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11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 15:18

Conférence récente du journaliste INDEPENDANT Jean-Luc Martin Lagardette dans le cadre des dernières Journées d'Ete d'ALIS (Association Liberté Information Santé):

 

 

 

(*) MIVILUDES et CIAOSN sont respectivement les collectifs français et belge de lutte contre les sectes (et qui voient souvent des sectes partout, comme expliqué par le Prof. Anne Morelli de l'Université Libre de Bruxelles notamment)

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6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 15:15
La FDA est-elle en train d’essayer de vous supprimer vos vitamines?

Par Deirdre Imus

Green Your World

Publié le 20 Décembre 2011

FoxNews.com

 

VITAMINS.jpg

 

deirdre-imus.jpg

Ce qui a commencé comme une rumeur l’an passé, au sujet d’une possible interdiction de milliers de suppléments alimentaires aux Etats-Unis, a atteint un haut niveau de cacophonie ces derniers mois, lorsque la Food and Drug Administration (FDA) a indiqué son intention de réguler les « nouveaux ingrédients diététiques » dans les produits actuels et futurs.

 

Qu’est-ce que cela signifie ? Et plus important, comment cela pourrait-il vous affecter ainsi que votre santé ?

 

L’été passé, la FDA a publié un projet de recommandations conformes aux protocoles de notification des nouveaux ingrédients diététiques. Traduction : toute compagnie ou individu qui souhaite vendre ou développer un supplément contenant de nouveaux ingrédients devrait signaler son intention à la FDA. Un « nouvel » ingrédient est défini comme ayant été introduit après 1994, quand le Congrès a fait passer la Loi sur la Santé et l’Education en matière de Suppléments diététiques (DSHEA). Si la FDA suspecte un nouvel ingrédient d’être risqué ou non scientifique, l’ensemble du supplément alimentaire qui le contient est susceptible d’être retiré du marché. Aussi simple que cela.

 

Songez au nombre d’états pathogènes différents, graves ou non, que les gens traitent ou tiennent sous contrôle, au moyen de vitamines, minéraux, plantes ou autres thérapies alternatives. De l’arthrite ? Oui. Des maux de tête? Vérifiez, c’est également le cas. Les douleurs menstruelles? Absolument. Le cancer? Aboslument, vous pouvez aussi compter là-dessus. Pour quasiment tous les maux, douleurs et maladies, il existe des suppléments correspondants qui peuvent ou bien guérir, ou à tout le moins offrir des possibilités de soulagement, d’une façon nettement plus naturelle que via la médecine occidentale.

 

Encore plus inquiétant, les recommandations de la FDA de large portée, que certaines critiques qualifient même d’illégales, sont en mesure d’offrir des opportunités aux firmes pharmaceutiques en leur permettant de se réapproprier les affirmations et les suppléments naturels pour leur propre business.

Selon ceux qui s’opposent à ces recommandations sur les suppléments diététiques, une fois que certains de ces suppléments seront interdits, Big Pharma va probablement commencer à développer et à breveter les formules de ces produits.


Et comme ces grosses firmes, contrairement aux producteurs indépendants, sont bien davantage capables de financer les évaluations requises dans le processus règlementaire, ce seront sans doute elles qui vous vendront en même temps les médicaments chimiques habituels, en plus des suppléments naturels. En somme, récupérer d’une main l’argent perdu de l’autre.

 

Les recommandations relatives aux suppléments n’ont pas encore été imposées (en 2013, c’est pourtant le cas depuis lors, note d’IC) mais ce débat nous permet de mieux jauger le rôle des suppléments alimentaires dans nos vies quotidiennes. Même les gens qui sont assez chanceux d’être en assez bonne santé d’une façon générale, supplémentent en général leur régime alimentaire avec des multi-vitamines, des doses de vitamines D, ou C, ou des oméga 3. Les femmes enceintes et les jeunes mères sont aussi quasi toutes obligées de s’assurer qu’elles ont assez d’acide folique (= vitamine B9) dans leur corps de façon à permettre le bon développement de leur enfant.

