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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 21:10

17 Exemples d’Echecs Vaccinaux Reconnus

 

Jeffry John Aufderheide, 23 février 2013

 

Enfants-vaccines-rougeole.jpgCe que cette petite fille dit: "Les enfants vaccinés

    attrapent la rougeole... le vaccin efficace à 99%???

 

Regardons s’il vous plaît les choses en face.

 

En tant que parents, nous sommes inondés de messages contradictoires au sujet des vaccins.

 

D’une part, les médecins et les médias traditionnels nous disent que les vaccins sont sûrs et efficaces. D’autre part, vous avez des parents comme moi qui disent que les vaccins ont endommagé la santé de leurs enfants ou, comme c’est aussi le cas, que les vaccins ne « fonctionnent pas » comme annoncé.

 

Ce que les gens ne savent pas bien c’est la fréquence à laquelle les vaccins échouent. Combien de personnes se demandent pourquoi les échecs vaccinaux ne font pas la Une des journaux ?

 

Une bonne partie de la réponse, c’est que de grosses sommes d’argent sont en jeu.

 

Avant de vous parler des 17 échecs vaccinaux, je voudrais vous inviter à regarder le graphique ci-dessous. Aux Etats-Unis, les enfants reçoivent 36 vaccins avant l’âge de 6 ans.

 

Graphique-enfants-avant-6-ans.PNG

 

Les Etats-Unis ont le calendrier de vaccinations le plus agressif au monde.

 

Quand les vaccins échouent, la solution proposée est souvent la même : on propose encore plus de vaccins, même si l’enfant a déjà reçu plusieurs doses censées le « protéger » !

 

Comme promis, voici donc des exemples  de parents confiants qui croyaient pouvoir protéger leurs enfants. On leur avait cependant injecté des vaccins toxiques et inefficaces.

 

Echec vaccinal # 1 – Epidémie d’oreillons dans les communautés juives orthodoxes aux Etats-Unis (2010)

 

Une épidémie importante d’oreillons s’est produite dans des communautés juives Orthodoxes parfaitement vaccinées en 2009 et 2010.

 

Parmi les adolescents vaccinés,

  • 89% avaient déjà reçu deux doses du vaccin contre les oreillons ;
  • 8% avaient reçu une dose.

97% de ceux qui furent infectés avaient reçu le vaccin. [1]

 

Echec Vaccinal  #  2  - Epidémie d’oreillons dans l’Iowa (2006)

 

En mars 2006, 219 cas d’oreillons furent signalés dans l’Iowa (2006) – soit la plus importante épidémie d’oreillons aux Etats-Unis depuis 1988.

L’âge moyen des 219 cas signalés était de 21 ans. Les 133 patients qui ont fait l’objet d’une étude avaient été vaccinés.

 

  • 87 (65%) avaient reçu 2 doses ;
  • 19 (14%) avaient reçu une dose ;
  • 8 (6%) n’avaient reçu aucune dose ;
  • 19 (14%) : statut vaccinal non précisé.

79% de ceux qui furent infectés avaient reçu au moins un vaccin.[2]

 

Echec Vaccinal  # 3 -  Epidémie d’oreillons dans un camp d’été à New York (2005)

 

Le 26 juillet 2005, le New York State Department of Health a identifié 31 cas d’oreillons vraisemblablement introduits par un conseiller du camp qui provenait du Royaume Uni. Dans l’ensemble du camp, la couverture vaccinale était de 96%. 31 participants furent infectés.

 

  • 16 (52%) participants avaient reçu 2 doses ;
  • 4 (13%) avaient reçu une dose ;
  • 9 (29%) n’avaient reçu aucune dose ;
  • 2 (6%) statut vaccinal non connu.

 20    personnes sur les 31 participants infectés (65%) avaient été vaccinées.

