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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 19:53

1 - Rien que du porc immuno-castré dans l’assiette

 

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130502_00304672

 

Mise à jour : jeudi 02 mai 2013 06h00

 

porcs.jpg

 

La castration chirurgicale des porcelets interdite en 2018? Un pas a été franchi et certains s’inquiètent de l’alternative : la castration par vaccin.

 

Le porc castré chimiquement est présenté comme la panacée. Pas pour tous.

 

Les défenseurs de la cause du bien-être animal présentent la chose comme une victoire, tandis que les adeptes du principe de précaution s’inquiètent des risques pour la santé humaine. Le consommateur, lui, risque de ne guère avoir le choix : en 2018 il ne trouvera peut-être plus à mettre dans son assiette que du porc castré par vaccination.

 

C’est en tout cas ce que craint une série d’associations agricoles – singulièrement celles engagées dans l’élevage de porcs. C’est-à-dire l’association wallonne des éleveurs de porcs (AWEP), la coopérative Coprosain, Porcs Qualité Ardenne et Filière porc du Pays de Herve mais aussi la fédération unie de groupements d’éleveurs et d’agriculteurs (FUGEA) qui dénoncent un protocole d’accord qui organise de fait pour 2018 l’interdiction de la castration chirurgicale des porcelets. Ouvrant ainsi une voie royale à l’immuno-castration (voir encadré).

 

Ce protocole d’accord «qui vise à bannir complètement la castration chirurgicale des verrats en 2018» vient d’être signé par plusieurs associations qui détiennent dans les faits la quasi-totalité des circuits de commercialisation de la viande porcine. Il s’agit de l’APFACA (aliments pour animaux), FEVIA (industrie alimentaire), FEBEV (abattoirs et ateliers de découpe), FENAVIAN (transformation de viande) et COMEOS (grande distribution) qui « considèrent que l’élevage des verrats castrés d’une façon non-chirurgicale est économiquement acceptable», s’engagent à encourager «activement l’élevage des verrats castrés d’une façon non-chirurgicale» et «banniront la castration chirurgicale en 2018».

 

Pour les cinq associations qui protestent contre cette décision (qui pourrait ouvrir la voie à une loi interdisant la castration chirurgicale) outre le risque potentiel pour la santé humaine, une telle mesure ne profitera qu’à l’industrie pharmaceutique et coûtera cher aux éleveurs (donc aux consommateurs).

 

« Les deux injections du vaccin, c’est entre 3 et 4 € par tête, dit Patrick Siraux, président de l’AWEP. Si on nous l’impose, il faudra bien le faire. Mais on préférerait l’anesthésie ou les analgésiques, méthodes qui ne coûtent que quelques cents

 

À la FUGEA, on préconise une méthode plus naturelle encore. Celle du mâle entier. Non castré donc. «De récentes études montrent d’ailleurs que seulement 5 % de ces porcs ont une odeur à la cuisson», note Gwenaëlle Martin, conseillère en politiques agricoles. Précisant que ces viandes sont facilement détectables dès l’abattoir et peuvent alors être orientées vers les salaisons (l’odeur disparaît avec ces produits) et que des techniques d’élevage (alimentation, espace de vie,…) peuvent aussi réduire les risques d’odeur de verrat. Et sont, elles, sans équivoque sur de potentielles conséquences pour la santé humaine.

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2 - Mesures de protection qui interpellent

 

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130502_00304670

 

Mise à jour : jeudi 02 mai 2013 06h00

 

Ce vaccin d’immuno-castration est-il sans danger pour l’homme ? Les autorités sanitaires européennes qui ont donné leur accord pour son utilisation et a fortiori Pfizer qui développe ce vaccin estiment que c’est le cas en ce qui concerne le fait de manger du porc qui a été castré de la sorte.

 

Les détracteurs de cette méthode estiment, eux, que le recul est insuffisant.

