L’obligation du vaccin contre la varicelle a contribué à AUGMENTER les flambées de la maladie (étude Sud-Coréenne)
Si les vaccins fonctionnent, pourquoi, année après année, la Corée du Sud enregistre-t-elle une augmentation des épidémies de varicelle, alors que son taux de vaccination obligatoire (97%) est proche de ce qui est recommandé sur un plan mondial ?
Par Sayer Ji, 2 janvier 2015-01-02
C’est en 2005 que le vaccin contre la varicelle a été rendu obligatoire en Corée du Sud pour les nourrissons de 12 à 15 mois. Malgré une couverture vaccinale quasi universelle de 97% en 2011 [1], au lieu d’une réduction de la maladie comme on pouvait s’y attendre, aucune diminution substantielle n’a pu être observée à l’échelle nationale. Bien au contraire, le nombre de patients atteints de varicelle qui ont été signalés aux Centres de Contrôle de Santé et de Prévention Coréens (KCDC) est passé de 22,6 cas pour 100.000 en 2006 à 71,6 cas pour 100.000 en 2011.
Une question évidente se pose: si le vaccin contre la varicelle est efficace, pourquoi voit-on des taux croissants d’infection dans une population dont les taux de vaccination n’ont cessé d’augmenter année après année ?
Cet échec flagrant de la vaccination contre la varicelle en Corée du Sud a amené un groupe de chercheurs coréens à entreprendre une série d’études pour mieux comprendre l’impact de la vaccination en Corée du Sud. Les résultats de ces études ont été publiés précédemment dans le journal Clinical and Vaccine Immunology sous le titre : Varicelle et vaccination contre la varicelle en Corée du Sud. […]
Les chercheurs ont comparé les données pré-homologation du vaccin Suduvax aux résultats de leurs recherches et ont trouvé que, dans la pratique, le vaccin avait une immunogénicité « beaucoup plus faible » et ont conclu que : « Le Suduvax (Green Cross Corée du Sud) ne pouvait pas être suffisamment immunogène pour pouvoir être efficace dans la prévention de la varicelle en Corée du Sud. ».
[…]La justification ultime de toute intervention médicale non nécessaire comme la vaccination n’est possible que si les bénéfices de l’intervention l’emportent sur les inconvénients. C’est un fait empirique irréductible qu’il n’est pas possible de prouver qu’un vaccin ait jamais empêché une maladie….
Dans le cas du vaccin contre la varicelle, par exemple, non seulement il est possible d’observer des réactions aiguës immédiates ou plus tardives mais au moins deux douzaines d’effets secondaires – dont certains sont chroniques pouvant être mortels et qui ont été documentés dans la littérature biomédicale. Voir GreenMedInfo.com page sur la varicelle et accès direct aux abstracts
De toute évidence, si les vaccins ne fonctionnent pas pour prévenir la maladie pour laquelle ils ont été conçus et qu’il existe une probabilité élevée de dommages, qu’est-ce qui justifie encore leur utilisation ?
Le vaccin contre la varicelle ne fait pas exception en matière d’échec, comme nous l’avons récemment rapporté à propos d’une autre population asiatique. Les chinois ont l’un des taux de vaccination contre la rougeole des plus élevés au monde mais sont régulièrement confrontés à des épidémies de rougeole. L’échec vaccinal est si largement documenté qu’il est véritablement troublant pour ceux qui ont pris à cœur de faire connaître au public comme aux milieux professionnels les recherches qui ont été réalisées sur leurs effets secondaires (involontaires), ainsi que sur leur manque d’efficacité, d’être considérés comme « anti-vaccins » ou « anti-science ». C’est en fait au-delà des antipodes « pro-vaccins » ou « anti-vaccins » que se trouve la vérité…
Références :
[1]Lee SG, Ki M. 2011. Koreanational immunization survey. Korea Centers for Disease Control and Prevention, Chungcheongnam-do, South Korea
Source: The Liberty Beacon
Voir aussi: 17 exemples d’échecs vaccinaux reconnus