 

La couverture vaccinale pour l’ensemble du camp : 96% [3]

 

Echec vaccinal # 4 -  Epidémie d’oreillons dans une population fortement vaccinée (1989)

 

D’octobre 1988 à avril 1989, une épidémie d’oreillons se déclara dans le comté de Douglas au Kansas. On releva 269 cas d’oreillons. Parmi eux, 208 (77,3%) faisaient partie des écoles primaire et secondaire. 203 élèves (97,6%) avaient été vaccinés contre les oreillons. [4]

 

Echec vaccinal  # 5  -  Deux médecins complètement vaccinés contre la rougeole attrapent la rougeole (2009)

 

Au cours d’une épidémie de rougeole en 2009, deux médecins furent infectés par le virus de la rougeole alors qu’ils avaient tous deux été complètement vaccinés : ils avaient reçu deux doses du vaccin ROR (Rougeole Oreillons Rubéole). On a soupçonné que ces deux médecins furent infectés alors qu’ils soignaient des patients atteints de la rougeole. [5]

 

Echec vaccinal #  6  -  Importante épidémie de rougeole au Québec en dépit d’une couverture vaccinale de 99% (1989)

 

L’épidémie de rougeole de 1989 dans la province du Québec a infecté 1363 personnes. On a tenté d’expliquer cette épidémie en évoquant une « couverture vaccinale incomplète ».

Une enquête ultérieure détermina qu’au moins 84,5% des personnes avaient été vaccinées. Pour l’ensemble de la population, la couverture vaccinale était de 99%. [6]

 

Echec vaccinal #  7 -   Epidémie de rougeole en dépit des mesures de contrôle appropriées. (1985)

 

En 1985, sur les 118 cas de rougeole qui se déclarèrent dans une réserve du Montana (Blackfeet), 82% des personnes avaient été vaccinées ; Vingt-trois de ces cas sont survenus dans les écoles de Browning où 98,7% des élèves avaient été vaccinés. [7]

 

Echec vaccinal # 8 -  Epidémie de rougeole dans une école secondaire complètement vaccinée (1985)

 

En 1985, une épidémie de rougeole s’est déclarée dans une école secondaire de Corpus Christi au Texas. Plus de 99% des élèves avaient été vaccinés avec le virus vivant. Les enquêteurs ont conclu : « que des épidémies de rougeole peuvent se produire dans des écoles secondaires, même si plus de 99% des élèves ont été vaccinés et que plus de 95% sont immunisés. »

 

La couverture vaccinale pour cette école était de 99%  [8]

 

Echec Vaccinal  # 9 -  Rougeole dans une population scolaire vaccinée au Nouveau Mexique (1984)

 

L’histoire ne cesse de se répéter.

 

En 1984, 76 cas de rougeole ont été signalés à Hobbs, Nouveau-Mexique. 47 cas (62%) se sont produits chez des étudiants. L’école en question a signalé que 98% des élèves avaient été vaccinés contre la rougeole avant que l’épidémie ne se déclare.

Pour cette école, la couverture vaccinale était de 98%. [9]

 

Echec Vaccinal # 10 -  Epidémie de rougeole parmi les élèves vaccinés d’une école secondaire de l’Illinois ; (1984)

 

En 1984, 21 cas de rougeole se sont déclarés dans le comté de Sangamon (Illinois).

 

  • 16 (76%) avaient été vaccinés ;
  • 4 (19%) d’âge préscolaire n’étaient pas vaccinés.
  • 1 (5%) était un étudiant vacciné (college student)

Les 411 élèves de l’école secondaire locale avaient été vaccinés le jour de leur premier anniversaire ou peu de temps après. Les enquêteurs ont signalé : « Cette épidémie démontre que la transmission de la rougeole peut se produire dans une population scolaire avec un taux de vaccination atteignant les 100%. » [10]

 

Echec vaccinal # 11 – Analyse d’une épidémie de rougeole. – Rôle possible des échecs vaccinaux (1975)

 

En 1975, une épidémie de rougeole s’est produite dans les écoles de Greensville, Ontario. Parmi les 47 cas de rougeole,

 

  • 26 (55,3%) avaient été vaccinés ;
  • 18 (18,3%) n’avaient pas été vaccinés ;
  • 3 (6,4%) statut vaccinal inconnu.

