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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 13:15

Depute-Bill-POSEY.PNG

Enfin, un parlementaire a osé réclamer la vraie Science, celle qui consiste à comparer des vaccinés à des non vaccinés (0 vaccins), pouvait-on récemment lire sur plusieurs sites anglophones dont celui d'Health Impact News!!! C'est ainsi que le Congressman républicain Bill Posey a demandé au Dr Boyle du Centre de Contrôle des Maladies (CDC) s'ils avaient déjà effectué la moindre étude comparative entre enfants vaccinés et enfants non vaccinés. Et la réponse du Dr Boyle, qui fait littéralement froid dans le dos, est que NON, ils n'ont jamais procédé à pareille étude!! Cela signifie donc, en d'autres mots, que les autorités américaines (comme tous les autres autorités dans le monde) recommandent depuis des décennies de façon non scientifique et non éthique la vaccination aveugle des enfants avec des vaccins par définition expérimentaux!

 

On comprend donc mieux que les fausses assurances des autorités et autres pseudos experts, selon lesquelles les vaccins ne causent pas l'autisme, n'ont aucune valeur scientifique et ne reposent donc en définitive que sur du vent! La Vraie Science, souvenez-vous, ce n'est pas de ne pas mener les études de peur de ce qu'on pourrait trouver et qui pourrait être en défaveur de quelques intérêts partisans, c'est d'observer des faits et oser en tirer les conclusions dans l'intérêt de la société toute entière!

 

Bien sûr, comme ces études et cette vraie Science effraient autant les industriels et les officiels que l'ail effrayerait un vampire, il leur fallait trouver un prétexte en or pour repousser pareille perspective et c'est ainsi qu'ils invoquent.... l'éthique pour étayer leur pitoyable frilosité! Ils prétendent en effet qu'il ne serait soi-disant "pas éthique" de comparer des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin, ce qui revient donc à considérer à priori et de façon purement dogmatique/idéologique, que les vaccins font forcément plus de bien que de tort. Ces gens admettent donc implicitement, sans même sans s'en rendre compte, qu'ils se situent et veulent se maintenir hors du champ de la VRAIE Science.

 

Ce parlementaire américain a donc eu le bon sens d'introduire une proposition de loi imposant au Ministère de la Santé la responsabilité incontournable de mener de telles études réellement comparatives, dans le but d'étudier notamment la prévalence de l'autisme mais aussi d'autres paramètres et d'autres maladies dans les deux types de groupes (vaccinés et non vaccinés).

 

Loi sur l’étude de la sécurité des vaccins : H.R. 1757

 

Visant à encourager le Secrétaire des Services de Santé et Humains à organiser et à soutenir une vaste étude qui comparerait les résultats globaux de santé, y compris le risque d’autisme dans les populations vaccinées des Etats-Unis avec des populations non vaccinées, comme à d’autres fins.

 

Populations ciblées – Le Secrétaire devra chercher à inclure dans l’étude visée au présent article les populations qui traditionnellement sont restées non vaccinées pour des raisons religieuses ou autres. Ces populations comprennent l’ancien Ordre des Amish et des membres de pratiques cliniques.

 

(Telles que la pratique « Home-first » à Chicago) qui choisissent des pratiques médicales alternatives, les adeptes des modes de vie anthroposophiques et d’autres qui ont choisi de ne pas se faire vacciner.

 

Quand on voit ce qui se passe aux USA, ou même en France, dans une moindre mesure avec l'aluminium vaccinal, on se dit que les parlementaires belges sont décidément bien médiocres...

 

Député Bill Posey

Le CDC américain est une institution qui fait malheureusement "la pluie et le beau temps" partout dans le monde en matière d'épidémiologie, de vaccination etc.

 

Dr-Mayer-Eisenstein.JPG

Le Dr Mayer Eisenstein, médecin dans la communauté Homefirst à Chicago, a eu l'occasion de suivre plus de 30 000 enfants et il n'a pas le souvenir d'avoir vu le moindre cas d'autisme chez les enfants non vaccinés qu'il a accouchés et suivis. Pour lui, il est donc vraiment nécessaire et légitime qu'une telle proposition de loi puisse aboutir, et c'est pourquoi il apporte tout son soutien et tous ses encouragements au député Bill Posey.

 

logo-grande-cause2012_v2-1-.jpgEn France, il y a plus de 600 000 cas d'autisme dont une majorité de cas d'autisme régressif, c'est à dire la forme d'autisme qui se manifeste après une période de développement tout à fait normale de l'enfant. Combien de ces plus de 600 000 autistes doivent la destruction de leur vie et de leur avenir aux vaccins que leurs parents leur ont fait faire par ignorance, en croyant bien faire, avec la bénédiction des médias, des médecins et des politiciens?

