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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 16:02

Sans cesse, on entend les officiels nous rabâcher que les vaccinations font "infiniment plus de bien que de tort". Vraiment? Pas tout à fait, lorsqu'on analyse méthodiquement les différentes données disponibles, vaccin par vaccin.

 

Avec deux exemples très concrets, vous allez ainsi pouvoir découvrir à quel point le discours officiel à l'eau de rose sur les vertus des vaccins, a du plomb dans l'aile. Et surtout à quel point il s'agit d'un discours simpliste, sans prise en compte suffisante de tous les éléments susceptibles d'influer et même d'inverser complètement un rapport bénéfices/risques.

 

Prenons tout d'abord l'exemple du vaccin contre les pneumocoques, vendu élogieusement aux parents comme un "vaccin anti-méningite" (un terme qui fait peur et fait donc recette!).

 

Il s'avère que la première version du vaccin fut responsable d'une hausse de 71% des souches invasives non incluses dans le vaccin (phénomène compensatoire naturel). Au lieu de tout bonnement cesser cette vaccination inutile, les agences du médicaments, comme la FDA américaine ont alors donné leur feu vert et recommandé une nouvelle version du vaccin, recouvrant cette fois 13 souches au lieu de 7. C'est ainsi que des chercheurs écrivaient dans le Journal des Maladies Infectieuses émergentes:

 

"Aux Pays-Bas, le vaccin heptavalent contre les pneumocoques a offert une haute protection aux enfants contre les infections invasives à pneumocoques inclus dans le vaccin mais la hausse des infections invasives dues à des souches non incluses dans le vaccin a clairement réduit les bénéfices de la vaccination."

 

Le gros problème est que ces souches invasives, qui recommencent à échapper au vaccin actuellement sur le marché, sont résistantes aux antibiotiques, le plus souvent.

 

Alors n'a-t-on pas faire pire que bien? N'a-t-on pas mis le doigt dans un dangereux engrenage qui n'a été rendu possible que par une arrogance médicale démesurée, qui entend plier les lois naturelles à sa volonté, ainsi que par une cupidité dévorante?

 

Aujourd'hui, la situation concrète, sur le terrain, est vraiment problématique et ce n'est donc pas qu'une simple vue de l'esprit. Voici ce qu'on peut par exemple trouver comme aveux d'échec lourds de sens dans un rapport de la Société américaine des Maladies Infectieuses (IDSA), qui formulait de nouvelles recommandations pour le traitement des sinusites (dont une majorité est d'origine virale mais dont un certain pourcentage reste d'origine bactérienne):

 

"... tant la prévalence de l'Haemophilius influenzae (40-45%) que celle de bêta-lactamase que produit l'H. influenzae (37-50%) (extrapolées à partir de cultures de fluide issu de l'oreille interne d'enfants souffrant d'otites moyennes), ont augmenté de façon substantielle, parmi d'autres infections du tractus respiratoire supérieur, depuis l'usage généralisé du vaccin contre les pneumocoques... Alors que Streptococus Pneumoniae était plus fréquent qu'Haemophilius influenzae avant l'an 2000, la prévalence de l'Heamophilius influenzae a clairement augmenté tandis que celle de Streptococus Pneumoniae a décru après l'introduction du vaccin anti-pneumococcique, de sorte qu'à présent, ces souches se retrouvent plus ou moins à égalité."

 

Chose qui devrait pourtant tous nous interpeller c'est que les enfants étaient déjà tous vaccinés contre l'haemophilius influenzae de type b à partir du milieu des années 90' dans la plupart des pays occidentaux, soit bien avant 2000. Comment se fait-il alors que l'haemophilius influenzae augmente cependant à compter de l'an 2000? Cela démontre donc bien que:

 

- la Nature a ses lois et en voulant les ignorer, la Science se transforme en "machine à malheur"

 

- Une vaccination en appelle une autre censée lutter contre les effets de la précédente (c'est un cercle vicieux infernal dont les seuls bénéficiaires sont les labos mais jamais les patients).

 

Cette situation démontre donc bien aussi le simplisme qu'il y a à ne parler de façon générale que des bénéfices et des risques, sans expliciter par exemple que ces risques ne comprennent pas que les risques individuels mais aussi les risques collectifs de phénomènes épidémiologiques compensatoires!

 

Mais qu'à cela ne tienne, nos bons experts nationaux belges n'ont-ils pas eux aussi, dans un rapport du Centre fédéral d'Expertise des Soins de Santé (KCE) de mai 2011, chaudement recommandé l'usage et le remboursement des nouvelles versions prétendument améliorées des vaccins anti-pneumococciques? Un rapport d'ailleurs rédigé, on s'en souvient, par plusieurs experts en conflits d'intérêts notoires qui se trouvaient donc dans l'incapacité psychologique TOTALE de constater le cercle vicieux vaccinal initié et ainsi d'émettre la sage recommandation de ne pas poursuivre plus avant dans cette voie.