 

D’innombrables produits sur les étagères des supermarchés –comme des céréales, du lait, des boissons protéinées, des yogourts et bien d’autres- prétendent être « enrichis » en vitamines- ceux-ci deviendront-ils illégaux aussi ?

 

Donc beaucoup des aliments que nous mangeons ont déjà été nutritionnellement appauvris au moment où ils arrivent dans les magasins en raison de modes de cuisson et de conservation irresponsables et contraires à la santé. La nécessité de supplémenter un régime alimentaire qui devrait être riche en vitamines et en minéraux, n’est même pas un luxe, c’est une nécessité.

 

Avec les suppléments alimentaires, les possibilités d’aider à guérir ou à soulager divers maux, sont infinies et en constante évolution. Bien que réviser et contrôler les ingrédients est indéniablement important, rendre en même temps leur vente illégale pourrait coûter des milliers de vies et d’emplois et des millions de dollars de dur labeur pour les Américains qui travaillent dans ce secteur comme indépendants. Cette tentative outrageante (mais non surprenante) de la FDA pour contrôler notre santé ne peut pas être prise à la légère. Il y a là en effet beaucoup trop à perdre pour beaucoup trop de gens, et à un coût beaucoup trop lourd pour notre bien-être collectif.

 

Deirdre Imus, Fondatrice du site dédié à la santé environnementale, dienviro.org, est aussi Présidente et Fondatrice du Deirdre Imus Environnemental Health Center au Centre médical Universitaire Hackensack et Directrice/co-fondatrice du Imus Cattle Ranch pour les enfants atteints de cancer. Elle est un auteur à succès pour le New York Times et une contributrice régulière de FoxNews Santé, FoxNews Business et FoxNews Channel.

 

Source: FoxNews 

 

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 13:34

25 juillet 2013. Par Anne-Laure Grillo

 

Tué par la Médecine Conventionnelle

 

stethoscope.JPG

Quelque chose ne tourne pas rond quand on entend les Organisations de Santé dire que les vitamines sont dangereuses, ignorant les statistiques qui prouvent que le gouvernement sanctionne la vérité pour mettre en avant les médicaments qui sont un réel danger.

 

Voici quelques données concernant les Etats-Unis:

 

Des chercheurs se sont penchés sur le sujet et ont fait une découverte choquante. “Choquante”, mais pas pour tout le monde.

 

Leurs résultats montrent que le nombre de personnes qui se trouvent à l’hôpital et qui sont sujettes aux effets secondaires de leurs médicaments avoisine les 2.2 millions par année.

 

Le nombre d’antibiotiques prescrits inutilement pour des infections virales s’élève à 20 millions par an. Sans compter les 7.5 millions d’interventions médicales et chirurgicales non nécessaires ainsi que les hospitalisations annuelles de 8.9 millions de personnes sans raisons valables.

 

Le plus impressionnant dans tout ça, c’est le fait que le nombre de personnes décédées à cause de la médecine conventionnelle est de 783 936 par an.

 

Pour la France maintenant:

 

Chaque année les effets secondaires des médicaments tuent au minimum 18 000 personnes.

 

Soit beaucoup plus que les accidents de la route (avec une prévention routière dans notre hexagone qui frôle le ridicule)!

 

Selon les chiffres de la sécurité routière, pour 2012 il y a eu 3 645 personnes tuées sur les routes.

 

D’ après le Docteur Bernard Bégaud:

 

Mourir pour un produit dont vous n’avez pas besoin est quelque chose de très grave”, a souligné le professeur. Il a pointé du doigt la mauvaise formation des médecins en pharmacologie, la science des médicaments. “Les alertes sur les effets indésirables d’un médicament proviennent à 85 % des hôpitaux et seulement à 15 % des médecins libéraux”.

 

source (www.lemonde.fr)

 

Il y a en France 150 000 hospitalisations annuelles dues aux médicaments.

 

Il est raisonnable de supposer que la grande majorité des médecins se soucient légitimement de la santé et du bien être de leurs patients (cela avant d’être blasés par le système de santé de notre pays).

