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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 14:49

 

Le point sur les attaques de "fausses rumeurs" qu'avait suscitée cette initiative: ICI
 
Agissons, signons la pétition: ICI
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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 20:48

Voilà une interview rafraîchissante du Dr Jean-Pierre Willem qui aborde plusieurs aspects incontournables comme l'absence de liberté thérapeutique, l'impact négatif des vaccins, la sanction inévitable quand les lois naturelles sont transgressées, le mythe de l'allongement de l'espérance de viela hausse alarmante de diverses maladies chroniques et auto-immunes, l'inertie du monde politique et la collusion avec les industries, etc...

 

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 22:11

Voici un lumineux article du Dr Nicole Delépine, pédiatre oncologue à Garches (France) sur l'état de la médecine et de la démocratie. Merci à tous ces praticiens qui ont encore une conscience et le courage de nous alerter d'agissements aussi graves, de nature à causer des morts et des maux pourtant évitables si on faisait preuve d'un peu plus de bon sens...

 

ND.jpg

27 septembre 2011

 

Cancérologie: "la médecine n'est plus au service du patient, mais d'un système marchand."

 

Sommes-nous à l'aube d'une crise de remboursement des traitements anti-cancer qui peuvent se chiffrer en dizaines de milliers d'euros ? C'est ce que semble indiquer une récente étude publiée par le journal médicale The Lancet. De quoi remettre en cause la pratique de la médecine actuelle ?

 

Suite à un article du Lancet Oncology Medical journal, relayé par l’agence Reuters à l’occasion d’un congrès de cancérologie européen à Stockholm, certains « experts » découvraient que la spirale infernale dans laquelle s’étaient jeté les cancérologues - stimulés par les laboratoires et les patients savamment manipulés - devrait bien s’arrêter un jour. Quelles seraient alors les victimes ? Les malades privés de nouvelles drogues soi-disant miracles ou bien les laboratoires dont les bénéfices faramineux pourraient bien finir par se tarir, si la raison parfois revenait aux hommes ?

 

Le mythe de la prévention et du dépistage

 

Certes le nombre de cancers semble augmenter. Certes des examens complémentaires dépistent des pré-cancers qui conduisent à transformer de nombreux bien portants en patients subissant biopsies, examens sophistiqués et traitements. Mais cette agitation demeure souvent inutile et toxique d'un point de vue tant financier que psychologique et social.

 

Il faudrait donc calmer rapidement les ardeurs des médecins, des Conseils généraux et autres associations qui financent des dépistages mammographiques au nom d'une conception française un brin singulière. Calmer également l’obsession de doser les PSA à tout homme de plus de 50 ans qui ne demande rien et se retrouve castré impuissant et cassé au nom de la prévention d’un cancer de la prostate qu’il n’aurait peut-être jamais eu et dont la probabilité qu’il le tue resterait très faible.

 

Des médecins de moins en moins libres de choisir la façon d'exercer leur métier

 

En ce qui concerne les vrais cancers, la question posée reste celle des critères de choix des médicaments par le cancérologue au XXIe siècle ? À quelle pression est-il soumis pour choisir le traitement du patient ?

 

Il ne s’agit là que deux exemples qui pourraient être déclinés dans d’autres pathologies, mais le mythe de la prévention et du dépistage si bien ancré dans nos sociétés sera difficile à relativiser (comme celui de la vaccination toute puissante pour des raisons identiques : l’exemple de la vaccination contre le cancer du col de l’utérus couteuse, dangereuse et inefficace est en ce sens instructif).

 

Il y a une vingtaine d’années de cela, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient, au regard des données actuelles de la science. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un colloque singulier avec son malade.

 

Depuis les années 1990 - et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 - la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont « discutés » en réunion multidisciplinaire où de fait l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la « communauté ». Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie.

 

En effet, le bras armé de la Haute Administration qui impose le choix des protocoles de soins est l’agence régionale de santé qui audite les services. La qualité requise pour être « accrédité » et donc autorisé à soigner des malades atteints de cancer est de soumettre tous les patients à ces réunions de concertation qui ne sont de fait que des chambres d’enregistrement de tous les patients. Le but : être bien certain qu’aucun n’échappe au système savamment mis au point des essais thérapeutiques.

 

Pourquoi ? Le mécanisme est bien huilé et tous les essais thérapeutiques en cours utilisent les drogues supposées miracles présentées à la télévision lors des grands congrès internationaux. L’année suivante, ce sera une autre molécule qui fera la révolution. Les hommes ont la mémoire courte et tomberont dans le piège une nouvelle fois…

 

Les "big pharma" en question 

 

Mais le plus étonnant et la clef du problème restent que les « big pharma » de l'industrie pharmaceutique savent transformer l’espoir en or. Peur du cancer, peur de la mort, médias et diffusion d’espoir conduisent patients putatifs et malades réels à faire pression sur les politiques pour donner en un temps invraisemblablement court l’autorisation de mise sur le marché (AMM) sans respecter les règles de sécurité minimales et à des prix exorbitants. L’OMS explique sans rire que le prix du médicament est déterminé par le prix le plus élevé que l’assurance maladie ou les pouvoirs publics peuvent supporter.


