A la suite de notre récent article sur les parents accusés du meurtre de leur petite fille décédée et fraîchement vaccinée, nous avons reçu le message suivant d'une visiteuse:
"J'ai lu votre article hier, je n'osais me prononcer par manque d'infos, l'envie de creuser pour en savoir plus sur ces effets secondaires ressemblant au syndrome du bébé secoué, c'est dans ma nature de ne pas tout prendre pour vérité et pourtant, je ne remets pas en cause vos actions, loin de là. Bref, hier votre article et aujourd'hui, dans les colonnes de mon canard : http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130819_00348548
Or que dit cet article de Vers l'Avenir??
Il parle du décès par arrêt cardiaque d'un bébé de 4 mois et demi (= en plein dans la période d'acharnement vaccinal!) au sujet duquel on suspectait initialement qu'il aurait pu être secoué...
Notre site a déjà abordé le fait que le syndrome du bébé secoué peut aussi être dû aux vaccinations infantiles. Voir les nombreux liens d'information à ce sujet: ICI.
Le décès a eu lieu en avril dernier dans une crèche d'Audenarde. Lundi dernier, le parquet a indiqué que l'enfant n'avait pas fait l'objet d'une manipulation brutale. Un groupe d'"experts" a finalement conclu à une mort naturelle.
Mais c'est évidemment là que tout le problème réside puisque le citoyen ne reçoit en réalité jamais le moindre détail sur les éléments qui fondent la sacrosainte décision de ces "experts".
Un arrêt cardiaque n'est pas chose commune chez un si jeune enfant. De combien de jours dataient ses dernières vaccinations? De quelles vaccinations s'agissait-il? Certainement de vaccinations multiples injectées en cocktail, vu la triste manie actuelle...
C'est capital de rappeler ici ce qui se trouve dans les revues médicales officielles au sujet des effets secondaires de vaccins. Ainsi, dans la Revue du Praticien de Novembre 2011, trois éléments-clés étaient exposés:
1°) Le nombre d'effets secondaires GRAVES des vaccins est largement sous-estimé, seuls 1 à 10% de l'ensemble de ceux-ci étant effectivement comptabilisés.
2°) "Il n’y a pas de consensus sur les éléments chronologiques ou sémiologiques de l’imputabilité d’un vaccin dans la survenue d’un EI.(effet indésirable)". Ce point est réellement central ici parce que s'il n'y a aucun accord au sein de la communauté médicale sur les critères de temps et de symptômes à réunir pour pouvoir incriminer un vaccin dans la genèse d'un effet morbide ou même létal, comment accorder une foi sans faille à la conclusion des experts qui innocentent ainsi d'emblée la très dérangeante implication possible des vaccins?? Plusieurs études ont déjà montré que les vaccinations favorisaient la mort subite du jeune enfant qui inclut aussi un arrêt cardiaque et des perturbations respiratoires préalables, parfois très subtiles et échappant à la vigilance de l'entourage (parents, gardiennes, etc). Et là encore, dans le cas des morts subites du nourrisson, l'implication des vaccins est le tabou des tabous!
3°) Troisième aveu de poids issu, nous vous le rappelons, d'une revue médicale tout à fait officielle: le nombre de sujets inclus dans les essais cliniques de vaccins pré-commercialisation est largement insuffisant pour pouvoir détecter et évaluer la fréquence réelle des effets secondaires rares mais beaucoup plus graves. En d'autres termes, cela signifie que les vaccinés sont des cobayes et que le vrai rapport bénéfices/risques n'est JAMAIS connu des pseudos experts au moment où le vaccin est ajouté au calendrier vaccinal, remboursé et administré très largement à une population ignorante et crédule! C'est d'ailleurs si vrai que c'est pour cela que le politiquement correct insiste de façon faussement rassurante sur la grande importance de la pharmacovigilance post-commercialisation mais qui ne survient alors qu'à posteriori, "quand le mal est déjà fait"... histoire de faire semblant d'être très prudent!
Si on ajoute à ces éléments importants, le lien idéologique ET financier qui unit le corps médical d'une façon générale aux vaccins, on se rend compte que les prétendus experts mandatés par le tribunal n'ont tout simplement pas pu aboutir à une conclusion fiable et objective!
Car il ne faut pas l'oublier, selon le rapport de la Cour des Comptes française d'octobre 2012, les vaccinations constituent 12,6% des consultations (et donc des revenus) en médecine générale -sans compter les primes additionnelles (CAPI de + de 7000 euros par an) et 33% des rentrées des pédiatres. Ces chiffres ne comptent que pour l'acte vaccinal (injection) et pas pour les suites des vaccins car les effets secondaires de vaccins amènent inévitablement d'autres consultations et sont donc une autre source indéniable de revenus, même si cela gène très fortement les médecins que ce constat incontournable soit ainsi mis par écrit. "Comme si nous voulions sciemment nuire aux patients!" les entend-t-on déjà pester.
Mais, même avec les meilleures intentions du monde, il n'empêche que les effets secondaires des vaccins sont aussi une autre source de consultations et donc de revenus... Un rapport conjoint de l'ONE et de PROVAC de 2009 affirmait d'ailleurs clairement qu' au moins 5% des enfants vaccinés (1 enfant sur 20 donc, tout de même!) est obligé de consulter un médecin pour effets secondaires endéans les 48 heures qui suivent une vaccination. Mais quel pourcentage d'enfants sont obligés de consulter un médecin pour effets secondaires de vaccins toute limite de temps confondue? Certainement bien plus que 5% mais on retombe à ce niveau sur l'aberration d'études cliniques pré-commercialisation des vaccins qui n'évaluent les effets secondaires que sur quelques jours ou tout au plus (dans le meilleur des cas!) sur quelques semaines!!!
Donc voilà, faites bien attention quand vous lisez des informations dans les médias, songez toujours à tous les sujets encombrants qui peuvent finalement "briller par leur absence", comme les vaccins ou bien d'autres "sujets chauds", dans bien d'autres domaines. Les avis d'experts ne doivent jamais être pris à priori pour argent comptant, comme on a pu le voir ci-dessus, et même quand ces experts sont impliqués dans une procédure judiciaire (au contraire, c'est encore pire, car les enjeux sont toujours accrus, incriminer des vaccins ou d'autres sujets tabous dans des procédures judiciaires, c'est un risque encore accru de médiatisation avec son cortège d'effets commercialement indésirables pour tous ceux qui en retirent de l'argent...)