Des nouvelles du Dr Andrew Wakefield
Dans une lettre ouverte publiée le 17 avril 2013, le Dr Andrew Wakefield a proposé un débat public au gouvernement britannique sur le vaccin ROR, la rougeole et l’autisme. Il souhaite surtout préciser quelques faits importants, au moment où l’épidémie de rougeole qui sévit au Pays de Galles a ouvert la porte aux fausses déclarations et à la désinformation propagées par les médias.
Ainsi, au Royaume Uni, tout au long du moi d’avril, on pouvait lire ou entendre les déclarations les plus insensées, mais affolantes pour les gens non avisés : « deux millions d'enfants sont susceptibles de l'attraper parce qu'ils n'ont pas été vaccinés », « les vaccins jouent un rôle majeur dans la santé à long terme des populations », « la fausse science peut endommager votre santé » (le coupable de cette « fausse science » étant évidemment le Dr Wakefield), « les médecins désapprouvent les mères qui refusent de vacciner leurs enfants », « un homme est trouvé mort à Swansea » (alors que les médecins estiment que la cause est incertaine, étant donné l’épidémie qui sévit dans la région, la rougeole doit être responsable). Plus tard, les médias affirmeront que cette supposition était exacte, mais personne n’est allé vérifier. Enfin, plusieurs médias ont déclaré : « Vous ne pouvez pas recevoir trop de doses du vaccin, seulement trop peu ».
Voici la proposition du Dr Wakefield :
« En 1998, après une analyse de toutes les études préalables à l'autorisation du vaccin ROR et de son innocuité, j'ai recommandé l'utilisation du vaccin monovalent contre la rougeole, de préférence au ROR. Cela reste ma position. À cette époque, contrairement aux affirmations mensongères de nombreux commentateurs, y compris Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, et du millionnaire Paul Offit qui doit sa fortune aux vaccins, les vaccins monovalents étaient autorisés au Royaume-Uni et librement vendus au public britannique. Lorsque la couverture vaccinale par le ROR a diminué à partir de février 1998, on a constaté une augmentation simultanée de la couverture vaccinale avec le vaccin monovalent — un fait qui n'a jamais été reconnu par la presse. On a alors administré plusieurs milliers de doses de vaccin contre la rougeole et les enfants ont été « protégés ». Six mois plus tard, en septembre 1998, le gouvernement britannique a retiré la licence d'importation pour les vaccins monovalents, refusant ainsi le choix aux parents et les cas de rougeole au Royaume-Uni ont alors explosé.
Quand j'ai demandé pourquoi le vaccin monovalent empêcherait de protéger les enfants contre la rougeole, Elizabeth Miller de l'Agence de protection de la santé a répondu : « […] si nous laissions aux parents le choix des vaccins monovalents, cela détruirait notre programme concernant le ROR. » La préoccupation du gouvernement semble donc concerner plutôt la protection du programme ROR que celle des enfants. Malgré la déclaration de David Salisbury, responsable de la vaccination du Royaume-Uni, et qui prétend que « le ROR est l’exemple même de la sécurité vaccinale », ce vaccin n'est pas sûr. Deux des trois ingrédients introduits en 1988 ont dû être retirées pour des raisons de sécurité responsables de méningite. Les représentants du gouvernement avaient approuvé ces vaccins dangereux — le Pluserix® et l’Immravax® — en leur réservant la grande majorité du marché britannique, tout en sachant que leur risque était élevé car ils avaient été avertis de leurs dangers. Ces fonctionnaires ont placé les bénéfices financiers avant la santé des enfants et ont, depuis lors, toujours cherché à dissimuler ce fait honteux.
Le vaccin ROR peut provoquer l'autisme, la preuve en est que le gouvernement américain a versé des millions de dollars aux enfants dont l'autisme a découlé des lésions cérébrales induites par le vaccin. Le gouvernement lui-même a dû approuver ces jugements et confirmer que les demandes des parents étaient légitimes. Le 13 décembre 2012, le tribunal a octroyé plusieurs centaines de milliers de dollars à Ryan Mojabi, dont les parents ont démontré comment le vaccin ROR a provoqué une « blessure grave et débilitante au cerveau de leurs fils, diagnostiqué comme ASD (trouble du spectre de l'autisme).
Plus tard le même mois, le gouvernement a subi une deuxième défaite majeure quand la jeune Emily Moller de Houston a été indemnisée à la suite d'une lésion cérébrale liée au vaccin MMR qui, encore une fois, a abouti à l'autisme.
Les cas se sont alors succédé devant les tribunaux italiens et américains (y compris ceux de Hannah Poling, Bailey Banks, Misty Hyatt, Kienan Freeman, Valentio Bocca et Julia Grimes) dans lesquels la Cour et les gouvernements ont admis que les vaccins avaient causé un dommage au cerveau et que ces lésions ont conduit à un diagnostic de TSA. Dans tous ces cas le ROR était le seul dénominateur commun.
Un débat public indépendant, en direct est donc la meilleure opportunité pour faire le point sur ce sujet. Je vous propose un débat sérieux avec n’importe quel contradicteur sur l'innocuité du vaccin ROR et le rôle du vaccin ROR dans l'autisme, en direct, en public et télévisé. »
Depuis cette déclaration, il n’y a eu aucune proposition ni aucune réponse.
Lire la suite de cet article très intéressant : ICI (site de Sylvie Simon)