Le problème du coût du cancer n’est pas lié à la spécificité de la pathologie mais aux procédures d’exception qui sont utilisées sous prétexte d’urgence. Un seul exemple qu’on peut multiplier à foison : pour le lymphome, l’étude Marcus recommande une association rituximab plus CPV qui coute 24 080 dollars alors que les autres alternatives thérapeutiques d’efficacité équivalente reviennent à moins de mille dollars (avec moins de risques inconnus à moyen ou long terme). On peut décliner cette démonstration à X reprises, y compris dans des pathologies non cancéreuses : celles-ci suivent en effet le même chemin depuis que les « big pharma » ont découvert des indications miracles, là aussi vite acceptées sans tenir compte de la balance bénéfices/risques souvent très discutable dans des maladies sans risque vital.

 

Quand les laboratoires utilisent la détresse humaine pour faire de l'argent

 

Il n’y a donc pas de problème spécifique du cancer lié à une augmentation exponentielle de leur nombre. Il y a une utilisation marchande de la détresse humaine par les laboratoires. Le problème : une chaine de complicité qui conduit les pouvoirs publics à autoriser la mise sur le marché de produits soi-disant innovants, sans leur imposer le circuit de sécurité mis au point depuis des décennies. Autre souci : ces pouvoirs publics leur accordent des prix de vente qui ne correspondent à aucune réalité de recherche ou de fabrication, mais bien au maximum de bénéfices que tous pourront en tirer tant que la vache à lait voudra bien payer.

 

Il faut réintégrer les nouvelles molécules dans le circuit normal aseptisé et assaini tant pour l’Autorisation de mise sur le marché (AMM) que pour la fixation des prix et le système retrouvera son équilibre. Tout le monde le sait, particulièrement chez les cancérologues. Ne faisons pas semblant de pleurer sur le sort de ces pauvres malades qui ne pourraient pas être soignés et faisons respecter les règles usuelles de mise sur le marché des médicaments. Interdisons sur les antennes la publicité directe (suite aux congrès) et indirecte (par le biais des campagnes de santé publique) pour faire cesser la manipulation des masses dignes des régimes les plus totalitaires.

Enfin, souvenons nous que nous sommes théoriquement dans un système libéral : la soviétisation de la médecine via les normes imposées, les accréditations et autres phénomènes bureaucratiques conduisent à une négation de l’art médical qui n’est plus au service du patient mais d’un système marchand.

 

Source: Atlantico.fr

 

face cachée médoc-copie-1Le Dr Delépine, auteur du livre "La face cachée des médicaments", y explique encore bien d'autres aspects, littéralement sine qua non à comprendre pour bien gérer sa santé, au quotidien:

 

« Des solutions pour la Sécu

 

À juste titre, le trou de la Sécurité sociale est devenu une obsession des pouvoirs publics. De bonnes pistes sont cependant envisageables pour faire fondre le déficit sans diminuer pour autant la qualité des soins : baisser de façon drastique la consommation des médicaments en France et réduire ainsi le nombre d’hospitalisations et de morts inutiles causées par leurs effets secondaires. Estimées à 1,5 million par an aux États-Unis, les hospitalisations liées aux traitements en France sont estimées à 300 000. Mais comment convaincre les patients et les médecins – condi­tionnés par les médias, eux-mêmes manipulés par l’indus­trie pharmaceutique – du bien-fondé de mes dires partagés par des confrères aussi peu entendus que moi ? La chaîne des opposants institutionnels aux gouvernants (syndicats, partis d’opposition, etc.) se range derrière les labos au nom de la défense de l’emploi et du droit du patient ou du futur malade.

 

Une propagande bien huilée

 