 

Ce problème (la confiance aveugle en nos médecins) fait partie des plus grands problèmes qui évoluent dans notre monde moderne.

 

Les médecins sont formés pour traiter les symptômes de la maladie et non la cause. Ce qui engendre une grande catastrophe médicale. Toute maladie doit être soignée à sa source. Les médicaments ne font que masquer le problème tout en rajoutant de nombreux effets indésirables pouvant entraîner la mort dans certains cas, de part leurs molécules synthétiques entre autres, sans soigner la maladie.

 

Si on rajoute les additifs alimentaires, la malbouffe, le stress, la pollution, le tabagisme, la consommation d’alcool… ce qui malheureusement est le quotidien d’un trop grand nombre d’individus, et cela dès la petite enfance…

 

Vivre en bonne santé n’est pas un art, ni un snobisme mais une réelle écoute de soi et des besoins de son propre organisme. Tout le contraire de ce que nous indique la société actuelle.

  

Source: La Santé et les Plantes.com

 

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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 17:12

Le 19 juillet 2013. Par Florian Kaplar (Naturo-Passion)

 

SORTIR-MON-pere-du-cancer.jpg

Je viens de finir la lecture de ce témoignage poignant d’un fils qui lorsqu’il a appris le cancer (avancé et envahissant) de son père, a remué ciel et terre pour le sortir de cet enfer et conjurer le terrible pronostic des médecins : « un an, peut-être deux, si tout va bien ».

 

Ce récit confortera ceux qui connaissent déjà les bienfaits sur la santé d’une alimentation saine, à dominante végétale, de préférence biologique, et supplémentée en vitamines, minéraux et antioxydants.

 

Vraisemblablement, il laissera la plupart sceptiques ou songeurs tant le discours officiel contribue à dénigrer ce genre d’approches.

 

Dans l’interview ci-après que l’auteur m’a accordée, vous verrez qu’il cherche avant tout à redonner espoir aux patients atteints du cancer. Il ne promeut absolument pas de solution miracle « clé en main ». Il invite au contraire ses lecteurs à se documenter pour se faire une idée par eux-mêmes grâce au partage des différentes sources qu’il a mis des jours et des nuits à compiler et exploiter.

 

Lire cette belle interview sur le site Naturo-Passion: ICI

 

« Mieux vaut mourir dans les règles que réchapper hors des règles. » disait Molière en observant les comportements de son temps (à cette époque-là aussi...)

 

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 17:10

Ca a toujours été, c'est et ça sera toujours au nom de la sécurité des gens qu'on restreindra leurs libertés. C'est une constante. A chaque fois que des libertés ont été resteintes, on a invoqué pour ce faire qu'il fallait assurer la sécurité des gens. Ce monde fou où on finit par vouloir le bien des gens malgré eux est une dictature qui ne dit pas son nom.

 

LO-homeopathie.JPG

 

Mme Onkelinx invoquait sur la RTBF, le 12 juillet dernier, le "principe de précaution" pour justifier ce genre de restrictions et le fait que seuls les médecins, dentistes ou sages femmes pourront donc pratiquer l'homéopathie, alors que ce principe de précaution n'est cependant jamais de mise quand il s'agit de dogmes intouchables comme celui des vaccins, vache sacrée des pharmas s'il en est!

 

Où est le principe de précaution de Mme Onkelinx avec l'aluminium vaccinal de plus en plus décrié et au sujet duquel de nombreuses publications scientifiques attestent pourtant de sa toxicité évidente??????

 

Où est le principe de précaution lorsqu'on vaccine quasiment 100% des bébés avec le vaccin pédiatrique Infanrix hexa (comprenant la valence anti-hépatite B qui n'est PAS une maladie d'enfants) alors que son fabricant liste pourtant 825 complications possibles dont de nombreuses complications graves et plusieurs mortelles, dans un document confidentiel destiné aux autorités?

