28 janvier 2012
Non, ce n'est pas un rêve: les Législateurs de Virginie viennent de faire le premier pas pour abroger l’obligation vaccinale anti-HPV.
Finalement, certains législateurs ont retrouvé leur bon sens au sujet des vaccins HPV (Gardasil et Cervarix) présentés comme pouvant prévenir soit l’apparition du papillomavirus et/ou du cancer du col de l’utérus.
Il n’est pas impossible que les Législateurs de l’état de Virginie aient examiné les rapports du VAERS (CDC) et découvert ce qu’en disent les Dr Gary Null et Nancy Ashley dans l’article paru dans VacTruth du 25 janvier 2012.
« Les données du VAERS (Organisme officiel sensé recenser les effets secondaires des vaccinations) qui ont enregistré 24.184 effets secondaires depuis Juin 2006 ; effets secondaires qui comprennent : crises, anaphylaxie, paralysies, myélite transverse, maladie de Lou Gehring(ALS) encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM) Syndrome Opsoclonus-myoclonus (mouvements incontrôlables des yeux, mouvements saccadés des extrémités) névrite brachiale, perte de la vue, Syndrome de tachycardie posturale, paralysie de la face, thrombose veineuse, embolies pulmonaires, perte de la mémoire à court terme, fausses couches, scléroses en plaques, maladies auto immunes, Syndrome de Guillain-Barre, frottis anormaux et même cancer du col de l’utérus [24] [25] [26] Oui, vous lisez bien – le VAERS rapporte 41 cas de cancers du col de l’utérus survenus après la vaccination Gardasil ! [1]
Cela peut sembler ironique, mais c’est la Virginie qui a été le premier état américain à rendre obligatoire les vaccins HPV pour des jeunes filles de 11 à 12 ans en 2007. Aujourd’hui la Virginie est le premier état à promouvoir une législation visant à éliminer la vaccination HPV obligatoire. Il reste à espérer que d’autres états rassembleront leur courage pour faire de même avant qu’une génération entière de jeunes femmes ne puissent plus vivre normalement, comme les rapports du VAERS semblent l’indiquer.
Malheureusement, comme le Washington Post l’a rapporté online :
Même si dans cet état les taux de vaccination sont au dessus de la moyenne nationale. 54% environ des jeunes filles de 13 à 17 ans ont reçu au moins une dose du vaccin comparativement aux 49% pour l’ensemble du pays, s’il faut en croire les Centres Fédéraux de Contrôle et de Prévention de Maladies. [2]
Il nous reste à espérer qu’il existe suffisamment de législateurs compatissants pour finalement faire passer ce projet législatif en véritable loi, comme aussi pour éviter aux jeunes femmes ce joug oppressif de l’obligation vaccinale HPV et dont les vies deviennent souvent un enfer une fois qu’elles ont reçu les vaccins HPV en trois injections.
Source: Vactruth