Fille d’un des fondateurs de la Sécurité sociale, j’aurais un devoir filial de ne pas toucher aux médicaments : « Nos parents ont galéré pour obtenir la Sécu », « nous avons « droit » à tous les médicaments remboursés », « pas touche à ma Sécu ». La notion de droit envahit les espaces et conduit à perdre de vue la santé du patient. Dans l’esprit de nos compatriotes bien conditionnés, le remboursement par la Sécurité sociale prouve l’efficacité d’un médicament et justifie sa consommation. Combien de fois ai-je entendu ce raisonnement de la bouche d’amis convaincus que la prévention par les médicaments est le meilleur moyen de vivre vieux et en bonne santé ? Ce sont des idées préconçues que nous avons parfaitement assimilées. À force d’intoxica­tion subliminale, les publicitaires américains, formés dans les années soixante, ont endoctriné les élèves de nos écoles de commerce. L’histoire de l’introduction du fluor – un exemple de fabrication de consentement actif – dans notre quotidien prouve à quel point nous sommes bernés. Le marché des statines repose sur une mise en condition du monde médical et des patients pour rendre quasi syno­nymes maladie coronarienne et cholestérol élevé, avant de nous persuader que la baisse du cholestérol et la réduction du risque coronarien sont équivalentes. Il n’y a plus alors qu’à surestimer considérablement le bénéfice des anticholestérols et à occulter leurs effets délétères. Pourtant, ces successions d’« évidences » sont loin d’être démontrées. Les laboratoi­res se sont ensuite partagé le marché des molécules princeps (originales) et des me too (les copies), qui ont toutes bénéfi­cié de prix élevés, bien que, pour la plupart, aucune preuve scientifique n’ait pu démontrer leur efficacité, et qu’elles aient obtenu l’AMM en référence aux molécules de la « première génération. » 

 

Source: Atlantico.fr 

 

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 17:47

Reçu par Initiative Citoyenne, le 9 mai 2012

 

"J'ai écouté l'interview suivante et je dois dire que je sais trop bien de quoi il s'agit.

 

Dans ma pratique quotidienne, ce sont surtout les minéraux – qui ont été interdits par des imbéciles de la “Sécurité des compléments alimentaires" de l'Union Européenne, qui aident le plus spectaculairement mes patients.

 

Avant les nouvelles réglementations européennes, mon pharmacien au coin de la rue vendait pour des milliers d’euros de ces suppléments directement à mes patients.  Maintenant, le pharmacien recevra une amende de plusieurs dizaines de milliers d’euros s’il vend à mes patients ce qui faisait tellement de bien, selon ce qu'ils avaient eux-mêmes remarqué.

 

Maintenant j’ai deux types de patients : ceux que je peux bien soigner, car ils savent se procurer via une carte de crédit et internet ce qui leur fait du bien, et les « analphabètes d’internet », qui sont voués à recevoir les substances médiocres que leur pharmacien belge est autorisé à leur fournir, suite aux nouvelles réglementations européennes.

 

J’espère que nous pourrons bientôt de nouveau vendre les minéraux chélatés en acides aminés dans les pharmacies, mais il faudra d’abord que les pharmaciens eux-mêmes se mobilisent.  S’ils ne se mobilisent pas, ils ne peuvent pas être considérés comme des partenaires crédibles pour garantir la bonne santé, mais comme de simples vendeurs de produits commerciaux de qualité inférieure, selon ce que les bureaucrates européens les auront autorisé à faire. (Liste « Positive » des suppléments alimentaires autorisés par les bureaucrates européens).

 

D’ici la, il faut soit être un Globe Trotter, soit avoir une connaissance de l'anglais, d’internet et posséder une carte de crédit, afin de se procurer les compléments alimentaires qui sont les plus puissants pour nous sortir de nos états de maladie.

 

Un mouvement est nécessaire pour garantir le droit aux bons soins SAINS, pour les citoyens qui n’ont pas ces connaissances ou ressources."

 

Dr B., médecin généraliste à Bruxelles

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 22:04

Ce qui se passe avec le Dr Moulinier est une honte bien sûr, d'autant que cela ne date pas d'hier que l'oligarchie médicale tente de le saborder (voir ICI l'historique de ses précédents déboires avec l'oligarchie médicale). Non content de ne pas y être parvenu jusqu'à présent, le système s'acharne. Exactement comme il s'est acharné sur le Dr Philippe Bry, sur le Dr Martine Gardénal, sur le Dr Dumas, sur le Dr Delépine, etc etc

 

A chaque fois bien sûr, c'est le patient qui est perdant car il faut noter que ces ennuis qui sont faits à ces praticiens réfléchis, passionnés et anti-conformistes ne sont jamais initiés par des patients mais par leurs confrères ou leur hiérarchie!!

 

Ecoutez donc cet appel du Dr Moulinier, à relayer bien sûr sans modération:

 

 
 

Tout ceci rappelle donc plus que jamais l'extrême nécessité de s'unir pour pouvoir protéger ses droits à la santé et à la guérison (au moindre risque d'effets secondaires) parce que ce n'est pas quand on est déjà malade qu'il est encore temps de se poser ce genre de questions. Non, c'est dès maintenant qu'il faut prendre conscience que même si on ne vise qu'à protéger égoïstement ses seuls droits personnels à la santé, il n'y a tout simplement pas d'autre choix que d'agir collectivement pour leur sauvegarde, tant nous sommes confrontés à un véritable rouleau compresseur institutionnel, plus préoccupé du business des vendeurs de maladies que de notre bien-être ou de notre santé.

