Le site Voice of America rapportait il y a deux jours une dépêche intitulée "Le Zimbabwe enquête sur les effets secondaires des vaccins".
Cet article est fort important parce qu'il témoigne avec brio du double discours habituel en matière de vaccination et du formidable déni, de nature idéologique, du moindre effet secondaire vaccinal, même lorsqu'il s'agit d'évènements aussi graves que des décès.
Voici la traduction intégrale de tous les extraits de cet article (ô combien révélateurs):
"Harare- le gouvernement du Zimbabwe a entamé une enquête au sujet de rapports de graves effets secondaires-incluant des décès- suite aux programmes de vaccination contre la polio et la rougeole conduits le mois dernier dans le pays. Vendredi, Henry Madzoera, le ministre zimbabwéen de la Santé, a déclaré que le programme était important parce qu'il réduisait le nombre de décès imputables à ces maladies."
"Le Ministre zimbabwéen de la Santé Henry Madzoera a attribué les réactions physiques négatives de certains enfants vaccinés à la malnutrition, entre autres facteurs. Il a aussi dit que les enfants peuvent souffrir d'autres maladies antérieures au moment de la vaccination."
"Le Zimbabwe est parmi les pays à avoir le plus haut taux de mortalité maternelle et infantile au monde." a dit Madzoera. "Donc, certains effets sont des coïncidences dues à la haute fréquence des décès et autres maladies des enfants. Cependant, la vaccination reste une intervention-clé en donnant une chance de vie. Mais la fréquence et l'amplitude des effets secondaires deviennent plus grandes chez ces enfants qui sont déjà malades au moment où on les vaccine."
"Au Zimbabwe, la vaccination infantile a déjà suscité, dans le passé, la résistance de certains parents, qui disaient que leurs enfants étaient tombés malades après avoir reçu ces injections."
"Le programme de vaccination de Juin, sponsorisé par l'Unicef et le Japon, a attiré l'attention après le décès d'un enfant de Masvingo, à environ 300 km au Sud de Harare."
"L'officiel de Santé en chef Douglas Mombeshora a confirmé le décès et suggéré que d'autres facteurs, et pas seulement la vaccination, pourraient avoir causé le décès."
"L'enfant souffrait de malnutrition sévère" a dit Mombeshora. "Nous avons aussi découvert que les parents prenaient des antirétroviraux contre le SIDA. Les parents n'étaient pas venus dire qu'ils suivaient ce traitement. Le fait qu'ils soient sous traitement et le faible poids de l'enfant signifient probablement que l'enfant était séropositif."
"Il reste à voir si les parents sceptiques seront réceptifs à ce genre d'explications et continueront de faire vacciner leurs enfants."
"L'UNICEF a fourni les vaccins après avoir reçu des financements de la part du gouvernement japonais."
"Peter Salama, le responsable de l'UNICEF à Harare, dit aussi que beaucoup d'enfants souffrent déjà d'autres maladies au moment où ils reçoivent des vaccins contre la rougeole et la polio. Il dit que les vaccins sont sûrs."
"Certains de ces enfants sont déjà malades" a expliqué Salama. "Ils souffrent de diarrhées, particulièrement en hiver, ils ont des infections respiratoires. Les parents associent la vaccination à leur maladie, donc beaucoup de ces rapports s'avèrent être des coïncidences. Nous ne fournissons que des vaccins pré-sélectionnés par l'OMS. C'est le cas pour le Zimbabwe et pour les autres pays du monde."
"Le programme de vaccination de Juin, sur une semaine entière, a ciblé plus de deux millions d'enfants qui ont ainsi été vaccinés contre la rougeole et la polio. Avec les statistiques officielles démontrant que 100 enfants meurent chaque jour au Zimbabwe, le programme vaccinal est condidéré comme la manière économiquement la plus efficace de réduire la morbidité et la mortalité infantiles."
"Le système de santé zimbabwéen est devenu tout à fait chaotique depuis plusieurs années, après des années de discordes politiques et de difficultés économiques. A présent, grâce à des agences internationales comme l'UNICEF et l'OMS, il semble que cela aille en s'améliorant."
Décodage/décryptage de ces passages et analyse de la situation:
- Les officiels prétendent investiguer mais cherchent surtout, dès le départ, à exclure à tout prix la possibilité qu'il s'agisse des vaccins, c'est tout à fait classique (on parle de "coïncidences" ou d'autres maladies déjà présentes avant)
- Une étude parue récemment dans le British Medical Journal atteste des décès causés par le vaccin DTC (diphtérie-tétanos-coqueluche) et qui sont 3 fois plus nombreux chez les petites filles vaccinées que chez les non vaccinées et ce, même lorsque les petites filles vaccinées sont bien nourries! Au contraire, les enfants non vaccinés et bien moins nourris semblent moins mourir...
- Le Ministre zimbabwéen de la Santé reconnaît (et donc il SAIT) que les risques d'effets secondaires sont plus élevés chez les enfants déjà malades mais qu'on vaccine malgré tout. Dès lors, pourquoi aller encore accabler davantage ces petits vulnérables et déjà malades avec les composants toxiques des vaccins?? D'autant que même les notices de vaccins recommandent de ne PAS vacciner en cas d'état infectieux aigu important (ce que peut donc être un état de diarrhée aigue, une infection respiratoire etc, à fortiori chez des enfants déjà mal nourris!). Il est par exemple important de savoir que les notices de tous les vaccins à virus vivants contre-indiquent la vaccination de personnes atteintes de SIDA!
- Chaque état de malnutrition/sous-nutrition implique une faiblesse accrue du système immunitaire qui ne sait ainsi pas produire de façon normale et optimale les protéines dont il a besoin pour réagir à diverses stimulations immunitaires, dont celles artificielles et chaotiques des vaccins. Avoir donc vacciné un enfant déjà malnourri qui a fini par en décéder n'exonère donc pas du tout la responsabilité potentiellement décisive et précipitatrice qu'à pu jouer une vaccination sur ce terrain déjà très fragilisé! Car en effet, il est raisonnable de penser que sans le vaccin, l'enfant aurait pu être encore en vie.
- Le fait que les vaccins aient été "préselectionnés par l'OMS" n'est bien sûr aucunement une garantie de sécurité ou d'efficacité dès lors que l'OMS est noyautée et infiltrée depuis des années déjà par les multinationales pharmaceutiques et par l'idéologie vaccinale. Plusieurs revues et personnalités ont par ailleurs déjà dénoncé la corruption galopante au sein de cette instance. Tout ceci rappelle donc la nécessité énorme pour tous les "généreux donateurs" qu'ils soient des particuliers ou non, d'avoir bien conscience de tous ces éléments avant d'accepter de cautionner par leur argent ce genre de politique pseudo-humanitaire qui consiste in fine à vacciner massivement des gens qui n'ont même pas à manger à leur faim!