Douleur d’un grand-père
Il perd son petit-fils après la vaccination
Interview : Polly Tommey , VAXXED, 21 décembre 2016
Je suis le grand-père de 7 petits enfants.
Je ne crois pas à la vaccination !
On me dit souvent que j’ai moi-même dû être vacciné. Je réponds que j’ai 60 ans et que quand j’étais jeune, il n’y avait que le vaccin contre la variole et la polio. A cette époque on n’utilisait pas les méchants produits chimiques que l’on ajoute aux vaccins aujourd’hui. C’était tout à fait différent. A-t-on vraiment besoin de tous ces vaccins aujourd’hui ?
Deux de mes petits enfants n’ont pas été vaccinés ; ils sont en pleine forme et très intelligents. Il est vraiment très rare qu’ils attrapent un rhume, une grippe ou quoi que soit d’autre.
J’ai aussi un petit fils qui s’appelle Hardy, c’est l’enfant de mon fils Johnny. Ce bébé était en parfaite santé, toujours souriant et heureux de vivre ; il babillait sans arrêt, bref un magnifique petit garçon qui était le rayon de soleil de toute la famille.
Hardy a reçu ses premiers vaccins à 14 mois. Je n’étais pas très heureux qu’on l’ait vacciné. Je n’approuve pas ces pratiques. Les gens croient bien faire. Ils sont fortement influencés par tout un bourrage de crâne et pensent faire ce qu’il y a de mieux pour leurs enfants.
Cette fois, à mon avis, ça n’a pas marché. Le petit est devenu très malade. Il a fait d’énormes pics de température tout juste après avoir été vacciné. C’est pendant sa sieste du lendemain qu’il est décédé. Les officiels n’admettront jamais la chose. Pour eux, c’est toujours le même refrain usé des coïncidences auquel on est habitué.
C’est la pire des choses qui puisse se produire dans la vie d’un père et d’une mère, et c’est particulièrement terrible quand ça arrive à un bébé.
Dans ma profession, j’entends très régulièrement parler de dommages cérébraux, d’autisme et de décès après des vaccinations. Je suis tellement triste par rapport à tous ces malheurs qui arrivent à des personnes que je connais. Cette tristesse ne disparait jamais. J’ai dit à mon fils qu’il y avait peu de chances qu’il puisse jamais surmonter ce drame. Je lui suggère de concentrer sa pensée sur tout ce qu’il a vécu d’heureux et de positif avec son petit garçon.
Ce drame fut plus que terrible pour mon fils.
Je pense que le système est truqué. Ils feront tout pour ne pas établir la relation entre la mort d’un enfant et la vaccination. Il s’agit tout simplement d’une industrie multi-milliardaire.
C’est Morgan, la femme de Jenny, qui a trouvé l’enfant.
L’ambulance est arrivée de même que la police judiciaire. En fonction de la loi, les parents ne furent plus autorisés à monter à l’étage où se trouvait l’enfant. Personne ne pouvait le voir, ni le toucher. Une fois qu’un pareil drame se produit, l’enfant décédé devient la propriété de l’état.
Même quand ils ont emporté le bébé, personne n’a pu l’approcher ou le toucher. C’est pathétique, tellement triste ! Pour obtenir les résultats d’autopsie, il nous faudra encore attendre 3 mois.
La mort du petit a bouleversé toutes nos vies. Nous réalisons maintenant mieux que jamais combien la vie est précieuse. Des cas comme le nôtre sont considérés comme des « pertes acceptables ». C’est pour eux que c’est acceptable, pas pour nous. Je suis en colère ! J’ai réfléchi et me suis documenté sur les vaccins depuis des dizaines d’années déjà. J’en ai conclu qu’au lieu d’entretenir ma colère, je fais mieux en investissant mes énergies dans l’information des parents, de toutes les personnes que je puis contacter, notamment dans mes émissions radio.
Je ne veux pas attribuer ces désastres à telle ou telle personne, mais plutôt à l’avidité, la cupidité humaine de corporations qui veulent faire d’énormes profits avec les programmes de vaccination. Ces gens ne semblent pas penser que la vie est précieuse ; ils ont tendance à prendre les gens pour des « vaches à lait ». Nous ne sommes en fait rien d’autre qu’un troupeau qui peut être exploité pour le profit. Nous sommes tous sacrifiables et non indispensables. Je pense que ces gens ne doivent pas connaitre le remord, la compassion. Ils n’ont guère de dignité. Le dieu de l’industrie pharmaceutique c’est l’argent. Il n’y a rien d’autre que le profit !