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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 22:10

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La presse nous présente la situation comme étant soit un dilemme entre les deux vaccins (l'ancienne version à germes entiers ou la version actuelle, de type acellulaire), soit un dilemme sur les groupes à vacciner, soit encore sur la fenêtre de temps dans laquelle vacciner. Nous devons choisir mais surtout, dans le cadre très étroit des vaccins à tout prix à l'exclusion de la moindre autre décision!

 

A aucun moment notez bien il n'est question de remettre en question cette véritable fuite en avant vaccinale consistant à vacciner toujours plus dans l'espoir de mieux masquer les échecs flagrants de cet acharnement vaccinal dont les conséquences négatives en termes de santé publique restent cependant lamentablement occultées ou à tout le moins, minimisées!

 

Faux dilemme entre les deux types de vaccins

 

Voici un extrait de ce qu'un site canadien publiait à ce sujet:

 

(Québec) D'après une étude parue dans le dernier numéro de la revue savante Pediatrics, le vaccin contre la coqueluche utilisé en Amérique du Nord depuis une quinzaine d'années protège presque six fois moins bien que l'ancien type de vaccin. Et comme ce dernier provoquait par ailleurs d'importants effets secondaires, cela place les autorités sanitaires devant un dilemme cornélien.

 

«On se trouve devant un choix douloureux, parce qu'il n'y a pas de solution idéale. Pour le moment, les comités scientifiques sur la vaccination n'ont pas tranché cette question-là, ni au Canada, ni aux États-Unis», dit le Dr Gaston De Serres, infectiologue à l'Institut national de santé publique du Québec.

 

La coqueluche est causée par une bactérie (Bordetella pertussis) qui infecte les voies respiratoires et provoque une toux violente pouvant durer deux mois. Jusqu'aux années 90, la plupart des pays du monde, dont le Québec et le Canada, immunisaient leurs populations avec des vaccins dits «entiers» - c'est-à-dire fabriqués à partir de bactéries entières, bien que mortes. Ces vaccins fonctionnaient très bien, mais avaient l'inconvénient de provoquer fréquemment des symptômes indésirables, comme une fièvre plus ou moins forte.

 

Il y a une quinzaine d'années, donc, tout ce beau monde a adopté un autre type de vaccin, dit acellulaire, ne contenant que des parties de bactéries, comme des protéines.

 

Or, plusieurs éclosions de coqueluche ont touché différentes parties du monde ces dernières années. Les épisodes les plus graves ont d'ailleurs frappé des parties du monde très dispersées, comme l'Australie (en 2011-2012), la Californie (2010-2011) et le Nouveau-Brunswick (2012).

 

Dans une étude publiée la semaine passée dans Pediatrics, une équipe du Kaiser Permanente Vaccine Study Center, à Oakland, a examiné l'éclosion californienne et comparé la fréquence de la maladie chez les enfants de 10 à 17 ans qui avaient reçu l'un ou l'autre des deux types de vaccin - car un certain nombre ont continué à recevoir l'ancien. Résultat: ceux qui ont reçu la version acellulaire ont 5,6 fois plus de chance d'attraper la coqueluche que ceux qui ont reçu l'«ancien» vaccin, fait à partir de bactéries entières.

 

Comme il s'agit d'un vaccin qui demande plusieurs rappels, les chercheurs ont aussi pu constater que ceux qui avaient reçu un mélange des deux types de vaccin tombaient entre les deux extrêmes (3,8 fois plus vulnérables à la maladie), ce qui démontre un effet de dose.

 

Hypothèses des doses défectueuses

 

D'après Dr De Serres, cela confirme la conclusion d'une autre étude, australienne celle-là et parue l'an dernier, et le fait que les mêmes résultats aient été obtenus à deux endroits aussi éloignés, dans des contextes que l'on devine assez différents, ajoute du «poids», pour ainsi dire, à l'hypothèse du vaccin plus ou moins défectueux.

 

Pourtant, le vaccin actuel a été testé et retesté, ce qui a permis d'établir qu'il protège bien contre la coqueluche, ayant une efficacité de 85 %. Mais ces mesures de l'efficacité ne concernent que le court terme, explique Dr De Serres, si bien qu'à plus long terme, la protection peut diminuer significativement. D'ailleurs, il a été démontré que l'incidence de la coqueluche varie selon l'âge des enfants, augmentant année après année après l'âge du dernier rappel, puis chutant lorsqu'une cohorte atteint l'âge d'un autre rappel.