 

Où est encore le principe de précaution lorsque les autorités préconisent d'administrer ensembe, un même jour, les vaccins pour enfants Infanrix Hexa ET Prevenar alors que selon d'autres documents confidentiels des fabricants et pourtant bien connus de ces autorités, cette co-administration de vaccins multiplie inutilement par 3 le risque d'effets secondaires neurologiques?

 

Où fut le principe de précaution avec l'usage de vaccins H1N1 au squalène alors que cette substance fait partie de notre corps et qu'il était évident que cela risquait de générer des troubles auto-immuns, comme par exemple la narcolepsie?!

  

Mme Onkelinx tient aussi à préciser que l'effet des médicaments homéopathiques (pourtant consommés par 40% des Belges, excusez du peu!) n'est pas scientifiquement prouvé et que cela est pour ça qu'ils ne seront pas remboursés. Mais la pertinence des vaccins H1N1 qu'elle a commandés, fût-ce sur les mauvais conseils de l'OMS, était-elle scientifiquement et factuellement prouvée? L'exemple de la Pologne qui n'a pas vacciné montre très clairement le contraire. En outre, lorsque Mme Onkelinx déclare que l'aluminium vaccinal ou la sécurité de tel ou tel vaccin ne pose pas de problème de sécurité particulier, elle ne base pas non plus sa déclaration sur des preuves scientifiques compte tenu que les exigences règlementaires pour l'évaluation des vaccins sont insuffisantes et font incontestablement de tous les vaccins des produits expérimentaux (mais cependant remboursés à 100%!)

 

Les patients auront-ils encore le droit de se procurer des produits homéopathiques en vente libre, sans être obligés de passer par un professionnel de santé? Si ce n'est pas le cas, le scandale est évidemment encore plus grand car ils peuvent cependant se procurer sans ordonnance toutes sortes de produits de Big Pharma qui ne sont pas exempts de risques et d'effets secondaires pour autant... sans parler de toute l'expérience non négligeable d'homéopathes non médecins qui peuvent être tout aussi compétents dans leur champ d'action et qui sera jetée aux orties suite à l'arrêté royal d'exécution de la Loi Colla.

 

Les médias donnent lamentablement la parole à des "experts" officiels qui s'estiment être experts de tout (alors qu'ils sont déjà si peu compétents et informés dans leur propre domaine de la vaccinologie!) et qui s'arrogent le droit d'affirmer de façon gratuite que "l'homéopathie ne marche pas." comme l'a fait Marc Van Ranst sur la VRT. L'ignorance et l'arrogance de ces experts juges et parties et en conflits d'intérêts avec des grosses pharmas comme GSK, est dangereuse pour la santé publique et l'intérêt des citoyens. Leur manque de culture historique aussi est regrettable car à l'époque de la grippe espagnole, la mortalité était dix fois moindre chez les gens soignés par homéopathie que par ceux traités en médecine conventionnelle avec de l'aspirine... non crédible donc de mettre cette réduction spectaculaire de la mortalité sur le compte du seul "effet placebo" qu'aurait alors tout aussi bien pu entraîner l'aspirine en médecine allopathique....

 

A Cuba et au Brésil, de larges expériences financées par les pouvoirs publics ont objectivé l'efficacité réelle et concrète de produits homéopathiques pour prévenir avantageusement et en toute sécurité des maladies infectieuses comme la leptospirose ou encore la méningite à méningocoques, des maladies qui ne sont pas forcément bénignes, au contraire. [Références de ces expériences dans les notes en bas de cet article. ]

 

Evidemment, en Belgique, pays des vaccins où GSK a son siège mondial de fabrication et où tantôt les Ministres concluent des pactes de stabilité avec le secteur, tantôt ont des liens d'intérêts (même indirects!) non révélés au public avec ce genre de firmes, il n'est guère étonnant qu'on ait à constater et à déplorer pareille fermeture intellectuelle sur toutes les alternatives potentielles...

 

Et pendant ce temps-là, en dépit des évidences scientifiques les plus tonitruantes sur le danger et le gaspillage que pourrait représenter une vaccination généralisée des enfants contre la grippe, le Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé (KCE) faisait récemment savoir son adhésion à ce genre de politique vaccinale. Le même Centre qui se prétend indépendant et qui avait bâclé son "expertise" sur le rapport coût/bénéfices réel de l'homéopathie...

