Existe-t-il une science objective qui permettrait de justifier les programmes de vaccination contre le HPV ?
Health Impact News, 19 octobre 2016
Au début de cette année Lucija Tomljenovic, PhD a présenté une conférence au cours du 4ème Symposium International sur les Vaccins à Leipzig, Allemagne. La conférence avait comme titre : Y a-t-il des preuves objectives que les programmes actuels de vaccination contre le HPV ne soient pas justifiés ?
Le Dr Tomljenovic se demande : où se trouvent les preuves, le cas échéant, que le vaccin contre le HPV prévient le cancer du col de l’utérus, et par conséquent puisse offrir des avantages à long terme ? Ces avantages doivent pouvoir être mis en balance avec les réactions indésirables graves, comme le Syndrome de Tachycardie Orthostatique Posturale, l’Insuffisance Ovarienne Primaire dues au vaccin, parmi beaucoup d’autres maladies auto-immunes.
Les essais cliniques ont montré que le vaccin pouvait empêcher une partie des lésions causées par les virus HPV 16 et 18. Et donc, de toute évidence on en a déduit qu’il était probable que le vaccin puisse prévenir le cancer du col de l’utérus.
La question qui se pose est celle-ci : quelqu’un peut-il faire un tel bond pour aboutir à pareille conclusion ?
Dernière diapositive de la conférence :
Est-il conforme à l’éthique de faire prendre des risques de décès ou de maladies auto-immunes invalidantes à de jeunes pré-adolescentes pour un vaccin qui n’a pas encore empêché un seul cas de cancer du col de l’utérus, une maladie qui peut se développer de 20 à 30 ans après une exposition au HPV, alors que les mêmes résultats peuvent être obtenus par des frottis réguliers, et qui ne comportent aucun risque ?
Source : Health impact news