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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 23:55

L’histoire de Zeda (Indiana)

21 juillet 2011, d’après Norma Erickson.

 

Zeda--1-.jpg

Il y a deux ans Zeda était une étudiante brillante, très active et heureuse. La famille et les amis représentaient une grande partie de sa vie. En un mot, elle était une jeune américaine normale qui jouissait de tous les aspects de la vie et comme elle était bonne étudiante, son futur était vraiment très prometteur.

 

Le 5 novembre 2008, Zeda passa un examen médical de routine et reçut sa première injection de Gardasil. Le 28 novembre elle commença à se plaindre de faiblesse et de migraines. Comme ça se passait après la fête du «Tanksgiving Day», sa maman pensa  qu’elle avait peut-être quelque peu exagéré.    .

           

Le matin suivant, Zeda se plaignit de maux de tête et resta au lit toute la journée. Quand elle essaya de se lever en fin d’après-midi, elle fit deux crises. Sa maman, suspectant quelque chose de très grave la conduisit immédiatement aux urgences.

 

Deux jours après sa première crise, Zeda ne réagissait plus à rien. Elle ne savait plus ni parler ni marcher ni communiquer de quelque manière que ce soit. Seul le respirateur la maintenait en vie. Zeda passa les quatre mois suivants aux soins intensifs luttant pour sa propre vie.

 

Zeda--2-.jpg

Zeda, après le Gardasil.

 

Au cours de son séjour à l’hôpital on diagnostiqua finalement qu’elle souffrait d’une encéphalite (inflammation du cerveau). Tous les éléments habituels qui auraient pu provoquer cet état furent éliminés les uns après les autres. Plusieurs médecins déclarèrent à la maman que l’état de sa fille aurait pu être causé par le vaccin HPV, mais ils se gardèrent de mentionner la chose dans le dossier. Zeda n’a bien sûr jamais reçu la deuxième dose du Gardasil.

 

Zeda est l’aînée de quatre enfants. Sa maman qui est seule, se dévoue totalement à ses soins. Elle a transformé son living en chambre d’hôpital de fortune. Sa maman l’assiste 24 heures  sur 24. Des infirmières passent quelques fois par semaine pour vérifier si elle progresse. Zeda, qui a subi une trachéotomie, respire par un tube. C’est aussi par un tube qu’elle est nourrie.

 

Deux ans après son seul vaccin HPV, sa maman et ses sœurs espèrent et prient pour que la santé de Zeda se rétablisse. Ils apprécient chaque bon moment que Zeda peut encore vivre et font de leur mieux pour rester forts dans les moments plus difficiles.

 

La maman de Zeda a fait pas mal de recherches et est fermement convaincue que le Gardasil est le responsable de l’état de santé de sa fille. Elle pense que les parents doivent s’informer profondément et prendre conscience des effets secondaires possibles des vaccins HPV avant de décider de faire vacciner leurs enfants.

 

D’après Norma Erickson, chercheuse en matière de vaccinations.

 

Source: Sanevax.

 

 

L’histoire de Melissa de Barnsley, UK (Vaccination HPV)

 

« Je souhaiterais n’avoir jamais donné mon consentement pour ces vaccinations et je donnerais tout pour que ma fille puisse recouvrer la santé ».    Alison, la maman de Mélissa

 

D’après Norma, Sanevax, 19 novembre 2011

 

HPV, MelissaLa maman raconte :

 

Ma fille mordait à la vie à pleines dents. La maison était toujours remplie de joie et de vie. Les copains et copines étaient souvent ici autour d’une tasse de thé. Cette vie me plaisait énormément…

 

Alors il y eut ce jour fatal quand elle m’a dit «  nous allons recevoir le vaccin HPV à l’école. » Je savais que ce vaccin était destiné à prévenir le cancer du col de l’utérus, mais je n’avais pas beaucoup d’autres informations à son  sujet ; j’espérais recevoir davantage d’information de l’école. La première injection ne posa aucun problème mais après la seconde injection, ses articulations commencèrent immédiatement à enfler – ça a commencé à son pouce droit et les gonflements se sont ensuite produits à toutes les articulations. En une semaine, Mélissa était devenue vraiment malade. Elle ne pouvait pratiquement plus bouger et était couverte d’éruptions de la tête aux pieds. Elle faisait de hautes températures, transpirait énormément, vomissait, elle était prise de frissons et de terribles maux de tête. Toutes ses articulations lui faisaient mal. Elle n’a pas arrêté de dormir pendant des semaines. On ne pouvait même pas la toucher tant tout son corps était douloureux.

