Beaucoup de gens sont encore dans la croyance malheureuse (pour eux et leur propre sécurité sanitaire) que le médecin sait forcément mieux que les autres en matière de vaccination.
Hélas, il n'en est rien et en règle générale, les médecins savent fort peu de choses en réalité. Ils ne savent déjà pas ce qu'ils injectent en termes de composants pour la plupart d'entre eux quand ils administrent un vaccin (= ce dont vous pourrez notamment vous rendre compte en visionnant ce documentaire-ci)
Ensuite, on voit assez mal comment ils pourraient avoir la moindre connaissance fiable étant donné que les connaissances élémentaires sur le fonctionnement du système immunitaire font encore largement défaut. Et ce n'est pas nous qui suçons ce constat de notre pouce, ce n'est autre que le Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de la Production des Vaccins Viraux chez Sanofi Pasteur et également consultant pour l'OMS qui l'avouait non sans un certain malaise d'être filmé dans un cours de vaccinologie en ligne destiné... aux médecins! En effet, il déclarait alors:
« On ne comprend pas comment marchent les vaccins.[…] Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. »
La vaccination consiste donc à utiliser des produits interférant avec un système immunitaire dont on ne connaît pas suffisamment le fonctionnement et les réactions possibles mais surtout, elle consiste à utiliser des produits qui sont eux-mêmes insuffisamment évalués. Etudes biaisées qui comparent des vaccinés à d'autres vaccinés (= faux placebos), études qui portent sur un temps ridiculement faible, études qui n'impliquent pas d'analyser le devenir des divers composants du vaccin une fois dans le corps (= absence d'analyse pharmacocinétique), études qui n'incluent aucune évaluation des potentiels cancérogène, mutagène et tératogène c'est à dire des risques d'induire des cancers, des altérations de notre ADN et des tares dans la descendance,...et c'est sur une base aussi vaseuse et aussi incomplète que divers experts-apprentis- sorciers viennent clamer sur les plateaux télé que les vaccins sont sûrs et qu'il n'existe aucune preuve de tel ou tel danger?!!
1er exemple. La Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada (SOGC) et la vaccination de la femme dans le cadre d'une grossesse.
Dans une page web intitulée "La vaccination avant et pendant la grossesse", plusieurs inepties lourdes de conséquences sont reprises. Etant donné que la grossesse constitue un moment de la vie où les femmes sont le plus médicalisées et où elles vont le plus consulter, cette association médicale des gynécologues canadiens y voit là "une bonne occasion" de mettre à jour leurs vaccins.
A la question "Les vaccins sont-ils sûrs?", on retrouve les lieux communs habituels "les réactions graves sont très rares. Pour 100 000 doses de vaccin administrées, seulement une ou deux donnera lieu à des effets néfastes graves."
Ils poursuivent sous la rubrique "Innocuité de l'immunisation pendant la grossesse": « Des données scientifiques indiquent que la plupart des types de vaccins sont sûrs pendant la grossesse. Ce qui comprend les vaccins passifs et certains vaccins actifs. Les vaccins à virus vivant atténué ne sont pas administrés si une patiente sait qu’elle est enceinte, parce qu’il existe un risque potentiel pour son bébé. Cependant, dans les cas où les vaccins à virus vivant atténué sont administrés aux femmes qui ne savent pas qu’elles sont enceintes, aucune donnée n’indique des résultats néfastes.
Une personne qui habite avec une femme enceinte peut être immunisée au moyen de tout type de vaccin sans crainte d’exposer la mère et son foetus à des risques. »
Ils indiquent également que "Le vaccin contre l'hépatite B peut être administré sans danger pendant la grossesse" ou encore que "Tous les types de vaccins sont sûrs pour les femmes qui allaitent."
Que peut-on répondre à tous ces dangereux mensonges?
