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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 20:15

A la suite de notre récent article sur les parents accusés du meurtre de leur petite fille décédée et fraîchement vaccinée, nous avons reçu le message suivant d'une visiteuse:

 

"J'ai lu votre article hier, je n'osais me prononcer par manque d'infos, l'envie de creuser pour en savoir plus sur ces effets secondaires ressemblant au syndrome du bébé secoué, c'est dans ma nature de ne pas tout prendre pour vérité et pourtant, je ne remets pas en cause vos actions, loin de là. Bref, hier votre article et aujourd'hui, dans les colonnes de mon canard : http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130819_00348548  

 

Or que dit cet article de Vers l'Avenir??

 

Il parle du décès par arrêt cardiaque d'un bébé de 4 mois et demi (= en plein dans la période d'acharnement vaccinal!) au sujet duquel on suspectait initialement qu'il aurait pu être secoué...

 

Notre site a déjà abordé le fait que le syndrome du bébé secoué peut aussi être dû aux vaccinations infantiles. Voir les nombreux liens d'information à ce sujet: ICI.

 

Le décès a eu lieu en avril dernier dans une crèche d'Audenarde. Lundi dernier, le parquet a indiqué que l'enfant n'avait pas fait l'objet d'une manipulation brutale. Un groupe d'"experts" a finalement conclu à une mort naturelle.

 

Mais c'est évidemment là que tout le problème réside puisque le citoyen ne reçoit en réalité jamais le moindre détail sur les éléments qui fondent la sacrosainte décision de ces "experts".

 

Un arrêt cardiaque n'est pas chose commune chez un si jeune enfant. De combien de jours dataient ses dernières vaccinations? De quelles vaccinations s'agissait-il? Certainement de vaccinations multiples injectées en cocktail, vu la triste manie actuelle...

 

C'est capital de rappeler ici ce qui se trouve dans les revues médicales officielles au sujet des effets secondaires de vaccins. Ainsi, dans la Revue du Praticien de Novembre 2011, trois éléments-clés étaient exposés:

 

1°) Le nombre d'effets secondaires GRAVES des vaccins est largement sous-estimé, seuls 1 à 10% de l'ensemble de ceux-ci étant effectivement comptabilisés.

 

2°) "Il n’y a pas de consensus sur les éléments chronologiques ou sémiologiques de l’imputabilité d’un vaccin dans la survenue d’un EI.(effet indésirable)". Ce point est réellement central ici parce que s'il n'y a aucun accord au sein de la communauté médicale sur les critères de temps et de symptômes à réunir pour pouvoir incriminer un vaccin dans la genèse d'un effet morbide ou même létal, comment accorder une foi sans faille à la conclusion des experts qui innocentent ainsi d'emblée la très dérangeante implication possible des vaccins?? Plusieurs études ont déjà montré que les vaccinations favorisaient la mort subite du jeune enfant qui inclut aussi un arrêt cardiaque et des perturbations respiratoires préalables, parfois très subtiles et échappant à la vigilance de l'entourage (parents, gardiennes, etc). Et là encore, dans le cas des morts subites du nourrisson, l'implication des vaccins est le tabou des tabous!

 

3°) Troisième aveu de poids issu, nous vous le rappelons, d'une revue médicale tout à fait officielle: le nombre de sujets inclus dans les essais cliniques de vaccins pré-commercialisation est largement insuffisant pour pouvoir détecter et évaluer la fréquence réelle des effets secondaires rares mais beaucoup plus graves. En d'autres termes, cela signifie que les vaccinés sont des cobayes et que le vrai rapport bénéfices/risques n'est JAMAIS connu des pseudos experts au moment où le vaccin est ajouté au calendrier vaccinal, remboursé et administré très largement à une population ignorante et crédule! C'est d'ailleurs si vrai que c'est pour cela que le politiquement correct insiste de façon faussement rassurante sur la grande importance de la pharmacovigilance post-commercialisation mais qui ne survient alors qu'à posteriori, "quand le mal est déjà fait"... histoire de faire semblant d'être très prudent!

 

Si on ajoute à ces éléments importants, le lien idéologique ET financier qui unit le corps médical d'une façon générale aux vaccins, on se rend compte que les prétendus experts mandatés par le tribunal n'ont tout simplement pas pu aboutir à une conclusion fiable et objective!

 

Car il ne faut pas l'oublier, selon le rapport de la Cour des Comptes française d'octobre 2012, les vaccinations constituent 12,6% des consultations (et donc des revenus) en médecine générale -sans compter les primes additionnelles (CAPI de + de 7000 euros par an) et 33% des rentrées des pédiatres. Ces chiffres ne comptent que pour l'acte vaccinal (injection) et pas pour les suites des vaccins car les effets secondaires de vaccins amènent inévitablement d'autres consultations et sont donc une autre source indéniable de revenus, même si cela gène très fortement les médecins que ce constat incontournable soit ainsi mis par écrit. "Comme si nous voulions sciemment nuire aux patients!" les entend-t-on déjà pester.

