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18 mai 2013 6 18 /05 /mai /2013 19:00

Angelina-Jolie-13.jpg

Nous vivons dans une bien étrange société où, affolés et apeurés par un système médical agressif et dogmatique, beaucoup (trop) d'entre nous en arrivent à accepter l'inacceptable, sur base du mantra à priori intéressant du "maux vieut prévenir que guérir".

 

Sur les forums, les commentaires sont massivement élogieux envers le choix de l'actrice: on parle d'un geste "héroïque", d'un remarquable courage, d'une magnifique décision, etc.

 

Les messages de sympathie des gens renvoient en réalité à leur propre peur d'être un jour confrontés à une maladie grave comme le cancer, qui touche désormais au moins une personne sur 2 au cours de sa vie, des statistiques qui ne font hélas pas sourciller les autorités d'un iota puisqu'elles continuent leurs politiques toxiques sans en changer la moindre virgule.

 

Chacun voit ainsi en Angelina Jolie, une personne qui a "prévenu" le cancer par un sacrifice corporel éprouvant. Pour autant, avoir la naïveté de penser que c'est là "prévenir" le mécanisme de cancer sous-jacent, fait penser aux illusions de ceux pour qui la prévention des blessures par balles consisterait à supprimer toutes les armes à feu, sans s'atteler au comportement problématique de ceux qui les possèdent! Et de la même façon qu'en enlevant une vésicule biliaire, on peut prévenir des complications parfois graves et mortelles, sans supprimer pour autant la tendance sous-jacente du corps à "faire des calculs", on ne supprime pas pour autant de façon absolue la possibilité du corps de faire un cancer en faisant une mastectomie préventive. Ainsi, 5% des femmes porteuses des gènes BRCA1 et/ou BRCA2, soit tout de même 1 femme sur 20 qui aura réalisé ce genre d'intervention radicale, développera quand même un cancer, en dépit de l'opération!

 

A défaut de procéder à une opération radicale dite "préventive", les femmes porteuses de ces gènes BRCA1 et BRCA2 se voient proposer un suivi rapproché (entendez: une irradiation encore plus fréquente avec les rayons X des mammographies, eux-mêmes cancérigènes...) éventuellement couplé à une chimiothérapie préventive, elle-même cancérigène, ce dont on se garde évidemment bien de dire aux femmes à qui on la prescrit bien évidemment.

 

Mais surtout, que nous apprend la décision radicale d'Angelina Jolie? Elle nous révèle en réalité l'absence flagrante de confiance de l'actrice dans la réussite des traitements officiels du cancer en cas de cancer déclaré. Car enfin, si quelqu'un était confiant dans l'efficacité de traitements anti-cancer officiels, quelle serait la logique à vouloir à tout prix éviter de devoir un jour y recourir, même si c'est au prix d'une opération mutilante irréversible en l'absence du moindre cancer?!

 

La décision d'Angelina Jolie constitue donc un véritable camouflet pour les traitements officiels de cancérologie actuels. Et il faut dire qu'elle n'est pas la seule, puisque les cancérologues, selon divers sondages, sont 75% à dire qu'ils refuseraient la chimiothérapie pour eux ou leurs proches en cas de cancer... ces mêmes cancérologues ne peuvent évidemment pas ignorer les statistiques affligeantes et issues de leur propre littérature sur l'efficacité médiocre de la chimiothérapie qui est en réalité de 2,2% dans le meilleur des cas et encore, pas en termes de guérison définitive, mais simplement de "survie à 5 ans"!!

 

La guérison des gens atteints de cancer est l'exception et non la règle. Bien souvent hélas, les gens attribuent alors le décès rapide au cancer lui-même, sans jamais imaginer qu'une majorité de gens traités par chimiothérapie meurent en réalité d'un empoisonnement aigu de leur organisme. Le Dr Richard Klausner, directeur du National Cancer Institute (USA) a déclaré : "L’histoire de la cancérologie a été basée sur la guérison du cancer sur la souris... Nous avons guéri des souris du cancer pendant des décennies - et cela n’a simplement pas marché sur les gens."

 

Sur le site Contrepoints.org, on pouvait notamment lire les déclarations de la star:

 

« Mes médecins estimaient que j’avais 87% de risques de développer un cancer du sein et 50% de risques de développer un cancer ovarien, même si chaque femme est différente. »

 

Quelle précision, c'est vraiment fabuleux!!! "Ses médecins estimaient que"? Mais que dire alors de ces médecins qui estimaient qu'il était vital, sous peine de mort, de se faire vacciner d'urgence contre la fausse pandémie de H1N1? Que doivent dire les parents dont les enfants sont à présent narcoleptiques parce que "leur médecin estimait que" le vaccin au squalène était incontournable et sûr?? Que doivent dire les parents dont les médecins estimaient qu'il était médicalement censé, efficace et sans danger de vacciner un jeune enfant avec 4 vaccins le même jour, ce qui a détruit cet enfant (comme tant d'autres) à jamais et qui fera de lui un handicapé à vie?

 

Alexis, après 4 vaccins le même jour!

                                            Alexis, encéphalopathie aux séquelles à vie après 4 vaccins

                                  

A un moment donné, qu'on soit starlette de Holywood ou simple citoyen, il est toujours utile et efficace de se demander  si la confiance aveugle qu'on a trop tendance à faire au corps médical est vraiment fondée!!!!!

 

Que se serait-il passé si Angelina Jolie n'avait pas survécu à l'anesthésie générale réalisée dans le cadre de son intervention? Un risque qui n'est pas nul, puisque le risque est au moins de 0,5 à 1 pour 10 000 dans les pays industralisés...Nul doute qu'alors, la perception du rapport bénéfices/risques de son geste aurait eu une toute autre coloration.

 

Quid si on découvre dans le futur, comme c'est tout à fait possible, que le risque associé à ces gènes est statistiquement nettement moins déterminant que ce qu'on peut affirmer aujourd'hui, au pourcentage près?

 

Exagérer les risques pour présenter ses "solutions" comme incontournables est hélas une méthode tristement banale au sein du système médical traditionnel, on le voit bien au travers de l'exemple vaccinal, abondamment évoqué sur ce site. Sans exagération du risque, sans dramatisation de maladies qui étaient pourtant statistiquement bénignes pour une majorité (comme la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc), jamais les autorités n'auraient réussir à offrir aux fabricants de vaccins des couvertures vaccinales aussi étendues, et aussi lucratives.

 

La vraie prévention consiste-t-elle à polluer son organisme avec des vaccins aux substances toxiques ou à se mutiler juste "au cas où"? Consiste-t-elle à "se décharger" complètement sur le corps médical ou bien consiste-t-elle avant tout à se responsabiliser sur nos possibilités personnelles de prévention, via notre mode de vie et les possibilités alternatives que la Nature met à notre disposition? Où sont les données contextuelles précises permettant aux lecteurs d'apprécier les facteurs de risque de la maman d'Angelina Jolie, dont on évoque cependant le cas pour expliquer la décision de sa fille?