 

Même si le propos concerne les risques par injection (et non en mangeant le porc ainsi castré), les mises en garde du Centre belge d’information pharmocthérapeutique vétérinaire (CBIP Vet), qui «assure une information indépendante relative aux médicaments» ne rassureront pas les plus sceptiques.

 

Dans ses mises en garde, le CBIP Vet indique qu’une injection chez l’humain peut provoquer une diminution temporaire des hormones sexuelles et des fonctions reproductives, aussi bien chez les hommes que chez les femmes, ainsi que des effets indésirables sur la grossesse. «Le produit doit donc être administré avec la plus grande prudence […]. Le produit ne doit pas être manipulé ni administré par des femmes enceintes ou susceptibles de l’être. En cas de contact avec les yeux ou la peau ou en cas d’(auto-) injection, rincer immédiatement et abondamment à l’eau. En cas d’(auto-) injection, consulter un médecin. On conseille aux personnes ayant été victimes d’une (auto-) injection de ne plus manipuler ce produit ou des produits similaires dans le futur.»

 

A.W.

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3 - « Les éleveurs ne mangent plus que les femelles »

 

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130502_00304869

 

Mise à jour : jeudi 02 mai 2013 06h00

 

porc-mange.jpg

 

La castration chimique : pas sans risque pour la santé de l’animal. Et quid de la viande produite ?

 

Reporters/Mainstream_data

 

Patrick Siraux le dit sans détour : «Les éleveurs qui pratiquent la castration par vaccin, quand ils tuent un porc pour leur consommation personnelle, ils choisissent toujours une femelle

 

Farouchement opposé à l’immuno-castration, le président de l’AWEP (association wallonne des éleveurs de porcs) estime que le recul est insuffisant pour juger des effets sur l’homme. Sans compter les risques que prennent les éleveurs lorsqu’ils doivent faire les injections aux cochons. « Je connais même des vétérinaires qui refusent de le faire car ils craignent pour leur santé en manipulant le produit. » (voir aussi ci-contre).

 

Et en matière de bien-être animal est-ce mieux?, interroge Patrick Siraux qui est aussi éleveur. «Castrer un porcelet de 10 jours ou faire une injection à des porcs de 30 kg, puis de 80 ou 90 kg lors du rappel, ce n’est pas sans risque. Ils sont plus stressés, ils se débattent et les risques de blessures comme des fractures sont grands

 

Patrick Siraux admet évidemment que la castration chirurgicale n’est pas sans douleur non plus pour l’animal. Mais l’utilisation d’un gaz pour l’étourdir (technique utilisée aux Pays-Bas), l’anesthésie locale ou l’utilisation d’analgésiques sont des alternatives efficaces.

 

A.W.

 

Non seulement les gens sont victimes de l’empoisonnement vaccinal tout au long de leur vie, mais en plus, ils seront aussi désormais empoisonnés avec la « viande vaccinée » qui leur sera imposée ! Initiative Citoyenne tient ici à dénoncer ce nouveau diktat qui risque d’être imposé aux consommateurs sans leur avis… payer plus cher une viande de porc qui sera plus toxique, est-ce là un bon calcul ?

 

Wikipedia indique également au sujet de ce vaccin de Pfizer, l'Improvac, que « Malgré un lobbying très actif, ce vaccin ne fait pas l'unanimité. Ainsi en Grande Bretagne, l'Assured Food Standards (AFS) Agency a jusqu'ici refusé l'utilisation de ce vaccin et certains éleveurs demandent plus d'assurances quant à la totale innocuité du vaccin pour les consommateurs. En France, l’inter-profession se pose la question de l'acceptabilité d'un tel procédé pour les consommateurs, étant donné le risque de confusion dans l'opinion publique entre cette vaccination et un traitement hormonal (avec en arrière-plan la mémoire collective des scandales du "poulet aux hormones"). Elle évoque aussi le risque d'auto-injection pour l'opérateur. La Commission européenne a délivré une autorisation de mise sur le marché valable dans toute l’Union européenne pour Improvac à Pfizer Limited, le 11 mai 2009. L'Improvac contient un conservateur mercuriel, le thiomersal. »

 

Par ailleurs, Initiative Citoyenne déplore cette sorte de fatalisme chez les éleveurs qui décrètent déjà d’emblée que « si on leur impose, ils devront bien le faire » !

