'existait pas. Ce cas, avec d'autres, contribuera d'ailleurs à faire voter cette loi, mais après un très long combat parlementaire.<br /> <br /> Cette maman m'avait laissé une impression extraordinaire de force et de détermination. Elle ne sortait nullement abattue par une épreuve aussi terrible par sa quotidienneté prolongée. Elle avait tout donné pour son fils et, après sa mort, voulait oeuvrer pour les autres dans des cas plus ou moins comparables.<br /> <br /> A la même époque plusieurs jours par an et pendant plusieurs années, je tenais des stands sur les vaccination dans des manifestations organisées par l'agriculture dite bio. Ce fut en quelque sorte mon cabinet médical où des personnes me racontaient leurs drames vaccinaux. Chez un agriculteur, un enfant très gravement atteint par la vaccination antivariolique ne pouvait être laissé seul. Pour traire les vaches on l'emmenait et on l'attachait à un anneau pour le bétail.<br /> <br /> J'ai découvert ainsi l'existence d'une très grande souffrance silencieuse, cachée par les autorités qui affirmaient que les accidents graves de la vaccination antivariolique étaient exceptionnels, un pour 2 millions de vaccinations …<br /> <br /> Plus encore, dans le journal Le Monde du 16 octobre 2001, (période des lettres à l'anthrax aux USA) le professeur Henri Mollaret, ancien directeur du service de la Peste à l'Institut Pasteur déclare : «Il y a effectivement des personnes qui, dans les jours suivant une vaccination antivariolique, ont fait un accident, certains graves. Il y aussi eu des cas de mort. J'ai relu toutes les publications sur ce thème, j'ai interrogé des spécialistes de neurologie... Rien ne permet de faire la part entre un lien de causalité et une simple coïncidence. »<br /> <br /> Quelques jours plus tard, le 25 octobre l'InVS sortait un document sur la conduite à tenir face à une menace de variole. Rédigé par 2 experts, Nicole Guérin et Daniel Lévy Bruhl il reconnaissait la dangerosité de cette vaccination, ce qui sera confirmé par les vaccinations antivarioliques pratiquées par les USA et Israël en 2003 devant la soi-disant menace de Saddam Hussein (il avait le virus disait-on et quand les Etats -Unis attaqueront il se vengera en attaquant les USA avec le virus …). Le président des Etats Unis lancera la campagne en se faisant vacciner (en principe) devant les caméras de télévision. En France on vaccinera environ 150 personnes destinées à constituer une équipe dédiée d'intervention au cas où. Il y eut une complication sérieuse parmi eux.<br /> <br /> En septembre 2014, alors que je venais d'assister à un colloque sur les vaccinations à l'hôpital Pompidou, un membre du CTV qui y participait me confirmera dans le métro la grande dangerosité de ce vaccin.<br /> <br /> Il existe une règle : tant qu'on utilise un vaccin celui-ci doit être affirmé inoffensif (ou presque) pour ne pas risquer de compromettre les campagnes de vaccination. Cette règle fut totalement appliquée pour la vaccination antivariolique. Elle est appliquée de la même façon pour les autres vaccinations.
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L
"Je me sens parfois si coupable vis-à-vis d’eux parce que moi, j’ai pu sauver mon bébé. Je me sens alors torturée, remplie d’un chagrin avec lequel il faut que je continue à vivre."<br /> <br /> C'est un peu comme moi. Je n'ai pas perdu d'enfant mais j'ai pu guérir parce que je me suis trouvée en face de personnes qui m'ont informée et que j'ai eu la chance de me poser des questions et de réfléchir suite à cela. Alors quand je vois comme la maladie a évolué depuis trente à quarante ans pour une énorme partie de la population... J'ai l'impression que la santé est en train de dégringoler à un point tel que je me demande si cela pourra être récupérable.