 

Certes, le fait d'apprendre pour toute une série de femmes cette sorte de "condamnation à mort virtuelle" quand on leur annonce qu'elles sont porteuses de ce(s) gène(s) a un effet étouffant et asphyxiant, mais la terreur ou la panique ne sont pas forcément les meilleures conseillères. Se font-elles opérer avant tout parce que cela leur est ensuite psychologiquement plus facile de vivre ou parce que la nécessité médicale le justifie réellement? C'est en réalité la croyance que ce gène a un rôle si grand qui est le moteur le plus vraisemblable de la décision.

 

Chacun fait bien entendu ce qu'il veut de son corps (sauf en matière de vaccination où là, des autorités suprêmes s'arrogent le droit d'imposer à des millions de gens et d'enfants qu'on leur injecte diverses substances notoirement toxiques), sauf que la manipulation médiatique n'est pas toujours décelable au premier abord pour qui n'y est pas habitué ou pour qui n'y a pas encore trop goûté!

 

Ainsi, le journal Le Monde ne s'est même pas gêné de commencer un article sur Angelina Jolie en ces termes: "Jamais une campagne institutionnelle de santé publique n'aurait eu un tel écho.", donnant ainsi malhonnêtetement à penser que cela relèverait de la santé publique que de procéder comme Angelina Jolie (bonjour la pression intellectuelle sur les femmes porteuses de ces gènes, non opérées et qui liraient un tel article!)

 

En fait, et c'est bien sûr un aspect volontairement non abordé par les médias grand public, peu de gens semblent réaliser les principales raisons d'une efficacité aussi médiocre des traitements anticancer conventionnels et pourquoi leurs échecs sont si peu mis en avant dans la presse... Exactement comme avec les échecs vaccinaux qui sont sans cesse tus, minimisés, voire frauduleusement transformés en victoires avec recommandation de rappels supplémentaires, les échecs des traitements conventionnels sont eux aussi banalisés ou passés sous silence ... ce qui nivelle en réalité drastiquement par le bas les performances possibles de notre système médical actuel, c'est évidemment l'impossibilité institutionnalisée de mettre ces méthodes officielles en concurrence avec d'autres approches intéressantes. Les profits des multinationales de la pharmacie sont assimilés à "la raison d'Etat", les pharmas sont considérées comme "les partenaires naturels" des autorités par ces dernières, et tout ce petit monde n'a pas envie que les privilèges des uns et des autres changent.

 

Le public crédule a dès lors permis la création artificielle d'un monopole factice d'efficacité en faveur des vaccins, des chimiothérapies et autres méthodes exclusives et souvent imposées à des patients qui se trouvent d'ailleurs souvent déjà en situation d'abus de faiblesse.

 

Les gens croient qu'il n'y a "que ça à faire", que les vaccins, que la chimiothérapie, parce qu'ils n'ont tout simplement jamais lu dans les médias qu'il existait d'autres voies. Des experts transformés en véritables "ayatollahs" ont éructé dans les journaux ou en télé que le recours à d'autres méthodes constituait "une perte de chance" de survie ou de guérison pour les patients, et ces derniers la plupart du temps les croient, sans jamais faire l'effort de s'attarder sur les statistiques vraiment peu glorieuses d'effets secondaires vaccinaux ou de guérisons véritables de cas de cancer imputables à la sacrosainte médecine allopathique!

 

savants-maudits--jpg

Les dessous de la lutte contre le cancer révèlent eux aussi de "belles surprises" en termes de chances inédites de lucidité ainsi offertes à ceux qui se donnent la peine de faire sauter leurs oeillères. Des Fondations contre le Cancer qui se disent totalement indépendantes mais qui ont en réalité les grandes pharmas parmi leurs sponsors officiels (cfr propos du Dr Didier Vandersteichel lors d'une émission-débat audio sur BEL RTL en janvier 2012), un Télévie dont une partie de l'argent sert aussi à financer un Institut dont certains projets sont plus qu'inquiétants en termes d'éthique, puis le temps aussi depuis lequel des sommes astronomiques d'argent ont été englouties pour trouver soi-disant de vrais remèdes aux cancers sans que les résultats ne soient à la hauteur, et pour cause... il suffit de voir tous les chercheurs qui ont trouvé et qui ont été bâillonés ou censurés ou plongés dans l'oubli pour avoir découvert des méthodes réellement novatrices, mais visiblement menaçantes pour les profits des pharmas!

 

De la même façon qu'il aura fallu des années et des années avant que des syndicats comme la FGTB ne commencent enfin à s'élever contre la tyrannie des traités européens, il est probable qu'il leur faudra encore peut-être des années pour comprendre aussi les dessous de la lutte anti-cancer, puisque la newsletter du Setca du 15 mai dernier écrivait par exemple que  « Pour la troisième année d’affilée, le SETCa participe à l’initiative « 1000 kilometer tegen kanker» (1000 kilomètres contre le cancer). Huit sportifs parcourent ensemble 1000 kilomètres. Par sa participation, le SETCa rapporte 5000 euros à la recherche dans le cadre de la lutte contre le cancer»

 

A quelle association ou instance exacte cet argent sera-t-il versé? La FGTB est-elle seulement au courant des propos de Linus Pauling, double Prix Nobel, qui déclarait: "Tout le monde devrait savoir que la lutte contre le cancer constitue en grande partie une fraude et que les grands organismes de lutte contre le cancer ont trahi leurs devoirs envers ceux qui les soutiennent."



???

  

 Articles connexes:

 

- Cancer: des traitements préventifs efficaces dédaignés par les autorités car ils gêneraient le business des pharmas

 

- La fausse prévention des mammographies et des vaccins: pas mal de points communs

 

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 18:57

La médecine scandaleuse

 

par Paul Vinel

 

médocs

 

Nombreux sont les responsables officiels et spécialistes à émettre de vives critiques à l’égard des médecines parallèles pourtant plébiscitées par des français de plus en plus nombreux. Les principaux arguments invoqués ? Ces médecines ne seraient pas validées scientifiquement, elles représenteraient un manque de chance pour les patients, et surtout les praticiens de ces médecines parallèles se rendraient coupables d’abus de faiblesse à l’égard de leurs patients. Qu’en est-il réellement ? Et la médecine officielle est-elle exempte de tout reproche ?