 

Une étude récente, poursuit Dr De Serres, a montré un taux de protection de 98 % pour le vaccin acellulaire dans les 12 premiers mois suivant l'injection, taux qui chutait toutefois à 71 % après cinq ans. L'épidémiologiste souligne cependant qu'à l'heure actuelle, plusieurs études sur cette question demeurent contradictoires.

 

N'empêche que d'un point de vue de santé publique, les questions posées sont particulièrement épineuses. Doit-on garder le vaccin actuel, malgré ses défauts? Si oui, est-il réaliste de faire des rappels aux cinq ans pour tout le monde, même les adultes? Sinon, les effets secondaires effrayeront-ils une portion significative des gens à vacciner?

 

«Ce qui s'est passé depuis 2010 aux États-Unis, en Australie et au Nouveau-Brunswick soulève d'énormes questions», concède Dr De Serres.

 

Faux dilemme sur les groupes à vacciner

 

Alors qu'on a bassiné et harcelé des milliers de jeunes parents au nom de la fameuse stratégie "cocoon" pour prévenir les cas graves chez les nourrissons, on pouvait récemment lire dans la presse (il était temps!) que cette stratégie était "dépassée", quelque chose de ce style... Cela fait des mois qu'Initiative Citoyenne rappelait les résultats de l'étude de l'équipe du Pr De Serres qui mettait en lumière l'utopie irréaliste d'une efficacité de cette stratégie de vaccination cocoon, totalement inopérante dans nos pays, n'en déplaise à des témoignages de parents dont l'enfant est hélas décédé des conséquences de la coqueluche et qui s'imaginent évidemment que s'ils avaient été vaccinés, ils auraient forcément évité le décès de leur enfant!

 

Voici ce qu'on pouvait donc récemment lire dans Vers l'Avenir:

 

"Le Comité de conseils sur les pratiques de vaccination aux USA (ACIP) mais également son équivalent au Royaume-Uni invitent depuis peu, aux États-Unis, les praticiens à une vaccination systématique à chaque grossesse des femmes enceintes avec le vaccin «acellulaire» faiblement dosé («Boostrix»). Les études ont montré que cela était plus efficace en fin de grossesse, entre la 27e et la 36e semaine.

 

Tout comme le vaccin contre la grippe ou contre le tétanos, celui contre la coqueluche est bien toléré et ne provoque pas d’effets secondaires. Les anticorps passent très bien au fœtus qui est dès la naissance protégé contre la coqueluche et ne doit pas attendre sa première dose de vaccins à deux mois. «Cette vaccination doit être répétée à chaque grossesse, suivant les recommandations de l’ACIP, car les anticorps induits par une vaccination durant une grossesse ne perdurent pas et ne permettent donc pas de protéger un bébé qui naîtra d’une grossesse ultérieure», conclut le Dr Jean-Philippe Stalens."



Ces propos sont évidemment affligeants et reflètent un fameux esprit grégaire. Avec les vaccins en effet, nous sommes dans un système de dogmes et de croyance et non pas de Science. La croyance tout à fait non fondée en des vaccins considérés comme des "vaccins sauveurs" amène alors les fidèles à distiller des contre-vérités comme celles qui consistent par exemple à oser affirmer qu'il n'y a PAS d'effets secondaires pour les vaccins contre la grippe, contre le tétanos ou contre la coqueluche. Même les fabricants dans leurs notices n'oseraient pas écrire de telles aneries, c'est dire! Vous pouvez aussi par exemple voir ici et ici si des vaccins comme ceux contre la grippe ou le tétanos sont réellement sans risque...



Avec les vaccins, il faut également savoir que nous sommes dans un système où toutes les vraies fausses bonnes idées des experts américains (ACIP= comité américain des vaccinations) finissent le plus souvent par être suivies comme parole d'Evangile. Une des "idoles" des experts vaccinalistes européens n'est autre que le fameux Dr Paul Offit, détenteur de brevets sur les vaccins-rotavirus, qui avait osé prétendre qu'un enfant pouvait sans risque recevoir 10 000 vaccins en un jour. C'est d'ailleurs le même personnage qui milite à présent pour la levée du système d'exemptions religieuses ou philosophiques à la vaccination, pour la suppression du droit au consentement libre et éclairé et finalement pour la suppression tout court de la moindre possibilité de CHOIX.



Vacciner les femmes enceintes à chaque grossesse avec un vaccin comme le Boostrix qui contient du formaldéhyde cancérigène, de l'aluminium neurotoxique encore plus risqué pour le foetus dont le développement neurologique n'est pas achevé, ce n'est plus de la Science mais de l'idéologie. Avec une idéologie, il n'y a plus de place pour le bon sens ou encore pour le principe de précaution. Médicamenter les femmes enceintes est dangereux, l'exemple du distilbène ou celui de la thalidomide l'ont montré. Et encore, avec des médicaments classiques, il reste la possibilité de stopper la prise quand on suspecte un risque ou un effet secondaire, ce qui n'est absolument pas possible avec un vaccin qui est d'emblée irréversible une fois qu'il a été injecté.

