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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 14:44

« Un des grands problèmes soulevés (à cette conférence) est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un A.D.N. contaminant hétérogène, en particulier s’il  s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinés avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière. »

OMS, Rapport Technique  n°747 ; 1987

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L’Association Américaine S.A.N.E. VAX, Inc. vient, par lettre recommandée du 29 août 2011, de s’adresser à la FDA Américaine  pour lui demander de diligenter une enquête sur la contamination possible de lots du vaccin Gardasil. Il y a peu cette Association a soumis 13 (treize) flacons de vaccins Gardasil à un laboratoire indépendant pour analyse et vérification de la présence d’ADN. Les fioles de vaccins provenaient de Nouvelle-Zélande, d’Australie, d’Espagne, de Pologne, de France et de trois Etats Américains.

 

Alors que la notice du fabricant destinée au patient avait stipulé jusqu’en avril 2011 (date à laquelle cette ligne a subitement disparu des notices) qu’il n’existait pas d’ADN viral dans le vaccin, ce que précisait également l’Agence Européenne des Médicaments, les résultats de l’analyse de laboratoire ne semblent pas correspondre à ces affirmations : en effet, 100% des échantillons testés se sont avérés positifs pour la présence d’ADN d'HPV génétiquement modifié.

  trust us Gardasil-Merck

 

Le Dr Sin Hang Lee, célèbre pathologiste du laboratoire de pathologie de l’hôpital de Milford a pu vérifier que l’échantillon qui lui avait été remis s’est bien avéré positif pour les résidus d'HPV-11 et d'HPV-18 recombinants qui tous deux étaient fortement liés à l’adjuvant aluminium.

 

La mère d’une adolescente qui avait développé une arthrite rhumatoïde aiguë  dans les 24 heures qui avaient suivi sa dernière injection de Gardasil s’est adressée à un médecin qui a fait effectuer des tests de toxicité. Ces tests ont étrangement révélé la présence d’ADN d'HPV dans le sang de la jeune fille. L’importance de cette découverte réside dans le fait qu’il est très rare de trouver de l’ADN d'HPV dans le sang, vu qu’il ne peut s’y maintenir longtemps. Pourquoi alors a-t-on trouvé de l’ADN d'HPV dans le sang de la jeune fille deux ans après la vaccination ?

 

ADN recombinant versus ADN naturel

 

Selon le Dr Lee, « l’ADN naturel du HPV ne se maintient pas très longtemps dans le sang. Mais l’ADN d'HPV dans le Gardasil n’est pas de l’ADN « naturel » Il s’agit d’un ADN recombinant d'HPV (ADNr) – génétiquement modifié. L’ADNr est connu pour avoir un comportement différent de l’ADN naturel. Il peut pénétrer dans une cellule humaine et en particulier dans une lésion inflammatoire provoquée par les effets que peut engendrer l’adjuvant aluminium via des mécanismes encore peu connus.

 

Une fois qu’un segment d’ADN recombinant a pénétré dans une cellule humaine, les conséquences sont difficiles à prédire. L’ADN peut rester temporairement dans la cellule ou s’y maintenir pour toujours en provoquant ou non des mutations.Depuis que la technique de l’ADN recombinant a été inventée en 1973, les produits de cette technologie, les formes réplicables d’ADN, n’ont cessé  de soulever des inquiétudes en tant que danger pour l’environnement ou  en tant que substances toxiques possibles. Ainsi, l’ADNr est considéré comme un danger biologique potentiel.

 

Tous les ADN recombinants ou génétiquement modifiés sont considérés comme potentiellement dangereux s’ils sont injectés comme c’est le cas pour beaucoup d’autres vaccins par voie intramusculaire dans le corps.

 

Le Dr Lee a fermement déclaré : «  sur base de la littérature médicale et certaines publications de Merck et de la FDA , la présence d’ADN adventice (provenant d’une source extérieure) dans un vaccin injectable à base de protéines est susceptible d’augmenter le risque de maladies auto-immunes, ainsi que la mutation de gènes qui pourrait entraîner l’apparition de tumeurs malignes. »

 

SANEVax estime que la FDA et Merck se doivent de pratiquer la transparence et révéler aux consommateurs de soins de santé les impacts potentiels sur la santé que l’ADN contaminant HPV fait éventuellement courir aux enfants vaccinés du monde entier. Les taux élevés de maladies auto-immunes, les 380 rapports de frottis anormaux, les 137 rapports de dysplasie cervicale et les 41 rapports du cancer du col de l’utérus chez des jeunes filles vaccinées, y compris le carcinome in situ ou le cancer du col stade 0, le cancer du col stade 1 et stade III, autant d’éléments qui justifient une enquête immédiate et approfondie sur la sécurité et l’efficacité du Gardasil.

 

SANEVax se demande si la FDA et Merck n’ont pas fait preuve de négligence ou de fraude quand ils ont déclaré qu’il n’y avait pas d’ADN viral dans le vaccin Gardasil ?       

 

 Source: Sanevax                                                                          

   

Initiative Citoyenne rappelle que l’autre vaccin concurrent qui a été sélectionné par la Communauté Française pour la vaccination scolaire des jeunes filles, le Cervarix, est aussi un vaccin mis au point par génie génétique et que, par conséquent, celui-ci pourrait également contenir de l’ADN contaminant hétérogène avec tous les risques que cela comporte. Mais, en dépit de l’affirmation de Mme Laanan selon laquelle « Si des éléments nouveaux devaient amener à reconsidérer le rapport risques/bénéfices, il est évident que les recommandations et les décisions qui s’en suivront seraient prises en compte. » (Journal du Médecin, 5 sept .2011), il y a fort à parier qu’aucun élément neuf, aussi grave soit-il, ne sera jamais suffisant pour appliquer l’élémentaire principe de précaution puisque la Ministre a déjà signé les contrats pour une durée de 4 ans, et que rien ne dit que le contrat prévoit la moindre clause de résiliation dans un tel cas de figure (ce qui, pour rappel était déjà le cas dans le contrat avec GSK, signé par Mme Onkelinx à l’époque du H1N1.)

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