 

C’est vrai, les médecines parallèles peinent à trouver des validations scientifiques, surtout que les protocoles officiels de validation ne sont pas transposables à leur mode d’action, prioritairement préventif. Mais la médecine officielle est-elle vraiment validée scientifiquement ? En premier lieu, constatons que cette médecine est source de nombreux effets secondaires et de maladies iatrogènes et nosocomiales; et les malades sont davantage traités comme des objets que comme des personnes. Cette réalité objective est prouvée scientifiquement, mais très souvent occultée. Plus grave, présentée comme scientifique, la médecine officielle souvent ne l’est pas. Voici ce qu’a déclaré le Dr John Abramson, expert auprès des tribunaux : « 85% des essais cliniques, et même 97% des essais cliniques les plus importants sont financés par l’industrie pharmaceutique. Or on a montré qu’il y a 5 fois plus de chances pour qu’un essai financé par le privé conclue à l’efficacité du médicament, qu’une étude financée par le public pour le même médicament. » De même, des chercheurs à la faculté de médecine de l'Université Duke en Caroline du nord (sud-est) ont analysé près de 9.000 essais cliniques et ont conclu que les études cliniques sur de nouveaux anticancéreux comptent souvent un trop petit nombre de patients comparativement aux autres maladies et sont ainsi moins fiables. De plus, ces études portent sur une seule thérapie sans faire de comparaison avec d'autres traitements, comme c'est le cas pour d'autres maladies.

 

En conclusion, la médecine officielle qui se vante d’être validée scientifiquement, en fait souvent ne l’est pas.

 

Autre question, est-il vrai que l’utilisation d’une médecine parallèle serait un manque de chance pour toute personne atteinte de maladie grave ? Une telle affirmation laisse entendre que la médecine officielle aurait le monopole de la guérison, ce qui est bien sûr totalement faux. Ensuite les médecines parallèles sont souvent un complément fort utile à la médecine officielle, surtout en cas de traitement lourd. D’ailleurs certaines unités pilotes dans des hôpitaux commencent à les utiliser. Enfin, l’histoire suivante illustre que le manque de chance, c’est d’abord la cupidité financière et les considérations économiques. Le Dr André Gernez, aujourd’hui âgé de 90 ans est un brillant scientifique français, père de la théorie des cellules souches et plusieurs fois récompensé. Fin des années 60, il avait mis au point une méthode de prévention du cancer efficace à près de 100% selon une étude de l’INSERM. Alors que tout était prêt, les responsables sanitaires français refusèrent sa mise en application pour raisons économiques, et une omerta médiatique fut mise en place sur cette avancée scientifique remarquable. Un véritable manque de chance pour de nombreux malades morts depuis !

 

Regardons maintenant ce qu’il en est de l’abus de faiblesse. Tant il est vrai que face à la maladie, toute personne est fragile et susceptible d’être manipulée. La médecine officielle utiliserait-elle cette fragilité pour s’imposer ? La réponse est oui, sans hésitation. Ainsi fut inventé le SDP (Syndrome Dysphorique Prémenstruel), un terme savant pour désigner les troubles prémenstruels des femmes. Ceci permit de commercialiser une « nouvelle molécule», en fait un clone du prozac vendu quatre fois plus cher, pour soigner cette « maladie nouvelle ». Egalement l’industrie pharmaceutique a réussi à faire baisser le taux de cholestérol admissible. En conséquence, 95% des français et allemands furent artificiellement déclarés malades et se virent prescrire des statines, médicaments à risques alors que l’exercice physique et une bonne diététique sont suffisants pour réduire les risques cardiovasculaires. Le professeur Philippe Even a eu ces mots très explicites : «Faute d’inventer des médicaments vraiment nouveaux, vraiment nouveaux et puissants, pour les vraies maladies, pour les maladies qui frappent toute l’humanité, cancer, l’hypertension, etc…, pour maintenir ses ventes l’industrie pharmaceutique a trouvé plus simple d’inventer des maladies qui n’existent pas, et pour lesquelles des médicaments sans aucune efficacité, mais cela n’a pas d’importance puisque les soi-disant malades ne sont pas malades. »

 

Conclusion, la médecine officielle a perdu son âme, gangrenée par la cupidité financière. Pour la sauver d’elle-même, des mesures sont indispensables.

 

Tout d’abord il faut mettre en place des mesures « antitrust » pour mettre fin au monopole de l’information médicale par les laboratoires pharmaceutiques, et officialiser l’utilisation des médecines parallèles. Cette dernière voie déjà très suivie en Europe commence à apparaître également en France. Grâce à cette mise en concurrence, la médecine officielle sera obligée de réduire ses opérations marketing et augmenter ses recherches fondamentales. Cette cure d’amaigrissement lui sera à terme profitable.

 

Enfin il faut remplacer le cercle vicieux actuel par un cercle vertueux. Aujourd’hui le système actuel de santé est basé sur la maladie : c’est elle qui est source de revenus. Par contre un système basé sur le maintien des personnes en bonne santé permettra la mise en place d’un cercle vertueux : la santé permanente comme nouvelle source de revenus.

 

De quoi faire, vraiment !

 

Source : Lettre d’information de mai 2013 de CAPLC

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 20:00

N'est-il pas étrange que des Etats qui justifient le harcèlement vaccinal qu'ils exercent sur les citoyens en prétendant vouloir sauver des vies et prévenir plusieurs cancers, ignorent pourtant superbement des approches démontrées efficaces pour prévenir cette maladie ?

 

Pour les plus naïfs d'entre nous, cela constituera immanquablement une incohérence énorme. Pour ceux qui savent comment le système de santé ou plutôt de maladie fonctionne, cette situation est tristement logique et tout ce qui enrichit les pharmas est encouragé tandis que tout ce qui peut leur faire de l'ombre est passé sous silence et donc superbement ignoré!

 

Seule la compréhension de cette véritable règle d'or du système permettra aux populations du monde et surtout aux générations futures de s'extraire de ce véritable carcan mortifère.

  

Tous ceux qui liront cet article (et même ceux qui ne le liront pas) sont confrontés à des choix cruciaux en matière de santé dont ils n'ont souvent pas conscience hélas qu'ils se jouent au quotidien. Les gens préfèrent ne pas penser à des maladies graves comme le cancer et quand ils commencent à y penser, il est souvent trop tard. Pris de panique, ils acceptent quasiment toujours les traitements officiels invasifs, mutilants et statistiquement très peu pourvoyeurs de véritables guérisons! Comme il eût été bien plus intelligent alors de se demander AVANT de tomber malade, quelle était la meilleure façon de prévenir la maladie! Serait-ce avec des vaccins transgéniques qui posent en eux-mêmes un risque de cancer (selon les propres aveux de l'OMS!), sans parler de leurs autres composants cancérigènes? Ou serait-ce avec d'autres méthodes, moins lucratives pour Big Pharma, et qui ont donc moins de chance d'être médiatisées et officiellement encouragées??

 

Des chercheurs et des médecins indépendants font tout ce qu'ils peuvent pour vous informer mais leurs forces et leurs moyens ne sont pas sans limite... 

