C'est le journal le Monde des 14, 15 et 16 juillet qui s'en fait notamment l'écho: les vaccins vivants atténués massivement administrés aux volailles ont fait pire que bien et induisent ainsi jusqu'à 20% de mortalité dans les élevages!
Une étude, publiée le 13 juillet dernier dans la revue Science fait état de l'effet particulièrement pervers des vaccins à virus vivants atténués utilisés chez ces volailles (tout en sachant que d'autres vaccins à virus vivants atténués sont aussi utilisés chez l'Homme): la recombinaison des virus vaccinaux atténués avec d'autres pour former des virus bien plus corriaces et destructeurs encore.
Les volailles, qu'on vaccinait ainsi contre la laryngotrachéite infectieuse aviaire (sic!), une épizootie soumise à déclaration obligatoire et causée par un virus de l'herpès spécifique de l'espèce, IL-TV, sont à présent touchées par deux nouveaux "super virus" dont les séquences génétiques constituent en fait un "mix" de celles des trois virus vaccinaux utilisés (d'origine australienne et européenne), ce qui prouve donc bien que les souches vaccinales ont ainsi trouvé, via l'hôte vacciné, un terreau favorable pour se recombiner et donner lieu au pire.
Au lieu toutefois de comprendre qu'il est absurde de vacciner contre tout et de tirer ainsi de vraies leçons, il est probable que les changements de pratique vaccinale consisteront à recourir sous peu à un autre type de vaccin (tué ou inactivé mais plus à virus vivants atténués).
Pendant ce temps, de nombreux vaccins à virus vivants atténués continuent d'être massivement utilisés chez les humains (ROR, rougeole, oreillons, rubéole, fièvre jaune, varicelle, rotavirus, typhoïde etc) sans que personne ne s'interroge jamais sur les mêmes types de conséquences graves possibles en termes de facilitation de nouveaux virus émergents et possiblement épidémiques. Pourtant, plusieurs spécialistes, comme le Pr Delong, immunologiste et virologue américain (auteur du livre "Live Viral Vaccines, biological pollution), avaient déjà mis en garde et dénoncé cette introduction non nécessaire de virus infectieux dans des organismes sains au départ, et qui consiste en fait à faire des être vivants de véritables "réservoirs de virus latents", sortes de bombes à retardement en puissance... pour le plus grand Bien de tous, cela va sans dire!
On maltraite la nature, on agit en dépit du bon sens?.....
C'est simple: LA NATURE SE VENGE!