Ces décisions scandaleuses, soi-disant destinées à faire des économies et avalisées par des experts, révèlent en réalité que ces experts, suivis aveuglément par le monde politique, peuvent être redoutablement DANGEREUX. Etre expert de nos jours, c'est avant tout avoir la tête bien pleine plutôt que bien faite et il faut dire que les exemples ne manquent pas: le précédent du H1N1 et de la gabegie de vaccins l'ont hélas bien montré!
Les experts qui recommandent de durcir les conditions d’accès à l’oxygène appartiennent au même establishment médical inquestionnable que ceux qui affirment péremptoirement que les vaccins sont sûrs et qu’il faut vacciner tous azimuts !!
Le bon sens, on en a ou on n'en a pas, et il ne s'apprend hélas pas sur les bancs d'une quelconque faculté! Alors que les autorités ont acquis des vaccins H1N1 pour plus de 92 millions d'euros parce qu'il fallait, nous disait-on, protéger la population et éviter décès et complications, ici, on prive des malades fragiles d'un Oxygène vital et sans effets secondaires dans l'espoir d'épargner... 15 millions d'euros!! Le résultat?
Des gens qui peuvent en décéder ou avoir des séquelles graves, comme on le voit dans cette vidéo. La moralité, c'est que quand il s'agit de faire plaisir à Big Pharma, on dépense, on gaspille et on met ce gaspillage sur le compte de "la volonté de protéger la population" alors que quand il s'agit d'une dépense incontestablement bonne et indiscutable mais qui ne risque pas de gêner un grand laboratoire, là, on ne se gêne pas du tout pour sabrer dedans, au détriment de la qualité de vie des gens. Toutes ces personnes qui prennent des décisions aussi cyniques qu'irresponsables devraient être sévèrement sanctionnées par le peuple et pour le peuple car ces pseudos experts sont pourtant financés avec l'argent des contribuables. Les décisions de ces experts irresponsables que tout ministre, même non médecin, pourrait choisir d'ignorer, vont entraîner un surcoût inévitable pour la Sécurité sociale car des patients fragiles vont perdre en autonomie et en sécurité: des gens souvent difficiles à déplacer voire grabataires, et des gens immunologiquement plus vulnérables, sont ainsi obligés d'aller à l'hôpital où le risque d'infections nosocomiales n'est pas nul. Aller à l'hôpital et devoir y passer une nuit peut entraîner un stress énorme bien inutile pour ces gens déjà malades chroniques. Une question qui ne semble même pas effleurer ces experts ni ce monde politique sans doute trop préoccupés par des questions de pouvoir et d’argent.
Voir aussi l'article connexe intitulé: Chantage à l'air que nous respirons: ca va jusque là!