 

 

 

Sources de cette actualité: RTBF Info, Le Vif

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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 11:15

Par Sylvie Simon . 6 juillet 2013

   CRABE.jpg

  

Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres qui ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

 

Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire.

 

« Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement. » [1]

 

Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

 

Le 4 octobre 1985, le Pr. Georges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires de ce qu’il appelait la « cancer-connection », et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988).

 

À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? »: « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).

 

Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse » (Leçons de cancérologie pratique).

 

Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ». 

 

Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien !

 

Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès.

 

« Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998)

 

Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ».

 

Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. »

 

Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans Le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable (…) aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901).

 

Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

 

Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »

 

Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que Le Lancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry [2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. »  Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. (…) Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car ils n’ont pas d’alternative. »

 

Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology) [3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient. Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité. [4]

 

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu’il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu’au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s’apparente aux « habits neufs de l’empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie.

 

Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C’est une opinion fondée sur une illusion qui n’est étayée par aucune des études cliniques ». [5] Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.

 

En résumé, la chimiothérapie est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire.

 

L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology [6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward [7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

 

Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

 

« Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique [8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.

 

Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases.

 

Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie. Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux.

 

Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire. La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre. De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuses contre la chimiothérapie. Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells ». [9]

 

D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu’une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n’arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ».

 

Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n’ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables. Ce n’est pas une nouveauté d’ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan’s Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l’industrie pharmaceutique.

 

Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases. Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s’agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ».

 

Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu’à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s’étendre et à « métastaser » dans d’autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012).

 

Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bons. Mais si vous prenez du recul et regardez l’ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s’étend. »

 

Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Médicine en 2012, pourrait changer l’idée que l’on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d’une protéine alimentant les tumeurs.

 

Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

 

Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.

 

« Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure », a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur.», a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé. Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé. Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes.

 

Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade. « Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. » Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades. Pourtant, trois médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain. Mais ce détail reste bien caché aux malades.

 

Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l’embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d’entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d’incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu’un futur cancer s’installe vers 32 ans. L’étude SUVIMAX a montré qu’une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d’environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n’en a été tirée. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d’une façon ou d’une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. (…) Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l’industrie pharmaceutique. »

 

Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr

 

Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c’est-à-dire nous tous, fera plier ce système.   

 

Sylvie Simon

 

[1]  Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.

 

[2]  Equinox Press, 1996.

 

[3]   Membre de la National Academy of Sciences   , de l’Institute of Medicine    et de l’American Academy of Arts and Sciences   

 

[4]  Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.

 

[5]  Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).

 

[6]  « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

 

[7]  Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

 

[8]  Propriété qu'a un agent chimique ou biologique d'altérer et éventuellement détruire des cellules.

 

[9]  Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M.

 

Sources: Altermonde-sans-frontières  & site de Sylvie Simon  

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 21:26

Le Journal du Médecin en faisait sa UNE le 31 mai dernier: selon un sondage (qui n'est évidemment pas effectué dans ce timing-ci par hasard!): "trois quarts des médecins belges estiment que l'homéopathie n'a pas sa place dans les soins de santé officiels."

 

Un sondage réalisé par QUI tout d'abord? Par le Journal du Médecin qui regorge de publicité en faveur des habituelles grosses pharmas, détenant toutes sortes de monopoles lucratifs!

 

Le timing, comme indiqué n'est pas dû au hasard puisque c'est justement ces jours-ci que la Ministre Onkelinx comptait faire voter les arrêtés d'exécution de la loi Colla qui ont déjà des années et des années de retard ceci dit au passage.

 

Parmi les généralistes, 66% sont opposés au remboursement de l'homéopathie. Ce chiffre monte à 89% des médecins spécialistes dont l'arrogance monte généralement aussi en proportion (ne sont-ils pas en effet LES grands spécialistes?!)