 

NON, il faut rompre avec cette mentalité de perdant en tablant toujours sur notre impuissance. Il faut se relever et OSER reprendre le pouvoir de citoyens qui est le nôtre.  Si le consommateur refuse ou boycotte, c’est LUI qui gagne toujours à la fin, il ne faudrait toutefois pas l’oublier! Que ceux qui consomment de la viande porcine se joignent à ces éleveurs et à ces associations protestataires, qu’ils fassent entendre leur désaccord aux médias et au monde politique (en dessous de tout) !

 

Voir AUSSI la contribution d'Initiative Citoyenne sur le sujet dans La Lettre Paysanne de Juin 2013 (en page 20)

 

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commentaires

D
J'ai commis une imprécision: les études des années 70 que j'ai citées dans le n°3 portaient sur l'inhibition de l'hormone de la grossesse (HCG) alors que l'Improvac est l'analogue d'une hormone<br /> hypothalamique, la GnRH (gonadotropin releasing hormone).<br /> Le principe en est le même: il consiste à susciter la production d'anticorps dirigés contre la fonction reproductrice. Et il y a dans les deux cas couplage avec un vaccin (tétanique ou<br /> diphtérique).<br /> Dans ce document, vous verrez la somme des précautions à prendre par ceux qui manipuleront ce vaccin...<br /> http://www.ema.europa.eu/docs/fr_FR/document_library/EPAR_-_Product_Information/veterinary/000136/WC500064060.pdf<br /> Les anticorps ainsi produits peuvent-ils se retrouver dans la viande de porc, et quelle sera leur action une fois ingérés? C'est une question qui mérite d'être étudiée, je pense.<br /> Normalement, les anticorps devraient être détruits par la cuisson, mais vu la gravité du sujet, et ses conséquences possibles, on aimerait des études indépendantes, quand on sait que le porc est<br /> génétiquement très proche de l'homme (on l'avait remarqué...).
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D
J'ai trouvé ce texte édifiant: vous verrez une fois encore le rôle dela fondation Rockefeller dans l'élaboration de ce produit eugéniste. Il est cocasse de constater uqe cette cochonnerie a été<br /> étudiée sur les femmes avant de l'être sur les cochons...<br /> 3) Les vaccins anti-fertilité<br /> Comme le stipule Jurrian Maessen, l’OMS, un des associés de GAVI, s’est mise en partenariat avec la banque mondiale, et le fond de la population de l’ONU dans les années 1970 sous le vocable de «<br /> Bureau d’études spéciales sur les vaccins et la régulation de la fertilité ». Ce bureau spécial « … agit comme un corps de coordination global pour les vaccins sur l’anti-fertilité, la recherche et<br /> le développement dans les différents groupes et support de la recherche sur les différentes approches possibles, tels que les vaccins anti-spermatozoides, anti-ovules et autres vaccins chargés de<br /> neutraliser les fonctions biologiques de l’hormone hCG. Le bureau d’étude a développé de maniere satisfaisante un prototype de vaccin anti-hCG. »<br /> <br /> En 1989, une recherche fut effectuée a l’Institut National d’Immunologie de New Delhi en Inde sur l’utilisation de « porteurs » tels le tétanos et la diphtérie qui contourneraient le système<br /> immunitaire et délivreraient l’hormone femelle appelée la gonadotrophine chronique humaine (GCh ou hCG en anglais). L’article scientifique fut édité par Oxford University Press en 1990 et intitulé:<br /> « Bypass by an alternate ‘carrier’ of acquired unresponsiveness to hCG upon repeated immunization with tetanus-conjugated vaccine. » La fondation Rockefeller est enregistrée dans le document comme<br /> étant un des financiers de la recherche.<br /> <br /> En injectant l’hormone hCG avec le vaccin du tétanos, qui agit comme un porteur, le corps traite l’hormone comme un envahisseur et crée des anticorps contre celle-ci. Ceci a pour effet de<br /> stériliser les femmes qui reçoivent le vaccin et dans nombre de cas, provoque des fausses-couches pendant les grossesses.