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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:25
17 mai 2012
 
BRUXELLES - Le Conseil d’État a rejeté, mercredi soir, la demande en suspension émise par Benjamin Labricque contre la décision de la ville de Bruxelles d’exclure son fils de la crèche pour un défaut de vaccination, a annoncé l’avocat de la ville Maître Van De Gejuchte.
 
Benjamin a refusé que son fils Raoul, âgé de huit mois, reçoive la troisième injection de vaccins, obligatoires dans les milieux d’accueil de la communauté française, sur l’avis de son médecin qui a constaté des réactions secondaires. Le pédiatre de l’ONE a jugé sur dossier que les motivations n’étaient pas suffisantes pour la procédure dérogatoire. Le 2 mai, Raoul n’a pas pu être accueilli dans sa crèche.
 
Le Conseil d’État devra encore se prononcer, d’ici quelques mois, sur la demande en annulation. Me Vanlangendonck, l’avocat de Benjamin, précise que la procédure dérogatoire de l’ONE pourrait alors, plus particulièrement, être mise en cause par l’ajout de pièces au dossier.
 
Des analyses réalisées sous peu

Ainsi, l’avis du Conseil de l’ordre des médecins devrait être rendu prochainement en réponse à la plainte déposée contre le pédiatre de l’ONE et les analyses de sang de Raoul en rapport avec les métaux lourds et les réactions allergiques devraient être réalisées sous peu. Me Vanlangendonck se réserve le droit de demander une révision du rejet de la demande de suspension après l’émission de ces nouveaux éléments.
 
Source: Vers l'Avenir
 
 
      JT de RTL du 17 mai 2012:
 

 

 

Dans un système judiciaire qui serait véritablement au service des citoyens, il faudrait assurément pouvoir demander la révision IMMEDIATE de ce refus de suspension compte tenu des toutes récentes déclarations de l’ONE ce mercredi dans la presse :

 

- 1% des enfants seraient non vaccinés dans les crèches francophones et l’ONE attribue d'emblée cela à "des choix délibérés des parents" (sans donc même envisager l'hypothèse des contre-indications médicales, comme si ça n'existait pas donc!)
 
- l'ONE dit qu'avec un seuil de 95%, il ne risque pas d'y avoir d'épidémies donc s'il n'y a qu'1 seul % de non vaccinés, Raoul n'est donc certainement pas un danger avec sa situation INDIVIDUELLE entrant dans le cadre des dérogations!

 

Il semble assez évident que la décision du Conseil d’Etat était « courue d’avance », exactement comme celles que la « justice » a rendues au cours de la fausse pandémie de H1N1, allant même jusqu’à déclarer « non urgente » notre demande, en appel, de la publication du contrat secret d’achat de vaccins alors qu’une fois révélé, en mai 2010, celui-ci a pourtant démontré que toutes nos demandes étaient extrêmement fondées et que le vaccin était bel et bien expérimental. La raison de ce verrouillage ici prévisible au Conseil d’Etat réside dans le fait qu’une décision contraire aurait tout simplement « ouvert une boîte de Pandore » pour beaucoup d’autres parents confrontés aux mêmes genres de diktats inacceptables, en violation du propre règlement de l’ONE. Il fallait donc rebuter un maximum de parents d’entamer le même genre de procédures judiciaires, de façon à retarder encore un peu la chute du dictateur vaccinal « ONE ». Les parents dans la même situation ne devraient au contraire pas se décourager mais persévérer car en ne respectant pas son propre règlement, le seul coupable, le seul qui soit EN TORT, a un nom qui tient en trois lettres.

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