Dans un article affligeant du Monde du 26 juin qui titrait "La grippe H1N1 quinze fois plus meurtrière que les chiffres officiels", on peut lire les avis très partiaux de quelques scientifiques "experts" triés sur le volet.
Ainsi, selon une équipe de chercheurs du Centre de Contrôle américain des Maladies (une instance non neutre puisqu'ils ont approuvé et recommandé une politique vaccinale de masse aux USA contre cette fausse pandémie!), le nombre de décès dus au H1N1 au cours de sa première année de circulation ne serait pas de 18 500 (d'après les chiffres confirmés par l'OMS) mais bien de...280 000.
Voici ci-dessous un extrait de cet article du Monde (et en rouge l'explication du caractère trop partial pour être crédible)
"Lors de l'apparition de la pandémie grippale en 2009, l'OMS avait demandé aux Etats membres de lui notifier les décès associés au virus grippal A(H1N1) confirmés par des examens de laboratoire. Le total de ces cas "officiels" avait de fortes chances de sous-estimer grandement la réalité, que ce soit parce les prélèvements n'avaient pas été effectués ou parce que le virus n'était plus détectable dans les prélèvements." On remarquera que l'OMS s'intéresse bien plus aux décès prétendument dus au virus H1N1 qu'aux décès imputables au vaccin et ce, alors que les décès et effets secondaires des médicaments sont notoirement sous-estimés (max 1 à 10% étant rapportés!) avec un tabou supplémentaire en ce qui concerne les vaccins!
"Il en va de même, d'ailleurs, pour la grippe saisonnière. "D'une manière générale, les cas de grippe saisonnière notifiés sont de 10 à 20 fois inférieurs au nombre de cas réels tels qu'on peut les estimer", souligne le professeur William Dab, titulaire de la chaire "Hygiène et sécurité" au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM, Paris)." Une fois encore, on n'évoque jamais les cas de décès de personnes âgées provoqués ou facilités par les vaccinations antigrippales annuelles, ni les pneumonies et autres infections opportunistes qu'elles peuvent attraper plus facilement à la faveur d'une vaccination puisque celle-ci abaisse toujours les défenses immunitaires du sujet, bien loin de les renforcer!
En outre, l'article précise par exemple aussi que "Selon les calculs des auteurs de l'étude, 80 % des décès d'origine respiratoire ou cardiovasculaire ont frappé des individus de moins de 65 ans et 65 % des décès se situaient dans la tranche d'âge de 18 à 64 ans."
Fort étrangement, il n'est jamais reconnu de lien entre le moindre vaccin (quelque soit l'âge auquel il est administré) et des décès d'origine respiratoire ou cardiovasculaire et ce, malgré que le Dr Viera Scheibner ait pu mettre en évidence que toute vaccination des bébés perturbent leur respiration pendant 48 jours et qu'il y a bien un lien entre vaccination infantile et mort subite du nourrisson, comme d'ailleurs aussi confirmé par bien d'autres chercheurs!! Une fois encore, on se trouve là dans un grossier deux poids deux mesures qui ne doit plus duper personne.
Pour ces "grands experts", la grippe n'est jamais anodine et "pose un problème de santé publique" et ce d'autant plus que les victimes sont aussi des adultes jeunes (avec + d'années de vie perdues). Le hic, c'est que les mêmes experts se taisent complètement sur toutes les années de vie perdues par les jeunes victimes des vaccins qui sont décédées en bas-âge depuis plus de 200 ans de pratique vaccinale, et ce sans même parler du nombre d'effets graves non létaux qui ont grevé fortement le chiffre d'années de vie en bonne santé de nombre d'enfants. Malgré cela, tabou oblige, les vaccins continuent d'être présentés comme un geste de prévention anodin à répéter de façon machinale et automatique tous les X temps!
Cet article conclut enfin à des solutions simplistes puisqu'il lie la proportion plus élevée de cas dans les pays plus pauvres en Afrique et en Asie du Sud-Est (ce qui ne serait guère surprenant quand on sait que la résistance des populations dépend fortement du niveau de pauvreté et des conditions d'hygiène) à la fausse nécessité d'accroître encore l'accès aux futurs vaccins pandémiques dans ces pays! Non seulement ces vaccins expérimentaux s'ajouteront encore aux nombreux vaccins excessifs que subissent déjà ces populations immunologiquement fragilisées et qui ne bénéficient toujours pas d'eau propre et de nourriture en suffisance (ce qui les rend de facto immunodéprimés) mais il s'agit aussi de pouvoir jauger objectivement les vraies priorités dans ces pays sans se laisser détourner par les intérêts de Big pharma qui avait réussi à faire croire à l'époque, au grand dam du Pr Gentilini, et via l'OMS, leur obligée, à la "grande nécessité de santé publique" que les pays occidentaux fassent don de leurs suplus de vaccins aux pays africains, leur offrant ainsi une belle occasion d'étouffer leur incurie et de la transformer en "aide au développement"!