Les enquêteurs ont conclu qu’un seul vaccin ne suffisait pas pour protéger les enfants. Ils ont recommandé des injections supplémentaires.

 

Cas de rougeole chez les enfants vaccinés : 53,3% [11]

 

Echec vaccinal # 12 – Durée inattendue de l’immunité après une vaccination contre la coqueluche (vaccin acellulaire) chez des pré-adolescents au cours d’une épidémie en Amérique du Nord. ( 2012)

 

En 2012, les médecins du « Kaiser Permanente Medical Center » identifièrent 171 cas de coqueluche – 132 cas furent dépistés chez des enfants. Ils constatèrent une augmentation des cas chez des enfants âgés de 8 à 12 ans.

A propos de l’efficacité de la vaccination, ils prétendirent ce qui suit :

 

  • Enfants de 2 à 7 ans : 41% d’efficacité ( ?!?)
  • Enfants de 8 à 12 ans : 24% d’efficacité ( ?!?)
  • Adolescents de 13 à 18 ans : 79% d’efficacité. 

Ces médecins ont émis l’hypothèse que ces enfants avaient besoin de davantage de vaccins pour être « efficacement protégés ».

 

Efficacité du vaccin pour les enfants de 8 à 12 ans : 24% [12]

 

Echec vaccinal # 13 – Aspects cliniques de la coqueluche chez des enfants complètement vaccinés en Lituanie (2001)

 

En 2001, la couverture vaccinale du pays était estimée à 94,6%. De mai à décembre de cette même année, la confirmation sérologique de la coqueluche fut établie chez  53 enfants. Parmi ces 53 enfants,

 

  • 32 (60,4%) avaient été complètement vaccinés,
  • 21 (39,6%) avaient été partiellement vaccinés ou pas vaccinés du tout.

Les enquêteurs ont d’une manière commode regroupé les enfants partiellement vaccinés et les enfants non vaccinés. 28 enfants parmi les 32 (87,5%) qui avaient été complètement vaccinés avaient aussi reçu des antibiotiques.

 

Les enfants vaccinés (qui avaient reçu au moins trois doses du vaccin DTC) représentaient 43,2% de tous les cas de coqueluche diagnostiqués en 2001.

 

La couverture vaccinale pour la Lituanie : 94,6%. [13]

 

Echec vaccinal # 14 – Infection coquelucheuse chez des enfants complètement vaccinés dans les garderies (2000)

 

De nombreux professionnels de santé sont catégoriques. Ils prétendent que les vaccins protègent des infections.

Les résultats d’une enquête de terrain en Israël ne confirment nullement cette croyance.

 

En 2000, un enfant qui est décédé a été suspecté d’avoir fait une coqueluche. Le bébé a reçu sa première dose de DTC à deux mois – tous les membres de sa famille étaient complètement vaccinés ; ils avaient tous reçu 4 doses du vaccin DTC.

 

On étudia de plus près le cas de deux jumeaux qui avaient été soignés dans le même Centre que l’enfant. Tous les enfants qui fréquentaient ce Centre avaient été vaccinés  dans l’enfance avec quatre doses du DTC  et avaient reçu une dose de rappel à 12 mois .

 

Cinq enfants complètement vaccinés ont été infectés par le Bordetella Pertussis (Coqueluche).

 

En conclusion les enquêteurs ont voulu souligner ce qui suit :

 

Les adolescents et les adultes vaccinés peuvent servir de réservoirs d’infection silencieuse et peuvent potentiellement contaminer des nourrissons non protégés. Le vaccin à germes entiers contre la coqueluche protège seulement contre la maladie clinique, et non pas contre l’infection. Par conséquent, même les jeunes enfants récemment vaccinés peuvent servir de réservoirs et de transmetteurs potentiels d’infection. »

 

Les enquêteurs ont insisté : « Nos résultats indiquent que les enfants de 5 à 6 ans et peut-être aussi les plus jeunes de 2 à 3 ans « jouent le rôle »  de réservoirs silencieux dans la transmission de la coqueluche dans la communauté. »

 

Couverture vaccinale dans ce centre (garderie) : 100% [14]

 

Echec vaccinal # 15 – Epidémie de coqueluche au Vermont (1996)

 

En 1996, on releva 280 cas de coqueluche au Vermont.