Plusieurs faits précis et concrets (contrairement aux affirmations floues et générales de ce site visiblement pas très sérieux):
1°) L'affirmation de 1 ou 2 cas graves sur 100 000 vaccinations ne repose sur aucune donnée scientifique sérieuse. Selon les chiffres qui ressortent de l'étude Kiggs, les effets graves sont plutôt de l'ordre de 2% soit 2 cas graves sur 100 vaccinations = 1 cas grave sur 50 soit 2000 fois plus. Le montant officiel des indemnisations de victimes aux USA est de plus de 2,7 milliards de dollars depuis 1986 en sachant que, d'une part deux tiers des plaintes sont rejetées d'emblée et que d'autre part, le maximum alloué est de 25 000 $, en cas de décès. Selon les études officielles, seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont officiellement recensés. Donc il semble bien que ces chiffres inconsistants donnés par cette Société médicale soient ceux qui sont non ajustés, c'est à dire ceux qui ne tiennent volontairement pas compte de la sous-notification avérée des cas graves, de façon à pouvoir ainsi rassurer à tort.
2°) Sur le fait que les données indiqueraient que la plupart des vaccins sont sûrs pendant la grossesse: là aussi, rien n'est plus faux. En réalité, il n'existe pas de données sur les vaccinations pendant la grossesse car les fabricants n'incluent pas cette population dans les essais cliniques. C'est pourquoi les notices de vaccins indiquent cette absence d'évaluation. Mais cela n'a hélas pas empêché les idéologues-apprentis-sorciers de profiter de la fausse pandémie de H1N1 pour inclure les femmes enceintes dans une population à vacciner sans état d'âme comme les autres... Les résultats ont été désastreux, comme on pouvait s'y attendre, puisque cela a induit un pic de 4250% de mortalité foetale aux USA où ils n'avaient cependant pas opté pour un vaccin avec adjuvant. Sans surprise là encore, la vaccination anti-HPV (avec Gardasil) de femmes enceintes qui ignoraient leur grossesse a donné lieu à des malformations et à des fausses couches. Ces vaccins HPV sont des vaccins produits par génie génétique et qui contiennent une dose non négligeable d'aluminium, un poison pour le système nerveux à fortiori celui du foetus qui est encore en plein développement. Le vaccin anti-hépatite B que cette Société gynécologue affirme sûr pendant la grossesse est lui aussi fabriqué par génie génétique et contient également de l'aluminium ainsi que des traces de mercure. Mais étrangement, il deviendrait sûr pendant la grossesse, simplement parce que cette Société médicale le décrète?!
3°) Sur l'absence de danger qu'il y aurait à vacciner l'entourage des femmes enceintes avec tout type de vaccin. C'est faux là encore, les vaccins à virus vivants donnés à l'entourage peuvent donner lieu à des réactivations de maladies virales (varicelle, rubéole, rougeole, vaccin polio oral..) chez les vaccinés qui peuvent ainsi être sources d'infection pour la femme enceinte avec qui ils seraient en contact. Aux Etats-Unis, les enfants sont massivement vaccinés avec un vaccin nasal en spray, c'est à dire un vaccin à virus vivant (qui devrait être massivement utilisé sous peu en Grande-Bretagne), ce qui suppose que ce virus pourrait très facilement infecter des femmes enceintes vaccinées ou non. Or une étude a montré qu'une réponse inflammatoire pendant la grossesse - réponse qui peut être induite soit par une infection naturelle soit aussi par tout type de vaccination- pouvait augmenter le risque d'autisme chez l'enfant à naître. Mais à suivre les idéologues, si on vaccine, il n'y aurait pas de risque, si on avait une grippe naturelle bien...on le voit: la contradiction et le mensonge sont vraiment partout dans le domaine de la vaccinologie!!