 

Lire aussi ici l'exemple concret et bouleversant d'un enfant inutilement amputé, parce que le système en place mettait déjà des bâtons dans les roues du Dr Delépine, vue comme une dangereuse concurrente!

 

Signez la pétition en faveur de la liberté thérapeutique.

 

Le 12 juin au Conseil National de l'Ordre des Médecins à Paris (convocation du Dr Moulinier):

  

Moulinier 7

 

Le 25 septembre dernier, le Dr Moulinier était condamné à 1 an de suspension! Il ne pourra donc plus donner de soins aux assurés sociaux français à compter du 1er janvier 2013. Il s'agit véritablement d'un acharnement scandaleux à son encontre puisqu'il avait déjà écopé d'une suspension d'un mois en 2001 et de 6 mois (avec 3 mois de sursis) en 2005.

 

On retrouve, au niveau de ce jugement que le Dr Moulinier conteste à présent devant la Cour de Cassation, les stigmates d'une arrogance sans limite de la part de cet establishment médical dictatorial:

 

"[...] compte tenu qu'en 2001 déjà, le Dr Moulinier s'était vu infliger, pour la mise en oeuvre par lui de thérapeutiques insuffisamment érpouvées, la sanction de l'interdiction d'exercer la médecine pendant 1 mois; qu'en 2005, à nouveau, une sanction de même nature pour une durée de 6 mois, dont trois avec sursis, lui a été infligée pour la mise en oeuvre de thérapeutiques dangereuses; que compte tenu de la gravité des fautes commises par le Dr Moulinier, de la permanence de sa part d'une pratique médicale s'écartant sans justification des données acquises de la science et des dangers qui en résultent pour les patients, il y a lieu de retenir à son encontre la sanction de l'interdiction du droit de donner des soins aux assurés sociaux pendant 1 an."

 

Pour le Dr Moulinier, et c'est d'ailleurs aussi l'avis d'Initiative Citoyenne et de nombreux autres collectifs et citoyens, SEULE une révolte citoyenne permettra d'endiguer la marchandisation de la santé ainsi que la pensée unique qui l'accompagne hélas inexorablement, transformant  lamentablement les médecins en vulgaires commerciaux sans cervelle. Il est en outre hallucinant de voir à quel point les patients sont infantilisés, comme s'ils étaient trop demeurés pour décider en toute connaissance de cause du médecin dont ils se satisfont!

 

 

Le 13 avril 2013 dernier, le Dr Moulinier indiquait sur son site internet une première bonne nouvelle avec la décision positive du Conseil d'Etat qui a décidé d'un sursis à l'exécution. La décision finale sur le fond n'est toutefois pas encore tombée. Et la prudence reste donc de mise.

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21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 12:21

Un article du Soir du 17 avril dernier était intitulé "Mammographies contestées".  

Il revenait sur "deux études qui discutent le dépistage du cancer du sein".

 

Mais surtout, son contenu ne pouvait pas ne pas faire penser à la situation dramatique qui concerne les vaccins, tant plusieurs points communs sont flagrants...

 

1°) Le caractère inutile pour un très grand nombre d'une pratique médicale de masse (c'est à dire aveugle)

 

On peut en effet lire "Un grand nombre de femmes de plus de 50 ans présentant un risque de cancer peu élevé passent donc inutilement ces examens."

 

Or, on aurait tout aussi bien pu paraphraser ainsi, en ce qui concerne les vaccins:

 

"Un grand nombre de personnes vaccinées qui présentaient un risque faible voir nul d'être en contact avec la maladie et surtout de souffrir de ses complications ont donc reçu inutilement des vaccins."

 

2°) Le gaspillage que cela représente pour les finances publiques

 

On peut en effet lire aussi dans cet article du Soir que "Selon les estimations, les pouvoirs publics pourraient réduire le coût moyen du dépistage par patient de 37% en recourant à une stratégie "plus intelligente"."

 

Or, on aurait tout aussi bien pu paraphraser ainsi en ce qui concerne les vaccins:

 

"Selon les estimations, les pouvoirs publics pourraient réduire de X % le budget de la vaccination (et de la Sécurité Sociale en général, au vu de tous les effets secondaires de vaccins, par ailleurs assumés par la collectivité). "

 

3°) Le Mieux est l'Ennemi du Bien: à vouloir trop prévenir, on nuit!

 

On peut en effet lire ensuite: "Pour 2500 femmes dépistées, un décès par cancer du sein est évité, mais six à dix patientes se voient imposer des traitements lourds alors qu'elles ne souffrent que de formes bénignes de cancer du sein. Le prix humain de ce "surdiagnostic" n'est guère anodin: 1169 à 1948 femmes ont inutilement subi des interventions chirurgicales ou des chimiothérapies."

