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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 23:00

Nous disons déjà depuis longtemps que la bulle vaccinale explosera, tôt ou tard. C'est une certitude. Mais voici qu'un passage paru dans la revue médicale "Le Généraliste" du 13 avril dernier vient encore très fortement corroborer le bienfondé et la pertinence d'une telle conviction. Une revue qui titrait d'ailleurs de façon assez révélatrice "Politique vaccinale: faut-il tout changer?"

 

Extrait en question:

 

Jusqu'où aller dans les co-administrations et vaccins combinés?

     

Certains parents estiment qu'administrer à un enfant quatre à six vaccins, combinés dans une même seringue, est énorme. "Toutefois, cette stimulation immunitaire ne représente pas grand chose pour les enfants de 0 à 2 ans, qui sont tous les jours exposés à de nouveaux antigènes (bactéries, virus, allergènes), et dont le système immunitaire ne cesse d'être stimulé.", explique Pierre Bégué. Aujourd'hui, parmi les vaccins combinés disponibles en France, on peut injecter un maximum de 6 valences dans une même seringue (Infanrix Hexa). "Un laboratoire travaille à un vaccin à 7 valences, en ajoutant à cette formulation le méningocoque C", avance Daniel Floret. Mais on ne devrait guère aller plus loin. En ce qui concerne les co-administrations, on a l'habitude de considérer en France que deux injections lors de la même séance est un maximum. "Une limite psychologique et non immunologique" avance Daniel Floret. En revanche, aux Etats-Unis, où bon nombre de vaccins combinés n'ont pas été autorisés, les enfants peuvent avoir cinq injections lors d'une même consultation!

 

Commentaires d'Initiative Citoyenne:

 

- Il n'y a pas que des parents qui estiment que cela est énorme mais aussi des médecins. Ainsi, dans l'article du Vif du 14 novembre 2008, un pédiatre s'exprimait anonymement pour dire qu'"administrer 6 vaccins en un dès l'âge de 2 mois, c'est une folie!" (p 5)

 

Par ailleurs, dans un document de l'INPES, il est aussi très clairement évoqué: "Si l’adhésion de la population à la vaccination reste globalement bonne, plusieurs témoins indiquent que s’installe depuis une dizaine d’années, à bas bruit, un questionnement autour de la politique vaccinale, peut-être plus du côté des médecins que de la population. Pour certains auteurs, une diminution de la confiance dans la vaccination contre l’hépatite B parmi les médecins et la population aurait pu fragiliser les certitudes vis-à-vis de la vaccination en général et de certains vaccins en particulier. Pour ces auteurs, le malaise tiendrait également des différentes crises de sécurité sanitaire, des changements fréquents dans le calendrier vaccinal ainsi que du nombre important de vaccins à administrer aux nourrissons." (cfr p. 12)

 

- L'affirmation du Pr Bégué est par ailleurs tout à fait fallacieuse en ce sens qu'il oublie volontairement de rappeler (?) que le corps humain ne contracte jamais autant de maladies à la fois mais aussi, que les nombreux antigènes auxquels l'enfant est quotidiennement confronté (bactéries, virus, allergènes) ne pénètrent pas du tout le corps de la même façon anti-physiologique que la vaccination mais en suivant au contraire les voies d'entrée immunologiquement prévues pour ce faire à savoir la peau et les muqueuses respiratoires, digestives etc. Ce qui bien sûr, change tout quant aux effets secondaires possibles dus à une telle différence. Mais il faut dire que Pierre Bégué est ce même médecin, membre de l'Académie de Médecine, qui disait déjà il y a quelques années, qu'il était irresponsable d'inquiéter les gens sans preuves au sujet des risques de l'aluminium, un adjuvant qu'il considérait alors comme très sûr!

