Ce lien est intéressant.<br /> Cependant, comme tous ces sites regroupant des parents de victimes, il est à la recherche de solutions pour leur problème, ce qui est bien naturel.<br /> Mais c'est dans la recherche de la cause au moins autant que dans les solutions à apporter aux conséquences qu'il faut travailler.<br /> Je comprends parfaitement qu'il est absolument insupportable de se dire que si son enfant est malade, c'est parce qu'on l'a conduit soi-même, en toute bonne foi et toute innocence (innocent veut<br /> dire: qui ne sait pas), au massacre. C'est pourquoi les parents n'aiment pas évoquer ce sujet.<br /> Cependant, c'est en identifiant la cause qu'on pourra éviter de nouvelles victimes, et je crois que nous y sommes.<br /> J'ajouterai que si les vaccins rendent définitivement autiste un enfant sur 100, ou sur 50, ce qui s'ajoute à toutes les pathologies neurologiques ou autres attribuables aux vaccins, il est urgent<br /> de remettre en question leur rapport bénéfice-risque, en songeant que les nombreuses maladies qu'ils prétendent prévenir sont, elles, curables pour la plupart, et qu'à tout prendre, il vaut mieux<br /> courir le risque d'affronter une improbable maladie plutôt que d'avoir à se mordre les doigts pour en avoir provoqué activement une autre.<br /> C'est peut-être le moment de rappeler que le nombre des effets secondaires des vaccins s'élève à plus de 800, et que si chacun d'eux est plus ou moins rare, leur somme fait que 4 enfants vaccinés<br /> sur 5 souffriront d'un au moins de ces effets indésirables.

On évalue à 440 000 le nombre de personnes autistes en France, soit l’équivalent de la ville de Lyon, et 67 millions dans le monde (2).<br /> <br /> http://www.autismegrandecause2012.fr/fr/autisme-en-france.html

Il semble bien qu'un enfant américain sur 50 devienne autiste.<br /> Mais l'autisme est la forme flagrante et évidente des dégâts vaccinaux.<br /> On ne parle pas ici des dégâts moins importants mais tout aussi évidents qui peuvent résulter des vaccinations, par exemple les enfants qui ont perdu leur bonne humeur, qui deviennent grincheux,<br /> agressifs, agités, insupportables.<br /> Et pourtant, il suffit de regarder les enfants dont j'ai pu convaincre les parents d'attendre 18 mois et de ne pratiquer que les vaccinations légales (diphtérie, tétanos et polio) pour se<br /> convaincre qu'ils sont vraiment différents des autres enfants, vaccinés à tour de bras.<br /> On a perdu la notion de ce qu'était un enfant normal, calme, souriant, et qui ne pleure presque jamais: c'est pourtant ainsi qu'ils devraient être tous, et c'est ce dont on les prive: c'est une<br /> atteinte à leur bonheur, à leur joie de vivre.<br /> Le vaccin promet la santé, et c'est la souffrance qu'il offre, ainsi que la maladie.<br /> Il n'est qu'à consulter les pages "maladie" des carnets de santé, qui restent vierges mois après mois chez les non-vaccinés.<br /> Je ne rappellerai jamais assez la nécessité absolue de lire le petit livre de Françoise Berthoud, pédiatre:"La bonne santé des enfants non-vaccinés". Un livre à offrir à l'occasion d'une naissance,<br /> ou même d'un mariage: c'est le plus beau cadeau qu'on puisse faire à de futurs parents.