"Inqualifiable", c'est ainsi qu'un des médecins qui nous envoient régulièrement des informations, a commenté cette nouvelle: face à ce que les officiels considèrent comme "un échec" de couverture du vaccin HPV en France, les "grands experts" recommandent à présent de vacciner les jeunes filles dès 10 ou 11 ans!
Ils l'avouent: cela permettrait d'augmenter le nombre de filles vaccinées.
En effet, à cet âge-là, les jeunes filles concernées ont statistiquement moins de chances d'obtenir des infos via internet sur les effets secondaires graves, et elles sont donc davantage soumises à la seule décision de leurs parents, là où les ados sont plus susceptibles de refuser la vaccination et de s'opposer au choix parental.
Autre "trouvaille" fumeuse des officiels pour écouler à tout prix ces vaccins:
prétendre que "seules 2 doses" (au lieu de 3) pourraient alors suffire à vacciner les filles plus jeunes, parce que leur immunité le permettrait là où celle des ados de 15 ans et plus ne le permettrait pas! Ce sont là de pseudo-explications qui sont bien entendu cousues de fil blanc et il faut rappeler à cet égard qu'ils ont fait exactement le même coup avec le vaccin anti-hépatite B qui se faisait en 3 ou 4 doses et puis qui, comme par enchantement, se fait à présent en 2 doses chez les ados et les adultes, là encore dans le seul but de vacciner à tout prix un maximum de gens avec un maximum de vaccins. Pendant des années, ces gens-là n'ont pas arrêté de dire au public qu' "il faut absolument le schéma complet" sans quoi la personne vaccinée n'est pas protégée. Mais voyant que la vaccination rebute de plus en plus, c'est un peu le principe "des soldes" qui est donc appliqué par les enragés de la vaccination. En somme, un tiens vaut mieux que deux tu l'auras....
Rappel: les deux vaccins anti-HPV (Cervarix et Gardasil) contiennent une belle dose d'aluminium, une substance très toxique pour le système nerveux notamment, et qui est la base de la grève de la faim de plusieurs Français qui en sont victimes.