 

Que la vaccination ait un impact épidémiologique sur la fréquence de la rougeole n'est pas ce qui est contesté ici. Mais un des tout gros problèmes en matière de sécurité vaccinale, c'est que les défenseurs des vaccins à tout crin mélangent volontairement tout, donnant ainsi aveuglément la priorité à leur peur panique de la maladie contre laquelle on vaccine (rougeole par ex.) sur le ratio bénéfices/risques GLOBAL des vaccins. C'est ainsi qu'ils ne parlent jamais que des cas de rougeoles évités. Mais à cela, on peut répondre d'une part que tous les cas de rougeoles évités n'auraient certainement pas, loin s'en faut, donné lieu à des complications graves, et d'autre part qu'il faut chercher et additionner tous les cas de complications graves occasionnés par la vaccination, aussi nombreux et variés soient-ils. Et c'est précisément cela que les défenseurs aveugles des vaccins se refusent à faire, refusant de prendre ainsi en compte la sous-estimation constante des effets secondaires des vaccins, tant en fréquence, qu'en gravité et qu'en variété. Cette irresponsabilité s'avère extrêmement lourde de conséquences et ne profite donc en définitive qu'aux seules pharmas qui pourront bientôt repasser à la caisse avec un futur vaccin... contre l'autisme (!) sur lequel plusieurs scientistes sont déjà en train de plancher... quel horrible cercle vicieux absurde (mais si lucratif!)!

 

Cet article, d'une importance capitale, a aussi été publié sur Agoravox.

 

Voir aussi l'article "La sécurité des vaccins pose vraiment problème: les officiels le savent."