 

  • 12 (4%) avaient moins d’un an ;
  • 32 (11%) étaient âgés de 1 à 4 ans ;
  • 42 (15%) étaient âgés de 5 à 9 ans
  • 129 (46%) étaient âgés de 10 à 19 ans
  • 65 (23%) avaient 20 ans ou plus.

Sur un total de 215 enfants (dont le statut vaccinal était connu) combien avaient été vaccinés ?

 

  • 5 enfants de 7 à 47 mois étaient partiellement vaccinés ;
  • 14 enfants de 7 à 47 mois avaient reçu 3 doses du vaccin ;
  • 49 jeunes de 7 à 18 ans étaient partiellement vaccinés ;
  • 106 jeunes de 7 à 18 ans étaient complètement vaccinés.

Fait troublant : 174 enfants ont été vaccinés et plus de la moitié (61%) des enfants de l’école ont été considérés comme étant « complètement vaccinés » !

 

Il est important de garder à l’esprit que dans le Vermont en 1996, 97% des enfants de 19 à 35 mois avaient reçu trois ou davantage de doses du vaccin DTC ou DT.

 

Echec complet chez les enfants vaccinés : au moins 80,9% [15]

 

Echec vaccinal # 16 – Epidémie de varicelle dans une garderie  en dépit de la vaccination (2012)

 

Il arrive qu’au lieu de reconnaître qu’un vaccin a été un échec complet, on utilise des termes comme « percée de varicelle » pour parler des enfants qui sont tombés malades alors qu’ils avaient bel et bien été vaccinés.

 

En décembre 2012, une épidémie s’est produite dans une garderie privée près de Concord dans le New Hampshire. Au total, on enregistra 25 cas de varicelle chez les enfants.

 

  • 17 (68%) avaient été vaccinés ;
  • 8 (32%) n’étaient pas vaccinés – deux de ces enfants furent vaccinés fin décembre et classés dans le groupe des « non vaccinés ».

Les enquêteurs ont déploré le fait que l’efficacité du vaccin n’était que de 44%. Ils précisèrent :

 

« Les raisons du manque d’efficacité du vaccin ne sont pas évidentes… Les conclusions de cette enquête font craindre que la stratégie de vaccination en cours pourrait ne pas protéger les enfants de manière adéquate. »

 

La couverture vaccinale était de 73,1% [16]

 

Echec vaccinal # 17 -  Epidémie de varicelle chez des enfants de l’école primaire ayant reçu deux doses du vaccin contre la varicelle (2006)

 

Auriez-vous déjà remarqué  que quand un vaccin n’est pas efficace, la réponse est presque toujours : il faut plus de vaccins ?...

 

En juin 2006, on recommanda une seconde dose du vaccin contre la varicelle pour pouvoir entrer à l’école. Peu de temps après la reprise des cours, le Département de la Santé de l’Arkansas signala une épidémie de varicelle chez les élèves.

 

L’information sur la vaccination fut disponible pour 871 (99%) des 880 élèves.- 97% des élèves avaient été vaccinés pour la varicelle ! Au cours de cette épidémie, 84 cas furent signalés.

 

La couverture vaccinale était de 97%. [17]

 

Conclusion

 

Comme on peut le voir à partir des exemples qui précèdent, la vaccination est souvent inefficace. Il existe de nombreux autres exemples que nous ne pouvons aborder dans cet article.

