La FDA américaine admet que le gouvernement recommande l’utilisation de vaccins non testés et non homologués pour les femmes enceintes
Par « Children Health Defense » - Health Impact News, 11 février 2019
Robert F. Kennedy Jr. a déclaré : « En tant que nation, nous ne pouvons plus prétendre que nos Agences de confiance protègent nos enfants. Il est temps de demander des comptes aux Agences fédérales. »
WASHINGTON ,D.C. Feb. 11, 2019 – En réponse à un procès ayant trait à la loi sur la liberté de l’information (FOIA), la FDA (Food and Drug Administration) a admis pour la première fois que des Agences gouvernementales, y compris le CDC recommandent des vaccins pour les femmes enceintes qui n’ont été ni homologués par la FDA pour les femmes enceintes, ni testés pour leur sécurité au cours d’essais cliniques.
Le procès intenté par l’avocat du Centre de Défense pour la Protection Santé des enfants, Robert F.Kennedy, Jr. au nom de l’Informed Consent Action Network (ICAN) un groupe de défense de la sécurité des vaccins, visait à obtenir toutes les données d’essais cliniques utilisées par la FDA pour pouvoir approuver les vaccins antigrippaux destinés aux femmes enceintes.
La réponse succincte de la FDA : « Nous ne possédons aucun enregistrement qui corresponde à vos demandes. »
Les fabricants de vaccins contre la grippe et le Tdap mettent en garde contre leur utilisation par les femmes enceintes, car leur sécurité n’a jamais été établie. Les notices expliquent que l’on ne sait pas si ces vaccins « vont nuire à l’enfant à naître » et que les données sont insuffisantes par rapport à l’utilisation de ces vaccins, notamment par rapport aux risques qui pourraient être associés aux vaccins.
Les réglementations de la FDA interdisent formellement aux sociétés pharmaceutiques de commercialiser des produits destinés à des utilisations « non autorisées ». Les entreprises qui ne se conformeraient pas à ces règles sont régulièrement poursuivies criminellement et civilement et paient des milliards de dollars en poursuites et règlements.
Le CDC recommande néanmoins activement la vaccination antigrippale à n’importe quel trimestre de la grossesse depuis 2004 et a recommandé aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le dcaT (pour le tétanos, la diphtérie et la coqueluche ) depuis 2011.
La FDA est responsable de la sécurité des vaccins et de la délivrance des licences, mais dans les documents judiciaires récemment publiés, elle admet qu’elle ne dispose d’aucune donnée de sécurité permettant d’appuyer les recommandations concernant la grossesse. Le site web de la FDA indique qu’elle n’a jamais officiellement approuvé des vaccins destinés spécifiquement à être utilisés pendant la grossesse pour protéger les nourrissons.
Les recommandations générales concernant la vaccination pendant la grossesse sont une proposition dangereuse en raison de la capacité de la vaccination à activer une réponse immunitaire maternelle susceptible d’endommager le cerveau en développement du fœtus, comme le font parfois les infections pendant la grossesse.
En 2008, le neuroscientifique Paul Patterson avait averti : « Même si cela se produit moins de 1% du temps, la vaccination de toute une population de femmes enceintes pourrait toucher des milliers d’enfants… »
Les études d’innocuité à long terme n’ont pas été conçues pour détecter les lésions fœtales liées au vaccin, mais l’étude Kaiser menée en 2017 auprès de 45.000 femmes (publiée dans JAMA Pediatrics) a montré un risque élevé de malformations congénitales et un risque 20% plus élevé d’autisme chez les enfants dont les mères avaient reçu un vaccin antigrippal au cours du premier trimestre de grossesse.
Après que les auteurs eurent appliqué une correction statistique réduisant l’association significative, le célèbre statisticien de l’UCLA, Sander Greenland, critiqua la décision méthodologiquement « inappropriée », soulignant que les chercheurs des firmes pharmaceutiques utilisaient cette technique quand ils n’aimaient pas un résultat et « veulent voir s’ils peuvent obtenir d’autres résultats en « se débarrassant » du problème »
Les données du CDC montrent que les femmes qui ont reçu certains vaccins antigrippaux de 2010 à 2012 avaient 7,7 fois plus de risques de fausses couches que les femmes n’ayant pas reçu ces vaccins. Le CDC a publié l’étude dans « Vaccine », mais a omis les conclusions de son communiqué de presse, laissant les femmes enceintes ignorantes des véritables risques associés aux vaccins.
Le Président du CHD, Robert F.Kennedy, Jr. note que la plupart des vaccins antigrippaux administrés aux femmes enceintes contiennent encore (pour la conservation) du thiomersal à base de mercure. Le thiomersal est reconnu dans la proposition 65 en Californie comme un produit toxique pour la reproduction. L’exposition à ce produit pendant la grossesse peut causer à la descendance des problèmes d’apprentissage et de comportement. Le dcaT contient de l’aluminium que la FDA régule en tant que toxine dans l’alimentation parentérale, mais pas dans les vaccins !
Le fait que le CDC recommande des vaccins que la FDA n’a pas autorisés à utiliser chez les femmes enceintes fait suite à une autre divulgation forcée par une poursuite de l’ICAN/ CHD. La précédente action en justice demandait que le HHS fournisse une documentation sur le respect des exigences légales en matière d’examens réguliers de la sécurité des vaccins pour enfants et des rapports au Congrès.
La réponse du Ministère de la Santé ( = HHS) précise : « les recherches n’ont pas permis de localiser les enregistrements correspondant à votre demande », indique que le HHS ne s’est plus conformé – depuis plus de 30 ans – aux exigences en matière d’examens réguliers de la sécurité vaccinale et n’a pas communiqué au Congrès des mesures visant à améliorer la sécurité vaccinale. La loi nationale sur les traumatismes liés aux vaccins infantiles a établi les exigences, tout en éliminant essentiellement la responsabilité légale des fabricants pour les dommages liés aux vaccins infantiles.
Sources: Childrenhealthdefense & Health Impact News