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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 00:26

Un professeur de sciences de l'Ontario réfute l'accusation d’être « antivaccination »

 

22 février 2017

Le professeur Timothy C. Sullivan Photo : Radio-Canada/Trevor Dunn/CBC

Le professeur Timothy C. Sullivan Photo : Radio-Canada/Trevor Dunn/CBC

Un professeur de sciences de l'Ontario accusé de dire à ses élèves du secondaire qu'ils pourraient mourir des suites d'une vaccination n'en était pas à ses premières déclarations antivaccin. C'est ce qui a été mis au jour durant une audience disciplinaire, mardi.

 

Une infirmière en santé publique qui est allée à l'école à Waterford, en Ontario, pour administrer des vaccins il y a près de deux ans, a confié à l'Ordre des enseignantes et des enseignants de l'Ontario qu'elle se sentait menacée par Timothy C. Sullivan, un enseignant qui a remis son travail en question à plusieurs reprises ce jour-là.

 

Angela Swick affirme que M. Sullivan l'a accusée de ne pas avoir tout dit aux élèves au sujet des injections. Elle dit aussi que M. Sullivan a tenté d'interférer avec son travail.

 

Le directeur de l'école, quant à lui, a reconnu que les parents et les étudiants s’étaient plaints des opinions de M. Sullivan par le passé, ajoutant que l'enseignant avait dit à ses élèves qu'il existe un lien entre les vaccins et l'autisme - une opinion dénoncée par la communauté scientifique.

 

L'école ne peut être nommée en raison d'une interdiction de publication protégeant l‘identité des étudiants.

 

Inconduite professionnelle

 

M. Sullivan est accusé d'inconduite professionnelle. Il aurait dit aux étudiants que les vaccins pourraient avoir des effets secondaires mortels. Il aurait été agressif envers l'infirmière lors de sa visite le 9 mars 2015. Il a été suspendu sans salaire pour une journée en avril 2015.

 

Il a nié les allégations et a déclaré mardi qu’il se demandait si les enfants pouvaient donner un consentement éclairé, mais qu’il ne contestait pas l’administration des vaccins.

 

« Je suis pour le consentement informé, je suis pro-science et j’encourage les gens à poser des questions », a-t-il dit.

 

Mme Swick, une infirmière de l'Unité de santé Haldimand-Norfolk, a déclaré que M. Sullivan aurait été agressif envers elle et ses collègues quand ils ont visité l'école. Elle a décrit plusieurs rencontres avec M. Sullivan. Elle a affirmé être « mal à l'aise » en sa présence.

 

L'enseignant est venu à la cafétéria alors qu'elle et ses collègues administraient quatre types de vaccins. Il a demandé des informations au sujet des médicaments administrés, a-t-elle dit.

 

« Il s'est retourné, puis est revenu vers moi et a jeté ses mains devant moi [sur le bureau]. Il a dit : "J'espère que vous informez ces étudiants que ces vaccins pourraient les tuer" », a affirmé Mme Swick durant l’examen.

 

Mme Swick dit qu'elle a immédiatement envoyé un message à son superviseur parce qu'elle craignait que M. Sullivan revienne à la charge plus tard dans la journée. Il est, effectivement, revenu à la charge, et « a demandé aux enfants s'ils savaient ce qui était dans le vaccin et a crié qu’ils ne devaient pas l’accepter. »

 

Mme Swick a dit qu'elle a alerté le directeur, et que celui-ci qui s’est rendu à la cafétéria en compagnie d’un autre professeur. Ceux-ci ont guetté la porte latérale pour s’assurer que M. Sullivan ne revienne plus.

 

La troisième rencontre était similaire, dit-elle.

 

« Nous nous sommes sentis vraiment intimidés et effrayés », a déclaré Mme Swick. « Nous allons à l'école pour rendre service, et nous sommes chanceux de pouvoir aller dans les écoles. Nous n’avions jamais eu une telle interaction par le passé. »

 

M. Sullivan, qui se représente lui-même, a questionné Mme Swick au sujet du consentement lors de son contre-interrogatoire. Il a demandé à l'infirmière si elle avait discuté des effets secondaires rares, mais potentiellement graves avec les enfants, ce à quoi Mme Swick a répondu qu'elle ne prévient pas les élèves des effets secondaires graves des vaccins dans le cadre de sa routine. Mais elle informera les élèves de certains effets secondaires si cela semble pertinent. Elle affirme qu’elle pose des questions de dépistage et que ce sont les réponses des élèves qui la guident.

