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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 11:05

Ce qu'on peut lire à la Une du Télégramme du 29 mars dernier est tout simplement affligeant. L'Académie française de Médecine, visiblement en déroute, n'a pas craint le ridicule en osant qualifier les risques de l'aluminium vaccinal d'"hypothétiques"! Même avec le soutien de circonstance de  l'Académie des Sciences, il fallait oser!

 

Mais enrobés dans leur manteau d'arrogance, ces gens-là se croient sortis de la cuisse de Jupiter, c'est bien connu. Ils se prennent pour le nec- plus ultra du gratin médico-scientifique. CEUX QUI SAVENT face à un troupeau de gens ignares qu'ils se sont donnés pour mission de guider, les estimant trop inaptes à le faire.

 

Laissez bonnes gens, NOUS, nous savons et nous nous occupons donc de tout.

Voici en effet par quels mots le Pr Bach semble en effet avoir toisé la sagesse, la lucidité et le bon sens populaires:

 

«La diversité des opinions doit être respectée»,  mais «toutes les opinions n'ont pas les mêmes valeurs».«Nous savons, nous, scientifiques et médecins, qu'il faut des adjuvants. Nous essayons de trouver les meilleurs» Les adjuvants aident la réponse immunitaire aux vaccins. Les «signes désagréables» qu'ils peuvent entraîner «font partie de leur mode d'action», Quant au problème d'éventuels effets indésirables graves, il estime «qu'il faut en discuter sur des bases scientifiques».

 

Se bornant à parler de "signes désagréables" là où des milliers de gens (comme Maryvonne, Monique et tant d'autres) ont tout simplement leur vie détruite grâce à cet adjuvant que l'Académie de Médecine estime faire partie "des meilleurs" (sic!), l'Académie apporte une preuve de plus de ce qu'elle n'est tout simplement plus en phase avec la réalité du terrain.



Quant à "la discussion sur des bases scientifiques", il faut là aussi croire que cette Académie n'est vraiment plus à jour, à moins qu'il ne s'agisse d'un cruel manque de volonté de sa part, dès lors que des preuves scientifiques accablantes existent à foison mais qu'aucune autorité officielle n'a jamais daigné en tenir compte, comme il aurait pourtant convenu de le faire. Ce n'est en effet pas pour rien si aucun député effectif ou suppléant de la Commission santé de la Chambre fédérale belge n'a jamais daigné répondre à un ensemble de questions argumentées très précises sur les risques de l'aluminium vaccinal. Le sujet dérange. Les intérêts financiers des industriels sont en embuscade. Il ne faudrait surtout pas leur faire l'affront de revenir sur l'octroi passé (indu) d'une autorisation de mise sur le marché qui risquerait d'entraîner une crise mondiale de confiance dans les vaccins! Oh que non!



Et lorsqu'on lit par exemple dans le Télégramme que « Le groupe d'études présidé par Olivier Jardé s'était déclaré ébranlé par la démonstration que l'alumine ne reste pas dans le muscle, au point d'injection du vaccin, mais peut migrer au niveau cérébral», on ne peut que déplorer qu'ils ne s'en soient rendu compte que si tardivement, ce qui prouve bien la faiblesse méthodologique flagrante des évaluations dites "scientifiques" de la sécurité des vaccins qui n'exigent jamais la moindre analyse pharmacocinétique qui consiste, rappelons-le, en une étude du devenir précis du médicament (et de ses composants) dans le corps une fois administré. Une analyse pourtant requise pour tant d'autres médicaments et qui aurait précisément pu démontrer à temps les dangers d'un adjuvant déjà administré à des milliards de gens de par le monde depuis des décennies!!

 

De ce point de vue, cette demande de moratoire qui intervient si tardivement et que le Dr Edwige Antier, Vice-Présidente de ce Groupe d'études parlementaire, qualifie de "signal fort" vis-à-vis de l'industrie, pourrait tout aussi bien être qualifié de "signal faible" par rapport à la confiance que les citoyens peuvent encore avoir dans les décisions trop molles, trop complaisantes et surtout trop tardives des autorités en matière de santé publique!

 

Le scientifique canadien indépendant Chris Shaw, dont les recherches plaident en faveur d'un lien évident entre l'aluminium vaccinal et des maladies neurologiques comme Alzheimer, s'était déjà étonné en ces termes de l'absence d'évaluation rigoureuse de la sécurité d'une substance, pourtant déjà utilisée depuis plus de 80 ans dans les vaccins:

 

« C’est suspect. Soit ce lien est connu de l’industrie et n’a jamais été rendu public, soit l’industrie n’a jamais été obligée par le ministère de la Santé canadien de mener ces recherches. Je ne sais pas quelle hypothèse est la plus effrayante. »

 

Ayant passé en revue de nombreuses études bidon sur la prétendue sécurité de l'aluminium vaccinal, il avait alors exposé la supercherie en ces termes:

 

« Il existe environ 10 000 études démontrant l’innocuité de l’hydroxyde d’aluminium dans les injections. Mais je n’ai pu en trouver une seule qui ait été conduite au-delà des premières semaines suivant l’injection. J’invite tous les chercheurs qui détiendraient des résultats différents, à les présenter. Ca au moins, ce serait une démarche scientifique ! »

Mais en attendant, pour les Académiciens qui évoluent dans une bulle décidément très hermétique, "aucune étude ne permet de montrer un risque pour la santé» de l'aluminium dans les vaccins"!

 

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