Un comble: alors que l'ONE exige le vaccin pentavalent comme "combinaison vaccinale minimale" pour l'entrée en crèches, il s'avère que ce vaccin n'est ni remboursé, ni disponible dans la plupart des pharmacies du pays qui n'en ont même, pour la plupart jamais entendu parler selon notre petite enquête à Bruxelles et en Wallonie. Etrange quand on sait que les deux types de vaccins pentavalent (Pentavac de Sanofi Pasteur MSD et Infanrix Quinta de GSK) sont pourtant de stock dans l'immense majorité des pharmacies françaises!
Il est intéressant en tout cas de savoir que le vaccin Infanrix Quinta que tant de pharmaciens semblent méconnaître figurait pourtant dans les compendium des officines et des médecins jusqu'au début des années 2000 mais pas au-delà. Comme par hasard, le vaccin hexavalent de GSK a été mis sur le marché en 2004.
Alors, a-t-on "organisé" cette pénurie chez nous pour promouvoir l'usage massif du vaccin hexavalent encore plus combiné (et qui contient donc la valence anti-hépatite B non obligatoire), dans le but de favoriser le juteux business de GSK qui détient le monopole mondial des vaccins hexavalents et dont l'ex PDG lui-même avoue en vidéo l'aubaine commerciale qu'il représente?
Voir ici...
N'est-ce donc pas là aussi, par le truchement de remboursements sélectifs stratégiques de certains vaccins et pas d'autres, le moyen de forcer la main aux parents et d'imposer ainsi en douce une forme d'obligation vaccinale cachée?
Découvrez donc ICI notre communiqué de presse de ce jour à ce sujet.
Et ICI, notre courrier recommandé du 27 août 2012 aux Ministres Laanan & Onkelinx.