- Article complété avec le scan de l'article original (papier) comme plusieurs l'avaient à juste titre demandé; en bas de cet article, l'encadré final qui a été rajouté il y a quelques jours apporte déjà aussi quelques éléments d'explication possibles sur cette contradiction entre la version papier et la version électronique de l'article sur le site du journal...-
Intéressante information que l'on a eu la gentillesse de nous signaler: le journal Le Parisien indiquait en date du 26 janvier dernier que 75 cas liés à la grippe auraient abouti en réanimation. Et de préciser: "L'âge des 75 patients admis en réanimation variait de 10 mois à 90 ans, mais les malades étaient majoritairement des adultes vaccinés."
Malgré cet aveu, l'article signé Christine Mateus ose encore relayer qu'il est d'autant plus important de se faire vacciner et qu'il n'est pas trop tard évoquant une prétendue "virulence" du virus H1N1!
En réalité, ces chiffres ne sont guère étonnants et ils ne sont qu'une petite partie des chiffres des hospitalisations pouvant être liées aux effets désastreux des vaccins. Car l'article semble ici ne sous-entendre qu'une inefficacité du vaccin antigrippal dans les cas indiqués alors qu'il faut aussi, selon nous, pointer les effets secondaires graves de ces vaccins (directs ou indirects) qui peuvent en eux-mêmes être source d'admission en réanimation!
Les vaccins antigrippaux qu'on recommande prioritairement aux sujets âgés et aux malades chroniques (en particulier ceux atteints de troubles respiratoires ou cardiaques) peuvent exacerber l'asthme, provoquer des Guillain-Barré qui sont des syndromes pouvant donner lieu à des paralysies et à des asphyxies par paralysie des muscles respiratoires. Sans compter que les vaccins et en numéro un les vaccins antigrippaux semblent aussi à même de favoriser les accidents vasculaires cérébraux. C'est ce qui relève d'une investigation préliminaire de chercheurs américains qui ont en effet pu remarquer une distribution inégale dans le temps (donc non aléatoire) des cas d'accidents vasculaires cérébraux après une vaccination sur base des données du VAERS américain (= système de collecte des effets secondaires de vaccins). En effet, selon cette enquête, il y a un surplus de cas endéans les deux semaines qui suivent la vaccination et tout particulièrement la vaccination anti-grippale qu'on ne manque pourtant pas de recommander aux gens ayant fait un AVC, là aussi cherchez l'erreur!
Si on ajoute à cela l'effet immunosuppresseur de tous les vaccins, c'est à dire le fait, dûment prouvé et documenté, que toute vaccination, en ce qu'elle leurre et détourne le système immunitaire avec des faux microbes, détourne et affaiblit l'organisme par rapport aux véritables menaces infectieuses qui peuvent se présenter à lui, on comprend que les personnes vaccinées (y compris les enfants qui reçoivent déjà tant de vaccins avant l'âge de 10 mois mentionné dans l'article (!)) ont plus de risque d'aboutir en réanimation que les personnes au système immunitaire non agressé et non court-circuité peu avant par des vaccinations hasardeuses!
On l'aura compris, si on veut éviter son risque d'aller en réanimation à cause de la grippe comme d'un vaccin, on doit commencer par respecter son système immunitaire en essayant d'en optimiser le fonctionnement naturel, ce qui n'est évidemment pas possible en le court-circuitant chimiquement. Il faut commencer par respecter les règles de base d'une bonne hygiène de vie: sommeil suffisant, alimentation et eau de qualité, sans pesticides, polluants et colorants. Et bien entendu avoir à l'esprit que nombre d'entre nous sommes carencés en éléments essentiels à la bonne marche de notre système immunitaire et cela même "en mangeant varié et équilibré" (car depuis Liebig et sa modification absurde des principes d'alimentation des sols en agriculture, tous les aliments ont été considérablement appauvris en nutriments vitaux par rapport à ceux dont pouvaient jouir d'antan nos ancêtres). Très fréquemment, les sujets sont carencés en nutriments aussi décisifs pour notre système immunitaire que le zinc, la vitamine C, la vitamine D, le magnésium etc...