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L
"Je prie tous les jours pour que les parents puissent faire davantage de recherches et qu’ils comprennent qu’il n’existe aucun vaccin sans danger, qu’il n’existe AUCUN vaccin sûr. Les parents doivent savoir qu’il suffit d’un seul ingrédient pour enlever la vie à leur enfant !"<br /> (Si quelqu'un sait comment mettre en gras, italique ou autre les citations, merci de m'expliquer.)<br /> <br /> Certaines maladies peuvent aussi enlever la vie et les parents qui savent que des risques graves existent du côté du vaccin doivent vivre de vrais dilemmes. Hors obligation vaccinale, ils choisissent l'un ou l'autre mais ne sont pas aussi "rassurés" que ceux qui ne savent rien des risques vaccinaux. Finalement, croire en l'innocuité des vaccins est beaucoup plus confortable qu'ouvrir les yeux, cela n'encourage donc pas les gens à les ouvrir.<br /> <br /> Ce qu'il faudrait pouvoir offrir aux gens en plus de l'information sur les risques des maladies et des vaccins, ce sont des solutions pour "affronter" la maladie lorsqu'elle se présente et l'explication du pourquoi et du comment des maladies. Parce que la thèse des vilains virus, microbes, bactéries, etc... qui attaquent le pauvre être humain qui n'a que la médecine moderne pour le protéger, cela ne tient pas debout. Ou alors, il faudra m'expliquer comment ont fait ceux qui ont amélioré leur état de santé ou guéri en cessant de l'utiliser et en particulier ceux à qui elle n'avait donné aucun espoir d'amélioration ni de guérison. <br /> <br /> Réclamons des recherches officielles qui vont dans le sens d'une véritable compréhension du pourquoi et du comment des maladies. (Le problème, c'est que si cela se fait, c'est tout un pan de la médecine moderne qui va s'effondrer, c'est probablement pour cette raison que cela ne se fait pas.) Et puis, cherchons à nous informer sur les solutions qui existent déjà parce qu'il y en a ; elles ne sont certes pas reconnues officiellement mais elles ne peuvent pas l'être, elles sont trop dangereuses pour la médecine moderne.
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I
Bonjour, je remarque un oubli et un ajout.<br /> <br /> Vous ne dites pas que l'événement s'est passé en 2011 et que ce n'est pas le premier message ni la première vidéo de Nikie DesRoches sur cette anecdote particulière. En vous lisant, tout laisse penser que ça s'est passé ces derniers jours, ce qui prête à confusion.<br /> <br /> D'autre part, le contenu du témoignage a été altéré quand vous avez ajouté "cris encéphaliques", ce qui je pense n'est pas mentionné dans la vidéo. Pour quelle raison avez-vous jugé nécessaire d'ajouter cette donnée inexistante ? Avez vous effectué d'autres altérations ?
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B
Cela fait du bien de regarder l'authenticité du visage de cette maman. La vérité sortira, elle pourrait venir d'arguments soigneusement étayés, ils existent. Mais on a vu comment certains n'hésitent pas à faire n'importe quoi avec les mots pour défendre l'indéfendable. Cette maman ne joue pas avec les mots, elle dit le vrai, elle dit sa souffrance et celle de son enfant, elle exprime la vie.<br /> Les vaccins peuvent enlever la vie. Il est logique que ceux qui les défendent mordicus en jouant sur les mots aient perdu, d'une façon ou d'une autre, le contact avec la vie. La vérité sur les vaccins finira par sortir mais je crains que ce ne puisse être que sur un océan de souffrances alors qu'on pourrait l'éviter.
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I
"Cela fait du bien de regarder l'authenticité du visage de cette maman. [...] Cette maman ne joue pas avec les mots, elle dit le vrai, elle dit sa souffrance et celle de son enfant, elle exprime la vie."<br /> <br /> Selon votre logique, cette mère a 7 fois plus raison, quand elle raconte que ses 7 enfants ont attrapé la coqueluche parce qu'elle était contre les vaccins: http://thescientificparent.org/learning-the-hard-way-my-journey-from-antivaxx-to-science/<br /> <br /> C'est une autre mère qui dit sa souffrance et celle de ses enfants. Avec les même peurs, et les mêmes descriptions que toutes les mères en souffrances. ("toussait tellement fort qu'ils s'étouffait ou vomissait. Je n'avais rien vu de tel"). Comme vous dites: Elle dit le vrai, elle exprime la vie.<br /> <br /> En ce qui me concerne, je pense qu'être sincère est très différent de dire "le vrai".<br /> <br /> Chacun des arguments irrationnels (l'authenticité, le vrai, la souffrance, la vie) qui sont avancés pour justifier qu’une mère a raison de se méfier des vaccins peut EN MÊME TEMPS justifier qu’une autre mère ait raison de faire confiance aux vaccins. Ou ait raison de penser que la maladie est l’œuvre du démon. Ou ait raison de penser que son enfant est malade à cause d'un mauvais sort jeté par ce religieux qui passait par là.<br /> <br /> « Condamné à un an de prison ferme pour sorcellerie [...] Les lycéennes sous l’emprise du phénomène mystérieux qui s’est emparé de leur école, ont prononcé son nom pendant leurs crises.» http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/sorcellerie-kohen-rivolala-acquitte/<br /> <br /> <br /> Une certitude qui vient des tripes plutôt que du cerveau finit immanquablement par faire pointer des doigts accusateurs et générer des victimes additionnelles.<br /> <br /> Face à la peur, les gens sont avides de réponses, et il est tentant d’aller chercher chez l’autre ce que l’on ne comprend pas soi-même. Un raisonnement rationnel et dépassionné permet de se tourner vers celui qui a des réponses, plutôt que vers celui qui parle le plus fort.

                    

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