 

Si vous souhaitez approfondir la question, voici une petite astuce. Sur Google.com, faites une recherche au moyen des mots clés suivants : « préalablement vaccinés pour X »  ou « épidémie à l’école X »…

 

En tant que parents vous faites confiance au médecin et vous attendez de lui qu’il vous fournisse des informations précises et exactes. Mais quand les médecins vous disent que les vaccins fonctionnent, qu’ils sont efficaces, de qui tiennent-ils leur information ?

 

Plus important encore, pourquoi les échecs vaccinaux ne sont-ils pas rapportés dans les médias traditionnels ? La réponse la plus plausible est que les organisations qui doivent le plus se protéger de la vérité sur ces questions sont membres de Big Pharma – Je ne pense pas que l’on ait déjà inventé un vaccin pour assurer cette protection.

 

Références

  1. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1202865
  2. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm55d330a1.htm
  3. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5507a2.htm
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1861205
  5. http://jid.oxfordjournals.org/content/204/suppl_1/S559.full.pdf+html
  6. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1884314
  7. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed?term=3618578
  8. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM198703263161303
  9. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00000476.htm
  10. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00000359.htm
  11. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1956577/
  12. http://cid.oxfordjournals.org/content/early/2012/03/13/cid.cis287
  13. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15918913
  14. http://wwwnc.cdc.gov/eid/article/6/5/00-0512_article.htm
  15. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00049244.htm
  16. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa021662
  17. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19593254 

Source: Vactruth

 

