Le titre est de nous, bien entendu. Car il est somme toute fort peu probable qu'une revue bourrée de publicités en faveur de l'industrie pharmaceutique ait osé ce genre de titre...
Voici ce qu'on pouvait lire dans le Généraliste du 27 janvier 2011:
"Moins mystérieux- et probablement moins étonnants également: les résultats d'une étude qui s'intéressait au taux de vaccination chez les travailleurs de la santé de trois hôpitaux américains, et qui étaient tenus de se fare vacciner contre la grippe. Les personnes qui refusaient se voyaient remettre l'équivalent de notre C4 en guise de remerciement. Le refus de vaccination était cependant accepté lorsqu'il était motivé par des raisons médicales ou religieuses. Environ 1,1% de l'ensemble du personnel a bénéficié de cette mesure et n'a donc pas été vacciné. Le taux de vaccination obtenu était donc excellent, mais l'épée de Damoclès pointée par les autorités locales enlève toute valeur à ce chiffre. La vaccination quasi-obligatoire a d'ailleurs été à l'origine de plusieurs dizaines de procédures en justice de la part de médecins et de paramédicaux. Entre-temps, l'imposition de la vaccination a été mise en veilleuse."
Force de conviction
"Quoi qu'il en soit, le taux de vaccination anti-H1N1 des femmes enceintes n'était pas extraordinaire aux USA l'année dernière: à peine 33%. Chez les médecins généralistes, une enquête a montré les raisons principales de la faiblesse de ce taux: ils ne seraient pas souvent les premiers à parler de cette prévention vaccinale à leurs patients. Et dans l'affirmative, ils semblaient peu convaincus de l'intérêt réel de cette vaccination. De plus, ils ne répondaient pas toujours correctement aux questions qui leur étaient posées au sujet de la sécurité et de la composition de ces vaccins."
On remarque plusieurs choses qui ne vont pas:
- On impose une vaccination "à la soviétique" avec un taux de + de 98% artificiellement atteint. Ce qu'on ne dit cependant pas, c'est combien de malheureux travailleurs seront malades à court, moyen ou long terme, des suites d'une telle vaccination. Là encore, ils seront probablement licensiés et ces dégâts passés sous silence.
- Malgré cette obligation scandaleuse et totalement contraire à la dignité humaine et au consentement éclairé ("informed consent"), on remarquera qu'il existe des contre-indications médicales ou religieuses OR, ici chez nous en Belgique, les autorités publiques ont traîné les parents du petit Olivier à Tournai devant le tribunal correctionnel pour non vaccination polio alors qu'ils disposaient de certificats de contre-indication médicale....
- Lorsqu'il s'agit de leur santé, certains médecins acceptent de sortir de l'omerta et osent dénoncer, chose qu'ils n'osent pas faire dans la pratique quotidienne, en ce qui concerne la vaccination de leurs patients!
Beaucoup de médecins pensent tout bas ce que nous disont tout haut mais ils sont beaucoup trop peu à oser le dire, de peur de perdre leur situation ou qu'on leur fasse des ennuis.
Beaucoup disent nous soutenir totalement et nous remercient pour ce travail de démocratie, de transparence et d'éclaircissement. Beaucoup mènent un combat discret mais déterminé que rien ne pourra désormais arrêter.
Toutefois, il semble évident que tout système mafieux et coercitif prospère sur un terreau similaire appelé "OMERTA". Pas d'omerta, pas de mafia.
Dès lors, si chacun dénonce, à son échelle, les abus dont il se sent victime en tant que citoyen, patient ou médecin, le risque de pression et d'intimidation sera minime sur le plan individuel tandis que le bénéfice sera énorme pour l'ensemble de la collectivité.
En cela, on peut dire que ce genre d'"immunité citoyenne collective" contre les abus en tous genres est, de loin, bien plus utile que ne le sera jamais telle ou telle "protection vaccinale collective" contre la grippe ou autre....