La folie de la vaccination contre l’hépatite B
Vactruth, 08.07.2016
La vaccination contre l’hépatite B est une vaccination que même les pro-vaccins devraient remettre en question sur base du plus élémentaire bon sens.
Cette vaccination est systématiquement administrée le jour de la naissance avec des rappels réguliers tout au cours de l’enfance.
Cette maladie qui est assez rare est cependant plus fréquente chez les adultes faisant partie de groupes à haut risque, comme ceux qui vivent dans une promiscuité sexuelle ou les toxicomanes qui partagent des aiguilles.
Les risques que comporte l’administration de cette vaccination à des nouveau-nés en bonne santé sont relativement élevés et peuvent comprendre des invalidités permanentes et des décès. La protection promise par cette vaccination est au mieux une promesse vide de sens. Même les fabricants de vaccin ne garantissent pas que le vaccin puisse offrir une immunité durable contre l’hépatite B.
L’hépatite B comme maladie
Les symptômes de l’hépatite B comprennent : fatigue, nausées, vomissements, légère fièvre, douleurs et gonflements des articulations, maux de tête. Une toux peut précéder la maladie d’une à deux semaines avant que n’apparaisse une jaunisse et une hypertrophie du foie qui peuvent durer de trois à quatre semaines. La fatigue, elle, peut durer jusqu’à un an.
95% des cas guérissent complètement avec un taux très faible de mortalité de 0,1 pour cent de ceux qui ne récupèrent pas complètement. Les personnes qui se remettent acquièrent une immunité à vis à la maladie. Parmi les 5% de ceux qui ne récupèrent pas complètement, moins de 5% deviennent des porteurs chroniques de la maladie.
L’hépatite B est une maladie qui survient rarement chez les enfants. La majorité des personnes infectées ont entre 20 et 39 ans. Les Etats-Unis et l’Europe occidentale ont des taux très bas : de 0,1 à 0,5% de la population générale.
Alors que les nourrissons peuvent contracter l’hépatite B d’une mère infectée, cette forme de transmission représente un très faible pourcentage des cas d’hépatite B. L’hépatite B est considérée comme une maladie d’adulte qui est le plus souvent transmise par le sang ou les liquides organiques. Ce n’est pas une maladie très contagieuse et elle est rare dans l’enfance. [1]
Les personnes le plus à risque pour l’hépatite B
Les populations suivantes sont à risque accru d’infection par le virus de l’hépatite B :
- Les nourrissons issus de mères infectées
- Les partenaires sexuels de personnes infectées
- Les personnes sexuellement actives qui ne vivent pas une relation monogame à long terme
- Les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes
- Les utilisateurs de drogues injectables
- Les contacts de personnes atteintes d’une infection chronique VHB
- Le personnel des soins de santé qui pourraient être exposés à du sang ou à des liquides corporels contaminés.
- Des patients hémodialysés
- Les résidents ou le personnel des établissements pour personnes handicapées
- Les voyageurs à destination de pays où la prévalence de l’infection est élevée [2]
A l’exception des nourrissons nés de mères infectées, les nourrissons et les enfants sont à très faible risque de contracter l’hépatite B.
Vacciner tous les nourrissons contre une maladie relativement bénigne qu’ils sont peu susceptibles de contracter n’a aucun sens.
Histoire de la vaccination contre l’hépatite B qui commence à la naissance
En 1991, la recommandation a été faite de vacciner tous les nourrissons contre l’hépatite B.[3]
En 2005, les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) ont mis à jour une politique qui exigeait que tous les nouveau-nés reçoivent le vaccin contre l’hépatite B avant de quitter l’hôpital ou la maternité. Dans le cadre de la recommandation du CDC, toutes les mères doivent être testées pour l’antigène de l’hépatite B. En ce qui concerne les mères séro-positives, leurs bébés doivent obligatoirement recevoir des immunoglobulines contre l’hépatite B (HBIG) en plus de la vaccination contre l’hépatite B.
Les mères dont le test est négatif pour l’hépatite B, ainsi que celles pour lesquelles les tests ne sont pas concluants, sont fortement encouragées à faire vacciner leurs enfants. En fait, tous les nourrissons sont régulièrement vaccinés. Les parents qui ne veulent pas que leur enfant soit vacciné doivent le faire savoir clairement à l’hôpital avant d’y entrer pour accoucher. Les mères sont exhortées à avoir recours à un pédiatre pour assurer la suite des vaccinations. [4]
Ce qui aurait plus de sens, si on croit à la sécurité et à l’efficacité des vaccins contre l’hépatite B, serait d’administrer le vaccin aux bébés et aux mères dont le test est positif pour l’hépatite B.
Calendrier actuel des vaccinations
Le Comité consultatif des pratiques d’immunisation recommande que tous les enfants reçoivent leur première dose de vaccin contre l’hépatite B à la naissance et qu’ils reçoivent ensuite la série de 3 vaccins à l’âge de 6-18 mois. Il est recommandé que les enfants plus âgés et les adolescents non vaccinés antérieurement reçoivent également la série des 3 vaccins. [5]
Le calendrier de vaccination des enfants contre l’hépatite B est approuvé par les groupes médicaux suivants :
- Comité consultatif sur les pratiques vaccinales
- L’Académie Américaine de Pédiatrie
- L’Académie Américaine des Médecins de Famille
- Le Collège Américain des obstétriciens et gynécologues
Le CDC recommande les vaccins combinés au lieu de vaccinations séparées [6]
Des faits inventés pour justifier le programme de vaccination contre l’hépatite B
En 1991, les médias ont publié des statistiques produites par le CDC pour promouvoir un programme de vaccination de masse contre l’hépatite B. Ces statistiques ne sont liées à aucun fait documenté, bien que ces données continuent à être utilisées aujourd’hui pour perpétuer la nécessité imaginaire de cette vaccination.