<br /> <br /> Peu apres le développement de ces vaccins, des vaccins anti-tétaniques contenant l’hormone hCG furent envoyés dans de multiples pays du tiers monde. La plupart de ces pays étaient des cibles<br /> annoncées de la sorte dans le Mémorandum pour la sécurité nationale NSS200 du département d’Etat américain en 1974, document qui faisait de la réduction de la population mondiale une priorité<br /> absolue du département d’état.<br /> <br /> <br /> 4) Pour finir<br /> L’élite globaliste a déclenché une opération mondiale contre la population ignorante de la situation afin de réduire et de contrôler la fertilité. Les vaccins et les aliments de base ont été<br /> modifiés afin de parvenir à ce but.<br /> <br /> Si vous ne pouvez toujours pas imaginer qu’une telle chose est possible, ou même qu’il existe des êtres humains qui ont la volonté et la capacité de le faire, il suffit d’observer l’histoire. Ce<br /> genre de conspiration n’est pas nouvelle, de fait, ce type de contrôle fût idéalisé par Platon il y a quelques 2 300 ans, dans son oeuvre gigantesque « La République ». Platon écrivit que l’élite<br /> gouvernante se doit de guider la société, « … dont le but sera de préserver la population moyenne. » Il déclara plus avant » qu’il y aura un certains nombre de choses qu’ils devront considérer,<br /> tels les effets de la guerre et des maladies et les choses de ce type, afin de prévenir aussi loin que possible que l’Etat ne devienne trop important ou trop petit. »<br /> <br /> Les activités de l’élite dirigeante en contrôlant les populations, doivent rester secretes, écrivit Platon: « Ces procédures doivent rester un secret que seuls les dirigeants partagent, ou il y<br /> aura un danger de plus avec notre troupeau… la révolte. »<br /> <br /> Observer les événements historiques nous révèlent qu’il n’y a rien de vraiment nouveau sous le soleil. Ce qui a été fait, sera fait de nouveau, et l’élite globale du XXIème siècle a des outils<br /> technologiques très avancés a sa disposition.
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D
Le boycott est la voie de la raison: je pense qu'il surviendra automatiquement à la mise en vente des premiers porcs vaccinés: après tout, il y a d'autres viandes sur le marché.<br /> Que ces apprentis-sorciers se méfient: il pourrait bien y avoir d'un coup non seulement un rejet massif du porc, mais aussi un rejet total de toute consommation de viande, ce qui ne serait pas une<br /> grosse perte pour la santé humaine, bien au contraire, vu la façon dont elle est traitée et produite (n'oublions pas le veau aux hormones que l'Amérique tente toujours de nous imposer)..<br /> Quand à l'obligation vaccinale généralisée qui se profile, comme l'indiquent les articles précédents, je pense qu'elle ne fera que grossir les rangs des associations pour la liberté vaccinale, et<br /> leur donnera ce surcroît de puissance qui leur manque encore, bien que leur audience soit en progression constante.<br /> Il faudra bien que ces petits messieurs de la finance comprennent un jour qui est le patron.<br /> Et ce patron, c'est nous, les citoyens et les consommateurs.<br /> Je suis convaincu que l'accumulation de toutes ces arrogantes provocations finiront par réveiller les peuples, et les faire descendre dans la rue.<br /> Entre une révolution et les vaccins, il faudra un jour choisir.
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I
<br /> <br /> En effet, analyse très réaliste que la vôtre!<br /> <br /> <br /> A ce propos, il faut rajouter, comme nous venons de l'apprendre que l'Improvac de Pfizer pour l'immuno-castration des porcs CONTIENT DU THIOMERSAL! Wikipedia a eu la bonne idée de le<br /> renseigner...<br /> <br /> <br /> <br />

                    

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