 


Eduquer UTILEMENT ses enfants aujourd'hui et demain, ce sera inévitablement leur apprendre sans langue de bois comment le système fonctionne et à quel point il est de leur intérêt de chercher par eux-mêmes les informations sanitaires vitales en matière de traitement et de prévention. Ne rien croire sur parole au seul prétexte que celui qui parle est médecin ou soi-disant expert, mais tout vérifier, et ne pas craindre d'essayer des méthodes en dehors des sentiers battus, qui ont été testées et évaluées par des chercheurs et des médecins qu'on a essayé de marginaliser à tout prix! Après tout, la médecine allopathique, si elle est parfois incontournable dans certaines indications précises, n'a aucune leçon de morale à donner à quiconque quand on sait le nombre de décès qui lui sont imputables chaque année, soit du fait des erreurs médicales soit du fait des effets secondaires mortels des médicaments. Ainsi, quand on entend les cris d'orfraie selon lesquels se détourner de la médecine officielle a fait perdre de précieuses chances de survie, c'est rarement si vrai que ça en a l'air et ça sert surtout souvent les mêmes intérêts...
 
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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 17:40

Témoignage d'une famille belge en réaction au témoignage d'une maman sur l'épilepsie de son enfant après le vaccin contre la varicelle. Cette famille, que nous remercions, souhaitait faire profiter d'autres victimes éventuelles de son expérience positive:

 

homéo 1"Notre fille vers 15 ans a été étudier en Inde. Le collège a requis une vaccination hépatite B.

 

Nous avons finalement accepté, pour autant que cela se fasse en Belgique.

 

Trois semaines après le premier vaccin, elle faisait une crise d'épilepsie en pleine classe, en Inde.

 

Lors d'un retour en Belgique, elle a reçu un rappel.

 

Trois semaines plus tard, elle était en transit à Genève et dans les toilettes de l'aéroport, elle refaisait une crise. Mon épouse s'est montrée futée : elle a fait le lien avec le délai du vaccin.

 

Nous nous sommes procuré une dose du vaccin et nous avons fait faire un remède isopathique du vaccin.


Nous avons expédié le remède à notre fille en Inde.
C'était trois mois après le rappel.


Par retour de courrier, notre fille nous annonçait qu'elle allait de nouveau bien.
Nous n'avons plu eu de soucis d'épilepsie depuis plus de 10 ans."

 

Un isopathique est une sorte d’ « antidote » homéopathique préparé à partir d’une substance donnée qui peut être un médicament, un vaccin etc. Il s’agit, à partir de la substance qu’on soupçonne d’avoir engendré une réaction négative, de diluer ET dynamiser la substance incriminée, ce qui va constituer un isopathique donné, disponible en différentes dilutions possibles, par exemple 30K, 200K, 1000 K, 10 000K. Plusieurs témoignages de guérisons spectaculaires existent avec des paralysies, des cas d’autisme, etc., bien qu’on ne puisse bien évidemment pas accorder une garantie d’efficacité de 100%. Un des éléments très importants pour maximiser l'efficacité en cas d'effets secondaires est d'intervenir très précocément après l'apparition des premiers symptômes négatifs.

 

Certains médecins choisissent de les utiliser préventivement avant et/ou après des vaccinations, d’autres uniquement après l’apparition d’effets secondaires.

 

Il est tout de même cocasse, bien qu’il n’existe AUCUN système d’indemnisation pour les victimes de vaccins en Belgique ni aucune solution qui leur soit proposée aux maux souvent irréversibles que la médecine et l’administration leur ont imposés, qu’on assiste à une véritable offensive partisane et déloyale contre l’homéopathie, avec des doyens de faculté qui ne savent absolument pas de quoi ils parlent et qui ne font hélas que défendre leur petit pré carré. On le voit, on a là une médecine qui peut parfois apporter un grand soulagement voire une guérison dans des cas réputés incurables mais en raison d’une mauvaise foi crasse et d’un aveuglement idéologique pitoyable de certains pseudos experts, ces victimes sont laissées à leur triste sort sans le moindre égard ou la moindre reconnaissance. Belle vision de « la solidarité » et du « geste citoyen » que constitue soi-disant la vaccination pour ses promoteurs effrénés !

 

Lire aussi ce dossier sur le syndrome post-vaccinal avec plusieurs cas améliorés ou guéris avec succès après administration des isopathiques de vaccins.

 

 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 18:53

Au CHU de Limoges, par exemple, le professeur Bernard Descottes éprouve les pansements de miel depuis des années pour la cicatrisation de ses patients, avec des résultats impressionnants.

 

Reportage diffusée sur TF1, le 21 avril 2009.

 

   

« Le miel de thym assure une cicatrisation deux fois plus rapide qu’un pansement gras. Même les crèmes pharmaceutiques, 100 fois plus chères au gramme, sont incapables de rivaliser. Plus de 3000 patients ont été traités ici (au CHU de Limoges) avec 98% de succès et pourtant, le Pr Descottes reste pratiquement encore LE SEUL hospitalier en France à utiliser quotidiennement les pansements au miel. »

 

Voilà encore un (triste) exemple du lavage de cerveau parfaitement réussi par les pharmas au niveau du corps médical : celui-ci commence hélas en faculté, dès les premières années et déforme complètement le bon sens et les capacités logiques élémentaires qui pourraient exister chez les étudiants, les amenant à croire que leur arsenal doit forcément être réduit aux seules gammes de produits de Big Pharma !

 

On a là un exemple vraiment typique d’un produit idéal : sûr, très efficace et vraiment bon marché, mais on continue avec les crèmes classiques, qui coûtent plus cher à la Sécu et on continue à faire perdre des chances de guérison à des milliers de patients chaque année et tout cela, sans que nos « bonnes autorités » qui n’en ont visiblement rien à caler de notre intérêt, décident d’émettre des recommandations officielles à l’entièreté du corps médical, dans un but d’efficience, de confort et d’économie !!!!

 

Cet exemple devrait faire méditer toutes les personnes qui croient encore sincèrement les bonimenteurs vaccinalistes lorsqu’ils ne cessent de répéter que « la vaccination est LE SEUL moyen de prévention efficace ou possible. » C’est évidemment aussi faux que de ne croire que les seules crèmes pharmaceutiques cicatrisantes ont une utilité, alors qu’un produit naturel fait en réalité beaucoup mieux ! Tout dépend évidemment du champ de connaissance (mais aussi de la bonne foi) de celui qui affirme, qu’il s’agisse d’un expert officiel ou non ! Les autorités et leurs alliés de toujours (les pharmas) sans parler de la majorité du corps médical qui agit bien souvent à la manière de valets de l’industrie, ont toujours tendance à dénigrer les moyens alternatifs voire à les passer sous silence, par arrogance ou par ignorance. Il ne tient qu’à nous de décider de ne plus en faire les frais, de nous informer et de prendre en charge notre santé et notre droit à l’information !

 

NB: pour la mouvance "sceptique" (qui n'est rien d'autre que l'arrière-salon des pharmas et de leurs contacts en réalité), un tel professeur aurait sûrement tort car il est minoritaire... on voit en tout cas là le degré pitoyable de réfléxion et de bon sens!!!

