Après le vaccin ROR, Alina a perdu la parole, l’appétit. Elle a souffert d’horribles crises épileptiques et est finalement décédée
Melissa Curtin, 1er août 2018
C’est l’histoire déchirante d’une maman australienne, Rajni Sharma, qui a reconstitué et tracé la chronologie des problèmes de santé et de la mort de sa petite fille après la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) à 18 mois. La maman veut partager sa douloureuse expérience et l’histoire tragique de son unique petite fille. Elle espère que cette histoire en aidera d’autres à prendre des décisions éclairées.
Rajni : ma merveilleuse petite fille a vécu pleinement et merveilleusement chaque jour de sa courte vie avant de recevoir le vaccin ROR. Alina est née à terme le 12 mai 2016. Elle était en parfaite santé ; elle était heureuse et adorait la vie. Elle était mon rêve devenu réalité. C’est avec elle que j’ai appris ce qu’était l’amour d’un enfant, un amour qui n’a pas de limite ou de condition ; un pur amour altruiste. Alina était très aimante, attentionnée. Elle avait le sens de l’humour et aimait beaucoup jouer.
Quand elle eût cinq mois, Alina commença à fréquenter la garderie. Elle aimait rencontrer d’autres enfants. Se sentant beaucoup aimée, elle avait un grand sentiment de sécurité. Dès qu’elle voyait Patrick, son père, elle courait se jeter dans ses bras…
La vie était vraiment bonne ! Je vivais mon rêve. C’étaient les derniers moments qu’Alina s’est vraiment sentie heureuse. Puis est venu le moment de la visite médicale de ses 18 mois avec le vaccin ROR.
Après avoir reçu ce vaccin, Alina a commencé à dormir beaucoup; elle a cessé de jouer et a perdu tout attrait pour la nourriture. La garderie m’a fait savoir qu’elle dormait beaucoup et paraissait extrêmement fatiguée. Comme Alina était mon premier enfant, j’ai pensé qu’elle pouvait peut-être faire une poussée dentaire. J’étais à ce point naïve que je n’ai même pas pensé au vaccin. Comme elle n’allait pas bien du tout, nous avons appelé l’ambulance qui l’a transportée à l’hôpital.
Le personnel de l’hôpital n’avait jamais vu ce genre de crise et ne savait quoi faire.
Il nous avait fallu 55 minutes pour nous rendre à l’hôpital. Pendant tout ce trajet Alina n’a pas cessé de faire crise sur crise. A l’hôpital on lui a administré du Midozalam par voie intraveineuse et les crises ont cessé après une heure. J’étais secouée et brisée tout en ne sachant toujours pas qu’il s’agissait d’une réaction indésirable au vaccin parce qu’on m’avait souvent répété que « les vaccins ne tuent pas les bébés ».
Deux jours plus tard, Alina a recommencé à faire des crises. Elle a dû être transférée à l’hôpital pour enfants de Randwick pour y subir une IRM. Cette IRM était très claire : pas de tumeur, pas de masse, pas de cicatrice. Le neurologue nous a dit : « Ne vous inquiétez pas pour votre petite fille ; elle ira bien, son IRM semble bonne. C’est le bébé en meilleure forme de toute la salle ; elle ne risque pas de mourir. »
Dans la suite, ils ont diagnostiqué une épilepsie. Les neurologues ont été incapables de déterminer la cause de ses crises car elle n’avait pas de fièvre ou quelqu’autre maladie.
On m’a demandé si les vaccins d’Alina étaient à jour, et j’ai répondu : « Oui, elle a reçu son ROR la semaine dernière. » Je me suis alors arrêtée un moment, puis ai demandé au médecin : « Pensez-vous que le vaccin puisse être la cause des crises d’Alina ? » Ils m’ont répondu que ce n’était pas possible. – « Je croyais encore le médecin parce que je me disais pourquoi un médecin mentirait-il ? Ce n’est pas l’ennemi de mon bébé !
Nous sommes finalement rentrés à la maison. Alina a reçu du Keppra contre l’épilepsie. Au cours de la semaine, elle a refait une crise. Ce fut le dernier jour qu’Alina passa à la maison. Nous étions le 25 novembre 2017.
Après 14 heures de crises quasi ininterrompues Alina fut plongée dans le coma. Elle se réveilla cinq jours plus tard et put me reconnaitre.
Alina dut subir par deux fois des tests pour les troubles mitochondriaux. Tous les tests sont revenus négatifs. C’est alors, que je fus certaine que la santé d’Alina fut altérée par le vaccin.
A chaque crise, la santé d’Alina se détériorait. Elle a commencé par perdre la mémoire, elle ne nous reconnaissait plus, ni moi, ni Patrick, puis ce furent ses mots, ses jeux et la motricité de sa main gauche. C’est alors que je me suis écriée : « Pourquoi personne ne m’écoute quand je parle des vaccins ? » - On m’a fait taire parce que « les vaccins ne tuent pas les bébés. »
Le 12 janvier 2018, Alina put à nouveau articuler quelques mots, mais à midi les crises recommencèrent, et ce fut le commencement de la fin de sa petite vie. Les crises se répétèrent pendant le reste du mois de janvier et début février et ce, jusqu’au 26 mars 2018 qui fut le jour de sa mort. Alina est morte dans mes bras. Je tenais le corps raide et froid de mon bébé au lieu de la petite fille pleine de vie que j’avais connue auparavant.
Personne n’a osé admettre que le vaccin ROR avait tué mon bébé. Au lieu de cela, je reçus une lettre de deux pages m’expliquant que mon bébé avait souffert d’un cas rare de trouble mitochondrial, le CARS2. On nous expliquait que mon mari et moi-même étions porteurs d’une mutation génétique rare et que nous avions transmis ces gènes à notre petite fille.
Mais quelles étaient les chances pour que mon mari et moi-même soient porteurs du même gène récessif ? Nous ne faisons pas partie de la même ethnie, ni du même pays. Je suis indienne de naissance et mon mari est anglais.- Je me méfie de ces conclusions qui font penser que c’est un gène qui est la cause. Mais je sais qu’ils ne sont pas sûrs à 100%.
Ils ont suggéré que le gène CARS2 serait probablement la cause de l’état de notre petite fille. Il est très important de noter que les enfants atteints de troubles mitochondriaux présentent des niveaux élevés de lactate. Alina n’a jamais montré aucun signe de lactate élevé. Je ne crois donc pas qu’Alina ait souffert d’un trouble mitochondrial.
Il se trouve que personne dans ma famille ou dans celle de mon mari ne souffre de maladie génétique rare.- Je me casse la tête pour comprendre pourquoi l’hôpital décrète que les personnes pour lesquelles il ne trouve pas de réponse seraient atteintes d’un problème génétique rare.
Des enfants et des nourrissons du monde entier meurent tragiquement des conséquences graves et des horribles risques que présentent les vaccins. Les parents dévastés s’efforcent courageusement de raconter leur histoire afin d’informer le plus grand nombre des tragédies qu’ils ont vécues. Ces parents ne cessent de se demander QUAND les masses se rendront-elles compte que des décès, des handicaps, des troubles neurologiques et auto-immuns sont causés par les vaccins ? Quand le grand public prendra-t-il en compte les avertissements de parents au coeur brisé qui feraient l’impossible pour voir revenir leur petit garçon ou leur petite fille ? Les parents devront-ils eux-mêmes perdre et enterrer leur propre enfant pour enfin ouvrir les yeux ?
Source : Stopmandatoryvaccination
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