Le journal Vers l'Avenir a publié un rectificatif dans son édition du 25 juillet dernier, qui fait suite à l'article publié le 19 juillet au sujet des dernières découvertes d'une équipe de chercheurs de Liège.
Il faut dire que les réactions n'ont pas dû manquer.
Nous avions également envoyé la nôtre et de nombreuses personnes et professionnels de santé nous avaient fait part de leur indignation.
Cet article, ce "complément d'info" (qui s'apparente plutôt à un rectificatif, faute de ne pas avoir initialement fait preuve d’assez d’objectivité ?) a le mérite d'exister même s'il aurait cependant pu être plus équilibré car il fait encore la part belle au Dr Desmet qui aura décidément beaucoup eu la parole pour relayer toutes ses affirmations contestables.
C'est dommage de ne pas avoir relayé davantage de passages de notre communiqué de presse car nous apportions justement une réponse très (trop?) dérangeante aux affirmations hâtives du Dr Desmet.
Par exemple, nous expliquions que la prétendue innocuité de l'aluminium (vision défendue par le Dr Desmet) reposait sur des données scientifiques biaisées car, comme expliqué par le scientifique canadien Shaw, aucune de ces études ne durait plus de quelques semaines après les injections!!
Mais nous évoquions aussi dans notre communiqué de presse, la loi du silence et l'indifférence dans laquelle les victimes de maladies comme la myofasciite à macrophages (due à l'aluminium vaccinal) doivent évoluer, ce qui en dit évidemment long sur la sous notification notoire des effets secondaires vaccinaux et donc sur le caractère très discutable du rapport bénéfices/risques des vaccins soi-disant si positif selon le Dr Desmet.
Il est intéressant d'analyser cette sorte de "volte-face" du Dr Desmet qui:
1. Initialement se lance, sans retenue, pour parler de l'innocuité absolue de l'aluminium (allant même, par pure idéologie, jusqu'à nier la valeur de la moindre étude étayant ses dangers!)
2. Suite aux protestations de lecteurs, d'Initiative Citoyenne et suite au fait qu'il a dû être recontacté par Vers l'Avenir pour y répondre, il se rabat sur le bon vieux discours très confortable consistant à ne pas trop se mouiller tout en se couvrant à la fois et qui consiste à dire : "Aucun médicament n'est jamais sûr à 100% pour personne. [...] Oui, un vaccin ou un adjuvant est potentiellement dangereux pour certains profils à risque. Mais le rapport entre ce risque et le bénéfice pour la santé publique est facile à estimer."
C'est la bonne vieille ritournelle qui consiste à faire croire que les problèmes post-vaccinaux seraient uniquement dus aux "prédispositions génétiques" des gens comme si finalement, c'était la faute des victimes dont le corps n'a pas pu s'adapter assez bien aux vaccins. Histoire de ne surtout pas avoir à discuter de la pertinence d'aller inoculer dans les organismes une substance qui n'a rien à y faire et qui n'a aucun rôle biologique à jouer.
Mais il est encore plus effrayant de constater à la lecture de propos comme ceux du Dr Desmet l'absence patente de malaise éthique à considérer qu'un certain nombre de gens (qu'on ne dépiste ceci dit jamais avant !) doivent littéralement être sacrifiés pour le soi-disant "bien commun" ce qui, soit dit en passant, est totalement contraire à la Convention d’Oviedo ou Convention européenne de bioéthique qui stipule pourtant en son article 2 que « L’intérêt et le bien être de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. ».
Des gens qui donc, comme ça, s'en crier gare, verront leur vie qui bascule du jour au lendemain ou qui décèderont sans jamais avoir préalablement été informés de ces risques. Les effets secondaires des vaccins sont inévitables, le gros problème c'est qu'on ne sait pas prévoir sur qui cela tombera avec la problématique éthique supplémentaire, qui semble ici très clairement échapper au Dr Desmet, qu'on s'adresse à des gens majoritairement sains pour lesquels il est impossible de prouver un quelconque bénéfice thérapeutique: en somme, courir un risque certain d'éviter une maladie infectieuse, par définition incertaine.