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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 22:27

 

Excellente interview de Sylvie Simon par le Dr Edouard Broussalian, sans langue de bois, et vraiment réaliste par rapport au degré actuel de dictature de la pensée unique en médecine... à diffuser largement! Et merci aux auteurs de cette vidéo fort salutaire!
 
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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 19:25

Les médecines dites complémentaires entrent peu à peu à l’hôpital

  

hopital-2.gif

  

A l’heure où les médecines douces sont sur la sellette car elles portent tort aux lobbies pharmaceutiques, alors qu’elles sont qualifiées par nos pouvoirs de santé - Ordre des médecins en particulier, - de « croyances ésotériques » ou de « poudre de perlimpinpin » et même de « nids de sectes », et leurs praticiens de « dérapeuthes » qui privent leurs malades d’une chance de guérir par les méthodes officielles et « scientifiquement prouvées », nous pouvons considérer que tout espoir n’est pas perdu, loin de là.

 

En effet, Bernard Debré ne s’est pas contenté de critiquer, avec l’aide de Philippe Even, ces lobbies et leurs médicaments, la plupart du temps inutiles et souvent dangereux, il a aussi défendu l'acupuncture, la phytothérapie, l'ostéopathie et les massages ayurvédiques. Je ne dirai pas qu’il est totalement convaincu de l’efficacité de ces médecines dans les pathologies lourdes, mais il est sur le bon chemin de l’ouverture. N’oublions pas qu’il a, à bon escient, qualifié de « grippette » la « pandémie » supposée de la grippe A. Il a été l’un des seuls « patrons » à se le permettre.

 

Le 14 octobre 2010, interviewé par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos dans le journal Le Point, il a avoué que les Médecines Alternatives et Complémentaires ont leur place à l'hôpital.

 

« Je conseille tout le temps d'associer la médecine moderne aux complémentaires. Ainsi, dans mon service de Cochin, nous utilisons l'acupuncture. Pour les membres du personnel qui le désirent, nous avons des séances de shiatsu et de massage ayurvédique. Je suis très favorable aux médecines complémentaires et alternatives les plus raisonnables. Certaines ont fait les preuves de leur efficacité. Comme l'acupuncture, dont on a montré comment elle fonctionnait. La phytothérapie est la mère de toutes les médecines. Je travaille à l'East Hospital à Shanghaï, où la plupart de ces médecines sont appliquées. »

 

Le Professeur Debré pense que les nombreux tests en cours démontreront le bien-fondé de la phytothérapie. Il attribue cet engouement actuel pour les médecines douces à l'ouverture au monde. « Les gens vont en vacances en Thaïlande, la télé leur parle des médecines pratiquées à l'autre bout de la planète. à côté, on ne cesse d'insister sur le côté négatif de certains médicaments. Il y a ceux qui sont retirés du marché à cause de leur dangerosité. Et puis, on ne cesse de répéter qu'il ne faut plus utiliser d'antibiotiques pour une angine. Alors les gens se tournent vers d'autres thérapies. »

 

Durant son interview, il a ajouté que sa fille, qui monte beaucoup à cheval, fait appel à l'ostéopathie quand elle se blesse. « Je n'y croyais pas, maintenant, il m'arrive également d'y faire appel, comme à l'acupuncture. Je pratique également parfois le shiatsu et me soumets à des massages ayurvédiques. »

 

Cela dit, il a ajouté : « je reste fondamentalement attaché à la médecine occidentale, qui seule peut répondre à certaines pathologies lourdes. » Puisque le Pr Debré a l’esprit ouvert et ose défendre des positions gênantes pour Big Pharma, il changera peut-être d’avis, comme il l’a fait pour l'ostéopathie, s’il constate que d’autres médecines dites douces marchent aussi et même dans des cas graves.

 

À son tour, et à l’instar du Parisien, L'Express de mars 2013 commentait les déclarations de l'Académie de médecine et constatait que ces « thérapies complémentaires, comme préfère les nommer l'Académie, connaissent un réel succès en France ». Il est indéniable que près de 4 personnes sur 10 (et sans doute plus), « et tout particulièrement les malades atteints de cancer » y feraient appel, toujours selon l'Académie.

 

« Acupuncture, ostéopathie, hypnose, tai chi sont-ils efficaces ? La réponse de l'Académie est globalement positive ». Et pour L'Express, l’acupuncture peut apporter un bénéfice au patient dans de nombreuses pathologies. L'Académie cite notamment les lombalgies et cervicalgies chroniques, la migraine, l'arthrose des membres inférieurs, les douleurs des femmes enceintes et lors de l'accouchement, ainsi que les nausées et vomissements induits par une chimiothérapie.

 

Concernant l’ostéopathie, l'Académie conclut à une efficacité certaine mais « modérée » dans les lombalgies et cervicalgies aigües ou chroniques, les céphalées et les vertiges d'origine cervicale, ainsi que pour la migraine, mais « à un moindre degré ».

 

Pour l’hypnose, toujours selon L’Express, l’Académie a recensé plus de 60 essais contrôlés, avec des diagnostics très larges, mais finalement tournés essentiellement autour des douleurs, nausées, vomissements, fatigue et anxiété, mais elle  déplore « la faiblesse des effectifs et la qualité médiocre de la méthodologie ». Toutefois, le groupe de travail estime que « son efficacité semble avérée pour les gestes invasifs chez l'enfant et l'adolescent ainsi que pour les effets secondaires des chimiothérapies ».

 

Le magazine note par ailleurs que le tai chi améliore l'équilibre et réduit sensiblement les risques de chute chez les personnes âgées, et semble également avoir des effets bénéfiques sur l'asthme et le sommeil. Quant au qigong, il réduit la pression artérielle au repos chez les patients hypertendus. Mais, pour l'Académie, « on ne peut dire aujourd'hui si la faveur dont [tai chi et qigong] jouissent est autre chose qu'un effet de mode ».

 

L'Express évoque enfin l’effet placebo : « Toutes les thérapies complémentaires ont un effet placebo, et ce dernier semble équivalent que l'acupuncture, par exemple, soit simulée ou authentique. Mais c'est aussi le cas pour de “vrais” médicaments et, surtout, cela ne signifie pas qu'elles soient inefficaces. “Au contraire" même, précise l'Académie, "compte tenu des intermédiaires neurobiologiques aujourd'hui connus de l'effet placebo” ».

