Le décès d’un lycéen serait lié à l’administration d’un vaccin périmé
14/11/2012 - par La Rédaction
Cela s’est passé au nouveau lycée de Aïn El Hammam (Tizi Ouzou)
En effet, un lycéen en 1ère AS âgé de 18 ans, Sadaouli Ahmed, originaire du village Tiferdoud, dans la commune d’Ath Vouyoucef, est décédé il y a cinq jours après qu’on lui eut administré un vaccin antigrippal au niveau de l’infirmerie du nouveau lycée de Ain El Hammam. Bien que l’information n’est pas encore confirmée au sujet de la raison exacte du décès, il semblerait que c’est le vaccin en question qui serait la cause directe de décès du jeune lycéen.
C’est le choc ! Ce qui vient de se passer à Ain el Hammam, localité située à environs 55 kilomètres au sud-est de la wilaya de Tizi Ouzou est d’une extrême gravité.
C’est encore plus grave quand on sait que tout porte à croire que cette affaire a été étouffée dans l’œuf afin de ne pas faire de scandale. Cet étouffement, s’il a lieu, on ne sait avec quelle dextérité il a été opéré.
Selon des informations qui nous sont parvenues de Ain El Hammam, sept autres lycéens du même établissement, sont toujours hospitalisés au niveau de l’hôpital Ahmed Ali Amar de la ville.
Les lycéens, sous le choc et en colère sont sortis, avant-hier lundi, dans la rue pour exprimer leur mécontentement et dénoncer ce qui venait de se passer. En effet, nos sources, ajoutent que les élèves des deux établissements du secondaire de cette localité, à savoir le Nouveau lycée et le le lycée Ben Boulaid, assistés par leurs camardes du lycée de la commune voisine d’Iferhounène ont organisé, une marche vers 10h00 du matin, à Ain El Hammam.
Lors de cette même marche, les lycéens n’ont déployé aucune banderole. Ils n’ont scandé aucun slogan. Juste un silence éloquent, qui en dit long sur leur tristesse devant l’ampleur du drame qui s’est produit dans cet établissement.
Le silence et l’opacité qui entourent cette affaire qui n’a pas été médiatisée, laisse la place à de nombreuses questions. « Pourquoi, dans une région où l’on est si prompt à dénoncer tout ce qui se passe, une affaire aussi grave a-t-elle été « enterrée » ? Pourquoi les parents de la victime n’ont pas réagi ?
Pourquoi les responsables à tous niveaux et dans les secteurs concernés, n’ont fait aucune déclaration pour confirmer ou infirmer les causes supposées de la mort du jeune lycéen ? ».
Telles sont donc les questions qui taraudent les esprits.
Source: Tamurt.info
Apparemment, c'est peu clair, il y aurait aussi des vaccins anti-HPV périmés en Algérie (?), voici quelques liens à ce sujet: ICI et ICI
[à noter: même des vaccins anti-HPV non périmés font tourner le compteur morbide...]