 

« S'ils prennent des médicaments pour le coeur, alors nous discutons d'hypertension », a déclaré Mme Swick.

 

L'infirmière a dit qu'elle était inquiète à l’idée de retourner à la même école dans le cadre d’une autre séance de vaccination qui se tiendra la semaine prochaine, mais a souligné que d'autres membres du personnel y participeraient.

 

Brian Quistberg, le directeur de l'école au moment de l'incident, a déclaré que le comportement de M. Sullivan envers l'infirmière et ses collègues avait « clairement outrepassé les bornes ».

 

M. Quistberg a demandé à M. Sullivan de ne plus revenir après le premier incident. Malgré tout, M. Sullivan est revenu à la cafétéria, où se tenait la clinique de vaccination, à deux reprises.

 

M. Quistberg a ajouté que les infirmières avaient peur. « Elles ont été bouleversées, à tel point qu'elles s’inquiétaient qu'il en rajouterait », a déclaré le directeur.

 

M. Quistberg a également lu des notes d'étudiants et d'enseignants qui se plaignaient des enseignements de Sullivan au sujet des vaccins, qui, selon lui, étaient dangereux en raison de la quantité d'aluminium contenu dans les injections.

 

Après l’audience, M. Sullivan a déclaré aux journalistes qu'il continuerait de discuter de vaccins avec ses étudiants.

 

« Il serait irresponsable de parler seulement des avantages sans mentionner les effets secondaires », a-t-il dit.

 

L'audience devrait reprendre mercredi.

 

Source : Radio Ici Canada

 

Soutien et respect à un enseignant intègre et courageux comme M. Sullivan; il manque même à vrai dire énormément de M. Sullivan dans les écoles pour sauver bien des santés, ménager bien des droits (quotidiennement bafoués par la routine idéologique de la vaccination !). Car oui, il s’agit comme le dit l’infirmière d’une routine, basée sur un dogme et une idéologie inquestionnables. Mr Sullivan est traité d’hérétique, exactement comme on décrétait du temps de l’Inquisition qui méritait ou non le bûcher. La Vaccination a juste prix la place de la religion, mais cela ne la rend pas scientifiquement légitime pour autant….

 

Combien de jeunes et d’ados lamentablement estropiés par cette pratique vaccinale périmée pratiquée à tout va, notamment en médecine scolaire, n’auraient pas tout donné pour avoir la chance qu’un Mr Sullivan leur offre une dernière occasion de refuser in extremis les poisons qui allaient leur occasionner une épilepsie, une sclérose en plaques, une maladie auto-immune dont ils ne se remettraient jamais ? L’attitude complice de l’école et de la direction offre un spectacle assez pitoyable sur le plan pédagogique car elle enseigne finalement aux élèves la partialité et le suivisme/le conformisme au lieu d’encourager l’ouverture, l’esprit critique et l’objectivité. Il est cependant évident que les parents qui ont été crédules et qui ont accepté de laisser vacciner leurs enfants par pure « confiance en l’autorité » le plus souvent, de même que les jeunes fraîchement piqués, se sentent perturbés et insécurisés par les propos de quelqu’un qui vient de façon désintéressée leur apporter après coup des informations qui auraient pu modifier à temps leur décision.

 

Quant aux infirmières, il semble patent à la lecture de cet article qu’elles tentent d’accabler ce professeur qui était parfaitement dans son rôle face à la constatation que le droit de ses élèves (et de leurs parents) à un consentement libre et éclairé était violé de façon aussi flagrante. Les infirmières (exactement comme l’ONE en Belgique par exemple) estiment qu’il n’y a pas lieu d’informer « en routine » sur les effets secondaires graves (y compris mortels, comme il ressort d'ailleurs des propres documents CONFIDENTIELS des fabricants, y compris l’autisme, oui oui, disons-le, la communauté scientifique n’a absolument pas réfuté dans son ensemble cette association !) Elles se placent au-dessus des législations censées protéger les intérêts des patients… faut-il alors s’étonner qu’elles se disent elles-mêmes « chanceuses » de pouvoir opérer dans pareil climat de « tranquillité, d’inquestionnabilité et d’opacité/irresponsabilité » au sein des écoles….