 

Dans l'article du JDM, on peut même lire la rubrique "l'homéopathie: à bannir du circuit officiel"! Le journaliste Peter Backx poursuit alors en n'hésitant pas à écrire:

 

"Dans un contexte où les autorités rognent d'année en année sur le budget dévolu à des traitements à l'efficacité démontrée (*), il est évidemment compréhensible que le corps médical s'oppose à ce que les deniers publics soient consacrés au remboursement de thérapies non conventionnelles: à l'heure où la crise frappe notre société de plein fouet, gaspiller l'argent disponible à des interventions dont la valeur n'a pu être scientifiquement établie- donc largement inutiles- semble tout bonnement absurde! "

 

Il y a deux remarques essentielles à faire à pareille affirmation:

 

- la première, c'est de souligner l'arrogance et l'outrecuidance de décider à la place des contribuables ce qui doit être financé avec leurs impôts. Quel paternalisme, quel déni de démocratie dans un état où plus de 50% des gens atteints de cancer recourent par exemple à des médecines alternatives! N'a-t-on pas la proportionnelle dans ce pays?!

 

- la seconde remarque, c'est celle de la paille et de la poutre. On ose ici parler d'un "gaspillage" possible d'argent public avec le remboursement de certaines médecines alternatives alors que celles-ci augmentent pourtant l'autonomie des patients, les amenant à moins devoir consulter ou subir par exemple des effets secondaires de traitements plus conventionnels, et d'autre part, on en oublie comme par hasard les vrais gaspillages qui ont déjà eu lieu avec le silence assourdissant de ce même Journal du Médecin qui était pourtant là à applaudir, comme avec le fiasco du H1N1. Des dizaines de millions d'euros ont été gaspillés, pour un vaccin soi- disant scientifiquement évalué, non expérimental etc, tant et si bien qu'en Pologne où la Ministre avait refusé d'acheter ces vaccins, la mortalité a été proportionnellement moindre, sans compter aussi la survenue des cas de narcolepsies, entre autres effets secondaires graves et prévisibles de pareil vaccin fabriqué à la hâte.

 

L'Evidence Based Medicine est citée ici comme une référence, comme si les médicaments officiels y répondaient. Qui peut franchement y croire? Selon une publication du British Medical Journal, seuls 11% des médicaments traditionnels allopathiques ont une efficacité considérée comme certaine au regard des critères de l'Evidence Based Medicine (ou "médecine basée sur les preuves"). Quid aussi du fait qu'une revue d'Evidence Based Medicine comme la revue belge Minerva avait expliqué que la seule déclaration des conflits d'intrérêts ne suffisait pas à en supprimer les conséquences néfastes et que les conflits d'intérêts des experts sont pourtant omniprésents dans ce petit monde qui avalise les recommandations et recommande le remboursement de tel ou tel médicament??

 

Enfin, l'article mentionne aussi fièrement le "soutien massif aux doyens" des médecins qui ont répondu au sondage, en rappelant que les facultés de médecine ne souhaitent pas enseigner les médecines non conventionnelles. Les facultés belges ne souhaitent pas enseigner ces médecines car elles ne voudraient pas leur conférer "une aura de validité scientifique"... mais comment se fait-il alors que ces mêmes disciplines non conventionnelles soient enseignées dans plusieurs facultés de médecine étrangères, y compris pour l'homéopathie et la phytothérapie??

 

Encore un surréalisme à la Belge qui ne fera même pas rougir ces doyens, dont nous avions déjà clairement expliqué qu'ils ne font que défendre leurs prés carrés, même s'ils s'en défendent bien évidemment. Quant aux résultats du sondage eux-mêmes, ils n'ont là rien de surréalistes pour le coup, ils sont le fruit d'un conditionnement du corps médical, dès les premières années d'enseignement. Le troupeau de moutons bêlants défend ses intérêts, les doyens en bons et fiers bergers leur ayant "montré le chemin"....