 

Une fois encore, prétendre qu'il faut vacciner la femme enceinte pour mieux masquer l'échec cuisant de la vaccination cocoon, ne profite qu'aux fabricants, à fortiori s'il s'agit de revacciner à chaque grossesse. D'un groupe lucratif à un autre, pourvu qu'on sauve un marché de vaccins!

 

Faux dilemme du moment auquel vacciner

 

Voici ce qu'on pouvait récemment lire sur ce site belge:

 

Selon le Centre belge d'Information Pharmacothérapeutique (CBIP), «Une piste possible pourrait être de vacciner les femmes enceintes » (ceci est déjà recommandé au Royaume-Uni et aux Etats-Unis) et « une alternative serait d’anticiper la primovaccination en administrant une première dose directement après la naissance ». 


Toutefois, des données supplémentaires de suivi et d’efficacité sont nécessaires pour bien encadrer ces modifications.

  

La conclusion de tout ceci est que les pharmas se trouvent sur une « défensive commerciale » qui consiste à vouloir sauver des marchés;  cela supposant donc de compenser par une autre cible, toute cible éventuellement perdue.

 

Cependant, il s’agit d’un système ou le serpent se mordra tôt ou tard la queue jusqu’à s’engloutir lui-même puisqu’un accroissement de la vaccination, à fortiori chez des publics particulièrement fragiles comme les femmes enceintes et les bébés à peine nés, ne pourra que se solder par un nombre accru d’effets indésirables graves qui lui-même se soldera par une prise de conscience accrue d’un rapport bénéfices/risques qui n’est pas des plus favorables.

 

On a beau essayer d’agiter l’épouvantail en disant « la coqueluche est une maladie très dangereuse avec un taux de mortalité très élevé » (350 000 décès à l’échelle du monde, la majorité de trouvant dans les pays pauvres), lorsque les gens vivront eux-mêmes le drame irréversible des effets secondaires, ils auront évidemment un tout autre regard. Et il est absolument certain que de moins en moins de gens croiront au leitmotiv selon lequel « ce n’est qu’une coïncidence ».

 

Nous sommes vraiment à une époque où chacun connaît désormais dans son entourage au moins une personne qui était en bonne santé avant les vaccins et n’a plus jamais été bien depuis. Vacciner A QUEL PRIX ? C’est cela le grand débat d’aujourd’hui et de demain et on ne pourra faire l’impasse sur ce débat, il aura lieu : éviter prétendument un décès en créant cependant X autres handicapés ou malades chroniques en retour, est-ce cela le choix de société que nous voulons ? Tout le monde n’est en tout cas pas d’accord sur cette façon d’imposer des politiques dites non sans une certaine ironie de... « santé publique » !

 

 

Voir aussi les articles sur l'importance de la vitamine C en cas de coqueluche:

 

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Intérêt de la vitamine C dans les cas de coqueluche

 

Coqueluche et vitamine C: pourquoi c'est tabou

 

Vitamine C extrêmement indiquée en cas de coqueluche

 

 

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commentaires

D
Ce lien date un peu, des années 84 à 89: la contestation des vaccins par les médecins eux-mêmes ne date pas d'hier... Mais il est écrit par un pédiatre américain, qui a su se passer de la manne<br /> vaccinale qui représente le tiers des revenus d'un pédiatre. On doit pouvoir lui faire confiance...<br /> Il documente très bien sur toutes les maladies de l'enfance et tous les vaccins correspondants (sauf méningite, qui n'existait pas alors)..<br /> http://users.swing.be/carrefour.naissance/biblio/ES/chap19.htm<br /> Vous trouverez dans l'ensemble du livre d'excellents conseils:<br /> http://users.swing.be/carrefour.naissance/biblio/ES/Mendelsohn.htm#TABLE DES MATIÈRES<br /> Je recommande le chapitre trois, qui s'intitule: POURQUOI LES PÉDIATRES SONT-ILS DANGEREUX ?<br /> Ecrit par un pédiatre, ça ne manque pas de saveur: vous aurez beaucoup à apprendre.
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I
<br /> <br /> Très bon livre tout à fait, une chance pour les parents qu'il soit mis entièrement gratuitement online!<br /> <br /> <br /> <br />

                    

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