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commentaires

I
Sont invalides tous les arguments qui se basent sur le modèle "X% de ceux qui furent infectés avaient reçu le vaccin".<br /> <br /> Même si vous observez un groupe vacciné à 100%, vous constaterez que 100% des personnes infectées étaient vaccinées. Shocking !<br /> <br /> Pour tout vaccin dont l'efficacité est inférieure à 100% (tous les vaccins, donc) que la proportion de vaccinés infectés augmente en même temps que la proportion d'individus vaccinés n'est pas juste normal, c'est une certitude statistique.<br /> <br /> Vous comparez:<br /> - la probabilité d'infection par un vacciné multipliée par le nombre de vaccinés<br /> - la probabilité d'infection par un non vacciné multipliée par le nombre de non vaccinés<br /> <br /> Même si la probabilité d'infection d'un non vacciné est très supérieure à celle d'un vacciné, il est LOGIQUE qu'il y ait une majorité d'infections chez les vaccinés si ce groupe est très majoritaire.<br /> <br /> Autrement dit: Vous utilisez des chiffres qui sont incapables de montrer une quelconque efficacité de la vaccination pour en déduire que la vaccination ne marche pas.<br /> <br /> Montrer le pourcentage d'infection chez les vaccinés et le comparer au pourcentage d'infection chez les non vaccinés est par contre une méthode valide. Surtout n'hésitez pas à dénoncer les campagnes de vaccination pour qui cette comparaison montrerait l'inefficacité du vaccin. Il est probable que je vous rejoindrai dans votre action.
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S
La rougeole étant très contagieuse, il faut bien 95%. Et ca fonctionne. Les Amériques ont éliminés la rougeole. Quelques cas importés créent des flambées locales (telles que celles décrites dans<br /> votre billet). Mais le fait que l'épidémie reste localisée géophraphiquement et temporellement est la preuve que ca marche (la rougeole ne redevient pas endémique après les cas importés...).<br /> L'immunité de groupe, ca ne veut pas dire que personne ne peut attraper la maladie. Ca veut dire que la circulation du virus est freinée/empêchée/stoppée après que quelqu'un l'ait attrapé.
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C
Stratus et moi portons des noms de nuage mais, pour autant, nous ne sommes pas la même personne.
Répondre
C
Merci à Stratus pour ces précisions. J'en retiens que le risque de faire la maladie est 10 fois plus important si on ne se fait pas vacciner. Initiative citoyenne se rallie-t-elle à cette<br /> conclusion ? Sinon, pourquoi ?
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I
<br /> <br /> @ Stratus et Cumulus (= la même personne):<br /> <br /> <br /> étrange comme vous semblez oublier dans l'exemple donné la notion de "couverture vaccinale", soit disant, 95% est la couverture ultra suffisante pour toutes les maladies y compris la<br /> rougeole...le message public au sujet des vaccins consiste à faire croire aux gens que vaccination= protection or la réalité est que cela n'est pas toujours le cas (la preuve). Que dans<br /> certains cas de vaccination, le risque de contracter une maladie infectieuse ciblée soit moindre (qu'en cas de non vaccination) est tout à fait possible, mais pas toujours, comme<br /> expliqué dans divers exemples que vous n'avez visiblement pas eu envie de lire: vaccination par la grippe saisonnière qui multiplie par 2 le risque d'avoir la grippe A même si le vaccin<br /> saisonnier 2009 incluait cette souche! Multiplication par 40 au niveau de l'arbre respiratoire du bacille de B. Parapertussis chez les souris vaccinées avec le vaccin anti-coquelucheux<br /> acellulaire etc<br /> <br /> <br /> La vaccination antigrippale, cette année encore n'a permis une efficacité que de 9% chez les sujets âgés selon les données officielles des CDC. Quand on voit ce genre de chiffres, ou même quand<br /> on sait que le vaccin n'exclut pas la possibilité d'avoir quand même la maladie (par définition incertaine), on se doit d'accorder une attention logique au fait que chaque vaccin fait à chaque<br /> fois de façon certaine encourir des risques qui eux, sont multiples, variés et largement sous-estimés en fréquence, par rapport à une unique maladie en question. On prétend protéger contre UNE<br /> maladie mais on fait courir le risque de très nombreuses autres maladies (effets secondaires du vaccin). Compte tenu de cela, aucune vaccination n'a la légitimité pour être imposée. En outre,<br /> rien ne dit que les vaccinés qui ne font pas la maladie l'auraient forcément faite s'ils avaient pas été vaccinés...<br /> <br /> <br /> Mais, à moins que nous ayons mal lu, vous ne semblez pas avoir répondu non plus à un des multiples points gênants que nous avions soulevés à savoir aussi le déplacement de l'âge de survenue de la<br /> maladie, pourtant c'est intéressant, car oui, vous pourriez avoir la configuration chiffrée que vous évoquez mais de façon TEMPORAIRE avec après, un triste "effet boomerang", une sorte de cercle<br /> vicieux qui plonge les gens dans une dépendance forcée à X rappels successifs de vaccins qui multiplient alors chaque fois le risque d'un effet secondaire! A terme, on perd le bénéfice de<br /> l'immunité à vie et de l'âge "idéal" de survenue de la maladie, moment auquel elle est la moins risquée possible, et on crée un risque plus grand de complications graves chez ceux qui feront la<br /> maladie. Est-ce licite de priver les gens de la chance de cette immunité à vie (ainsi que des avantages en termes de réduction des allergies et de l'asthme chez ceux qui font la maladie<br /> naturellement) parce que certains ont l'obsession dangereuse de vouloir éradiquer des microbes millénaires? Tout est question de point de vue. Mais il n'y a pas si longtemps, dans le Journal du<br /> Médecin, on pouvait encore justement lire qu'éradiquer des maladies infectieuses n'était ni souhaitable ni réalisable (la variole n'a du reste pas été éradiquée par la vaccination, en témoignent<br /> les chiffres d'aggavation multiples d'épidémies chez les populations les plus vaccinées et le rôle plus décisif de la surveillance et de l'isolement des malades)<br /> <br /> <br /> <br />
S
Pour Cumulus:<br /> <br /> Un exemple où toutes les données sont dispo: la source 3.<br /> <br /> 541 personnes pour 31 cas.<br /> couverture vaccinale de 96%<br /> 519 personnes vaccinées<br /> 22 personnes non vaccinées<br /> <br /> 20 à 22 cas chez les vaccinés<br /> 9 à 11 cas chez les non vaccinés.<br /> <br /> Les vaccinés sont atteints à 4%<br /> Les non vaccinés sont atteints à 40-50 %
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