4°) Sur l'absence de risques de tous les vaccins chez la femme allaitante = dangereux mensonge
C'est là encore totalement faux. Une publication scientifique de février 2011 stipule clairement le risque d'encéphalite chez l'enfant dont la mère est vaccinée contre la fièvre jaune pendant l'allaitement car le virus vivant atténué du vaccin peut en effet passer dans le lait et nuire au délicat et sensible système nerveux du bébé allaité. L'article fait état du cas d'un jeune enfant de 5 semaines qui était jusque là en parfaite santé. Quand il eût 10 jours, sa mère se fit conseiller de recevoir divers vaccins du voyage dont ceux contre la typhoïde et la fièvre jaune. L'allaitement fut alors poursuivi et l'enfant n'avait encore reçu aucune vaccination à ce stade. L'enfant a dû être amené à l'hôpital car il avait eu notamment des convulsions. Il a dû passer toutes sortes de tests, y compris des tests invasifs comme une ponction lombaire. Il a également passé une IRM cérébrale et un électroencéphalogramme. On lui a diagnostiqué une méningo-encéphalite. Il est important de bien noter que l'enfant n'avait aucune marque de piqûre d'insecte malgré son séjour au Vénézuéla et aussi que les cultures sont revenues négatives. On a dû lui administrer de l'aciclovir (= un antiviral). Pour les auteurs de cette publication, la présentation clinique des troubles, la relation temporelle avec la vaccination de la mère et l'absence de mise en évidence de toute autre cause infectieuse plaident très nettement en faveur d'une infection aiguë du système nerveux central de l'enfant due à la souche vaccinale de fièvre jaune inoculée à sa mère. L'enfant a eu de la chance et il a heureusement pu récupérer mais tout médecin sait que les encéphalites peuvent déboucher sur des séquelles lourdes pouvant être définitives. Même ce site d'infectiologie qui met pourtant la vaccination à toutes les sauces et qui recommande encore des stratégies vaccinales inefficaces et périmées (comme celle de la stratégie "cocoon" en matière de risque de coqueluche), stipule que la vaccination contre la fièvre jaune n'est pas indiquée dans la période du post-partum soit la période qui suit l'accouchement (et pour cause!)
Ce site des Gynécologues canadiens doit donc susciter la circonspection d'autant qu'ils ne semblent même pas connaître la différence fondamentale qui existe entre les termes "immunisation" (= processus qui découle d'une infection NATURELLE et qui est le plus souvent durable à vie) et "vaccination" (= processus artificiel qui maintient les sujets dans la dépendance en leur proposant une pseudo-protection transitoire).
Voici, avant de passer à l'exemple suivant, les captures d'écran attestant des propos préoccupants affichés par cette Association SOGC sur son site internet au moment de publier cet article :
2ème exemple: le Collège des Médecins de Famille du Canada et le vaccin anti-hépatite B chez les enfants.
Dans un de ses articles intitulés " La vaccination des enfants. Ce que sont les vaccins et pourquoi votre enfant en a besoin.", cette Association médicale ose notamment écrire que "Le vaccin contre le virus de l'hépatite B (= VHB) ne provoque aucun effet secondaire grave chez les enfants."
Nombreuses sont hélas les preuves attestant du contraire. Par quoi commencer? Sans être forcément exhaustifs, donnons donc ici quelques éléments de réponse consistants:
- Les chiffres du VAERS (= registre américain de notification des effets secondaires de vaccins) indiquent ceci pour les effets secondaires du vaccin anti-hépatite B chez les enfants de moins de 6 ans entre 1999 et 2002: 13 363 effets secondaires signalés dont 1840 hospitalisations et 642 décès. Il serait intéressant de savoir combien de décès au total l'hépatite B aurait-elle engendré chez les enfants de moins de 6 ans non vaccinés pendant ce même laps de temps...
- L'équipe du Pr Marc Tardieu, neuropédiatre à l'hôpital parisien de la Pitié Salpétrière, a montré un risque accru de sclérose en plaques chez les enfants vaccinés contre l'hépatite B et le fait que ce risque accru perdure au-delà d'un délai de 3 ans après la vaccination. Comme cette découverte est dérangeante pour l'establishment médico-pharmaceutique qui n'a jamais cessé de rassurer à tort pendant toutes ces années et aussi bien sûr pour les autorités sanitaires dont les mensonges ont conduit plus de 30 millions de gens à se faire vacciner contre cette maladie -qui n'est nullement une urgence de santé publique- avec tous les risques de responsabilité juridique que cela implique, le Pr Tardieu a tout simplement été interdit de conférence de presse à l'époque de la parution de son étude. Aussi simple que cela. Et bien sûr, cette information n'émane pas d'Initiative Citoyenne mais a été révélée par le journal Libération du 14 octobre 2008 dans un article intitulé "Cachez ce risque que je ne saurais voir."
