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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 18:20

Dans un document des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg destiné à conseiller les voyageurs, et cosigné par trois médecins dont un professeur, chef de service en maladies infectieuses au CHU de Strasbourg, on retrouve un exemple tout à fait typique d'IMPRUDENCE CONSTERNANTE, sans le moindre fondement scientifique, comme en regorge la médecine académique arrogante et bien souvent trop sûre d'elle-même...

 

Jugez plutôt ce qu'osent co-signer ces médecins (et s'ils osent, c'est UNIQUEMENT parce qu'ils n'ont hélas jamais eu à assumer les conséquences juridiques de leurs "bons conseils"!)- en page 6/224:

  

Exemple-de-folie-en-medecine-du-voyage.JPGOù sont donc les PREUVES SCIENTIFIQUES qu'un tel protocole vaccinal aussi chargé soit sans danger ou, à tout le moins, qu'il s'avère moins risqué que les maladies encourues par le voyageur??

 

4 injections vaccinales différentes la même jour (à J0) puis encore 2 autres seulement une semaine plus tard puis encore 2 autres une semaine après et deux semaines plus tard, à la quasi-veille du départ encore 3 autres injections?!

 

Le fait de recommander un tel schéma indique que ces médecins ont donc déjà procédé à pas moins de 11 vaccinations en seulement 28 jours sur un même voyageur!! Y a-t-il encore un sens après cela, à leur souhaiter "BON VOYAGE"?!

 

Ou devrait-on plutôt leur dire "Bonne maladie"?!

 

CAR, il faut en effet savoir QUE:

 

- L'injection rapprochée de plusieurs antigènes favorise le développement de maladies auto-immunes (que dire alors si on ajoute encore des adjuvants comme l'aluminium, qui favorise lui aussi les maladies auto-immunes et qu'on retrouve dans plusieurs de ces vaccins?)

 

- L'injection rapprochée de plusieurs vaccins est associée à un risque accru de cancers liés à divers polluants chimiques (comme démontré dans l'armée italienne notamment)

 

Les agences de voyage et tours operators eux-mêmes reconnaissent les effets secondaires de vaccins comme motif valable pour faire jouer l'assurance annulation... c'est dire!

 

Assurance-voyage.JPG

 

 

A la suite de ce petit "exemple de schéma vaccinal", on retrouve, au niveau du document strasbourgeois, la précision suivante (un tantinet hypocrite, dès lors, comme on l'a vu supra, qu'il n'existe aucune base scientifique attestant de la sécurité satisfaisante d'un tel schéma et aussi, que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont effectivement comptabilisés, tout simplement parce qu'une majorité de médecins soit ne sait pas détecter les effets secondaires de vaccins soit ne souhaitent tout simplement pas relier ces effets aux vaccins qu'ils ont eux-mêmes administrés, pour des raisons de responsabilité juridique):

 

Pharmacovigilance

 

Tout médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme ou pharmacien ayant constaté un effet indésirable grave ou inattendu susceptible d’être dû à un médicament ou à un produit mentionné à l’article R.5121-150 du Code de la santé publique, dont les vaccins, qu’il l’ait ou non prescrit ou délivre, doit en faire la déclaration immédiate au Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) dont il dépend. Voir la fiche de déclaration des effets indésirables médicamenteux:

https://www.formulaires.modernisation.gouv.fr/gf/cerfa_10011.do  et la liste des CRPV: http://www.ansm.sante.fr/htm/3/indvigil.htm

  

On le voit, les cliniques des voyageurs (aussi appelées "Travel Clinics") peuvent être des lieux dangereux, parfois bien plus que les zones de voyage prévues! Il n'empêche que c'est aux voyageurs de garder leur élémentaire bon sens et surtout de bien connaître leurs droits, y compris le droit à une juste information ainsi que la jurisprudence.

 

Récemment en France en effet, un médecin a été condamné à verser 3000 euros à un patient pour ne pas l'avoir informé de la totalité des risques associés au vaccin anti-hépatite B, y compris le risque de sclérose en plaques. Ce défaut d'information a été considéré par le tribunal comme une faute du praticien, constitutive d'un dommage moral dans le chef du patient, et nécessitant donc une indemnisation. Des patients bien informés sont donc en mesure de faire valoir leurs droits et aussi demander réparation des préjudices subis. De la sorte, cela créera une pression positive au niveau du corps médical qui deviendra ainsi de plus en plus hésitant à répéter à la manière d'un automate les injonctions vaccinales venues d'en haut ("experts" de l'OMS, de l'ECDC, etc) et simplement destinées à écouler un maximum de vaccins à un maximum de monde.

 

Voir aussi:

 

Travel Clinics: la survaccination des voyageurs est une (triste) réalité

 

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