 

(*) Rogner sur le budget des profits de Big Pharma... le JDM est-il aveugle??! C'est plutôt l'inverse puisque Mme Onkelinx a conclu un pacte avec le secteur, prévoyant notamment des marges pour le remboursement des nouveaux médicaments (quoi qu'il arrive donc...). Regardez d'ailleurs ce que dit très rapidement Mme Onkelinx au temps 4'50'' dans cette vidéo suite aux jérémiades des pharmas:

 

                    

 

NB: Mme Merckx gagnerait ceci dit beaucoup à visiter la rubrique de notre site concacrée aux vaccins HPV (Gardasil et Cervarix) et elle verrait que la meilleure façon de faire des économies en matière de santé publique, serait de ne surtout pas ni recommander ni rembouser de tels vaccins dont la tolérance est si mauvaise! Dommage donc qu'elle n'ait pas profité d'un tel débat pour oser mettre la Ministre devant ses responsabilités...

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 17:25

homeopathie

Le British Coloumbia Medical Journal indiquait le 4 mai 2013, bien qu'il le déplorait, que Santé Canada a octroyé une licence à plusieurs "vaccins homéopathiques": une dizaine de préparations destinées à prévenir la grippe et également d'autres préparations destinées à prévenir la polio, la rougeole et la coqueluche.

 

Fait "étrange", alors que Santé Canada approuve ces produits, alors que les médecines alternatives font de plus en plus leur entrée à l'hôpital en France, en Belgique, on s'obstine à dénigrer et à prétendre que ce n'est qu'un effet placebo! Chez nous, en Belgique, le Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé préconise que l'homéopathie ne soit plus remboursée et les doyens des facultés de médecine qui défendent bec et ongles leur pré carré, lui emboîtent évidemment le pas.

 

Le plat pays, pays du surréalisme....

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 16:47

Cfr cet article intéressant, paru dans Bio Info de juin 2013.

 

... Cela n'est pas demain la veille que le gouvernement fera des stocks de ces substances intéressantes en lieu et place du lucratif, peu efficace et dangereux TAMIFLU de Roche mais les citoyens doivent-ils attendre, avec fatalisme de devoir un jour consommer ces fameux antiviraux à l'occasion d'une prochaine pandémie tant attendue, ou bien gagnent-ils à s'informer et prendre au maximum leur santé et leur immunité en charge dès à présent?

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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 18:35

Un médecin français outré, parmi tant d'autres, nous a fait parvenir une vidéo disponible sur le site du Sénat français.

 

Comme d'habitude, on présente les médecines alternatives sous un jour partial et discréditant, agitant la menace sectaire fantomatique et prétendant "vouloir le bien des citoyens" (malgré eux)

 

On ne s'apesantit évidemment pas sur les 18 000 décès annuels que le pays compte sous l'effets des médicaments classiques (loin devant les possibles "ravages" des "dérives sectaires") ni sur les statistiques d' "efficacité" des chimiothérapies qui ne sont que de 2,2% dans le meilleur des cas avec les protocoles habituels, selon une étude parue en 2004 dans Clinical Oncology, et encore, même pas en termes de guérison mais de survie à 5 ans!

 

Ce petit reportage offre aussi quelques perles, comme par exemple le souhait de placer de "façon forcée" les sites officiels en haut des résultats de recherche pour que les patients atteints de cancer tombent plus facilement dessus que sur d'autres sites plus dérangeants et offrant un autre son de cloche, des sites que ces bons parlementaires tellement attachés à la liberté d'expression, préféreraient en fait carrément inexistants.

 

Autre perle, l'aveu délicieux de ce représentant de l'Académie de Médecine qui fait clairement comprendre que l'acceptation des médecines alternatives est en fait subordonnée à ce que celles-ci ne réduisent pas leur part du "gateau financier" à un moment où les Etats dont déjà lourdement endettés.

 

 

N'oublions pas non plus qu'un rapport de ce même Sénat français révélait en 2007 que ces gens considèrent les pharmas comme leurs "partenaires naturels". Par conséquent, il est clair qu'ils vont d'abord défendre leurs partenaires naturels avant les citoyens qui ne semblent que des partenaires de seconde zone dans tout ceci!

 

 

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