L’histoire dramatique de Matthew après une série de vaccins
Interview réalisé par Polly Tommey (VAXXED), 21 décembre 2016
Matthew a maintenant 29 ans.
Avant qu’il ne reçoive les vaccins, il était un bébé tout à fait normal. Au cours de ses tests de 2 mois et de 4 mois, il a chaque fois obtenu les meilleurs résultats possibles. Il était très fort ; ses réflexes étaient parfaits ; il a marché assez tôt.
Au cours de la visite médicale suivante on lui a administré le vaccin DTC et le vaccin polio. C’est à tous ces vaccins qu’il a commencé à réagir.
Le médecin nous avait recommandé de lui donner du Tylenol. Nous lui en avons donné avant la vaccination pour pouvoir éviter tout accès de fièvre. Mais après la vaccination il a quand même fait de la fièvre au cours des premiers jours. Il a aussi beaucoup pleuré et crié pendant des heures. Il était vraiment inconsolable.
Un jour que nous étions au restaurant, Matthew a pleuré si fort que j’ai dû m’excuser auprès du patron et sortir du restaurant. Cette situation s’est reproduite plusieurs fois. Il n’arrêtait pas de pleurer et de crier. La fièvre a continué à grimper. Il nous donnait souvent l’impression de regarder dans le vide. Il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre que cette situation n’était pas du tout normale.
Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai dû appeler le médecin. Celui-ci n’arrêtait pas de répéter qu’il ne s’agissait pas d’une réaction aux vaccins, qu’il faisait peut-être des dents ou qu’il avait la grippe. Je n’avais, disait-il qu’à lui donner du Tylenol et que tout s’arrangerait.
Mais l’état de Matthew a continué de s’aggraver. J’ai été le présenter chez un médecin qui nous a de suite orientés vers un hôpital. Là, on nous annonça que Matthew faisait des crises d’épilepsie.
Certaines fois les crises étaient tellement graves qu’on arrivait plus à les contrôler même avec les médicaments les plus puissants.
Finalement, un médecin nous a expliqué qu’il ne s’agissait pas de méningite comme on l’avait d’abord pensé, mais bien d’une encéphalite qui pouvait enfin expliquer la gravité de ses crises. Ce médecin nous a avertis qu’il y avait peu de chances que Matthew puisse survivre un jour de plus. Il nous a même conseillé de lui faire nos adieux.
Malgré tout cela Matthew a continué de se battre pour pouvoir vivre.
C’est à partir de ce moment que je me suis décidée à demander si les vaccins étaient responsables de l’état de Matthew. Un médecin m’a d’abord répondu qu’il n’y avait aucun rapport. Un second médecin me confia n’avoir jamais vu pareil cas et qu’il pensait bien que l’état de Matthew était dû aux vaccins. Il nous a expliqué que les crises que faisait Matthew pouvaient être mises en relation avec la valence «coqueluche » du vaccin.
De toute façon, je savais que c’étaient les vaccins qui étaient en cause. Ce médecin n’avait même pas besoin de me le dire, je savais.
Avant qu’il ne reçoive ces vaccins, Matthew était tout à fait normal. Directement après avoir reçu ces vaccins, il est devenu tellement malade qu’il n’a pas cessé de se battre pour vivre.
A l’hôpital, Il était misérable à voir : des perfusions des deux côtés de la tête, dans les bras, les pieds. Il était aussi sous respirateur, bref aux soins intensifs. On nous a fait comprendre qu’il avait peu de chances de survivre. Aujourd’hui, il a 29 ans !
Il n’a jamais marché, n’a jamais parlé. Quand il a quitté l’hôpital il avait perdu l’usage de ses cinq sens ; il était sourd et aveugle. Il ne sait absolument rien faire.
Nous lui avons fait suivre différentes thérapies conventionnelles et non conventionnelles qui ont quelque peu amélioré sa situation. Maintenant, il voit et entend très faiblement.
Nous nous sommes aussi rendus en Allemagne pour envisager de lui faire des greffes qui ne sont pas autorisées aux Etats-Unis.
Malgré tous les régimes alimentaires qu’il a pu suivre, il continue de faire des crises tous les jours et doit être surveillé 24 heures sur 24. Ma fille et les deux frères de Matthew qui l’aiment beaucoup m’aident à prendre le relais pour lui donner à manger et changer ses couches. Ils trouvent néanmoins la situation de Matthew atroce et déchirante.
Polly qui a réalisé l’interview : « Nous sommes horrifiés et dévastés par la situation de Matthew. Nous éprouvons beaucoup d’amour pour vous. Nous allons d’autant plus continuer à nous battre pour faire éclater la vérité au grand jour.
La maman : J’espère que tous les parents vont commencer à s’informer. J’ai moi-même été enseignante. J’enseignais les moyens de se maintenir en bonne santé. J’ai enseigné ce que les vaccins avaient pu permettre de réaliser pour notre pays, pour la civilisation et pour la société. Dans le chapitre « pourquoi nous avons besoin des vaccins », il n’y avait pas une seule phrase sur les effets secondaires !
Je dis aux parents : de grâce, renseignez-vous par vous-même. N’abandonnez pas cette grave décision aux mains des médecins.
Polly : Je vous remercie. J’espère que votre témoignage pourra éclairer et aider beaucoup de monde !
La maman : C’est pour cela que nous sommes là !