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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 21:53

"Les remboursements pour la Rilatine explosent" peut-on lire sur RTLinfo le 17 juillet dernier.

 

Les dépenses Inami liées au remboursement de ce médicament sont ainsi passées de 1,3 million d'euros en 2005 à 5 millions d'euros en 2010, soit une augmentation de 30% par an.

 

Pourtant, on pouvait déjà lire en 2010, sur RTBFinfo que " Pour Laurette Onkelinx, on prescrit trop de Rilatine aux enfants." La ministre dénonçait alors l'encouragement à la prescription de ce médicament et entendait mettre au point un plan de lutte contre la surconsommation de ce genre de substances.

 

Dénoncer l'usage abusif de ce médicament sans se préoccuper des causes possibles d'une telle hausse n'a tout simplement aucun sens et s'apparente à des gesticulations politico-médiatiques inefficaces.

 

Un article LeVif/Belga d'août 2010 rappelle qu'en 2004, 6000 enfants consommaient de la Rilatine alors qu'en 2010, ils étaient 26 500 à en consommer soit une hausse conséquente en seulement 6 ans de temps...

 

 

Entre 2004 et 2010, y a-t-il eu beaucoup d’autres vaccins introduits ?

La réponse est OUI.

 

En effet, en 2004, le vaccin combiné hexavalent (diphtérie, tétanos, coqueluche, polio, haemophilius influenza b, hépatite B) fut introduit et massivement utilisé chez la plupart des nourrissons.

Fin 2004, le vaccin anti-pneumococcique (Prevnar) est arrivé sur le marché et dès 2005, on commença à le préconiser massivement par diverses campagnes.

En 2005, c’est le vaccin contre le méningocoque C qui fut introduit dans le calendrier vaccinal et préconisé à tous les bébés vers 1 an. Or ce vaccin, comme le vaccin hexavalent et le Prevnar contiennent des doses non négligeables d' aluminium.

En 2006, ce sont les vaccins contre le rotavirus qui sont venus encore s’ajouter puis très vite, ils ont eux aussi terminé dans le calendrier vaccinal officiel (qui finalement reprend la totalité des vaccins pédiatriques disponibles).

 

 

Bien que diverses causes environnementales puissent coexister, encore trop peu de parents ont conscience que les coktails de vaccins faits innocemment en bas-âge ne sont justement peut-être pas si anodins que ça.

 

Nombreuses sont les recherches scientifiques qui ont investigué le lien entre vaccination infantile, dommages neurologiques et troubles du comportement.

 

Les dénégations des officiels finissent souvent par rassurer à tort les parents et par les inviter à poursuivre la vaccination comme si de rien n'était. Pourtant, il convient de rappeler que ces experts officiels parlent souvent sans savoir en matière de sécurité vaccinale, en faisant fi du plus élémentaire bon sens.

 

Ils ne disent par exemple jamais au public que jamais, à aucune occasion, la moindre étude officielle n'a valablement comparé sur une période suffisamment longue des groupes d'enfants vaccinés avec des groupes d'enfants absolument non vaccinés.

 

Le public ne se doute ainsi absolument pas que la "sécurité" des vaccins telle qu'elle est présentée repose sur des comparaisons biaisées (d'enfants vaccinés avec d'autres enfants vaccinés) effectuées sur quelques semaines ou tout au plus quelques mois.

 

Etrangement, quand on effectue une comparaison réellement fiable entre enfants vaccinés et non vaccinés et ce sur une période suffisante de temps, comme l'a fait l'association néérlandaise indépendante NVKP, on obtient des réponses assez indicatives.

 

Ainsi, deux groupes d'enfants ont été comparés au cours de leurs cinq premières années de vie: un groupe d'enfants qui avaient reçu tous les vaccins officiellement préconisés aux Pays-Bas (312) et un groupe d'enfants qui n'avaient jamais reçu le moindre vaccin (231).

 

Les résultats ont montré que les enfants vaccinés étaient deux fois plus nombreux que les non vaccinés à souffrir d'hyperactivité avec déficit d'attention.  

 

Quelques soient les plans de lutte, les problèmes ne risquent donc pas du tout d'aller en s'améliorant si on continue d'occulter une des causes les plus plausibles de cette hausse inquiétante des cas d'hyperactivité.

 

Non seulement ce trouble occasionne beaucoup de souffrance aux enfants concernés avec un retentissement énorme sur leur vie scolaire, sociale et familiale mais en plus, il constitue une charge financière pour la collectivité (Inami).

 

Devant une situation d'inertie ou de tabou concernant un domaine aussi important que celui de la sécurité vaccinale, il importe que les parents s'informent par eux-mêmes.

Car il ne faut jamais oublier que beaucoup d'experts s'avancent de façon très (trop) téméraire sans toujours avoir toutes les cartes en main et que les sociétés savantes (comme par exemple la Société belge de pédiatrie) sont liés à leurs sponsors de l'industrie pharmaceutique.

 

 

Pour ainsi rompre avec le traditionnel « Si c’était vrai, ça se saurait… » et essayer d'élargir le débat, nous ne pouvons que conseiller la lecture de ces deux références additionnelles :

 

« Hyperactivité et déficit d’attention de l’enfant : comprendre plutôt que droguer » du Dr Françoise Berthoud, Editions Marco Pietteur.

 

Et renvoyer à la partie « Rilatine » du site Hyperactif.net 

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