 

Or, on aurait tout aussi bien pu paraphraser ainsi en ce qui concerne les vaccins:

 

"Pour X milliers de gens vaccinés, un décès ou X infections sont peut-être évités, mais des dizaines d'autres gens ont attrapé des maladies auto-immunes, des troubles neurologiques, des allergies ou des convulsions etc. Le prix humain de cette survaccination n'est donc guère anodin: X personnes ont inutilement subi des examens coûteux, des traitements lourds alors qu'elles étaient initialement en bonne santé avant la vaccination."

 

4°) Des bénéfices exagérés et des risques tus ou, à tout le moins, minimisés

 

Dans ce salutaire article du Soir, on peut également lire au sujet des mammographies, l'avis du Dr Gilbert Welch du Darmouth Institute for Health Policy, selon lequel "La vérité, c'est qu'on a exagéré les bénéfices du dépistage, tout en ignorant ses inconvénients."

 

Mais s'agissant des vaccins, on aurait tout aussi bien pu dire exactement la même phrase. D'ailleurs, c'est en substance exactement ce qu'a estimé le Jury d'Ethique Publicitaire dans sa décision du 9 novembre dernier au sujet de la publicité partiale des autorités en faveur des vaccins.

 

5°) Le côté "loterie" de cet acte médical où il y a bien plus à perdre qu'à gagner

 

Le Soir n'hésite pas non plus à relayer l'avis de Pierre Biron, professeur honoraire de pharmacologie à l'Université de Montréal, qui assimile la mammographie à "une loterie" et qui dit d'ailleurs aux femmes sans risques particulier: "Celles-ci doivent savoir, quand on les invite à une mammographie,  qu'il y a beaucoup plus de billets perdants que de billets gagnants."

 

Or, pour les vaccins aussi, il s'agit d'une énorme roulette russe avec des personnes saines qui ont bien évidemment bien plus à perdre qu'à gagner, tout reposant sur la stratégie assez cynique mais surtout très commerciale selon laquelle "chaque bien portant est en fait un malade qui s'ignore."

 

6°) Le manque d'éthique et d'objectivité des autorités avec leurs pubs trompeuses et oppressantes

 

Depuis octobre dernier, la publicité de la Fédération Wallonie-Bruxelles en faveur des "vaccins tout au long de la vie" assomme les citoyens et continuera de le faire jusqu'en octobre prochain, en dépit de la décision très dérangeante du Jury d'Ethique Publicitaire qui a estimé cette publicité TROMPEUSE et "de nature à induire le consommateur en erreur", celle-ci ayant notamment violé les exigences de loyauté et de véracité auxquelles mêmes les firmes commerciales sont normalement soumises pour leurs communications publicitaires.

 

mammotest.jpg

Mais cette publicité grotesque en faveur des vaccins qui ose, sans rire, les comparer au port du casque, de la ceinture de sécurité ou à un parapluie, est évidemment aussi à mettre en parallèle avec la publicité scandaleuse de cette même Fédération Wallonie-Bruxelles en faveur du mammotest, puisque celle-ci n'hésite ainsi pas à faire parler les seins des femmes avec une voix automatique sinistre affirmant "Bonjour, nous sommes vos seins, et on a quelque chose à vous dire droit dans les yeux. Voilà, on aimerait que vous fassiez le mammotest, pour nous c'est important. Il est gratuit et permet de dépister le cancer du sein car en cas d'anomalie, plus vite c'est dépisté, mieux c'est soigné! Et ainsi, vous prenez soin de nous. N'attendez pas que vos seins vous le réclament, entre 50 et 69 ans, faites le mammotest tous les deux ans."

 

Il y a donc, dans un sujet comme dans l'autre, des slogans simplistes qui assimilent ainsi implicitement les citoyens à des imbéciles ou  à des simples d'esprit.

 

7°) La fissuration totale de la fausse unanimité médicale qui n'a en fait jamais existé

 

Il est assez piquant de constater qu'une prétendue "vérité scientifique" soi-disant issue d'un "consensus des pairs" peut très rapidement être battue en brèche, ce qui donne ainsi la mesure de la confiance que les gens peuvent réellement avoir en leurs médecins en général.

 

Car tous ces médecins qui ont tant insisté auprès de tant de femmes pour qu'elles passent le mammotest ne seront assurément pas pressés de leur signaler qu'elles ont, pour beaucoup, couru des risques inutiles dus aux radiations et aux surdiagnostics...

 

De même, tous ces médecins qui recommandent à l'heure actuelle, avec tout le zèle qu'on leur connaît, ces vaccinations incessantes des enfants et des adultes, ne seront non plus guère pressés de s'excuser ou d'indemniser les victimes de leurs bons conseils au fur et à mesure qu'éclatent les vérités sur les dangers largement sous-estimés des vaccins.