 

Notre médecin de famille passait régulièrement. Nous nous sommes aussi rendus plusieurs fois à l’hôpital de Barnsley. Finalement, on nous a renvoyés à la maison avec du Piriton en nous précisant qu’il s’agissait d’une réaction allergique au vaccin HPV. Comme la santé de Mélissa continuait de se détériorer et que j’avais vraiment peur de la perdre, nous fûmes envoyés à l’hôpital général de Leeds. Après une série d’examens, on nous précisa que Mélissa souffrait d’arthrite rhumatoïde juvénile (La maladie de Still).

 

Depuis cette date, Mélissa a été mise sous hautes doses de stéroïdes (cortisone) et de médicaments destinés à réduire l’inflammation. Elle a aussi reçu de la chimiothérapie (injections de Méthotrexate). Ces traitements ne parurent pas assez puissants. On proposa alors du Tocilizumab. Après trois mois, le médicament a semblé produire ses effets. Mélissa avait été si longtemps sous stéroïdes qu’elle avait gagné pas mal de poids. Cette situation causa aussi de nouveaux problèmes.

 

Deux ans plus tard, Mélissa souffre toujours, elle est toujours sous médicaments et continue de recevoir ses injections. Suite à la prise de tous ces médicaments, elle fait régulièrement des infections et doit souvent être sous antibiotiques. Mélissa pense que ce traitement va encore durer trois ans. Au cours des deux dernières années, elle n’a pu fréquenter l’école et passer aucun examen.

 

Nous avons dû déménager parce que la maison où nous habitions n’était pas adaptée aux soins que Mélissa devait recevoir…

 

Je souhaiterais n’avoir jamais donné mon consentement pour ces vaccinations et je donnerais tout pour que ma fille puisse recouvrer la santé. Avant cette vaccination, la vie de Mélissa était merveilleuse et j’espère qu’un jour, elle pourra en retrouver au moins une partie.

 

Source: SaneVax 

 

 

« Elle n’a jamais reçu sa troisième dose de vaccin ! POURQUOI ? »

 

LA VACCINATION HPV EST-ELLE SURE ?

 

D’après Norma, Sanevax

Sherel Halliday, Nairn, Inverness, Ecosse

 

HPV-photo-de-Deborah.JPG

Deborah – Août 2010

 

Ma fille de 13 ans a reçu la première dose de Cervarix en septembre et la deuxième dose en novembre 2010. Elle avait toujours été en parfaite santé, réussissant bien à l’école ; elle était très aimante et aussi très sportive. Elle n’a jamais reçu sa troisième dose de vaccin ! Pourquoi ?

 

Comme tous les parents, je voulais protéger ma fille du cancer du col. J’ai lu la notice, jeté un coup d’œil sur le site internet du National Health Service (= agence nationale de Santé). J’ai parlé avec l’infirmière de l’école et son supérieur. Le vaccin est prétendu sans danger. Mais était-ce vrai ?

 

Un an plus tard, je me sens coupable de ne pas avoir approfondi mes recherches avant de donner mon accord pour que ma chère petite fille reçoive le vaccin HPV. Pendant un an, ça a été pour ma fille une vie de misère, de souffrances, de visites médicales, de multiples rendez-vous dans les hôpitaux, de nuits blanches, d’inquiétude et de culpabilité !

 

Une année de nos vies a été ruinée. Je m’interroge sur la sûreté de ce vaccin. Est-il sans danger ? Tous les parents devraient s’interroger sur la validité des documents qui affirment que ce vaccin est sans danger.

 HPV photo de Deborah (2)                                            Sherrel & Deborah, octobre 2011.

