Le cœur d’un enfant s’arrête de battre après un vaccin
La maman parvient à sauver la vie de sa petite fille
« Ce que je vais vous raconter est la chose la plus horrible que des parents puissent vivre »
Une petite fille de deux mois a fait une grave réaction après sa visite chez le médecin
A la suite de ce qui est arrivé à ma petite fille, je crois pouvoir dire qu’il n’y a pas un seul vaccin qui soit sûr, pas un seul ! Il suffit d’un seul ingrédient de vaccin, et d’un seul pour pouvoir mettre un terme à la vie d’un enfant. Ceci est très important à comprendre parce qu’aujourd’hui des parents sont forcés de prendre la décision de faire vacciner leur enfant pour leur permettre d’aller à l’école. Ces parents sont persuadés qu’il n’y a pas d’autre choix ; c’est vraiment terrifiant, parce que suite à ce que nous avons vécu, il suffit d’un seul ingrédient !
Pour la visite médicale de 2 mois, nous avions déjà décidé de ne pas faire tous les vaccins prescrits. Nous avons longtemps discuté avec le pédiatre et lui avons demandé quels vaccins nous devions absolument administrer à notre petite fille à l’âge qu’elle avait. Le pédiatre nous a suggéré le DTCa et le vaccin contre le pneumocoque. Il nous a aussi dit que l’enfant pourrait présenter des rougeurs sur chaque jambe et qu’elle pourrait faire de la fièvre. A aucun moment, il ne nous a dit qu’elle pourrait s’arrêter de respirer, faire des convulsions ou qu’elle pourrait faire d’autres réactions négatives.
Après avoir reçu des pressions de la part de médecins, de la famille, nous avons finalement décidé de faire les deux vaccins recommandés par le pédiatre.
Alors que ma petite fille dormait dans mes bras, une infirmière est arrivée et l’a vaccinée dans les deux jambes.
Il y a plusieurs choses auxquelles il faut prêter attention en cas de vaccination, par exemple : le vaccin a-t-il été soigneusement préparé ? Il faut aussi connaitre les numéros du lot et du vaccin lui-même. Il faut aussi savoir si le vaccin a été conservé dans les meilleures conditions possibles, s’il s’agit du bon vaccin. Combien de parents m’ont expliqué que l’on s’était trompé de vaccin ! Certains parents m’ont même dit que leur enfant avait reçu deux fois le même vaccin ! Ce sont là des choses qui font peur. C’est la raison pour laquelle il convient d’être certain à 100% sur tous les points.
Dans ce domaine, il n’est pas possible de prendre des décisions à la va-vite. On ne peut pas non plus vous forcer à prendre une décision qu’en votre âme et conscience vous ne sentez pas juste. Il vous faut aussi connaitre toutes les conséquences possibles de la décision que vous serez amené à prendre. Personnellement, je n’en savais pas assez sur toutes les conséquences possibles. J’ai seulement fait confiance à ce que disait le pédiatre.
Peu de temps après que ma petite fille ait été vaccinée, elle a commencé à pleurer, à pousser des cris perçants, à hurler (cris encéphaliques). Nous n’avions jamais entendu cela ! Il était totalement impossible de la consoler ou l’apaiser, rien ne marchait. Je pleurais finalement autant qu’elle !
Je me rappelle qu’une fois rentrés à la maison j’ai essayé de l’allaiter. Puis brusquement elle s’est arrêtée de pleurer et de hurler. Je me sentais soulagée : enfin, elle ne pleurait plus !
Maintenant, je suis triste et je m’en veux d’avoir été soulagée quand elle s’est endormie parce que ce que je vais vous raconter est la chose la plus horrible que des parents puissent vivre:
Mon mari devait rencontrer un ami. Il m’avait promis qu’il ne s’absenterait pas plus d’une heure. J’ai cependant insisté pour qu’il reste avec moi. J’avais peur et ne savais pas à quoi je pouvais m’attendre, bien que la petite semblait bien dormir dans son berceau et ne pleurait plus. Mon mari m’a assurée qu’il n’en aurait pas pour longtemps et que je pouvais le rappeler à n’importe quel moment. Pendant tout ce temps, il a fallu que je m’occupe à faire la cuisine et à nettoyer. J’ai fini par me faire un sandwich parce que je n’avais rien mangé de toute la journée.
J’étais assise dans le fauteuil quand brusquement je fus prise de terribles nausées que je ne m’expliquais pas. Il y avait comme une force qui me contraignait à me lever et à aller vérifier l’état de notre petite fille.
Quand je suis rentrée dans la chambre, j’ai allumé et je me suis de suite rendue compte que quelque chose n’allait pas. J’ai mis ma main sur sa poitrine, je l’ai appelée par son nom, je l’ai prise dans mes bras. Il n’y avait plus de réaction. Je me sentais perdue, je ne savais plus quoi faire. Finalement je l’ai allongée sur le sol tout en étant terrifiée de ne pas connaitre les gestes précis de réanimation !
J’ai fait tout ce que j’ai pu pour la réanimer, et après ce qui m’a semblé être une éternité,elle a enfin réagi et a recommencé à respirer.
Je l’ai reprise dans mes bras ; j’ai pris le téléphone pour appeler les services d’urgence, mais ma batterie était à plat. C’est alors que je suis sortie dans la rue et ai commencé à crier. Un voisin est venu et a appelé les services d’urgence. On nous a alors conduites à l’hôpital. Je me rappelle que le pédiatre a commencé à faire des tests qui ont duré des heures. Il a finalement pu déterminer que la réaction de ma petite fille était due au vaccin DTCa, et il m’a dit : « si vous n’étiez pas rentrée dans sa chambre pour vérifier son état, on aurait maintenant un cas de mort subite du nourrisson !
J’ai des parents et amis qui ont perdu leur bébé à la suite des vaccins.
Je me sens parfois si coupable vis-à-vis d’eux parce que moi, j’ai pu sauver mon bébé. Je me sens alors torturée, remplie d’un chagrin avec lequel il faut que je continue à vivre.
Je prie tous les jours pour que les parents puissent faire davantage de recherches et qu’ils comprennent qu’il n’existe aucun vaccin sans danger, qu’il n’existe AUCUN vaccin sûr. Les parents doivent savoir qu’il suffit d’un seul ingrédient pour enlever la vie à leur enfant !