 

Dans un cas comme dans l'autre, les médecins ne respectent d'ailleurs pas leur obligation d'information suffisamment complète que pour que les patients puissent valablement consentir(loi sur les droits du patient de 2002) et s'exposent ainsi potentiellement à des poursuites pour les conséquences négatives de leur communication partiale.

 

La fausse unanimité médicale qu'on a donc sans cesse voulu faire valoir en matière de vaccins comme de dépistage mammographique se fissure donc de plus en plus, pour ne pas dire qu'elle vole même en éclats.

 

Ceci démontre donc de façon fracassante l'impérative nécessité pour les patients de s'informer avant tout par eux-mêmes plutôt que de rester uniquement tributaires de conseils médicaux "d'experts" possiblement si fragiles et si éphémères, avec le risque non négligeable de regretter de les avoir aveuglément suivis, lorsque la vérité des faits aura fini par la suite par en contredire totalement le bienfondé. Mais cela rappelle aussi enfin, l'intérêt de la défense du pluralisme tant thérapeutique que préventif, de façon à développer des approches qui puissent satisfaire un maximum de patients, en dehors de toute "soumission consentie".

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 22:48

Cfr cet important document, dûment référencé, sur le rapport rendu par la Suisse sur l'Homéopathie (Traduction: Jean-Marie Danze, Mars 2012)

 

Ce rapport révolutionnaire affirme que l’homéopathie est à la fois efficace et bon marché et que les traitements homéopathiques doivent être remboursés par le programme national suisse d’assurances de santé.

 

Le rapport mentionne également que 20 parmi les 22 revues systématiques de recherches cliniques destinées à tester les médicaments homéopathiques ont au moins détecté une tendance en faveur de l’homéopathie [Bornhöft, Wolf, von Ammon et al. 2006].

 

On comparera ces aveux officiels, honnêtes, au déni affligeant du Centre Fédéral d'Expertises des Soins de Santé (KCE) qui a définitivement perdu ici toute crédibilité, puisqu'il osait affirmer de façon scandaleusement partiale dans le cadre de son rapport de 2011 sur le sujet:

 

 "Il n’y a pas la moindre preuve scientifique que l’homéopathie soit efficace et pourtant elle est fort utilisée pour toutes sortes de maux. [...] Les chercheurs n’ont pu mettre en évidence aucune preuve de l’efficacité de l’homéopathie.[...] Cette absence d’efficacité conduit le KCE à ne pas recommander le remboursement de l’homéopathie par l’assurance obligatoire. Le fait que de nombreux patients en soient satisfaits, ne signifie pas pour autant que les préparations homéopathiques fonctionnent mieux que de l’eau distillée."

 

On le voit: les organes qui conseillent nos dirigeants politiques sont diablement incompétents et totalement non fiables. On aperçoit dès lors assez mal comment une instance qui ridiculise ainsi la Belgique non seulement par rapport à la Suisse mais aussi à la face du monde, pourrait faire preuve de plus d'exactitude lorsqu'elle conseille aux politiques de rembourser des vaccins qui sont pourtant qualifiés de "vaccins commerciaux" (!), dans son propre rapport de 2011 sur l'homéopathie- cfr page 48/132 du pdf (soit la page 34 telle que numérotée sur le rapport original)

 

Commentaire d’un médecin homéopathe suisse, que nous remercions de contribuer ainsi à une objectivité maximale des informations diffusées sur ce site :

 

« Je ne connais pas l'origine de ces études, mais la position du gouvernement pour l'instant n'est pas arrêtée, et le remboursement de la consultation homéopathique est provisoire, dans l'attente de nouvelles études. L’article me paraît d’ailleurs beaucoup trop optimiste. Si la moitié des médecins suisses approuvaient l'homéopathie, je crois que je le saurais, mais mon expérience révèle une situation moins optimiste. Mais il est vrai que nous jouissons d'une grande liberté de parole et de traitement. Ce qui n'empêche pas certaines institutions de saboter nos activités en douceur. Comme par exemple Swissmedic, notre agence du médicament, qui fait tout pour contrarier la vente et la fabrication de nos remèdes, dont le remboursement n'a jamais fait problème, en tous cas depuis les années soixante. Ce sont nos actes médicaux dont le remboursement par l'assurance de base reste précaire. »

 

NB : Après une nouvelle vérification, nous sommes tombés sur cet intéressant article de l’EFHPA (Fédération européenne des associations de patients se soignant par homéopathie) intitulé « L’homéopathie est efficace d’après un rapport fédéral suisse », ce qui, à nos yeux, continue donc de poser un problème de crédibilité dans le chef du KCE belge car on aperçoit en effet assez mal comment une méthode qui est jugée officiellement efficace par un pays peut à ce point dans un autre, être décrétée  sans « aucune preuve d’efficacité » !