 

Le Parisien rend compte lui aussi de ce rapport de l’Académie de médecine, qui « a reconnu du bout des lèvres l’utilité de certaines techniques ». Le journal cite le Pr Daniel Bontoux, de l’Académie, qui ajoute : « On les appelle complémentaires, car elles ne sont pas à elles seules une médecine. Mais elles peuvent permettre d’obtenir un petit plus par rapport aux traitements conventionnels ». Le Parisien cite en outre Jean-Yves Fagon, en charge du développement de la médecine complémentaire à l’AP-HP, qui remarque qu’« il y a une demande très importante des patients ». Le quotidien conclut que « les hôpitaux de Paris où 23 praticiens à peine offrent des consultations de médecine complémentaire espèrent le développement de la recherche sur ces thérapies. Et à défaut d’un diplôme universitaire, une initiation en faculté de médecine. »

 

Nous n’en sommes pas encore à la reconnaissance officielle de ces médecines comme des médecines à part entière, d’autant que l’homéopathie n’est jamais citée par ces « pontes », mais ces quelques déclarations sont en contradiction avec l’attitude de rejet total par l’Ordre des médecins sous la coupe de la Miviludes et autres « experts » en ce genre. Nous avons donc déjà gagné une victoire sans guerre.

 

Sylvie Simon

  

En Belgique, pendant ce temps, les doyens de faculté de médecine réclament le déremboursement des médecines douces qu’ils considèrent comme non scientifiques !!

 

Récemment, à croire que les doyens belges et l’Ordre des Médecins français se sont concertés, on pouvait lire dans le Figaro : « Comme le rappelait le Pr Simon Schraub, cancérologue, dans le bulletin de l'Ordre de septembre 2012: «De l'homéopathie capable de guérir le cancer, cela n'existe pas!»

 

Pourtant, force est de constater que cette affirmation n’est pas conforme à la réalité des faits, une réalité factuelle qui est pourtant censée être la base de toute science digne de ce nom.

 

«De l'homéopathie capable de guérir le cancer, cela n'existe pas! » Une fois encore, l'Ordre des Médecins parle de ce qu'il ne connaît pas... Dans un rapport sur le travail de la Prasanta Banerji Homeopathic Research Foundation, 21 888 patients atteints d'une tumeur maligne ont été traités uniquement par homéopathie, sans chimiothérapie ni radiothérapie, entre 1990 et 2005. D'après les comptes rendus cliniques, on a constaté une régression complète de la tumeur dans 19 % des cas (4 158 patients) et une stabilisation ou une amélioration dans 21 % des cas (4 596 patients). Ceux dont la tumeur n'évoluait pas ont été suivis ensuite pendant deux à dix ans afin de surveiller l'amélioration (1). Cela tend à montrer que l'homéopathie est capable à elle seule de guérir ou, du moins, de stabiliser 40 % de tous les cancers, un taux de réussite qui équivaut aux meilleurs résultats obtenus avec des traitements conventionnels, et ce sans subir les effets invalidants de la chimiothérapie et de la radiothérapie. Des laboratoires indépendants ont étudié la thérapie homéopathique de cette Banerji Foundation, ou protocole Banerji. Deux des remèdes utilisés, Carcinosin (ou Carcinosinum) et Phytolaccadecandra, se sont avérés aussi efficaces contre le cancer du sein que le Taxol prescrit en chimiothérapie. (2) Etonnamment, tous les traitements employés par la Banerji Foundation sont disponibles en pharmacie et Ruta 6 (Rutagraveolens) est l'un des quelques remèdes régulièrement prescrits. »

 

Lorsqu’on sait que les taux de « succès » de la chimiothérapie ne sont, que de 2,2 à 2,3% dans le meilleur des cas et encore, même pas en termes de guérison mais de survie à 5 ans, selon l’étude publiée en 2004 dans Clinical Oncology, on se dit que ces Prs machin chose feraient mieux de tourner leur langue sept fois dans leur bouche et de retourner sur les bancs de l’école apprendre ce que signifie le mot « humilité ». En fait, tristement, il s’avère dans la pratique qu’un nombre désespérant de patients perdent des chances immenses de bien-être et de qualité de vie, tout simplement parce que l’establishment préfère nier ce qu’IL ne comprend pas selon ses seuls concepts étroits… quel dommage en termes de santé publique !! Seul l’adage de Molière, malheureusement toujours d’actualité résume bien cet état des choses : « Mourir dans les règles plutôt que réchapper hors des règles », ce que le Dr Martine Gardénal a très joliment paraphrasé en regrettant cette préférence de mourir scientifiquement plutôt que de guérir empiriquement.

 

 

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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 22:00

LES TEINTURES-MÈRES HOMEOPATHIQUES CONDAMNEES A DISPARAITRE?

 

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NE LAISSONS PAS DISPARAÎTRE LES TEINTURES-MERES HOMEOPATHIQUES! 

   

LETTRE OUVERTE du Docteur Jean-Michel MOREL DE BESANCON

 

Il est Président de la Société Franc-Comtoise de Phytothérapie et d’Aromathérapie et Chargé de cours au DU de Phytothérapie et d’Aromathérapie en Faculté.

 

LES TEINTURES-MERES: UN PATRIMOINE MEDICAL ET PHARMACEUTIQUE EN GRAND PERIL 

 

La liberté de prescription du médecin, la pratique de la phytothérapie et la pluralité thérapeutique sont menacées.

 

Pour le patient, le libre choix de son praticien et de ses modalités de soins ne seront plus respectés. (Et surtout sa santé est en jeu. J L)

 

Va-t-on éliminer l’usage médical des plantes ?

 

De très nombreuses souches de Teintures-Mères (TM) sont amenées à disparaître, en raison d’une réglementation européenne contraignante [1]. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM, anciennement AFSSAPS) a initié un calendrier de mise en conformité en 2001 qui se termine en 2015. Les professionnels médecins phytothérapeutes n’ont pas été invités à participer aux prises de décision. (pas plus bien sur que les usagers J L)

 

Dorénavant, cette directive séparera arbitrairement deux catégories de médicaments :

 

Les médicaments à enregistrement homéopathique (EH) qui répondent à certains critères, mais surtout qui démarrent de la dilution 2CH (2° centésimale, correspondant à la 4DH, 4° décimale soit 1/10000° ou 10-4) pour aller jusqu’à la 30CH (ou 60DH, dilution 10-60)

 

Les médicaments à autorisation de mise sur le marché (AMM) pour les autres, dont les teintures-mères.

 

Le critère retenu par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour abroger les TM par fournées entières est une « bibliographie homéopathique jugée insuffisante », ce qui a pour conséquence, non pas un déremboursement, mais une interdiction de leur délivrance en officine.

 

Deux questions se posent d’emblée :

 

-  Pourquoi séparer les TM et les dilutions ?

 

Les technocrates de Bruxelles ont décidé de faire démarrer arbitrairement l’homéopathie à la 2° centésimale, pour des raisons d’innocuité, et pour permettre un enregistrement simplifié. Malheureusement, cette directive sert de prétexte à une mise en coupe réglée des teintures-mères.

 

Les TM sont d’usage très ancien avec une grande sécurité d’emploi. Elles sont utilisées par les homéopathes eux-mêmes, avec des indications puisées autant dans la matière médicale de phytothérapie [2] que dans celle d’homéopathie [3]. En outre, la bibliographie scientifique à propos des plantes médicinales est considérable.