 

- L'aveu du Pr Floret (président du Comité technique des Vaccinations) sur l'élaboration en cours d'un vaccin encore plus combiné -heptavalent en lieu et place de l'actuel hexavalent- confirme par ailleurs totalement nos précédents propos, lorsque nous expliquions la nécessité commerciale impérative que représentent les vaccins combinés dans un contexte où il va falloir "trouver de la place" aux nombreux vaccins prêts à sortir du pipeline pharmaceutique, au sein d'un calendrier vaccinal déjà hyper chargé. L'adjonction du très superflu vaccin contre le méningocoque à l'actuel cocktail hexavalent a donc pour unique but de "libérer un créneau" pour préparer l'introduction d'une Xième nouvelle vaccination qu'on présentera bien sûr d'emblée comme "un progrès scientifique" de plus.

 

Bien sûr, la tentation serait grande de développer progressivement des vaccins à 20, 30 ou 50 valences mais cela finirait par faire réfléchir trop de gens et les officiels comme les fabricants le savent pertinemment. Ils savent que cela reviendrait in fine à "lâcher la proie pour l'ombre" et qu'à ce petit jeu, même les plus naïfs de nos compatriotes finiraient par s'interroger sur l'inflation vaccinale démentielle et son lien avec la détérioration indéniable de l'état de santé de nos enfants. La seule optique qui sera alors commercialement envisageable ne sera autre que celle consistant, ça et là, à supprimer progressivement des valences de ces actuels cocktails hexavalents pour y glisser à la place de nouvelles, alors prétendument plus en phase avec la situation épidémiologique du moment.

 

En fait, on se rend compte que les vaccins combinés ont jusqu'ici retardé l'éclatement de la bulle vaccinale, ils ont permis de gagner du temps et d'éviter qu'un pourcentage trop critique de gens ne décrètent un "holà" plus tôt à pareilles recommandations sanitaires irrationnelles.

 

- On remarquera que la phrase du Pr Floret, selon qui deux injections par consultation constituent une "limite psychologique et non immunologique", est purement gratuite et ne repose sur AUCUNE évaluation scientifique rigoureuse, dès lors que, comme expliqué ci-dessus, les antigènes avec lesquels les enfants sont quotidiennement en contact ne pénètrent pas l'organisme par les mêmes voies immunologiques et dès lors aussi qu'aucun essai clinique officiel de vaccin ne compare jamais les enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin (c'est bien le problème des faux groupes placebos déjà expliqué sur ce site). Les rares évaluations indépendantes démontrent toutes de façon convergente que d'une part, les enfants non vaccinés sont en meilleure santé et ont une meilleure immunité que les enfants vaccinés et d'autre part, que les vaccins combinés sont reliés à plus d'effets secondaires inquiétants que les monovaccins (plus grand phénomène inflammatoire, plus d'hémorragies cérébrales chez les prématurés vaccinés avec des vaccins combinés par rapport aux monovaccins, etc)

 

- La question de la non autorisation de beaucoup de vaccins combinés aux Etats-Unis, devrait également être de nature à nous interpeller ici en Europe où ces vaccins sont présentés comme "une chance" ou "un moyen d'un meilleur confort de l'enfant". Il faut dire que le retrait du vaccin hexavalent Hexavac pour un faux motif par l'Agence européenne du médicament, alors qu'il était lié (tout comme l'Infanrix Hexa, encore sur le marché) à des cas mortels d'oedèmes cérébraux du nourrisson, n'a pas de quoi rassurer.

 

Mais lorsque ce genre d'aveux, pourtant diffusés dans une revue professionnelle de médecins n'interpellent plus sur le maintien d'autorisations de ces vaccins combinés dans nos pays, pas plus d'ailleurs que l'aberration d'aller administrer 5 injections différentes par consultation à un tout jeune nourrisson dont le corps est pourtant fait pour fonctionner de lui-même, on se rend compte que nous sommes en réalité tombés bien bas avec des médecins qui ne méritent tout simplement plus notre confiance aveugle.

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