 

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 23:14

Une nouvelle chasse aux sorcières des officiels a fait une nouvelle victime ou plutôt des nouvelles victimes puisqu'il s'agit, au travers de Bernard Christophe, des milliers de gens qui utilisaient avec succès son produit naturel Tic-Tox contre les effets de la maladie de Lyme (borréliose), une problématique qui serait fort sous-estimée selon Mr Christophe.

 

Lire un article plus détaillé au sujet de cette affaire: ICI.

 

Ce qui est absolument hallucinant, c'est de constater que ce genre de produits naturels n'est jamais retiré suite à des plaintes de consommateurs mais à des réactions d'auto-défense d'un système officiel à la solde des multinationales pharmaceutiques.

 

Car il existe un vaccin contre la maladie de Lyme (FSME Immun CC ,Ticovac, Encepur etc), non dénué de risques s'il faut en lire les chiffres "remarquables de précision" qui sont mentionnés à ce sujet sur le site d'Infovac Suisse qui stipule: "Des complications neurologiques graves sont très rares (1 sur 70 000 à 1 sur 1 million de doses de vaccins)."

 

En dépit de cela, en dépit de risques et de protestations de nombreuses victimes de vaccins en général, ces produits continuent de bénéficier du laxisme des "autorités de régulation" qui dispensent par exemple les vaccins de tests de cancérogénicité ou d'analyse pharmacocinétique, contrairement à tous les autres médicaments!

 

Ce système du "deux poids deux mesures" consiste donc très clairement à favoriser certains produits au détriment d'autres et ce hélas,  au détriment des consommateurs qui se retrouvent ainsi infantilisés, comme s'ils étaient incapables de choisir ce qui est bon pour eux.

  

C'est ainsi qu'a pu se maintenir un discours dominant, ostensiblement faux, selon lequel "la vaccination est le seul moyen de protection ou de prévention efficace".

Combien de fois n'a-t-on pas été assommé voir harcelé avec ce genre d'affirmations gratuites qui ne résistent cependant pas à l'analyse?

 

La construction d'un faux monopole en faveur d'une minorité de multinationales s'accompagne donc inévitablement de méthodes et entreprises de dénigrement, de discrédit et de non reconnaissance de toutes les alternatives ou approches perçues comme des concurrentes.

 

La pseudo-prévention spécifique des maladies a alors eu comme effet pervers d'éclipser les véritables principes de base d'une prévention globale des maladies et notamment des maladies infectieuses, basés avant tout sur le mode de vie individuel tandis que le recours possible à des méthodes peu iatrogènes (supplémentations en vitamine C, D, prises d'oligo-éléments immuno-stimulants comme Cuivre-Or-Argent; recours à la phyto-thérapie, aux huiles essentielles au pouvoir anti- infectieux très intéressant ou à l'homéopathie) est systématiquement ou presque passé sous silence par la presse grand public lorsque celle-ci évoque des maladies à prévention vaccinale.

 

Il s'avère donc indispensable aujourd'hui de défendre pied à pied le pluralisme thérapeutique, tout simplement parce que les dérives d'une médecine qui ne sait pas reconnaître ses limites sont celles d'une médecine arrogante et autoritariste qui peut imposer des vaccins comme elle peut forcer la main pour d'autres traitements lourds, au prétexte de maladies graves.

 

On ne doit pas badiner avec les droits du patient. Or le pluralisme thérapeutique qu'on tente pourtant si souvent de glisser sous le paillasson n'est autre qu'un corollaire logique du droit au consentement libre et éclairé du patient: si le patient a le droit de refuser potentiellement tout traitement, c'est entre autres dans le but de pouvoir en accepter un autre!

 

Ci-dessous, une vidéo de Me Isabelle Robard sur le pluralisme thérapeutique:

 

 

 

 

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 22:17

Pour lire cet excellent article de Rosetta Flochon, voir ICI.

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 22:13

Le Dr Rueff nous a fait parvenir une proposition de carte blanche, qu’il a  soumise au journal Le Soir le 6 novembre dernier, en réponse à l’article de Mr Soumois du 3 novembre dernier, intitulé « Les vitamines ne sont pas inoffensives »  mais que le Soir n’a pas publiée.