 

Parents, vous le voyez, protégez vos enfants, formez-les à l’esprit critique et osez soutenir ouvertement ces trop rares enseignants qui pensent en priorité à la santé de votre progéniture et à leur mission première d’éducation et d’information loyale et rigoureuse, même au risque d’être sanctionné pour leur intégrité professionnelle! Plus que jamais de mise une fois encore ici, la phrase-vérité de Ghislaine Lanctôt (auteure de la Mafia médicale): "Applaudissons ceux que les autorités condamnent!"

 

NB: Pour les parents d'élèves préférant SAVOIR plutôt que CROIRE et qui tiennent à la santé de leurs enfants, pensez à confronter les affirmations de M. Sullivan aux FAITS évoqués dans les différentes vidéos suivantes....

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commentaires

B
A la liste déjà fort longue de Doctorix on pourrait ajouter un titrage d'anticorps avant les rappels antitétanique. En effet, en cas de taux d'anticorps élevé, le rappel peut avoir des conséquences très graves, en particulier rénales. Ceci est connu depuis très longtemps.<br /> En particulier, dans les Annales de l'Institut Pasteur,  sous la plume de trois de ses chercheurs, Bizzini, Turpin, Raynaud (1971 - Vol. 120 - pages 791-799), à propos de cette vaccination, j'avais pu lire :<br />  <br /> « La survenue de réactions indésirables lors de la primo-vaccination ou des injections de rappel a été rapportée par différents auteurs. »<br />  <br /> Suit une liste de 12 références allemandes, anglaises, américaines publiées par exemple dans :<br />  <br /> Journal American Medical Association,<br /> New England Journal Medical,<br /> British Medical Journal.<br /> Les auteurs poursuivent : <br /> « Certains de ces auteurs (5 au total sur 12), ont attribué l'incidence élevée de ces réactions allergiques à l'existence chez les vaccinés d'un taux d'anticorps élevé, pré-existant au moment de l'injection de rappel.<br /> Pour éviter ces réactions indésirables, diverses solutions ont été proposées. Lévine a proposé un schéma pour les vaccinations de rappel avec une anatoxine à faible dosage ... Kuhns a montré que les injections multiples  d'anatoxine  (diphtérique ou tétanique) pourraient conduire à un changement dans le spectre des anticorps produits avec pour conséquence l'augmentation de l'incidence des réactions allergiques. »<br /> Ainsi, le Tribunal Administratif de Lyon avait rendu un jugement rapporté  par  les  journaux  (octobre 1977)  indemnisant  Mme  Caroline R. qui avait donné un rein pour permettre une greffe indispensable à sa fille, Mme Chantal D. en raison de « son état consécutif à une vaccination antitétanique obligatoire qui avait provoqué une glomérulo-néphrite nécessitant une greffe de rein en février 1973 » <br /> <br /> En 1978 je tenais un stand sur les vaccinations dans une manifestation type  "santé et produits bio". Une jeune femme vient vers moi en me disant qu'elle allait apporter de l'eau à mon moulin. Elle était infirmière dans un hôpital régional (CHU). Elle me dit qu'elle avait fait un oedème de Quincke  après un rappel DTP qui était obligatoire à l'époque tous les 5 ans pour cette profession. A l'hôpital ils avaient recherché lequel des vaccins en était à l'origine et avaient trouvé que c'était le vaccin antitétanique. <br /> <br /> Depuis elle ne peut plus se faire vacciner contre le tétanos ni recevoir de sérum sous peine de mort. Elle me dit alors qu'elle ne pourra plus se protéger et qu'elle était donc désormais toute nue devant le tétanos. J'aurai aimé la rassurer en lui disant qu'avec la dose d'anticorps qu'elle devait avoir et qui était à l'origine de son problème, elle en avait pour le restant de ses jours. Mais  sa réaction en disait long sur le formatage des esprits chez  les professionnels dits "de santé". <br /> <br /> A la même époque j'avais rencontré un agriculteur que son médecin surveillait comme le lait sur le feu pour ce qui était du tétanos (les fourches de fumier). Il lui faisait un rappel tous les 5 ans, ce qui, à force d'accroitre le taux d'anticorps, fera déborder le vase sous la forme d'une atteinte rénale sérieuse. Il me dira que depuis il n'avait plus autant de force qu'avant, ce qui est gênant pour tout le monde, tout particulièrement pour un agriculteur. De plus, ça n'allonge pas l'existence ni n'améliore la fin de vie ...<br />  <br /> Ces arguments ne veulent pas dire qu'il ne faudrait jamais utiliser le vaccin contre le tétanos, mais il ne faut pas que les autorités de santé formulent n'importe quelles recommandations à son sujet ni en banalisent l'usage en affirmant, même aux médecins, que cette vaccination serait totalement inoffensive, ce n'est pas vrai, pas du tout et cette banalisation est au contraire très dangereuse.