 

Les TM sont définies par leur mode de fabrication [4], et servent de souche de base pour les préparations homéopathiques. Elles répondent à la définition des « alcoolatures » en phytothérapie et sont très utilisées du fait de leur grande diversité (jusqu’à présent, nous disposions de quasiment 800 souches). Elles sont considérées par les médecins comme des produits « éthiques », les « médicaments génériques de la phytothérapie ». Ce sont des formes galéniques du domaine public et des matières premières précieuses pour les pharmaciens. Elles ne donnent pas lieu à une concurrence comme les autres formes galéniques.

 

-  Pourquoi demander une bibliographie uniquement « homéopathique » ?

 

Une bibliographie scientifique sérieuse ne peut pas séparer un auteur « homéopathique » et un auteur « non homéopathique ». Une souche de plante, ce sont des propriétés vérifiées à différents dosages, parfois pondéraux, parfois à des dosages très faibles voire infinitésimaux, et parfois dans ce cas avec une pathogénésie (expérimentation homéopathique). En tout cas, c’est un continuum d’effets qui relie l’homéopathie et la phytothérapie sans séparation.

 

De plus, on veut supprimer des TM parce qu’elles ne font pas partie de l’homéopathie, mais on leur refuserait une AMM sous prétexte qu’on n’a pas de bibliographie homéopathique ! Quelle contradiction !

 

La pluralité thérapeutique génère des économies de santé

 

Le chiffre d’affaires qui résulte des ventes de médicaments est estimé à 21,7 milliards d’euros dans les officines en 2011[5]. L’usage excessif de médicaments dans des pathologies de médecine générale en première intention génère des coûts importants et parfois indus, avec une pérennisation des traitements et une augmentation des pathologies iatrogènes. Trop souvent, on applique la maxime : « Aux petits maux les grands remèdes ! ».  Il faut au contraire favoriser le recours à des pratiques simples, respectueuses de l’environnement et de la physiologie de nos patients. Dans ce domaine, l’utilisation de la phytothérapie sous diverses formes galéniques dont les teintures-mères représente une alternative pertinente, fiable et de bonne sécurité.

 

La prescription des plantes médicinales rencontre actuellement un franc succès en médecine générale, de nombreux confrères prescrivent avec compétence et conviction, générant ainsi des économies non négligeables.

 

Pour nous phytothérapeutes, comme pour les homéopathes, la suppression programmée des TM est une véritable catastrophe : nous étions fiers de cette variété de plusieurs centaines de souches détenues par les laboratoires homéopathiques. Cette ruine progressive de la matière médicale ne nous laissera que quelques dizaines de plantes sous forme de phyto-médicaments manufacturés, privant ainsi les médecins de leur liberté de prescription et amputant une part importante de leur arsenal thérapeutique. Imaginons que les médecins n’aient à leur disposition que 30 ou 40 remèdes pour soigner tous les maux de leurs patients !

 

Nos propositions

 

Nous demandons donc instamment aux pouvoirs publics de modifier l’application de cette directive pour permettre une simple inscription sur la liste des TM de toutes les plantes qui sont déjà à la Pharmacopée, et en outre de celles utilisées par la tradition, possédant une bibliographie scientifique et de bonne innocuité. C’est tout à fait possible.

 

Aux laboratoires homéopathiques, nous demandons de faire le maximum pour inscrire progressivement toutes les plantes dont nous avons besoin, en concertation avec les professionnels utilisateurs.

 

Nous sommes conscients que cela représente un travail important pour les laboratoires d’homéopathie qui ont toujours été les garants de la conservation de ces souches, mais dans le monde de la phytothérapie et de la pharmacognosie, de nombreuses bonnes volontés peuvent s’associer pour aider à réunir les documents et la bibliographie nécessaires.

 

RÉFLEXIONS CONNEXES

 

La phytothérapie de prescription médicale s’implique dans une démarche responsable, écologique, favorisant la biodiversité et le développement durable.

 

En France surtout, la teinture-mère est un patrimoine précieux, dont la disparition pourra laisser le champ libre à des pratiques venues d’ailleurs. Par exemple, les formules de médecine traditionnelle chinoise ou ayurvédique font de plus en plus l’objet de brevets et d’expérimentations cliniques. Leur motivation commerciale est évidente. Il est urgent de reconnaître chez nous l’historicité, la spécificité et l’originalité de la préparation magistrale de phytothérapie. (NB: Initiative Citoyenne tient à indiquer ici tout son respect pour ces "pratiques venues d'ailleurs" que sont la médecine traditionnelle chinoise ou la médecine ayurvédique qui recèlent un savoir tout à fait impressionnant et digne d'estime; contrairement à une volonté d'exclusivité de certains, Initiative Citoyenne défend le pluralisme thérapeutique au sens large car cette pluralité de traitements est ce qui est le plus salutaire pour l'ensemble des patients. Nous pensons que l'auteur a surtout voulu insister ici, sans doute maladroitement cependant, sur le principe de "consommer local d'abord", c'est-à-dire de commencer par préserver ce sur quoi nous avons un pouvoir peut-être plus tangible, de par un ancrage historique et géographique accru .) 

 

Ce Nième coup dur pour l’usage médical des plantes, mettant à chaque fois un coup d’arrêt à des prescriptions responsables, ne nous fera pas penser pour autant à une « cabale anti-phyto ». Néanmoins, il montre que le lobbying homéopathique fonctionne beaucoup mieux que celui de la phytothérapie, dont les pratiques et les intérêts sont très dispersés.

 

L’OMS [6] fait la promotion de l’emploi des plantes médicinales dans tous les pays, observe un usage par les trois quarts de la population mondiale, reconnaît qu’elles sont source d’emplois, d’innovations, d’économies de santé, de réduction de la iatrogénie.

 

La phytothérapie est choisie par de nombreux individus qui désirent être acteurs de leur santé, dans une démarche responsable. Nos patients font un choix. Ils s’impliquent dans la prise en charge de leur capital-santé, ils ont droit à être respectés sur ce plan. Ne va-t-on pas évincer les plus vertueux ?

 

La prise de conscience écologique doit pénétrer le monde de la santé, et l’usage des ressources médicinales de notre environnement en est l’un des éléments majeurs.

 

Chez les médecins, l’étude des plantes et de leurs principes actifs est indispensable à la connaissance critique du médicament. À qui profite l’ignorance ?

 

La pratique de l’homéopathie a beaucoup évolué depuis la fermeture du secteur 2 de la convention médicale aux médecins généralistes, ce qui ne leur permet plus de demander des honoraires convenables pour une consultation longue. Les nouveaux homéopathes qui pratiquent en secteur conventionnel sont convaincus, mais ils ont moins de temps que leurs ainés, et sont moins nombreux à pratiquer une homéopathie uniciste très exigeante et chronophage.

 

De ce fait, ils ont recours de plus en plus à des prescriptions complexes, ou pluralistes, et en tout cas aux teintures-mères.