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commentaires

R
Comme pour Ben Goldacre, vous choisissez ce qui vous convient. D'une part, vous conspuez continuellement contre la classe politique et les scientifiques tout en jouant avec le sophisme de l'appel à<br /> la terreur. D'autre part, vous sélection les quelques articles, citations de scientifiques ou de politiques qui vont dans votre sens. Vous faites fi de la notion de consensus et des nombreuses<br /> réussites de la vaccination par le passé.<br /> <br /> Vous mettez tellement de hargne à discréditer tout ce qui montre l'intéret et l'efficacité de la vaccination qu'il serait juste de dire que vous pensez avec votre coeur plutot qu'avec votre tete.<br /> Le coeur a ses raisons que la raison ignore.
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R
INSERM : http://www.inserm.fr/thematiques/neurosciences-sciences-cognitives-neurologie-psychiatrie/dossiers-d-information/autisme#topPage<br /> <br /> <br /> "Une origine multifactorielle, largement génétique<br /> <br /> Il est désormais bien établi que l’autisme et les autres TED sont des maladies dont l’origine est multifactorielle, avec une forte implication de facteurs génétiques. Etre un garçon et présenter<br /> des antécédents familiaux sont deux facteurs de risque reconnus. Les TED sont en effet quatre fois plus fréquents chez les garçons que chez les filles. Et dans une fratrie où il existe déjà un<br /> enfant atteint, on estime que le risque de développer un autisme pour un nouvel enfant serait de 4 % si l’enfant déjà atteint est un garçon, de 7 % si c’est une fille.<br /> <br /> Les données actuellement disponibles montrent que les maladies cœliaques secondaires à une intolérance au gluten, la vaccination combinée contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) ou<br /> encore les caractéristiques psychologiques des parents ne sont pas des facteurs de risque de TED."<br /> <br /> -------------------------------------------------------------<br /> <br /> Vous faites confiance aux politiques maintenant?? Pour rappel, nombre de politiques Américains sont climato-sceptiques et créationistes. Bref, pseudo-sciences (=Vraie Science) en plein.
Répondre
I
<br /> <br /> <br /> La recherche génétique en matière d'autisme a déjà englouti en pure perte des sommes considérables, c'est évidemment plus bien confortable et<br /> commode d'attribuer l'autisme à une seule susceptibilité génétique, mais le fait est qu'on a trouvé soi-disant tellement de "gènes responsables "qu'une telle hypothèse ne tient tout simplement<br /> pas la route et d'ailleurs, la hausse des cas d'autisme dans une telle proportion rend caduques les arguments d'une origine génétique décisive ou encore celle des seuls "meilleurs<br /> diagnostics"<br /> <br /> <br /> Qu'il y ait un terrain génétique, sans doute, mais même pour des maladies à composantes génétiques, les vrais généticiens s'accordent à reconnaître que les gènes ne jouent jamais plus que pour<br /> 30% environ dans la genèse de la maladie. Les facteurs environnementaux l'emportent toujours, à part pour une minorité de "maladies génétiques pures" pour lesquelles la seule présence d'un gène<br /> A ou B suffit à conditionner l'apparition de la maladie (ex: hémophilie, mucoviscidose, etc.)<br /> <br /> <br /> Le débat sur la responsabilité des vaccins (ROR ou autre), n'est absolument pas tranché au sein même du monde scientifique. L'INSERM dit cela, mais ce n'est pas parole d'évangile pour autant,<br /> le Dr Bernardine Healy (ex directrice du très connu National Institute of Health aux USA), a clairement expliqué que la question du lien entre autisme et vaccins n'était pas exclu sur base des<br /> études imparfaites à la méthodologie inadaptée sur lesquelles des instances style l'INSERM se basent!<br /> <br /> <br /> Notre site démontre à souhait le peu de confiance à accorder à la classe politique d'une façon générale. Cela n'empêche pas que nous puissions relever les rares bonnes initiatives des uns ou<br /> des autres. Ces critiques aberrantes visant à essayer de discréditer les uns ou les autres en leur collant des étiquettes, ne nous intéressent absolument pas. Vous parlez de Vraie science sans<br /> même voir visiblement le ba-BA de la Science qui est d'oser investiguer sans a priori et sans peur de ce qu'on pourrait trouver! Si vous êtes vraiment pour la Vraie Science, vous devriez<br /> apprécier à sa juste valeur  ceux qui exigent qu'elle s'applique enfin dans un secteur qui concerne tellement de monde à savoir 100% de la planète vu l'usage éhonté, aveugle et<br /> liberticide qui est fait des vaccins depuis autant d'années! Les vaccins sont un sujet concret, vos attaques visant à discréditer telle ou telle personne relèvent de la théorie. Nous ce<br /> qui nous intéresse, c'est la pratique, le contenu exact des initiatives et propositions faites par tel ou tel pour améliorer les choses et faire changer positivement la<br /> situation!<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
Y
Ce que vous écrivez au sujet des risques neurologiques des vaccinations est tout à fait juste. Il faut néanmoins être informé des conséquences neurologiques des infections virales. A mon époque,<br /> avant l'utilisation des vaccins, je voyais en service spécialisé plusieurs cas d'encéphalites,hebdomadaires pour des maladies dites bénignes (rougeole, rubéole, varicelle , etc..
Répondre
I
<br /> <br /> On retombe sur le problème de la sous-notification conséquente des effets secondaires de vaccins (seuls 1 à 10% des effets graves étant comptabilisés!) et de l'absence d'évaluation<br /> scientifique du rapport bénéfices/risques des vaccins compte tenu de l'absence d'études de vaccinés vs gens absolument non vaccinés (biais).<br /> <br /> <br /> Dans quel service de quel hôpital étiez-vous? Où sont les chiffres et les données statistiques que vous évoquez? Ces chiffres ne collent absolument pas avec ce qui figure dans le Bulletin et<br /> Mémoires de la société médicale des hôpitaux de Paris en 1934, époque où les rougeoles étaient pourtant plus fréquentes qu'aujourd'hui et où le vaccin n'existait pas:<br /> <br /> <br /> Michel Georget introduit le sujet en disant "L'argument utilisé pour provoquer la peur des mères a été la survenue possible de deux complications graves liées à la rougeole: l'encéphalite<br /> morbilleuse et la PESS (panencéphalite subaigue sclérosante), qui d'ailleurs peuvent se produire aussi après la vaccination. Or en 1934, année où la rougeole tuait encore 1349 malades, on pouvait<br /> lire "sur plusieurs centaines de rougeoles que, depuis deux ans, nous avons suivies à l'hôpital Claude Bernard, tant chez les enfants que chez les adultes, il ne nous a été donné d'observer qu'un<br /> seul cas d'encéphalite morbilleuse."<br /> <br /> <br /> [Or si ces cas avaient été hospitalisés, c'est qu'ils étaient pourtant déjà "plus sérieux que tous les autres"!]<br /> <br /> <br /> En 1983, année du déclenchement de la campagne de vaccination anti-rougeoleuse, il avait été enregistré 11 encéphalites post-rougeoleuses et 12 P.E.S.S<br /> <br /> <br /> Où était donc l'impérieuse nécessité et l'urgence d'organiser ces campagnes massives de vaccination d'autant plus que le Pr Bastin faisait remarquer plusieurs années auparavant : "Il est<br /> évident qu'une vaccination générale fait courir le risque de rougeoles d'adulte et de rougeoles du nouveau-né plus graves. Cette vaccination ne doit pas être systématique."<br /> <br /> <br /> En 1976, on pouvait lire dans le Concours Médical (revue qui n'est PAS anti-vaccins) que: "la rougeole, une des maladies dites bénignes de l'enfance, mérite pleinement cette appellation en<br /> France." L'année suivante, le Pr Bastin confirmait ces propos en ces termes: "Il serait difficile de vacciner systématiquement chez nous où la maladie est bénigne puisque sur 100 rougeoleux<br /> hospitalisés [donc des cas choisis pour leur sévérité], la mortalité est de 0,17."<br /> <br /> <br /> Par conséquent, vos propos ne tiennent absolument pas la route, et c'est tout simplement impossible que vous voyez à une telle fréquence et dans un même service des complications aussi<br /> graves de ces maladies que vous décrivez. La seule possibilité restante est que ces cas survenaient chez des individus vaccinés bien que vous les avez attribuées aux maladies naturelles (et pas<br /> aux vaccins reçus!) A ce propos, il y a aussi les effets épidémiologiques pervers occasionnés par les politiques vaccinales de masse avec déplacement de l'âge de survenue de la maladie vers les<br /> extrêmes (nourrissons, adultes) où les cas sont plus graves.<br /> <br /> <br /> <br />

                    

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