Mais à part ça, cette instance se présente comme indépendante et le bon peuple est chaleureusement invité à croire que les experts officiels travaillent aux "meilleures politiques de santé publique possibles."

 

Mais alors qu'une absence concrète d'efficacité et de réduction réelle des affections (puisque celles-ci sont compensées par d'autres) est camouflée au public, les risques gravissimes de ces produits sont tus de façon totalement inadmissible.

 

C'est ce dont on peut se rendre compte à la lecture d'une publication, parue dans The Lancet, journal médical connu s'il en est. Rien que l'abstract donne déjà froid dans le dos. Que peut-on y lire?

 

Qu'il y eût pas moins de 110 effets secondaires graves sur 8718 enfants ayant reçu le vaccin anti-pneumococcique. Et 130 effets graves sur 8719 enfants du faux groupe placebo. Mais ce qu'il faut aussi savoir c'est que ces pauvres enfants déjà fragilisés de Gambie ont aussi reçu en même temps, le vaccin Tetramune (diphtérie, tétanos, coqueluche, haemophilius influenzae) ainsi que le vaccin hépatite B et le polio oral! Peu probable donc que le prétendu groupe placebo n'ait reçu aucun vaccin. [cfr notre article sur les faux placebos]. Cela fait donc un effet secondaire GRAVE sur 79 enfants, ce qui est énorme et sans doute encore sous-estimé.

 

Prenons à présent un autre exemple que nous avions déjà effleuré dans notre récent article sur la stratégie des prétextes, à savoir la vaccination anti-hépatite B. Nous avions expliqué dans ce précédent article qu'il était question de trouver des prétextes pour pouvoir justifier une vaccination généralisée des nourrissons contre l'hépatite B et ce dès la naissance, alors que cette population ne court absolument pas ce risque (à l'exclusion d'une minorité de nourrissons naissant de mères déjà infectées et porteuses chroniques). Concernant cette même vaccination, voici qu'il s'agit à présent de "ratisser encore plus large" en tentant d'inclure comme cibles de ce vaste marché, tous les baby boomers (nés donc entre 1945 et 1965), au seul prétexte fumeux que l'usage des drogues injectables était très répandu dans les années 80 ainsi que les transfusions sanguines dans les années 90'!!

 

En outre, le racolage officiel prévu à cet effet prévoit une confusion volontaire entre hépatite C et les autres, puisqu'il n'existe pas encore de vaccin contre l'hépatite C. Voilà donc qu'il suffit d'effrayer tout le monde, d'évoquer, hépatite C et drogues puis drogues et âge des babyboomers pour finalement arriver à conclure en somme que les vaccins existants (hépatite B et A) valent finalement mieux que rien chez eux.

 

Ainsi, au lieu de proposer simplement à ces gens un dépistage, non on leur recommande d'emblée une vaccination, alors que plusieurs médecins estiment pourtant qu'il n'est jamais anodin de se faire vacciner contre une maladie qu'on a déjà eue (ou aurait eue sans même le savoir car plusieurs hépatites peuvent passer inaperçues et de façon asymptomatique).

 

Les adultes qui seraient ainsi confrontés à pareille propagande pour une telle vaccination (souvent combinée à présent, hépatite B + A dans le Twinrix) feraient pourtant bien de se rendre compte d'un certain nombre de faits, comme par exemple ceux-ci:

 

- En 1996, il y avait 54 cas d'hépatite chez les enfants de 0 à 1 an, rapportés au Centre américain de Contrôle des Maladies (CDC). Etant donné qu'il y a une moyenne de 3,9 millions de naissances annuelles, la probabilité d'hépatite B dans ce groupe d'âge tourne autour des 0,001% (soit 1 sur 100 000)

 

- La même année, le système américain de report des effets secondaires vaccinaux (le VAERS) a recensé dans cette même tranche d'âge, 1080 effets secondaires (sans doute relativement sérieux car personne ne perd du temps à ne rapporter qu'un peu de fièvre!) et pas moins de 47 décès furent attribués officiellement au vaccin.

 

Ainsi, si les officiels ont déjà pu recommander sans états d'âme une vaccination dont le risques l'emportent clairement sur les bénéfices à de si jeunes nourrissons vulnérables et innocents, qu'est-ce qui pourrait les retenir d'appliquer le même cynisme et la même mauvaise foi vis-à-vis de vous, adultes?

 

Sources: Activist Post & site du Dr Mercola

 

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