 

Les teintures-mères sont du domaine public. Leur prescription s’effectue en latin, par la Dénomination Botanique Internationale, qui correspond point pour point à la Dénomination Commune Internationale des substances chimiques (DCI), qui sert à la prescription des médicaments génériques.

 

Aura-t-on pensé aux producteurs de plantes, que cette mesure furtive risque de mettre sur la paille, s’ils ont tout consacré à l’approvisionnement des laboratoires homéopathiques en plantes fraîches de qualité ?

 

J’espère que le monde de la santé et le monde politique prendront conscience de l’enjeu et des conséquences de cette décision absurde. Il faut absolument modifier l’application en France de cette directive.

 

Notes: 

 

[1] Directive Européenne 92/73/CEE transposée en Droit français avec décret d’application en 1998 (Décret n° 98/52 du 28 janvier 1998) consultable au lien suivant: http://admi.net/eur/loi/leg_euro/fr_392L0073.html  

[2] Tétau M, Bergeret C. La phytothérapie rénovée. Ed. Maloine. 1983

[3] Coulamy A, Jousset C. Basses dilutions et drainage en homéopathie. Ed. Similia. 2000

[4] macération prolongée de plante fraîche dans l’alcool selon un protocole codifié

[5] ANSM, Octobre 2012, Analyse des ventes de médicaments en France en 2011

[6] « Réglementation des médicaments à base de plantes. La situation dans le monde » de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), 1998 http://apps.who.int/medicinedocs/pdf/s2226f/s2226f.pdf

 

Source: site du Dr Jacques Lacaze

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 12:25

L’État contre les médecines douces : une perte de chance pour les malades

 

4/03/2013

 

S’il est nécessaire de réguler le secteur informel des médecines douces, cela ne doit pas se faire à la mitraillette. La politique agressive de l’État, qui amalgame voies complémentaires et charlatanisme, est une « perte de chance » tant pour les malades que pour le budget de la sécurité sociale.

 

(Compte rendu de mon intervention du 18 février 2013 à Paris intitulée : « Les dessous de la politique antisecte française »)

 

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En ce moment, dans le quasi-silence des « grands » médias, une commission d’enquête parlementaire auditionne des acteurs concernés par le thème « dérives sectaires et santé ». Quatrième enquête touchant la question « sectaire » (aucun autre sujet de société n’a autant mobilisé les parlementaires !) la démarche entretient la psychose répandue par la Miviludes et les associations antisectes. Avec, puisqu’on aborde le secteur de la santé, l’appui du ministère éponyme et du Conseil de l’ordre des médecins. La commission est d’ailleurs composée de nombreux médecins.

 

Une question politique, philosophique, scientifique, juridique, médiatique, sociale et économique

 

La question du traitement à réserver à ces approches différentes et complémentaires est en fait une question majeure de société. C’est une question :

 

- philosophique (elle touche au problème crucial mais toujours non résolu des relations entre le corps et l’esprit)

- scientifique (comment faire le tri entre les démarches valides et les autres)

- juridique et pénale (comment départager le crime et l’escroquerie de l’erreur ou de l’innovation en matière de soin)

- politique (qui est compétent pour décider en la matière ; quels mécanismes pour éviter tout conflit d’intérêt et abus de pouvoir)

- sociale (les deux tiers des Français ont recours aux médecines douces)

- médiatique : la presse relaie avec complaisance, quand elle ne l´attise pas, la propagande discriminatoire du pouvoir

- économique (trou de la sécurité sociale ; immense marché actuellement protégé par un monopole), etc.

 

On le voit, cette question ne peut être abordée à la légère. Or, en France, elle est laissée aux mains de non professionnels dont beaucoup défendent en sous-main des intérêts particuliers. Pour justifier leur politique arbitraire, discriminatoire et irrespectueuse des droits de ceux qu´ils accusent, ils prétendent protéger les faibles et la santé de nos concitoyens, proclamant partout que les médecines douces sont tout simplement, aujourd´hui, la porte d’entrée des « sectes » dans la société...

 

Prétextant une légitime nécessité de mettre de l’ordre dans ce domaine, la politique du gouvernement (qu’il soit de droite ou de gauche) a toujours été de diaboliser ces approches afin de protéger un monopole et des profits substantiels. Exploitant la peur du citoyen face aux risques (qui peuvent être réels) de manipulation, le pouvoir s´efforce d´empêcher l’émergence de ces approches plus douces, moins coûteuses financièrement, généralement plus respectueuses de l’individu dans sa sensibilité et dans sa globalité. Et offrant de multiples compléments de thérapie que la médecine conventionnelle n´offre pas.

 

Une vraie "perte de chance" pour des milliers de malades...

 

Brandissant les concepts de « sectes » et de « dérives sectaires », termes qui n’ont aucune définition juridique, le pouvoir peut de cette façon totalement arbitraire inquiéter toute voie « différente » ou, surtout, contestataire de l’ordre sanitaire établi. La population, croyant que l’État garantit l’intérêt général et agit avec éthique, applaudit, la presse étant en première ligne.

 

Lire la suite : ICI

 

Remarque d'Initiative Citoyenne : ce qui est dit sur la MIVILUDES française (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) est évidemment tout à fait transposable au CIAOSN belge (Centre d’Information et d’Avis sur les organisations sectaires nuisibles)

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 18:10

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A mesure que le refus vaccinal des parents (qui s'informent) va croissant en Australie, il devient évident pour les officiels qu'il faut désormais tenter le tout pour le tout en continuant de nier la moindre alternative intéressante à la vaccination.

 

C'est dans ce contexte de véritable "lutte à mort" (rappelons à ce propos que les officiels ont traîné dans la boue Meryl Dorey, la présidente honoraire de l'Australian Vaccination Network dans le but, vain, de discréditer son groupe) qu'une plainte a été déposée par le journal The Age de Melbourne auprès de la Commission Australienne de la Concurrence et des Consommateurs suite aux affirmations diffusées sur la coqueluche, son vaccin et ses traitements homéopathiques par le site Homeopathy Plus et l'homéopathe Frances Sheffield.

 

Il est clair qu'à partir du moment où les parents sont informés du peu d'efficacité du vaccin, de ses dangers et de l'efficacité préventive et thérapeutique d'une autre approche plus sûre, il y a de grandes chances pour qu'ils se détournent du vaccin. Ce qui ne fait évidemment pas les affaires des officiels et des firmes dont la stratégie repose comme toujours sur la peur créée de toutes pièces puis sur la diffusion d'une fausse solution lucrative.

 

Ces actions sont finalement une fort bonne chose car elles ne pourront que permettre de diffuser avec plus d'efficacité encore les informations comparatives sur le ratio bénéfices/risques du vaccin par rapport à d'autres approches, sans cesse occultées du débat, à la faveur des sacrosaintes et intouchables vaccinations!

 

Source: Freethoughtblogs

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