Nous avions déjà fait état, il y a quelques mois, de la situation scandaleuse d'enfants isérois honteusement privés d'école et de rentrée scolaire, en raison de cette infâme dictature vaccinale.
Oui, n'ayons pas peur des mots: il s'agit bel et bien d'une dictature.
Non contents de refuser leurs enfants à l'école depuis plus de 6 mois, les autorités locales françaises s'en prennent maintenant aux parents des enfants qu'ils ont l'indécence d'accuser de "maltraitance"!
Il faut dire que plusieurs "experts" en Belgique ont déjà assimilé le refus de vaccins à "de la maltraitance". Si on passe sur le fait, pourtant déjà extrêmement grave, que la sécurité des vaccins n'est jamais évaluée de façon scientifique, il reste tout de même que les autorités françaises exigent de ces parents qu'ils consentent à faire vacciner leurs enfants avec des vaccins combinés, comportant des valences non obligatoires, leur faisant ainsi perdre tout recours juridique possible en cas d'effets secondaires.
Il est clair que si les autorités devaient financièrement indemniser toutes les victimes de leurs obligations et autres pressions vaccinales, cela ferait sans doute longtemps que nos Etats seraient déjà dans la situation de la Grèce. Comment dès lors continuer à servir les intérêts des pharmas, tout en tirant son épingle du jeu et en se déclarant "non responsables" en cas d'effets secondaires? En supprimant les combinaisons vaccinales minimales obligatoires et en poussant les vaccins de plus en plus combinés, de façon à pouvoir prétexter (comme le fait d'ailleurs aussi l'ONE, cfr p.43/54) qu'on ne sait pas dire quelle est là ou les valences vaccinales en cause et que c'est donc peut-être la faute de vaccins qui n'étaient pas strictement obligatoires. Quelle hypocrisie...
Rémi et Stéphanie Guéret sont donc convoqués le 22 mars prochain devant le juge des enfants pour... maltraitance! Cherchez l'erreur.
Initiative Citoyenne assure ces parents responsables et consciencieux, qui ne font qu'agir en "bon père de famille" comme le droit le préconise, de tout son soutien et suivra attentivement l'évolution de ce dossier.
Ecouter ou réécouter l'interview des parents, le 3 mars dernier sur radio Grésivaudan: ICI
NB: Contrairement à ce qu'affirme Jacques Bessin, président de l'UNACS, la France n'est hélas pas le seul pays à imposer des vaccins, comme en témoigne la situation belge, bien que ces obligations n'aient cependant jamais démontré d'effets positifs sur la réduction des maladies comparativement aux états n'ayant jamais voté de telles obligations.
Visiter le site des parents: ICI
Signer la pétition en faveur de ces enfants: ICI
Après plus de 200 jours d’exclusion de l’école maternelle, les enfants Guéret sont scolarisés en famille, les parents en ayant reçu l’agrément. Le 22 mars 2012, les parents ont été, sur signalement, convoqués par le juge des enfants. Une enquête sociale a été ordonnée, dont le dénouement sera connu à la prochaine rentrée.
Nouvelle interview radio de la maman après l'audition chez le juge des enfants: ICI
"On instrumentalise nos enfants dans cette histoire. Pour en faire un exemple." Stéphanie Guéret, la maman des enfants.
Courrier de soutien du député-maire François Brottes: ICI
Voir aussi ici: non-lieu au tribunal de la jeunesse suite aux dénonciations calomnieuses.