- Le petit Achraf Diwane était un enfant parfaitement sain avant qu'il ne reçoive le vaccin Engerix B Junior à l'âge de 2 ans dans son pays natal (le Maroc). 48 heures plus tard, il devenait tétraplégique et cela de façon malheureusement irréversible. Après de multiples mensonges des autorités et du fabricant qui prétendaient tantôt que l'effet était survenu trop tôt tantôt trop tard pour pouvoir incriminer le vaccin, le tribunal a tranché conformément au rapport de l'expert désigné, en faveur d'un lien de causalité direct et a condamné le fabricant à plusieurs millions de dirhams de dédommagement.
- La vaccination contre l'hépatite B détruit les cellules du foie, un comble pour un vaccin censé protéger cet organe. C'est ce qui a notamment été montré in vitro sur des cellules hépatiques humaines mises en contact avec le vaccin anti-hépatite B. Une autre publication a mis en évidence en 1993 et en 1994 un taux 2,57 fois plus grand de pathologies hépatiques chez les enfants vaccinés par rapport aux enfants non vaccinés, chez les moins de 6 ans.
- Les documents confidentiels de la firme GSK au sujet de son vaccin "6 en 1" Infanrix hexa qui comprend la valence anti-hépatite B, font état d'une liste de plus de 800 effets secondaires possibles pouvant toucher tous les systèmes du corps. Parmi ces effets secondaires possibles (eh oui, il n'y a pas que le ROR qui peut jouer un rôle!) listés par le fabricant lui-même, il y a diverses pathologies neurologiques dont l'autisme. C'est important de le savoir bien sûr dans un contexte où un enfant sur 50 est maintenant touché aux Etats-Unis, où il y a en France plus de 400 000 autistes et plus de 100 000 dans un pays comme la Belgique. L'auteur Judy Converse a d'ailleurs consacré un livre entier à la question du lien entre Autisme & vaccin anti-hépatite B. Carolyn Gallagher et Melody Goodman ont publié un papier dans la prestigieuse revue Annals of Epidemiology en septembre 2009 dans lequel on peut lire noir sur blanc que le vaccin anti-hépatite B triple le risque d'autisme chez les garçons par rapport aux garçons non vaccinés. Si on rajoute à tous ces risques les risques de mort subite, ceux propres aux vaccins fabriqués par génie génétique (= risques de malignité = risques de cancer avoués dans un rapport de 1987 par l'OMS), on se rend compte à quel point les propos faussement rassurants de divers médecins peuvent induire les parents en erreur et amener leurs familles à des tragédies sanitaires et sociales évitables pour une maladie pourtant réellement rare chez les enfants d'âge concerné.
Hélas, ces données pourraient être multipliées pour ce vaccin comme pour les autres. Il est urgent et éminemment nécessaire de comprendre que les médecins ne disent pas la vérité au sujet des risques vaccinaux pour l'immense majorité d'entre eux. Ignorance, peur, opportunisme et intérêt financier,... nombreuses sont les raisons qui peuvent expliquer ce discours peu fiable sur les vaccins de la part des médecins. Mais ce qui est sûr, c'est que ce ne sont pas les "cours de vaccinologie" ajoutés à leur cursus pour soi-disant mieux les informer sur le contenu d'une fausse science qui n'existe pas qui vont changer quoi que ce soit. Le véritable objectif de ces cours est surtout de faire croire aux gens que les médecins sauront alors ce qu'ils feront tout en continuant pourtant de promouvoir les vaccins aveuglément/ à tout prix.