Le CDC a prétendu qu’il y aurait environ un million de personnes atteintes d’hépatite B aux Etats-Unis, et que, chaque année 5.000 personnes mourraient d’une maladie du foie. Aucune référence scientifique n’a jamais été donnée par le CDC. [7]
Aucune efficacité prouvée des vaccinations
Il n’a jamais été prouvé que quelque vaccin que ce soit ait été montré efficace contre une maladie. La seule chose qui soit testée est la création d’anticorps. Ceci est tout à fait différent d’une immunité réelle vis-à-vis de telle ou telle maladie. [8]
En fait, les récentes épidémies de rougeole et d’oreillons chez des personnes vaccinées fournissent la preuve que les vaccins ne sont pas efficaces. [9]
Le cas des vaccins contre l’hépatite B ne sont pas différents. Ce vaccin a pu produire une augmentation des anticorps, mais ce fait ne correspond PAS nécessairement à l’immunité. Les fabricants de vaccins eux-mêmes ne promettent pas l’immunité. [10]
Risques pour la santé associés à la vaccination
De juillet 1990 à 1996, plus de 16.000 rapports d’hospitalisation, de dommages et de décès après vaccination contre l’hépatite B ont été rapportés au VAERS (United- States Vaccine Adverse Events Reporting System).
Les rapports de décès de nourrissons sont le plus souvent répertoriés à tort comme causés par le « Syndrome de la mort subite du nourrisson ». Il est connu que moins de 10% des médecins déclarent les problèmes de santé qui font suite aux vaccinations.
Plusieurs revues médicales internationales ont démontré que la vaccination contre l’hépatite B est à l’origine de maladies chroniques graves, de maladies immunitaires et neurologiques tant chez les enfants que chez les adultes.
En 1996, Montinare et al ont publié une étude en Italie. Ils ont étudié le cas de 30 enfants et adultes. La plupart des enfants de 3 à 9 mois avaient souffert de convulsions et d’autisme après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B. Les auteurs ont conclu que les maladies auto-immunes étaient plus fréquentes dans les pays où les vaccins sont largement utilisés. [11]
Entre 1992 et 2005, 36.788 rapports de réactions indésirables ont été signalées au VAERS. 14.800 des personnes ayant souffert de réactions indésirables ont dû être hospitalisées. Beaucoup de ces réactions furent susceptibles de mettre la vie en danger, ce qui a entraîné des handicaps permanents. Les rapports ont signalé les cas de 781 personnes qui sont mortes suite à la vaccination contre l’hépatite B.
Les problèmes de santé suivants ont été causés par le vaccin contre l’hépatite B :
- Sclérose en plaques
- Diabète
- Syndrome de Guillain Barré
- Purpura thrombocytopénique idiopathique
- Convulsions et troubles du cerveau comme l’encéphalite
- Paralysie de Bell
- Lupus
- Troubles du spectre autistique
- Pancréatite
- Déficiences visuelles et auditives, y compris la névrite optique
- Dysfonctionnement immunitaire [12]
Conclusions
Le programme de vaccination contre l’hépatite B ciblant les nouveau-nés et les nourrissons n’a aucun sens. Il n’a pu être démontré que la vaccination contre l’hépatite B pouvait s’avérer efficace dans la prévention de cette maladie. Le risque que des enfants soient infectés par l’hépatite B sont très faibles.
L’hépatite B est une maladie qui n’est pas très contagieuse et qui tend surtout à infecter des adultes faisant partie de groupes à haut risque. La maladie est habituellement de durée limitée ; elle permet en outre d’acquérir une immunité à vie.
En revanche, de nombreuses conséquences graves sur la santé ont résulté de la vaccination contre l’hépatite B, y compris des invalidités permanentes et des décès.
Références
- http://www.nvic.org/nvic-archives/newsletter/untoldstory.aspx
- http://www.cdc.gov/hepatitis/hbv/hbvfaq.htm#D4
- http://www.nvic.org/nvic-archives/newsletter/untoldstory.aspx
- http://www.immunize.org/catg.d/p2130.pdf
- http://www.cdc.gov/hepatitis/hbv/vaccchildren.htm
- http://www.cdc.gov/vaccines/schedules/downloads…
- http://www.nvic.org/nvic-archives/newsletter/untoldstory.aspx
- https://vactruth.com/2014/12/12/10-reasons-not-to-vaccinate/
- https://vactruth.com/2016/02/18/mmr-vaccine/
- http://www.nvic.org/nvic-archives/newsletter/untoldstory.aspx
- http://www.nvic.org/nvic-archives/newsletter/untoldstory.aspx
- http://articles.mercola.com/sites/articles/archive…
Source : Vactruth
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