Un récent article de la presse canadienne évoquait la piste d'une guérison du diabète de type 1 par l'intermédiaire d'un vaccin selon les travaux d'une équipe de chercheurs de Stanford, en Californie.
L'article donne peu de détails mais il appelle toutefois quelques commentaires importants.
L'article indique que ce vaccin supprimerait la réaction auto-immune indésirable qui mène au diabète de type 1, ce qui permettrait d'en venir à bout.
Ce que l'article n'indique toutefois pas est que le diabète de type 1 est une affection de type lésionnel où il y a donc une destruction d'une zone de cellules du pancréas. Or en général, au moment du diagnostic, les gens sont déjà à un stade lésionnel avancé (car en fait le corps est capable de "compenser" tout un temps avant cela). On voit donc mal comment ce vaccin thérapeutique pourrait arriver à temps ou même ressusciter les précieuses zones-clés déjà détruites.
L'article dit aussi que "ce vaccin semble efficace sur une période de deux mois" et que des tests plus approfondis devront être menés.... 2 mois c'est vraiment court, combien de doses pourraient être requises et peut-être même à vie pour un nombreux et juteux marché de diabétiques de type 1 dans le monde?
Selon ces scientifiques, ce vaccin ne supprimerait que la réaction immunitaire indésirable qui se retourne contre le pancréas sans affecter le reste de la réponse immunitaire dans son ensemble.... ça, ça reste à prouver et à vérifier. Avec les autres vaccins en général aussi, on a l'habitude de nous dire qu'on en a les avantages sans (ou avec si peu) les inconvénients.
Mais surtout, ce qui importe, c'est de voir que ce futur vaccin ressemble au principe d'un vaccin contre les allergies, alors que le diabète de type 1 comme les allergies peuvent être causés par... des vaccins!
On en parle trop peu, et certainement pas dans les médias grand public mais les vaccins peuvent en effet causer le diabète de type 1. Plusieurs recherches l'ont démontré. Le vaccin contre l'haemophilius influenzae de type b fait à quasi tous les enfants (et inclus dans les vaccins pentavalents et hexavalents donc dans l'infanrix quinta/penta, le pentavac, l'infanrix hexa et l'hexyon) et la valence anti-hépatite B (aussi incluse dans les vaccins hexavalents) font donc des vaccins hexavalents des vaccins doublement diabétogènes. Mais à part ça certains font semblant de s'étonner de la hausse du diabète de type 1 chez les enfants, ... on marche vraiment sur la tête dans un monde bien hypocrite et très irresponsable!
Voici ce que le Dr Classen qui a étudié le lien entre vaccin hépatite B et diabète, déclare dans le livre "La santé publique en otage; les scandales du vaccin contre l'hépatite B." de Eric Giacometti:
« En 1996, j'ai publié dans le New Zealand Medical journal une étude qui montrait une augmentation de 60 % des diabètes chez les enfants après la campagne de vaccination massive entre 1988 et 1991. Le diabète est une maladie autoimmune qui peut avoir plusieurs causes et qui est bien connue des spécialistes de la sécurité des vaccins. À l'époque, je voulais seulement lancer un signal d'alerte et que les pouvoirs publics lancent des études sur ce sujet. Un rapport officiel est paru deux ans plus tard pour mettre en pièce mes travaux. Selon ce texte, aucun autre médecin n'avait trouvé les mêmes tendances. Mais mes véritables ennuis ont commencé après mon passage à la télévision dans une émission d'ABC. J'ai été convoqué par le docteur Neal Hal sey, l'une des plus grosses huiles du milieu de la vaccination, professeur au john Hopkins Hospital, responsable de l'association des pédiatres américains, membre du Comité national des vaccinations. En guise d'entretien, c'était un procès en bonne et due forme. Je me suis retrouvé seul face à une assemblée de médecins, du NIH, du CDC, de la FDA, qui m'ont attaqué violemment, me reprochant d'avoir voulu affoler la population sans fondements. Selon eux, je risquais de détruire la campagne de vaccination alors que mes travaux avaient été réfutés. Exprimer des inquiétudes dans un média grand public sur un vaccin était inqualifiable. Depuis, j'ai été marginalisé comme opposant aux vaccins, un comble alors que mes recherches n'ont comme seul but que de renforcer leur sécurité ! Or, il existe un véritable problème avec ce vaccin et le public est en droit d'exiger une plus grande transparence, mais il est clair que cette affaire met en jeu des intérêts énormes. Si on ne trouve rien, c'est surtout parce qu'on ne veut rien trouver. »
Par la suite complète Eric Giacometti, auteur du livre « La Santé publique en otage, les scandales du vaccin contre l’hépatite B. », j'apprendrai que le docteur Halsey, l'accusateur principal de Classen, entretient des liens financiers avec les fabricants de vaccins.
En 1999, le Dr J.B Classen écrivait une lettre au British Medical Journal dans laquelle il rappelait aussi les résultats de ses autres travaux sur le lien entre vaccin anti-haemophilius influenzae de type b (Hib) et diabète de type 1:
« En mai 1998, une conférence fut organisée à Bethesda, Maryland pour évaluer nos données. Au cours de cette conférence, nous avons précisé que les données concernant le vaccin corroboraient les résultats de nos publications, à savoir que quand la vaccination avait lieu à l’âge de 2 mois, elle était associée à un risque accru de diabète. Notre analyse est également confirmée par une augmentation similaire des cas de diabète après la vaccination Haemophilus Influenzae type b aux Etats-Unis, ainsi qu’au Royaume Uni (5).
En outre, nous devons signaler que, dans le groupe d’enfants vaccinés, l’augmentation des risques de diabète dépasse en importance ce qui était attendu en ce qui concerne la diminution de complications de la méningite à Haemophilus influenzae de type b. »
Il semble donc que la première des priorités n'est pas de "trompéter" au sujet de ces nouvelles découvertes mais d'informer avant tout utilement le public pour essayer d'éviter la survenue initiale de cette maladie en recommandant de vacciner moins.
Dans un monde normal où les médias fonctionneraient bien, de façon libre et indépendante, il est évident que les journalistes auraient le droit et même le devoir déontologique de mentionner ces éléments qui éclairent d’un jour nouveau ce genre de « percée ». Mais voilà, il se trouve que les médias ne fonctionnent pas très bien, que donc leur lectorat ne cesse de baisser ce qui est logique, et aussi que les vaccins sont vraiment LE tabou des tabous. Du coup, ils ne relaieront que le côté « enthousiasmant » et partial de ce genre de nouvelle. C’est pourquoi cela reste très intéressant, et cela le sera de plus en plus, de varier ses sources d’information et de consulter par exemple le site très fourni d’Initiative Citoyenne !