 

L’une après l’autre, les activités de ma fille se sont arrêtées : Judo, Roller Bowl, Vélo, Badminton, Basket, Guitare, Piano, pour n’en citer que quelques unes. Elle est devenue de plus en  plus raide, figée. Elle était incapable de ratisser les feuilles dans le jardin, de passer l’aspirateur, d’ouvrir une simple bouteille d’eau. Plus de promenade sur la plage ou dans les bois avec nos deux chiens. Toute sa joie de vivre a été RUINEE, lui a été volée !

 

Paniquée à l’idée qu’elle pourrait faire une paralysie, nous avons ensemble fréquenté la piscine chaque jour avant qu’elle ne se rende à l’école. Elle pouvait à peine faire quelques brasses, alors qu’auparavant … ! Un jour elle s’est évanouie. Conduite immédiatement à l’hôpital, on détecta une appendicite avec péritonite. Deux infections s’en suivirent. Elle perdit 10 jours d’école.

 

Après son opération de l’appendicite, elle devint encore plus malade. Elle devait s’aider d’une canne pour marcher. Elle savait à peine mettre un pied devant l’autre…Nous avons dû lui acheter un matelas en mousse spéciale pour adoucir ses douleurs aux articulations. Elle a dû porter des lunettes foncées parce qu’elle était trop sensible à la lumière. Il faut avouer que tout cela n’est pas spécialement COOL pour une jeune fille de 14 ans !

 

Grâce à une vidéo de Grace Filby, nous avons pris conscience que de l’eau riche en silice pouvait servir d’antidote à un empoisonnement à l’aluminium. L’aluminium est une neurotoxine et qui se trouve dans le vaccin HPV. Il fallait que nous essayions. Il y a maintenant 28 semaines que ma fille a commencé à boire chaque jour 1,5 litre de cette eau spécialement minéralisée.

 

Il y a 28 semaines, nous étions au fond du désespoir. Maintenant nous voyons des améliorations. Déjà après 3 semaines nous observions de nouveaux petits mouvements. L’espoir est alors revenu dans ma vie. J’ai aussi commencé à me documenter pour savoir quels aliments contenaient de la silice (pommes de terre, choux, oignons, concombres, céréales, fraises.) L’amélioration se maintenait. Nous avons travaillé dur. Il fallait penser à tant de choses – l’eau minérale, toute la nourriture, les exercices, la natation, de petites promenades… tout cela nous rendait l’espoir de la voir reprendre un rythme scolaire plus normal.

 

Aujourd’hui elle fréquente de nouveau l’école. Ses professeurs se félicitent de constater qu’elle a pu compenser son retard. Elle peut de nouveau jouer du piano, nager pas mal. Mais nous ne pouvons pas encore reprendre nos promenades dans les bois. Elle n’a pas encore complètement récupéré. Nous avons encore quantité de problèmes, des fatigues énormes à surmonter, mais j’ai bon espoir. Nous prenons chaque jour comme il vient.

 

Je vous demande maintenant, à vous parents qui avez lu notre histoire: pourriez-vous appeler cette longue liste de maux et de problèmes « une simple coïncidence » ?

 

Ou, ne pourriez-vous pas vous demander si  ce qui est arrivé à ma fille ne pourrait pas être un effet secondaire particulièrement grave du vaccin HPV ?

 

Source: SaneVax 

 

  

Les centaines de témoignages qui convergent de par le monde, au sujet de ces vaccins anti-HPV, continuent de constituer « des coïncidences » au yeux de certaines personnes ignorantes ou de mauvaise foi. En attendant, des milliers de jeunes filles en paient le prix et des vies sont souvent inutilement ruinées à jamais.

Etant donné, comme le mentionnait la presse officielle française que « L’Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps) établit un taux d’effets secondaires graves de 8,1 cas pour 100 000 vaccinations. Or, selon l’Institut national du cancer (Inca), le taux d’incidence du cancer du col de l’utérus est de 6,4 pour 100 000 femmes (chiffres 2010). Une femme aurait ainsi plus de risques d’être atteinte d’effets secondaires graves liés au vaccin que de développer un cancer du col de l’utérus ! Cela change considérablement la donne.»

 

 

 

 

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