Imprimé à partir du site web lejournaldejoliette.canoe.ca - 23 novembre 2011 -
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Une adolescente vaccinée de force en subit les effets secondaires
Guillaume Valois
23 novembre 2011 - 00:00
Actualités - Après avoir refusé de recevoir le vaccin Gardasil contre le virus du papillome humain, une adolescente de 14 ans aurait été victime de pressions de la part du personnel infirmier s’étant déplacé à l’École secondaire l’Achigan. Depuis, les effets secondaires s’accumulent.
La vaccination a eu lieu le 28 septembre dernier. «Nous avions été informés au préalable et avions refusé qu’elle soit vaccinée au Gardasil» raconte Elysabeth Gagnon mère de l’adolescente. Elle ajoute qu’en général, elle «n’est pas anti-vaccin», mais qu’elle avait lu des choses inquiétantes sur le Gardasil.
Le jour de la vaccination, une fois arrivée au triage, la fille de 14 ans a présenté les documents requis à l’infirmière. Réalisant que l’autorisation pour recevoir le Gardasil était refusée, l’infirmière a commencé à vanter les bienfaits du dit vaccin durant près de 15 minutes, aux dires de l’adolescente. Après avoir réitéré son objection à recevoir le vaccin à l’infirmière, celle-ci lui aurait dit que si elle changeait d’avis, elle pourrait toujours en informer une consœur qui administrait les autres vaccins prévus cette journée là. Une fois rendue devant la deuxième infirmière, celle-ci aurait à nouveau critiqué le choix de la jeune fille et de sa mère au sujet du vaccin. L’infirmière aurait insisté sur le fait que la jeune fille serait la seule à ne pas recevoir le dit vaccin et ce uniquement par entêtement, raconte Mme Gagnon. « L’infirmière a précisé que le seul effet secondaire possible serait un léger mal de tête», révèle la mère de l’adolescente. Finalement, la jeune fille s’est résignée à recevoir le vaccin. «Après lui avoir injecté le vaccin, l’infirmière a suggéré à ma fille d’inscrire la preuve de vaccination sur une feuille à part pour ne pas faire de vague à la maison», s’indigne Mme Gagnon. « Ma fille a été influencée et des pressions indues ont été exercés sur elle jusqu'à ce qu’elle accepte», déplore Mme Gagnon.
Difficile de se faire comprendre
Par ailleurs, Élysabeth Gagnon aurait pris soin d’entrer en contact avec le personnel de L’École Secondaire de l’Achigan afin de les informer de son intention de ne pas faire vacciner sa fille. Ne réussissant pas à parler à qui que ce soit, elle laisse un message sur le répondeur de l’école. L’infirmière de l’école l’aurait rappelée en fin d’après midi signifiant à Mme Gagnon que sa fille à 14 ans et qu’elle est libre de décider par elle-même de se faire vacciner ou non. «J’ai informé l’infirmière de l’école que j’irais chercher ma fille à l’école pour éviter qu’elle reçoive le vaccin», explique Mme Gagnon. L’infirmière lui aurait rétorqué qu’elle se chargera elle-même de le faire et qu’elle ne recevra pas le vaccin. « L’autre appel que j’ai reçu était pour m’informer que ma fille venait de perdre connaissance durant le trajet d’autobus et qu’elle était transportée par ambulance», déplore Mme Gagnon.
Rapidement, Mme Gagnon et son conjoint se sont dirigés à l’hôpital pour rejoindre l’adolescente. Quelques heures plus tard, Mme Gagnon a quitté l’hôpital afin d’aller s’occuper de ses deux autres enfants. Le conjoint de cette dernière est resté avec la jeune fille jusqu’au moment de rencontrer le médecin. «Nous sommes arrivés à l’hôpital à 17 heures et à 20 heures ma fille et mon conjoint étaient de retour à la maison », détaille Mme Gagnon.
Cherchant des réponses auprès de Santé Canada, Mme Gagnon découvre que la seule information concernant cette consultation à l’hôpital de Saint-Jérôme est que la jeune fille a quitté avant de consulter un médecin ce qui est faux selon Mme Gagnon. «On dirait que le dossier a disparu», explique-t-elle. Une situation que la mère de l’adolescente juge inconcevable et douteux.
Des effets secondaires atroces
Depuis la vaccination au Gardasil la jeune fille souffre de maux de ventre, de maux de tête, de fièvre, d’une baisse de la vue, sa bouche s’est remplie d’abcès, elle a souffert d’une infection urinaire et a des champignons plein le cuir chevelu raconte sa mère. «Tous les médecins que j’ai rencontrés ont refusé de façon catégorique de faire le lien entre le Gardasil et les maux qui affligent ma fille», déplore Mme Gagnon.
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Dans un précédent article, suite à un témoignage belge tout à fait similaire, nous posions donc déjà, à juste titre, la question à laquelle cet article apporte finalement une réponse : « Nos enfants sont-ils encore en sécurité à l’école ? » Il semble bien que NON….
Alors que Mme Laanan vient encore de dire le 22 novembre au parlement de la Communauté Française, concernant cette vaccination, qu’ « il appartient toujours aux parents d’autoriser la vaccination », le Journal du Médecin n°2199 du 18 novembre dernier martelait : « Comme le démontrent clairement les programmes en place dans d’autres pays, la vaccination en milieu scolaire constitue sans aucun doute le meilleur moyen d’optimaliser la couverture vaccinale. Les chiffres que présente le Dr Limbosch sont éloquents: En Ecosse, où un programme de vaccination scolaire est organisé, la couverture vaccinale chez les jeunes filles de 17-18 ans est de 90%. Chez leurs voisins, en Angleterre, où de tels programmes en milieu scolaire n’existent pas, la couverture vaccinale dans la même tranche de population retombe à 30%. Quand la vaccination n’est pas organisée en milieu scolaire, c’est la catastrophe.».
Ceci prouve donc bien que l’inclusion de ces vaccins dans les programmes scolaires n’est pas du tout une question de santé publique mais plutôt une stratégie politico-commerciale destinée à exploiter la crédulité du public dont une bonne partie assimilera cela à une obligation. Et ces témoignages d’adolescentes vaccinées à contrecœur en sont justement bien la preuve ! Le tout, sur un terrain idéologique ne permettant donc plus ni esprit critique ni considération éthique.
Ce genre de situation, totalement inacceptable, vient donc confirmer de façon éclatante tout le bienfondé et la pertinence de nos actions précédentes, auprès des directions d'écoles et des associations de parents, comme l’évoquait notamment BioInfo d’Octobre 2011 qui conseillait en outre aux parents de notifier plutôt deux fois qu’une leur décision de refus éventuel, de façon à ne pas vivre pareil contexte.
Nous remarquons aussi, en ce qui concerne le cas de cette jeune fille canadienne, que la presse locale semble plus libre et moins complaisante que notre presse nationale puisqu’ils n’hésitent pas à en faire leur une et à fustiger notamment « la loi de l’omerta qui règne » !
Nous espérons que cette maman portera plainte pour que les infirmières concernées mais aussi l’école (qui tente lamentablement de « tirer son épingle du jeu ») soient sanctionnés à la mesure de leur faute, en plus du dédommagement financier intégral des dépenses de santé occasionnées à cette jeune fille, grâce à sa vaccination forcée.