Et bien entendu, quand on lit le Dr Desmet dire que "le rapport entre ce risque et le bénéfice pour la santé publique est facile à estimer.", on ne peut que déplorer cette arrogance dont le terreau n'est autre que l'ignorance d'un certain nombre de faits capitaux. Car, comme nous l'avons expliqué ci-dessus, la sous notification notoire des effets secondaires vaccinaux est reconnue par d'innombrables officiels qui admettent qu'il n'existe aucun suivi des populations vaccinées à long terme.
Compte tenu de cette absence de chiffres et de suivi (qui arrange évidemment fort bien les laboratoires et les instances de santé en terme de responsabilité), il devient on ne peut plus facile d'affirmer péremptoirement que le bénéfice l'emporte sur le risque comme le fait le Dr Desmet. En outre, il est à noter qu'il parle de "ce risque" mais il faut bien comprendre que vu la multitude de composants toxiques des vaccins, ce risque induit par l'aluminium et qui expose déjà à une variété de pathologies (jamais évaluées sur le long terme de façon comparative avec des vaccinés vs des non vaccinés), s'ajoute à d'autres risques connus ou non liés aux autres composants et à leur présence synergique dans ce qu'on appelle "vaccin"! Dans ces conditions, on comprend l'absence totale de crédit à accorder à ce qu'il convient de considérer comme des affirmations idéologiques (dogmes) et non scientifiques.
Un exemple parmi tant d'autres de ces risques non ou peu connus et donc aussi non ou mal évalués (et qui seront donc autant de biais et de contradictions possibles à l'enthousiasme du Dr Desmet) peut être trouvé dans la réaction qu'un médecin belge nous a fait parvenir à ce sujet: "CENSURE" (le médecin qui nous avait fait parvenir ça par mail préfère finalement ne pas être reconnu bien qu'il ait écrit cela dans un livre). Pour néanmoins en avoir une petite idée, il s'agissait du fait que l'aluminium peut, d'après "l'effet Kervran" entraîner des perturbations en interférant avec le sodium et le potassium de l'organisme. Or, quand on sait que le sodium et le potassium sont tous deux impliqués dans la contraction musculaire et dans la conduction neuronale (influx nerveux), on comprend comment l'aluminium des vaccins peut occasionner des maladies neuro-musculaires.
Mais les choses ne s'arrêtent pas là. C'est ainsi que le Dr Desmet se targue, à la fin de l'article, de publier, lui, dans Nature, une revue où dit-il "d'autres scientifiques complètement indépendants lisent et vérifient si le contenu est plausible, pertinent ou si on raconte n'importe quoi" et d'ajouter en visant sans doute, entres autres le Dr Pilette que " Ce n'est pas le cas de tous les travaux".
D'abord, il faut rappeler que le travail du Dr Pilette n'avait pas besoin d'être "revu par les pairs" puisqu'il s'agit précisément d'un travail de compilation, de mise à disposition du public d'un ensemble d'études scientifiques dont la plupart ont justement été publiées dans de grandes revues après avoir été "revues par les pairs"!
Ensuite, le Dr Desmet n'a pas encore compris que certains travaux sont d'emblée mieux accueillis que d'autres par ce genre de revue médicale, idéologie médico-commerciale oblige. Et c'est si vrai que les travaux d'un scientifique comme Andrew Wakefield, qui avaient pourtant eux aussi, rappelons-le, été approuvés par les pairs (peer-reviewed) avant d'être publiés dans le Lancet en 1998, ont été étrangement retirés de la revue en 2004. "Déjà" pourrait-on dire.... 6 ans après! Mais n'oublions pas que des revues "hautement indépendantes" comme le Lancet ou le British Medical Journal par exemple ont noué des "partenariats d’éducation continue" avec Merck, fabricant mondial de vaccins en tous genres...
Quant à l'affirmation "Ce qui ne doit d'ailleurs pas empêcher de chercher à savoir pourquoi certains réagissent mal.", il est piquant de constater que depuis les années 30', moment à partir duquel on a commencé à utiliser intensivement de l'aluminium dans les vaccins, aucune explication n'ait jamais été fournie par les officiels à ce sujet. Et ce, en dépit de toutes les victimes de la vaccination qui se sont succédées depuis lors (sans parler des autres effets secondaires dus à des vaccinations antérieures comme la vaccination antivariolique pour laquelle là aussi les victimes n'ont pas été recensées comme elles auraient dû l'être...).