 

Mais, même avec les meilleures intentions du monde, il n'empêche que les effets secondaires des vaccins sont aussi une autre source de consultations et donc de revenus... Un rapport conjoint de l'ONE et de PROVAC de 2009 affirmait d'ailleurs clairement qu' au moins 5% des enfants vaccinés (1 enfant sur 20 donc, tout de même!) est obligé de consulter un médecin pour effets secondaires endéans les 48 heures qui suivent une vaccination. Mais quel pourcentage d'enfants sont obligés de consulter un médecin pour effets secondaires de vaccins toute limite de temps confondue? Certainement bien plus que 5% mais on retombe à ce niveau sur l'aberration d'études cliniques pré-commercialisation des vaccins qui n'évaluent les effets secondaires que sur quelques jours ou tout au plus (dans le meilleur des cas!) sur quelques semaines!!!

 

Donc voilà, faites bien attention quand vous lisez des informations dans les médias, songez toujours à tous les sujets encombrants qui peuvent finalement "briller par leur absence", comme les vaccins ou bien d'autres "sujets chauds", dans bien d'autres domaines. Les avis d'experts ne doivent jamais être pris à priori pour argent comptant, comme on a pu le voir ci-dessus, et même quand ces experts sont impliqués dans une procédure judiciaire (au contraire, c'est encore pire, car les enjeux sont toujours accrus, incriminer des vaccins ou d'autres sujets tabous dans des procédures judiciaires, c'est un risque encore accru de médiatisation avec son cortège d'effets commercialement indésirables pour tous ceux qui en retirent de l'argent...)

 

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commentaires

D
L'aspect financier, pour le médecin, va bien plus loin que ce qui est énoncé ici.<br /> Il y a bien sûr la consultation vaccinale, et la consultation post-vaccinale s'il y a un ennui, ce qui n'est pas rare (sans pour autant qu'on fasse nécessairement le lien).<br /> Mais le plus grave n'est pas là: les enfants vaccinés sont cinq fois plus malades que les non-vaccinés. J'avais fait le calcul (approximatif, en fonction de mes lectures plus que de mes<br /> observations), que chaque fois que j'avais vacciné 1.000 enfants, à 800 d'entre eux j'avais infligé une maladie chronique.<br /> Bien sûr, chacune de ces maladies chroniques est assez rare pour ne pas attirer l'attention, et de plus presque tous les enfants étant vaccinés, on a fini par trouver normal que 13 enfants sur 100<br /> présentent un asthme, par exemple.<br /> Mais il ne devrait pas y en avoir plus de un pour cent naissances, et c'est ça qui serait normal.<br /> Alors, pour revenir au cœur de mon propos, imaginez que les enfants aient donc 13 fois moins d'asthmes, 5 fois moins d'otites, 2 fois moins d'allergies, 2 fois moins d’eczémas 64 fois moins<br /> d'herpes, 4 fois moins de rhumes des foins, 4 fois moins d'hyperactivité, 11 fois moins de scolioses, 12 fois moins d'épilepsies, 2 fois moins de migraines et 17 fois moins de désordres<br /> thyroïdiens...(c'est ce qui semble bien être la différence entre des vaccinés et des non-vaccinés).<br /> Vous aviez bien réalisé?<br /> Alors imaginez ce que deviendraient les revenus de ces médecins et pédiatres, qui vont pour l'heure offrir pendant toute une vie des solutions aux problèmes qu'ils ont eux-même créés de toutes<br /> pièces.<br /> Moins 12.6% pour les généralistes, moins 33% pour les pédiatres?<br /> Mais c'est une plaisanterie! c'est la misère qui attend les uns comme les autres.<br /> Ne vous étonnez donc pas que ni les uns ni les autres n'aient envie de creuser la question...<br /> En ce qui concerne les morts subites du nourrisson, il faut rappeler que ce sont les pays qui donnent le plus de doses vaccinales qui ont la mortalité infantile la plus élevée, ce qui est un<br /> comble!<br /> Le record est détenu par les américains (26 vaccins à l'époque de l'étude, et ça s'est aggravé depuis). Ils ont aussi le record de mortalité infantile avec 6.22/1.000.<br /> Suède et Japon, "seulement" 12 vaccins et 2.75 et 2.79/1000 respectivement.<br /> La France avec 19 doses enregistre 3.33/1.000.<br /> On peut y voir une proportionnalité qui a quelque chose de monstrueux, quand on y pense.<br /> Je vous donne un peu plus de détails sur cette étude américaine de 2011:<br /> 2/3 des enfants victimes de MSN avaient reçu le DTPolio (administré après deux mois).<br /> 6.5% de ces enfants sont décédés dans les 12 heures qui ont suivi.<br /> 13% dans les 24 heures.<br /> 26% dans les trois jours<br /> 37% une semaine plus tard<br /> 61% deux semaines plus tard<br /> et 70% trois semaines plus tard.<br /> Il est précisé que cette étude comporte des limites, mais cela donne tout de même à réfléchir.<br /> Références:<br /> http://het.sagepub.com/content/30/9/1420.full.pdf<br /> http://www.whale.to/vaccine/sids.html
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É
Mort suite à un arrêt cardiaque, oui, peut-être, mais un arrêt cardiaque n'est pas une cause "légale" de cause de décès, que je sache...<br /> Qu'est-ce qui a provoqué l'arrêt cardiaque ?<br /> Une dose de poison ?<br /> Une balle en plein cœur ?<br /> Une électrocution ?<br /> Une overdose de médicaments ?<br /> Une hydrocution ?<br /> ... ?<br /> Et qu'on ne vienne pas me dire qu'il s'agirait, par exemple, d'un arrêt cardiaque suite à une fibrillation, parce qu'alors, la question serait de savoir ce qui a provoqué la fibrillation...
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