Initiative Citoyenne, partisane du pluralisme et de la liberté thérapeutique, ne pouvait manquer de publier une telle contribution. D’autant qu’un tel titre racoleur aurait beaucoup mieux caractérisé les vaccins dont les risques sont sans cesse tus ou minimisés mais, enjeux financiers obligent, il va sans dire que ça n’aurait pas été politiquement ni commercialement correct  d'être formulé de la sorte. En outre, et puisque le microbe n’est pas le seul coupable et que le terrain est essentiel, il va sans dire que les gens carencés par une alimentation de plus en plus pauvre et contaminée, ont plus de chances d’avoir un système immunitaire déficient et donc de développer des infections opportunistes (grippe ou autre). Mais chûûût, ne l’oubliez pas : il ne faut pas que le public sache que les vaccins ne sont PAS « le seul moyen de prévention efficace. » Quel deux poids, deux mesures !

 

 

Pourquoi vouloir effrayer le public à propos de l’utilisation des vitamines ?

On relève récemment des résumés d’études, visant à dénigrer auprès du grand public, l’usage des nutriments et des vitamines. N’oublions pas cependant que le mot vitamine signifie étymologiquement « amine nécessaire à la vie ».

 

Le plus souvent, ces études rétrospectives n’ont aucune valeur scientifique si ce n'est qu'elles nous confortent dans ce que nous affirmons depuis plus de trente ans: il est inutile de supplémenter à l'aveugle tout le monde avec n'importe quoi.

 

Les bilans sanguins, urinaires et autres le prouvent: beaucoup de gens sont en déficience, voire carence et l'exemple de la vitamine D n'est qu'un épiphénomène. Il faut du "sur mesure" indiqué par des praticiens avertis et formés à partir de bilans rigoureusement scientifiques comme par exemple l'OXYSCALE, traités par l'équipe du CHU de Grenoble et validés par le Professeur Luc MONTAGNIER, Prix Nobel de Médecine, 2008.

 

De plus ces études n'étudient pas les bons compléments, ceux que nous utilisons en pratique médicale quotidienne: il ne sert à rien de parler de vitamine E si on ne précise pas de quoi on parle, quelle fraction (alpha, bêta, gamma...), de quelle nature: synthétique ou naturelle?

 

L’absorption et les propriétés des vitamines synthétiques n’ont rien à voir avec celles des vitamines extraites du monde naturel et végétal. Les premières sont fabriquées à partir de dérivés de la chimie du pétrole, comme les plastiques, les secondes concentrent et rassemblent divers produits issus de la nature qui n’ont pas les mêmes structures stéréotaxiques ni électrochimiques.

 

De quoi parle- t’on exactement dans ces études ?

 

La publicité que donnent les grand médias à ce type de publication est d'ailleurs bien suspecte et on peut d'interroger sur l'influence des coulisses de l'industrie pharmaceutique.

 

Pourquoi vouloir effrayer les gens sur des études dont la valeur n’est pas reconnue par la communauté scientifique alors que des études pharmacologiques biaisées permettent à des antidiabétiques ou des « anti cholestérol » de tuer silencieusement avant que d’être retirés du marché ? Il n’y pas que le célèbre Mediator qui est en cause. Je pense que l’usage inconsidéré du paracétamol que l’on retrouve dans de nombreuses spécialités « antidouleur » est probablement bien plus dangereux que tous les compléments alimentaires , même mal utilisés....mais personne n'ose vraiment mettre en valeur ce problème. Et quid de toutes les nouvelles automédications largement vantées dans les grands medias.

 

Je vous renvoie à l'article que je viens de publier sur mon site: http://dr-rueff.com.

 

Enfin je vous demande de réfléchir: ne soyons pas complices, médecins ou journalistes, de ceux qui voudraient vouloir privilégier et blanchir l'usage immodéré du médicament et barrer la route à la réflexion et la prise en charge de ceux qui s'interrogent sur la vraie valeur nutritionnelle de ce qu'ils mangent.

 

 

Panier-Vitamines.jpg

Quand à ceux qui prétendent que la consommation variée de fruits et légumes pourrait suffire, on peut répondre que les pommes, entre autres, reçoivent environ 30 traitements annuels de pesticides pour ceux qui n'ont pas les moyens de se payer des pommes bio.

 

Intéressons nous aux vrais problèmes de l'alimentation: l’éducation nutritionnelle précoce, les excès de sucres et de charges glycémiques, de sel, la qualité des aliments, les intolérances au gluten, aux produits laitiers, les intolérances et allergies personnelles, la perméabilité intestinale, les déficiences de plus en plus nombreuses de nos systèmes immunitaires liées aux carences en zinc, en fer en vitamines diverses...et souhaitons que les médias, privilégient les idées positives et constructives et ne fassent trop vite écho d’idées alarmistes dont la réalité scientifique est loin d’être prouvée.

 

 

Docteur Dominique RUEFF, MD

Diplômé universitaire de cancérologie

Médecin spécialiste en nutrition et prévention nutritionnelle

Membre du comité scientifique de « Anti-Âge » Magazine

 

 

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