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C
Oui je vois bien ce que vous voulez dire, surtout concernant le personnel médical, mais franchement s'ils sont les premiers impactés par ces vaccins, pourquoi ne questionnent-ils pas vraiment la vaccination???<br /> Pour moi ils sont tellement conditionnés que ça les rend aveugle, et c'est triste vraiment!!<br /> Pour les autres c'est différent, mais c'est toujours une histoire de croire le toubib comme si c'était un dieu, et que tout ce qu'il dit "va a missa" comme on dit chez moi et ça franchement ça me rebute
B
Cassie, vos remarques sont effectivement souvent avancées mais, aussi judicieuses qu'elles puissent être, elles ne font pas l'adhésion de tous. Elles sont de nature très différentes du problème des rappels chez une personne saturées d'anticorps.<br /> <br /> L'intérêt de ce que je disais était que même si on n'adhère pas à ce que vous exprimez, des rappels trop fréquents peuvent être très préjudiciables. Or cela n'est jamais dit alors que l'accord sur ce point pourrait être général. Une vaccination, même inutile, peut être très pratiquée, comme c'est le cas pour la vaccination antitétanique, et provoquer alors des dommages doublement inutiles.<br /> <br /> En un mot, que cette vaccination puisse agir ou non sur une contamination tétanique, il faut dénoncer la dangereuse banalisation de la vaccination incitant à la multiplication des rappels.
C
Le vaccin antitétanique ne sert pas à grand chose, la maladie n'étant même pas immunisante, comment prétendre que le vaccin puisse faire mieux, les labos ne sont pas des dieux!!!<br /> de plus les anticorps ne sont pas là où passe la bactérie et donc comment pourrait-ils la combattre.<br /> Ça me fait penser à toute une armée déployée autour d'une grande ville (anticorps) et aux terroristes qui s'infiltrent par les égouts et qui détruisent ce qu'ils veulent sans être dérangés !!!!<br /> Avoir une armée de chars et autres engins de guerre ne servent à rien s'ils ne sont pas au bon endroit!!!
D
Mme Swick a répondu qu'elle ne prévient pas les élèves des effets secondaires graves des vaccins dans le cadre de sa routine.<br /> Voilà qui est parfaitement contraire à la loi.<br /> Et on sait qu'aucun soignant ne respecte cette loi.<br /> S'il fallait la respecter, et faire avant vaccination tous les examens nécessaires, toutes les sécu du monde seraient ruinées:<br /> 1/un ionogramme complet et un dosage de l’urée<br /> 2/un lipidogramme <br /> 3/un bilan endocrinien <br /> 4/un titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies, <br /> 5/ un test de dépistage du SIDA et de toutes les hépatites ( ces maladies sont des CONTRE INDICATIONS FORMELLES A TOUTE VACCINATION , ainsi d’ailleurs que toute personne vivant avec une greffe d’organe ) <br /> 6/une électrophorèse et une immunopherèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l’organisme à fabriquer des anticorps. <br /> 7/un bilan radiologique , à savoir une radiographie panoramique dentaire et cela dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée et une radiographie pulmonaire pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.
Répondre
I
"Voilà qui est parfaitement contraire à la loi. Et on sait qu'aucun soignant ne respecte cette loi."<br /> <br /> Pour rappel doctorix, soi-disant médecin, affirme que face à l'obligation vaccinale le faux certificat est un devoir. C'est beau comme un sketch des inconnus. Le mauvais soigant ne respecte pas la loi, bon, c'est le mauvais soignant, mais le bon soignant, bon, il respecte pas la loi, bon, mais c'est le bon soignant.<br /> <br /> "Cette mère de trois enfants a toujours refusé qu'ils soient vaccinés. Pour ce faire, elle même allée jusqu'à falsifier leurs carnets de santé, avec la complicité d'un pédiatre." - http://www.bfmtv.com/sante/j-ai-choisi-de-prendre-le-risque-de-la-maladie-plutot-que-celui-des-vaccins-explique-sophie-mere-de-trois-enfants-954145.html

                    

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