Par la suite, quand ces conditions sont remplies, il reste encore aux personnes une foule de solutions naturelles pour booster sans risque leur système immunitaire et éviter ou limiter les éventuels "maux" de l'hiver: une homéopathie personnalisée, le recours en préventif et/ou en curatif (en diffusion, en inhalation ou par voie orale) aux huiles essentielles dont le pouvoir microbicide remarquable (tant antiviral qu'antibactérien) a été établi par des centaines d'études scientifiques en bonne et due forme. On pourrait bien sûr encore citer des tas de méthodes utilisées avec succès par de très nombreuses personnes pour écourter ou prévenir les grippes et autres syndromes hivernaux comme le miel, le thym, la propolis etc. Partant, et vu la richesse exceptionnelle des solutions sûres et efficaces que la Nature nous offre, il est non seulement malhonnête mais aussi socialement et médicalement contre-productif de continuer à prétendre comme le font les autorités, les médias complices et les médecins- robots que "la vaccination est la seule solution" (pour la grippe ou d'autres maladies). Ce genre de mensonge médical et scientifique est réellement devenu plus qu'indigne de nos jours et même carrément indécent. La logique d'avenir est de renforcer de façon respectueuse son système immunitaire en vue de prévenir non pas une maladie en particulier mais bien de réduire sa susceptibilité à l'ensemble des infections possibles!
Important: Plusieurs personnes nous ont signalé le lien vers l'article online du Parisien en s'étonnant que cet article en ligne mentionne une majorité de cas survenus chez des adultes non vaccinés. Nous disposons pourtant d'une photocopie de l'article original en version papier qui indique le contraire: la voici.
Quel est le fin mot de cette affaire? Ont-ils corrigé une info après coup dans leur version en ligne ou bien, suite à des pressions, ont-ils changé le mot dans la version en ligne en ces temps où la vaccination inspire à juste titre de plus en plus la méfiance? Rappelons tout de même certains éléments importants et intéressants à cet égard, comme par exemple les nombreux témoignages de terrain relatifs à des sujets âgés rapidement détériorés voire décédés suite à une vaccination antigrippale dans des maisons de retraite même quand ils étaient jusque là en bonne santé. Par ailleurs, il faut aussi rappeler comme l'avait fait la brillante Sylvie Simon en son temps les subterfuges médiatiques dont la presse est capable quand il s'agit d'un sujet aussi tabou que les vaccins. Sylvie Simon rappelait sur son site: . Autre exemple encore : un article du Figaro avait disparu anormalement rapidement du net alors qu’il révélait de façon accablante l’échec monumental de la vaccination contre les pneumocoques (= vaccination la plus lucrative de toutes en termes de business global pour le fabricant concerné) avec une hausse des méningites à pneumocoques malgré une vaccination de 85% des enfants français avec le Prevenar. Heureusement, Initiative Citoyenne avait eu le temps d'en faire un copier-coller avant cette suppression sous forme de page "erreur 404 page indisponible" seulement quelques jours après sa mise en ligne....
« Ainsi, en 1999, un matin, plusieurs chaînes d’informations ont signalé que Jean Marais venait d’être hospitalisé pour de graves troubles respiratoires après la vaccination contre la grippe, administrée la veille. L’information fut reprise par plusieurs radios et certaines chaînes au Journal télévisé du déjeuner, mais, dès le soir, la censure était intervenue et la mention de la vaccination anti-grippe avait été soigneusement retirée. Jean Marais luttait contre la mort « pour une raison inconnue. »
En matière grippale, nombreuses sont les publications qui ont montré une efficacité médiocre du vaccin chez les sujets âgés (c'est d'ailleurs si vrai que les fabricants souhaitant fourguer leur camelote à tout pris ont alors entrepris d'ajouter un adjuvant, de rajouter une souche au vaccin antigrippal trivalent etc.). Par conséquent, dans la réalité, chaque service de réanimation doit accueillir des adultes vaccinés dans les périodes de grippe et la question de savoir si ces adultes ont abouti là en dépit ou à cause du vaccin demeure donc particulièrement cuisante et urgente à se poser.